examen 2 cardio : écho + BM Flashcards
qu’est-ce qu’on analyse lorsqu’on regarde l’écho pulmonaire?
les artéfacts
qu’est-ce qui produit les images dans l’écho?
la proportion des ondes qui reviennent à la sonde par réflexion
2 phénomènes qui expliquent la perte des ondes à l’écho?
1- transmission
2- atténuation
qu’est-ce que l’atténuation? qu’est-ce qui l’influence?
diminution de l’amplitude de l’onde
influencée par la distance parcourue et l’impédance des structures
–> une structure de faible impédance (air/liquide) va transmettre les ondes
–> une grande différence d’impédance entre 2 tissus collés va diminuer la transmission (l’onde sera alors réfléchie)
qu’est-ce que la réfraction?
déviation du faisceau lorsque la sonde n’est pas perpendiculaire à la surface
qu’est-ce que la diffusion?
lorsque l’onde frappe une structure plus petite qu’elle –> réémission d’une fraction de l’onde dans toutes les directions
qu’est-ce que l’échogénécité?
- hyperéchogène
-isoéchogène
-hypoéchogène
capacité d’une structure à réfléchir les ondes, détermine le degré de gris
- hyperéchogène = structure qui favorise la réflexion (blanche)
- isoéchogène = grise
- hypoéchogène = structure qui favorise la transmission (foncé/noir)
comment la sonde calcule-t-elle la profondeur?
délai entre l’émission et la réception de l’onde
3 types d’artéfacts?
1- réverbation
2- queue de comète
3- ombrage
qu’est-ce que la réverbation?
lorsque l’image se réplique et forme une copie + en profondeur atténuée
- apparaît lorsque l’onde est piégée entre 2 surfaces réfléchissantes
- produit ligne A
qu’est-ce que la queue de comète?
lorsque les ondes rencontrent une grande différence d’impédance
- ligne verticale qui traverse tout le champ échographique
- ligne B
qu’est-ce que l’ombrage?
surface anéchogène sous une surface hyperéchogène
- cône d’ombre sous les côtes
avantages de l’echo pulmonaire? (8)
- rapide
- non-invasif
- dynamique
- au chevet du pt
- non-irradiant
- permet objectiver les interventions - outil de rétroaction
- grande sensibilité, spécificité relativement élevé (mais attention aux faux-positifs)
- forte précision dx
limites de l’écho pulmonaire (6)
- air et emphysème sous-cutané
- pour qu’une atteinte apparaisse, elle doit s’étendre à la plèvre (faux-négatifs)
- obésité
- tirage
- ombrage par les côtes cache ~ 30% poumon
- pansement
comment délimiter les 12 zones de la cage thoracique?
1- ligne parasternale ant
2- ligne axillaire antéro-lat
3- ligne axillaire postéro-lat
4- 5e espace intercostal en inf
5- zones sup d-g et inf d-g en post thorax
quelles zones délimitent les lobes sup?
1-3-5-7
quelles zones délimitent le lobe moyen
2
quelles zones délimitent la lingula
6
quelles zones délimitent les lobes inf
4-9-10-8-11-12
quels sont les repères anatomiques avec le truc de la main?
lobe sup = main sup
lobe moyen/lingula = main inf
auriculaire = diaphragme
qu’est-ce que le PLAPS-point?
limite inférieure du thorax, juste sous le diaphragme
- représente le cul-de-sac diaphragmatique
- est à la jonction ligne axillaire post et ligne scapulaire
3 types de sonde & leur fréquence/résolution/profondeur/déformation et ce qu’elle visualise
1- linéaire : haute fréquence, haute résolution, faible profondeur, pas de déformation, visualise la plèvre
2- curvilinéaire : basse fréquence, basse résolution, bonne profondeur, déforme structures, visualise le diaphragme et l’épanchement au PLAPS-point
3- cardiaque : basse fréquence, basse résolution, bonne profondeur, ne déforme pas, visualise le diaphragme et l’espace pleural
2 axes de manipulation de la sonde? où est le marqueur?
