EXAMEN 2 Flashcards

1
Q

Craik et Tulving (1975) ont voulu vérifier si la qualité de la mémorisation dépend de la durée du traitement ou de sa profondeur. Le traitement superficiel consistait à déterminer si un mot comportait une séquence donnée de voyelles et de consonnes. Le traitement profond, d’une durée plus courte, consistait à déterminer si un mot pouvait être insérée dans une phrase. Les résultats montrent que :
A. La perfo est équivalente dans les 2 conditions
B. Le temps de réponse est équivalent dans les 2 conditions
C. La performance est supérieure dans la condition sémantique
D. La performance est supérieure dans la condition où le temps de réponse est le plus élevé

A

C. La performance est supérieure dans la condition sémantique

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2
Q
Quel type d'élaboration est favorisé dans chacune des phrases suivantes? 1) Le tigre vit en Inde, alors que le lion vit en Afrique. 2 )Le tigre et le lion sont des mammifères carnivores.
A. 1) & 2) distinctif
B. 1) & 2) relationnel
C. 1) distinctif 2) relationnel
D. 1) relationnel 2) distinctif
A

C. 1) distinctif 2) relationnel

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3
Q

L’effet de récence s’explique par:
A. Le transfert des premiers items de la liste en MLT
B. La disponibilité des derniers items de la liste en MCT
C. Le transfert des derniers items de la liste en MLT
D. La disponibilité des premiers items de la liste en MCT

A

B. La disponibilité des derniers items de la liste en MCT

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4
Q

L’effet de primauté s’explique par:
A. Le transfert des premiers items de la liste en MLT
B. La disponibilité des derniers items de la liste en MCT
C. Le transfert des derniers items de la liste en MLT
D. La disponibilité des premiers items de la liste en MCT

A

A. Le transfert des premiers items de la liste en MLT

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5
Q
Une série de 15 mots est présentée au participant. Immédiatement après, le participant doit s'effectuer le rappel de tous les mots dont il se souvient, se tenir compte de l'ordre de présentation. Il s'agit de tâche de ; 
A. Rappel sériel
B. Reconnaissance 
C. Rappel libre
D. Rappel indicé
A

C. Rappel libre

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6
Q

Dans l’étude de Baddeley et Hitch, les participants devaient effectuer une tâche de rappel libre de 16 mots, tout en conservant en mémoire pour un rappel sériel immédiat une charge mnémonique de 0, 3 ou 6 chiffres. Cette étude démontre que :
A. seul l’effet de récence est affecté par une charge mnémonique
B. seul l’effet de primauté est affecté par une charge mnémonique
C. une diminution de l’effet de récence proportionnelle à l’augmentation de la charge mnémonique
D. que l’effet de récence et de primauté demeurent intacts

A

B. seul l’effet de primauté est affecté par une charge mnémonique

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7
Q
Afin d'expliquer pourquoi différentes tâches d'orientation ne produisent pas le même effet sur la performance, Craik et Lockhart ont proposé la théorie des «niveaux de traitement». Selon cette théorie, la performance dépend de:
A. la quantité de traitement de type 1
B. la durée du traitement
C. la profondeur du traitement
D. l'attention
A

C. la profondeur du traitement

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8
Q

Dans une tâche de rappel libre, Glanzert et Cunitz ont retardé le rappel de 0, 10 et 30 secondes. Pendant le délai, les participants devaient faire du calcul mental. Lorsque le rappel est différé de 30 secondes, on observe:
A. la disparition de l’effet de primauté et un effet de récence intact
B. un effet de primauté intact et un effet de récence intact
C. la disparition des effets de primauté et de récence
D. la disparition de l’effet de récence et un effet de primauté intact

A

D. la disparition de l’effet de récence et un effet de primauté intact

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9
Q
Lors d'une tâche d'apprentissage incident, laquelle des questions suivantes est la plus susceptible de favoriser un encodage profond un mot «lion»?
A. Le mot est-il en majuscule?
B. Le mot rime-t-il avec avion?
C. Le mot est-il un nom d'animal?
D. Le mot contient-il une voyelle?
A

C. Le mot est-il un nom d’animal?

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10
Q

Lors d’une tâche d’orientation sémantique, le participant doit juger si le mot présenté peut être inséré dans une phrase donnée. Selon le principe d’encodage par élaboration, laquelle des phrases suivantes produirait le meilleure rappel du mot «voiture»?
A. Il a fait cuire la voiture
B. La jeune femme ne vit pas la voiture arriver à toute allure lorsqu’elle traversa la rue
C. Le jeune homme a rapidement cueilli la grosse voiture rouge
D. La voiture est rouge