1- axe longitudinal, marqueur crânial
2- axe transverse, marqueur vers droite pt
les 2 conventions et ce qu’elles représentent
1- classique, marqueur à gauche de l’écran –> gauche de l’écran = droite du pt ou crânial
2- cardiaque, marqueur à droite de l’écran –> droite de l’écran = droite du pt ou crânial
4 paramètres à considérer? (echo)
1- gain
2- profondeur
3- focus
4- mode
les 2 modes en echo et leur définition
1- mode B : mode brillance, image formé en temps réel à l’aide de combinaison de plusieurs tirs
2- mode M : image d’un seul tir dans le temps
9 signes et artéfacts présents dans le poumon sain & leur définition
1- signe de la chauve-souris - ligne pleurale : correspond à l’apposition entre plèvre pleural et viscérale
2- glissement pleural
3- ligne A : formé par la réverbation des ondes sur la ligne pleurale
4- ligne B : réverbation créé par une petite qté d’eau à la surface du poumon qui crée une différence d’impédance importante au niveau de la ligne pleurale –> lignes verticales perpendiculaire à la ligne pleurale qui bougent avec le gliss pleural et efface le lignes A –> normal si < 3
5- ligne Z : comme ligne B, mais bouge indépendemment du gliss. pleural
6- ligne E : comme ligne B, mais origine de la peau –> étiologie = emphysème sous-cutané ou trauma tissus mous
7- signe de la plage en mode M
8 - pouls pulmonaire en mode B ou M
9- signe du voile : confirme que le poumon est bien aéré
points de repère du diaphragme
sommet à droite = espace intercostal 4-5
sommet à gauche = espace intercostal 5-6
partie sup en contact avec la plèvre et le péricarde
ZOA = portion verticale du diaphragme, entre 8e et 10e espace intercostal de la ligne mi-axillaire
partie horizontale sépare le thorax et l’abdomen : dôme concave
partie inf gauche en contact avec rate et l’estomac
partie inf droite en contact avec foie
avec quelle sonde est-ce qu’on fait l’éval du diaphragme au niveau du ZOA? quel axe? quel mode?
sonde linéaire en longitudinal, mode B ou M
qu’est-ce qu’on évalue lorsqu’on fait l’éval du diaphragme en ZOA?
1- on regarde les 2 lignes qui définissent le diaphragme (ligne sup = plèvre, ligne inf = feuillet péritoine, entre les 2 = diaphragme)
2- mesure épaisseur statique
3- mesure épaisseur dynamique en mode M : (mesure fin inspi - mesure fin expi) / mesure fin expi * 100
normes d’épaisseur statique et dynamique du diaphragme
épaisseur statique :
sain = 0,20 à 0,22 cm
paralysie < 0,20 cm
épaisseur dynamique :
sain =28-96%
paralysie < 20%
observation du diaphragme par la voie subcostale antérieure : point de repères, sonde, mode, ce qui est évalué
axe transverse, entre la ligne mi-claviculaire et ligne axillaire ant, direction postéro-interne et crâniale
sonde curvilinéaire
mode B ou M
mesure de l’excursion : mesure fin inspi - fin expi
mesure vélocité de contraction : rapport excursion/temps inspi
observation du diaphragme par voie intercostale : points de repère, sonde, mode, ce qui est évalué
près du 8e-9e espace intercostal a/n ligne axillaire ANT
sonde curvilinéaire en longitudinal
observation des mvt du dôme du diaphragme en l’évaluant avec comme point de repère le foie et la rate
déplacement caudal du diaphragme à l’inspi
dysfonction si excursion <25mm
SY alvéolo interstitiel : affections bilat et localisée
signes à rechercher pour tout SY alvéolo-interstitiel
bilat : oedème pulmonaire, SY de détresse respi et fibrose pulmonaire
localisé : atélectasie, pneumonie lobaire, embolie pulmonaire
signe à rechercher : >3lignes B par espace interstitiel selon axe longitudinal en mode B
signes possibles lors d’oedème pulmonaire
1- >3 lignes B ou poumon blanc (image homogène caractérisée par absence ligne A et différence moins marquée de la ligne pleurale)
2- lignes B coalescentes (patho alvéolaire, séparé <3mm)
3- ligne B séparées (patho interstitielle, séparé 3-7mm)
4- pouls pulmonaire par diminution gliss pleural
5- signe du tissu/hépatisation : visible lorsque l’air dans les alvéoles est remplacé par liquide, apparence de foie
signes possible lors d’atélectasie
1- signe du tissu
2- abolition du gliss pleural - pouls pulmonaire
3- bronchogramme aérien statique
*possible en stade précoce d’observé des ligne A et B à la délimitation aéré du poumon
signes possibles lors de pneumonie lobaire
1- signe du tissu
2- ligne B irrégulièrement disséminées (présence liquide inflammatoire)
3- diminution ou abolition gliss pleural –> pouls pulmonaire
4- bronchogramme aérien dynamique
signes possibles lors d’embolie pulmonaire
l’occlusion des vaisseaux entraîne plusieurs types de lésions :
1- hémorragie intra-alvéolaire avec infarctus partiel ou complet du parenchyme
2- oedème pulmonaire par augmentation perméabilité des capillaires à cause des médiateurs de l’inflammation
3- atélectasie par diminution surfactant
4- épanchement pleural
signe : consolidation en forme de triangle, bien défini et homogène, pas de ligne B
quelles zones évaluer pour les SY alvéolo-interstitiel? quelle sonde?
oedeme pulmonaire : zone 1-2-5-6 (ant)
atteinte localisée : zone 3-4-7-8 (lat)
embolie : lobes inf
zone curvilinéaire pour trouver rapidement l’atteinte
2 types d’épanchement, leurs causes et particularités
1- transsudat/simple : apparaît suite à une surcharge liquidienne généralisée (IC), liquide clair, pas de changement perméabilité des capillaires
2- exsudat/complexe : accumulation liquide par processus inflammatoire, augmentation perméabilité capillaires, liquide n’est pas clair, a des débris inflammatoires
- hémothorax : sang
- empyème : pus
signes possibles lors d’épanchement pleural
1- zone anéchogène
- homogène si épanchement simple
- hétérogène si hémothorax, semble divisé en 3 cloisons si empyème
2- signe du # au PLAPS-point : décollement plèvre pariétal et viscéral
–> distance entre les 2 plèvre permet d’estimer la sévérité de l’atteinte
3- signe de la sinusoïde en mode M au PLAPS-point : plèvre viscérale monte à l’inspi et descend à l’expi (les plèvres ne se suivent plus)
signes possibles du pneumothorax
1- signe du code-barre - absence de gliss pleural
2- absence ligne B, ligne A observable sur toute la distance de l’echo
3- point pulmonaire : point où il y a, en mode M, transition entre le signe du code-barre et signe de la plage –>point de décollement du pneumothorax
limitations de l’echo pour le pneumothorax
- emphysème sous-cutané cause des ligne E qui s’apparente aux lignes B
- dyspnée cause une gliss des fibres musculaire qui s’apparente au signe de la plage
où dépister le pneumothorax? quelle sonde? quel axe?
air est au point le plus haut du thorax
- si DD, en ant, sous le mamelon (blue-point) dans les régions 1-2-5-6
- assis = apex poumon
sonde linéaire, axe longitudinale
comment détecter une dysfonction du diaphragme?