A

B. La jeune femme ne vit pas la voiture arriver à toute allure lorsqu’elle traversa la rue

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11
Q

Lorsqu’un item à mémoriser est compatible avec son contexte, les résultats de Craik et Tulving indiquent que la mémorisation de cet item est meilleure si le contexte présente une complexité élevée que s’il présente une complexité faible. Pourquoi?
A. Plus d’indices de récupération sont générés lorsque le contexte est complexe.
B. Les indices de récupération sont plus fortement reliés à l’item à mémoriser lorsque le contexte est complexe
C. Les participants passent plus de temps à traiter les times lorsque le contexte est complexe
D. La trace mnésique dure plus longtemps lorsque le contexte est complexe

A

A. Plus d’indices de récupération sont générés lorsque le contexte est complexe.

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12
Q

Lors d’une tâche de rappel libre, il a été démontré que la fréquence d’utilisation dans le langage des mots à mémoriser (mots fréquents vs rares) influence la capacité du participant à les rappeler.

  1. Décrivez l’impact d’utiliser des mots rares dans une tâche de rappel libre.
  2. Expliquez brièvement pourquoi seulement une partie de la courbe de position sérielle est affectée par la fréquences des mots à mémoriser
A
  1. Le rappel des mots rares réduit considérablement l’effet de primauté
  2. La fréquence des mots est un facteur qui influence la capacité de l’individu à récupérer de l’information en MLT. Puisque seul l’effet de primauté est associé à la récupération en MLT, la fréquence des mots influence spécifiquement la partie de la courbe de position sérielle reliée à cet effet, soit le début de la courbe.
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13
Q

Les résultats de l’étude de Hyde et Jenkins sur le rôle de l’intention de la mémoire suggèrent que :
A. le traitement structural est supérieur au traitement sémantique
B. le traitement sémantique est supérieur au traitement structural
C. le traitement structural et sémantique sont équivalents
D. le temps passé à encoder l’info est déterminant pour le rappel

A

B. le traitement sémantique est supérieur au traitement structural

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14
Q

On demande à un participant d’exécuter une tâche d’orientation sur les mots d’une liste sans le prévenir qu’il devra rappeler ces mots. Quelle tâche d’orientation permettra un meilleur rappel?
A. Compter le nbre de «e» dans le mot
B. Indiquer si le mot est en minuscules ou en majuscules
C. Juger si le mot s’insère dans une phrase
D. Indiquer si le mot rime avec un autre mot

A

C. Juger si le mot s’insère dans une phrase

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15
Q
Comment appelle-t-on le processus responsable de transférer de l'info de la MCT à la MLT?
A. récupération
B. maintien
C. oubli
D. Encodage
A

D. Encodage

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16
Q

L’étude de Bower et al. sur le rôle de l’organisation en mémoire montre que :
A. les mots présentés selon une structure sont mieux rappelés que les mots présentés aléatoirement
B. les mots présentés aléatoirement sont mieux rappelés que les mots présentés selon une structure
C. Le rappel est équivalent que la liste de mots soit aléatoire ou structurée
D. L’organisation hiérarchique et la seule structure qui facilite le rappel

A

A. les mots présentés selon une structure sont mieux rappelés que les mots présentés aléatoirement

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17
Q

Qu’est-ce que la persistance informationnelle?
A. La persistance de l’info sur le plan physiologique
B. La perception du stimulus pendant sa présentation
C. Le transfert de l’information en MCT
D. La persistance de l’info sur le plan de sa représentation en mémoire

A

D. La persistance de l’info sur le plan de sa représentation en mémoire

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18
Q

Quel choix parmi les suivants ne représente pas une propriété de la mémoire sensorielle?
A. La durée de la trace
B. Le format sous lequel l’info est conservé
C. La modalité sensorielle
D. La capacité

A

C. La modalité sensorielle

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19
Q

Quelle est la fonction du masquage rétroactif?
A. Empêcher le traitement d’un second stimulus par la présentation rapprochée d’un premier stimulus (le masque)
B. Empêcher le traitement d’un stimulus auditif par la présentation immédiate d’un stimulus visuel (le masque)
C. Empêcher le traitement d’un premier stimulus par la présentation immédiate d’un second stimulus (le masque)
D. Empêcher le traitement d’un stimulus visuel par la présentation immédiate d’un stimulus auditif (le masque)

A

C. Empêcher le traitement d’un premier stimulus par la présentation immédiate d’un second stimulus (le masque)

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20
Q
Dans une expérience de rapport partiel, Averbach et Coriell (1961) ont utilisé un cercle pour indiquer au participant la position de la lettre à identifier. Le cercle agit alors comme un masque. Un intervalle temporel variable est inséré entre la disparition e la matrice et l'apparition du cercle. Quel délai produit le masquage par intégration?
A. 0 ms
B. 100 ms
C. 200 ms
D. 300 ms
A