- absence signe du voile
- diminution épaisseur, épaississement, excursion et vélocité du diaphragme
–> éval dans les régions latérales
causes de dysfonction du diaphragme
atrophie, atteinte NM centrale/périphérique, MNM, MPOC par hyperinflation, chx cardiaque(lésion nerf phrénique, ventilation mécanique, anesthésie, dlr, trauma, complications pulmonaires)
signes à rechercher pour une atteinte pulmonaire par la covid
1- oedème alvéolaire : augmentation ligne B, ligne pleurale régulière/irrégulière/fragmenté, gliss. pleural normalement préservé
2- consolidation : diminution gliss, bronchogramme aérien
3- embolie pulmonaire
4- light beam (faisceau lumineux)
–> distribution bilat et inégale des zones, alternances de zones avec ligne B coalescentes/séparés/normales, multiples petits consolidation en périphérie du poumon, se situe surtout aux lobes inf
expliquer l’échelle AIS
but : mesure niveau et sévérité de la lésion
fait en DD
évalue niveau moteur et sensitif, pas sympathique
- niveau sensitif = dernier niveau normal pour toucher léger/piqûre
- niveau moteur = dernier niveau à au moins 3/5 avec une force de 5/5 au-dessus
A = complet moteur et sensitif
B = moteur complet, préservation sensitive a/n sacré
C = muscles à 1-2 sous la lésion
D = muscles à 3-4-5 sous la lésion
quand débute le niveau paraplégique?
T2
impacts d’une lésion médullaire sur le système musculaire
- atrophie artérielle, réduction chronique flot sanguin dans les muscles inactifs
- fibres I –> fibres II (fatigabilité accrue, diminution mitochondries/enzymes/capillaires)
évaluation musculaire d’un BM
- BMM
- AIS
- dynamométrie
- 1RM
comparer force para/tétra
force est diminué chez tétra p/r para par diminution des muscles accessoires/stabilisateurs
impact du SNS pour une lésion
1- cervicale
2- >T5
3- <T6
1- rupture du lien sympathique excitateur au coeur/vaisseaux –> diminution FC/TA repos, risque HTO et dysréflexie
2- rupture lien sympathique aux lits vasculaires splanchniques –> HTO, dysréflexie
3- préservation sympathique/parasympathique sur le coeur –> moins de dysfonction cardiaque, mais diminution innervation vaisseaux MI –> stase veineuse et diminution RPT
explication de la dysréflexie
- cause
- conséquences
- lésion au-dessus de T6, perte de contrôle du SNS
- augmentation TAS au moins 20 mmHg –> HTA, sudation, rougeur au-dessus lésion, maux de tête, congestion nasale, vision embrouillée, anxiété et brady compensatoire par parasympathique en réponse à l’augmentation TA
impacts vasculaires des BM
- pour les lésions au-dessus T6
- diminution contrôle sympathique sur lits vasculaires périphériques et splanchniques –> vasodilatation chronique, diminution tonus veineux
- diminution résistance périphérique et stase veineuse –> amplifié par diminution pompe musculaire
- diminution pression nég transthoracique avec paralysie muscles respi
- HTO et basse pression chronique –> impact repos et à l’effort
- diminution retour veineux et remplissage vasculaire
–> à l’exercice : diminution TA
impacts cardiaques des BM
- brady repos et à l’effort –> FC max ~ 110-130 bpm par diminution du contrôle cortical/sous-cortical sur SNS avec préservation du contrôle parasympathique
-diminution pression systémique et diminution retour veineux par altération de l’efficacité de la contraction ventriculaire - basse pression chronique : changements structurels a/n cardiaque (atrophie VG)
- taux maladies cardio-vasculaires élevé - 60-70% sont asymptomatique
- réponse à l’exercice : augmentation FC très légère
innervation sympathique/parasympathique et musculaire du système respi
parasympathique : nerf vague –> fait bronchoconstriction et sécrétion mucus
sympathique : chaîne ganglions de T1-T6, stimule bronchodilatation
muscle : diaphragme C3-C5, intercostaux T1-T12, abdominaux T6-T12
impact d’une lésion médullaire sur le système respiratoire
1- diminution ventilation secondaire à la paralysie des muscles –> diminution capacité pulmonaire, atélectasie, diminution force de toux
2- diminution compliance pulmonaire & thoracique secondaire à la paralysie et spasticité
3- déconditionnement secondaire à l’alitement & hospit
normes :
1- équivalent de 1 MET en VO2 pour un BM
2- VO2 max para et tétra
3- %CVF p/r sujet sain para/tétra
4- % VEMS p/f sujet sain para/tétra
5- FCmax para haut et tétra
6- fréquence respiratoire à l’exercice
7- temps de récupération
1- 2,7mlO2
2- para = 15-17ml, tétra = 7-9 ml (plus bas qu’une personne âgée de >75 ans)
3- para = 85%, tétra = 55%
4- para = 90%, tétra = 59%
5- 110-130 bpm
6- augmentation plus rapide secondaire au faible volume courant
7- diminution du temps de récupération puisqu’il y a une moins grosse augmentation
par quoi est expliqué la diminution du Vo2 max ?
- 20% par la diminution FC
- 23% par diminution VES
- 57% par la différence artério-veineuse
comparer la marche et le FR a/n de :
1- consommation O2 pour une même vitesse
2- FC pour un même VO2
3- fréquence respi pour une même vitesse
toute plus grand avec le FR
comparer les activités des MS vs MI a/n de :
1- FC pour un même VO2
2- VES pour un même VO2
1- plus grande augmentation FC pour MS
2- VES atteint un plateau par manque de retour veineux pour une activité des MS –> plafond a/n débit cardiaque
comparer le FR et le pédalier manuel a/n de :
- VO2 pour une même charge de travail
besoin d’un VO2 plus élevé avec FR parce que c’est un mvt discontinu, pas d’inertie
contraintes à évaluer chez BM pour évaluer la fonction cardiorespiratoire
1- contrainte physiologique
2- contrainte biomécanique = capacité à utiliser son FR
3- contrainte technique = type FR
4- grande variabilité des usagers
paramètres à évaluer dans les exercices CV des LM
quel est le paramètre clé?
FC, TA, VO2, PAM, SATO2, Borg, paramètres respi, muscles respi
paramètre clé = Borg
CI absolues et relatives à l’exercice cardio-respiratoire
absolues : celle de la population saine + dysréflexie et HTO non-contrôlée + récente TVP ou embolie + plaie grade 3-4
relative : celle de la population saine + tendinite + ossification hétérotopique chronique + neuropathies périphériques + plaies grade 1-2 + spasticité
4 façon d’évaluer la condition cardiorespi des LM
1- pédalier manuel
2- ergocycle/FR adapté
3- test de terrain : navette 25m ou cooper modifié
4- stimulation électrique fonctionnelle
avantages de la stimulation électrique fonctionnelle
évalue la consommation O2 des 4 membres
- augmente retour veineux –> augmente VES et débit cardiaque –>
- augmente masse musculaire utilisée –> augmente VO2 max
effets de l’entraînement avec stimulation électrique
- cardiovasculaire et respi
- msk
- métabolique
- autre
1- CV : augmentation FC, DC, ventilation, VO2max, densité capillaire, transport O2
2- msk : augmentation force, endurance, puissance, masse musculaire + prévention atrophie + augmentation densité osseuse, fibres I et IIa, diminution dibres IIx
3- métabolique : amélioration composition corporelle, glycémie, métabolisme glucose
4- autre : prévention TVP/embolie, maintient/augmente AA, diminue oedeme, diminue spasmes, augmente retour veineux
durée cycle de propulsion + nombre propulsions/min
durée < 1sec
50-80 propulsions/min
muscles de la phase de propulsion
delroïde ant, grand pec, biceps/triceps, flech/ext poignet + sus/sous-épineux comme stabilisation + sous-scap pour les tétra (stabilise main sur la roue)
muscles de la phase de récupération
deltoïde moyen/post, grand dorsal, sous-scapulaire, trapèze moyen, sus-épineux
ajustement ergonomique du FR lorsque la main est sur la partie sup du cerceau
- épaule au-dessus de l’axe de la roue
- coude 110 degrés
- inclinaison roue 4 degrés
- angle siège 5 degré de l’horizontal
- angle dossier 15 degré de la verticale
4 patrons de propulsion
- + efficace
- + utilisé
- celui utilisé dans pentes
1- circulaire/semi-circulaire : + efficace
2-boucle : + utilisé
3-double boucle
4- arc : dans les pentes
formule pour calculer l’efficacité du FR
- norme
- comparatif ergocycle manuel, marche, vélo
formule = puissance moyenne/dépense énergétique * 100
FR = 10-11% (variable nouveau/habitué)
pédalier = 16-18%
marche = 15%
vélo = 18-23%
effet de l’entraînement sur la propulsion
-augmentation efficacité mécanique brute
- diminue fréquence des poussées, augmente durée phase de poussée
- augmente AA MS
- permet une meilleure phase récup MS
- prévient blessures surutilisation
comment diminuer les exigences cardiorespiratoires du fauteuil roulant?