A. 0 ms

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21
Q

L’effet de primauté renvoie au fait que:
A. Les derniers items d’une liste son mieux mémorisés que les items médians
B. Les premiers et les derniers items d’une liste sont mieux mémorisés que les items médians
C. Les items médians d’une liste sont mieux mémorisés que les premiers et derniers items
D. Les premiers items d’une liste sont mieux mémorisés que les items médians

A

D. Les premiers items d’une liste sont mieux mémorisés que les items médians

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22
Q

À l’aide de la méthode de rapport partiel, Darwin, Turvey et Crowder (1972) ont estimé la durée de la mémoire sensorielle auditive. Les données indiquent que :
A. L’info persiste environ 1000 ms en mémoire échoïque
B. La durée de la mémoire échoïque est d’environ 250 ms
C. La persistance échoïque est d’environ 4 secondes
D. La durée de la mémoire visuelle est supérieure à celle de la mémoire sensorielle auditive.

A

C. La persistance échoïque est d’environ 4 secondes

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23
Q
Quel délai, dans l'expérience de rapport partiel effectué par Averbach et Corriell (1961), produit un masquage par effacement?
A. 0 ms
B. 100 ms
C. 200 ms
D. 300 ms
A

B. 100 ms

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24
Q
Dans l'expérience de Massaro (1970) sur le masquage auditif, le participant écoute un son test de 20 ms suivi d'un masquage auditif. À partir de quel délai le masque n'a plus d'effet sur l'identification correcte de la fréquence du son?
A. 80 ms
B. 160 ms
C. 250 ms
D. 350 ms
A

C. 250 ms

25
Q

Il a été démontré que la mémoire iconique est pré-catégorielle. Qu’est-ce que cela signifie?
A. Le stimulus est reconnu au niveau de sa signification
B. Les info physiques et sémantiques du stimulus ne sont pas accessibles
C. La signification du stimulus n’a pas encore été analysée, seules ces caractéristiques physiques sont disponibles en mémoire
D. La représentation en mémoire iconique permet de catégoriser le stimulus en fonction de ses caractéristiques sémantiques

A

C. La signification du stimulus n’a pas encore été analysée, seules ces caractéristiques physiques sont disponibles en mémoire

26
Q
Dans la méthode de rapport complet de Sperling (1960), on présente au participant une matrice de 12 lettres pendant 50 millisecondes. On observe que le participant peut rapport environ combien d'items sur 12?
A. 4
B. 7
C. 9
D. 12
A

A. 4

27
Q

Sperling a mis au point la méthode de rapport partiel pour vérifier si le faible nombre d’éléments rapportés à l’aide de la méthode de rapport complet s’explique par:
A. Le nombre trop élevé de lettres qui sont présentées
B. La trop courte durée d’exposition de la matrice
C. L’oubli rapide des lettres
D. L’organisation spatiale des lettres

A

C. L’oubli rapide des lettres

28
Q

La lettre « A » est présentée à un participant pendant 50 ms. Sous quel format cette information est-elle entreposée en mémoire sensorielle?
A. L’info n’est pas retenue, car la durée de présentation est trop brève
B. Brut, non analysé
C. Phonologique
D. Abstrait

A

B. Brut, non analysé

29
Q

Sur un écran d’ordinateur, on présente 8 stimuli à un participant pendant une très brève période de temps. Par la suite, on présente un masque (#) à l’endroit où se trouvait l’un de ces stimuli. Si le masque apparaît 200 ms après les stimuli, quelle situation parmi les suivantes est la plus susceptible de se produire?
A. Seul le masque sera visible, mais il n’aura pas effacé la trace du stimulus en mémoire
B. Seul le masque sera visible, mais l’effet du masque ne sera pas maximal
C. Seul le masque sera visible et l’effet du masque sera maximal
D. Le masque et le stimulus cible seront tous les deux visibles

A

B. Seul le masque sera visible, mais l’effet du masque ne sera pas maximal

30
Q

On présente à l’écran 3 rangées de 4 items pendant une très brève période de temps. Ces rangées sont constituées de chiffres et de lettres. Le groupe 1 doit effectuer une tâche de rapport partiel à l’aide d’un indice sonore présenté 50 ms après les stimuli à mémoriser qui indique aux participants s’ils doivent rappeler les chiffres ou les lettres. Le groupe 2 doit quant à lui effectuer une tâche de rapport complet et nommer tous les items de la présentation.