1- améliorer la technique de propulsion
2- renforcement musculaire
3- stabilité posturale/équilibre assis
4- entraînement CV
précautions à faire de l’exercice par niveau de lésion :
- L2-S5
- T6-L2
- T1-T6
- C5-C8
- C0-C4
- L2-S5 : tb sphincter
- T6-L2 : contrôle moteur et respi dépendant de la fonction des abdos
- T1-T6 : dysréflexie autonomique, pauvre thermorégulation, HTO, pas d’innervation sympathique coeur, FCmax 110-130 bpm, diminution capacité respi
- C5-C8 : diminution fct main & contrôle moteur MS
- C0-C4 : paralysie complète/partielle diaphragme
paramètres de prescription entraînement BM
- CV
- musculaire (PRAXIS)
intensité élevé : 20-25 min, 3-5x/sem, >60%VO2R
intensité modéré : 30 min, 5x/sem, 40-60% VO2R
intensité mixte : 20-30 min, 3-5x/sem
PRAXIS : cardiovasculaire intensité modéré à élevé 20 min 2x/sem
musculaire 3x 8-10 reps GM, 2x/sem
quoi entraîner dans la phase aigu/chronique GM
aigu : reconditionnement, ergocycle 30 min 3x/sem, but de maintien/pas de déclin
chronique : puissance max (3x/sem, 70-80% RM, combinaison entraînement en résistance - CV)
capacité aérobique : intensité modéré ou entraînement circuit
force musculaire : 2-3x/sem, 2-3 séries, 50-80% RM
4 types d’entraînement des BM
1- continu
2- intervalle
3- par la fonction
4- en circuit
bénéfices/inconvénients entraînement par intervalle
bénéfices : diminue monotonie, combine substrats énergétiques, augmente dépense en moins de temps, + représentatif AVQ
inconvénients : + exigeant, nécessite monitoring
bénéfices/inconvénient entraînement par la fonction
c’est quoi?
intégration de l’entraînement CV à l’intérieur du temps de thérapie –> diminuer temps de repos
bénéfices : plusieurs objectifs thérapeutiques, économie temps, représentatif AVQ, peu équipement nécessaire
inconvénient : difficile d’évaluer l’intensité et l’amélioration
bénéfices/inconvénient de l’entraînement en circuit
c’est quoi?
combinaison de 6 séries (2-2-2) de 6 GM de 8-10 réps + 6 min de cardio (2-2-2) répété 3x
bénéfices : s’adapte bien à domicile, combine plusieurs objectifs, maintien FC élevé
inconvénient : nécessite rééval régulière 1RM, exigeant, efficacité moindre que le renforcement pur
effets de l’entraînement chez BM
1- diminue FC pour même niveau effort, FC max inchangé
2- augmente VO2max
3- augmente PAM
4- augmente FR
5- diminue dlr épaule
6- augmente ventilation-minute, volume courant, volume de réserve
7- diminue fréquence respi pour un même effort
–> amélioration inversement proportionnelle au niveau de lésio (meilleure amélioration tétra > para)
% FCR pour les AVQ chez BM
–> suffisant comme entraînement?
tétra : 38%
para haut : 29%
para bas : 23%
–> atteignent par leurs AVQ une intensité >60% seulement 3min/jour (insuffisant)
barrières à la pratique d’activité physique
1- personnelles/intrinsèques : manque motivation, énergie, intérêt
2- ressources : coût, lieu entraînement
3- structurelles/architecturales : accessibilité, instructeur de qualité