  1. Est-ce qu’il y aura une différence de performance entre les deux groupes? Si oui, indiquez quel groupe obtiendra une performance supérieure.
  2. Que peut-on conclure à propos du format de l’information en mémoire iconique
A
  1. Non, la performance sera équivalente entre les 2 groupes.
  2. L’absence d’avantage du rapport partiel avec des indices de type sémantique permet de conclure que l’information en mémoire iconique est pré-catégorielle, cad qu’elle est brute et non analysée au plan sémantique
31
Q

On demande à un participant de mémoriser une liste de mots présentée oralement. Une fois que le participant a entendu la liste, on affiche à l’écran d’un ordinateur le mot « GO » pour lui signaler qu’il peut commencer le rappel des mots de la liste. Quel sera l’impact du suffixe « Go » sur l’effet de récence?
A. Le suffixe n’influencera pas l’effet de récence, car il est présenté visuellement après une liste orale
B. Le suffixe fera disparaître l’effet de récence, car il est présenté visuellement après une liste orale
C. Le suffixe augmentera l’effet de récence, car il est présenté visuellement après une liste orale
D. Le suffixe n’influencera pas l’effet de récence, car son influence s’observe normalement sur l’effet de primauté.

A

A. Le suffixe n’influencera pas l’effet de récence, car il est présenté visuellement après une liste orale

32
Q
À l'aide de la méthode de rapport partiel de Sperling (1960), on observe que le participant peut rapport environ combien d'items sur 12?
A. 4
B. 7
C. 9 
D. 12
A

C.9

33
Q
Afin d'étudier la durée de la mémoire iconique, Sperling (1960) a fait varier le délai temporel entre la disparition d'une matrice de 12 lettres et la présentation d'un son indiquant la rangée à rapporter. À partir de quel délai le nombre de lettres rappelées se stabilise-t-il?
A. 0 ms
B. 150 ms
C. 300 ms
D. 1000 ms
A

C. 300 ms

34
Q
La technique de synchronie permet d'évaluer la durée de la mémoire iconique. Quel est l'intervalle minimum nécessaire pour détecter la répétition de 2 cercles?
A. 0-50 ms
B. 50 -100 ms
C. 100-250 ms
D. 250-300 ms
A

D. 250-300 ms

35
Q
Des séries de lettress, certaines phonologiquement similaires et d'autres dissemblables, sont présentées à un participant qui doit mémoriser dans l'ordre. Au rappel, les séries similaires sont plus difficiles à rappeler que les séries dissemblables. Comment se nomme ce phénomène?
A. L'interférence proactive
B. L'interférence rétroactive
C. L'effet de similitude phonologique
D. L'effet de longueur du mot
A

C. L’effet de similitude phonologique

36
Q
Une série de 7 mots est présentée au participant. Par la suite, le participant doit effectuer le rappel de tous les mots dans l'ordre dans lequel ils ont été présentés. Il s'agit d'une tâche de:
A. rappel indicé
B. reconnaissance
C. rappel sériel
D. rappel libre
A

C. rappel sériel

37
Q
Une série de chiffres, immédiatement suivie d'un chiffre-sonde, est présentée. Le participant doit rappeler le chiffre qui suivait la sonde dans la séquence. Les résultats appuient l'hypothèse de :
A. Interférence rétroactive
B. Interférence proactive
C. Estompage
D. Charge mnémonique
A

A. Interférence rétroactive

38
Q

Votre ami vous raconte qu’il n’a vraiment pas une bonne MCT. Selon les travaux de Schweickert et Boruff sur la prononciation du matériel à rappeler, quelle stratégie pouvez-vous lui suggérer afin qu’il améliore son empan mnésique?
A. S’entraîner à parler plus vite
B. Utiliser la suppression articulatoire comme stratégie de mémorisation
C. Faire des rimes avec le matériel à mémoriser
D. Effectuer un jugement sémantique sur le matériel à mémoriser

A

A. S’entraîner à parler plus vite

39
Q

L’étude de Shweicjert et Boruff met en relation le pourcentage de rappel sériel correct d’une liste d’items et le temps requis pour prononcer à haute voix cette même liste. On observe que:
A. Plus le temps de prononciation de la liste est long, meilleure est la rétention
B. Plus le temps de prononciation de la liste est long, pire est la rétention
C. Il n’y a aucune relation entre le temps de prononciation de la liste et la rétention
D. Le rappel d’une liste de 5 noms de formes est meilleur que le rappel d’une liste de 8 chiffres

A

B. Plus le temps de prononciation de la liste est long, pire est la rétention

40
Q
Selon le modèle de la mémoire de travail proposé par Baddeley et Hitch, le module responsable d'autorépéter l'information verbale est:
A. La boucle phonologique
B. La tablette visuo-spatiale
C. Le registre d'input
D. L'unité de gestion centrale
A

A. La boucle phonologique

41
Q

On présente une liste de noms de métiers à mémoriser pendant 3 essais consécutifs. Au 4ème essai, on change la catégorie de mots à mémoriser par des noms de meubles. La performance supérieur au 4ème essai s’explique par:
A. L’interférence proactive
B. Le relâchement de l’interférence proactive
C. L’interférence rétroactive
D. L’estompage

A

B. Le relâchement de l’interférence proactive

42
Q
Quel type d'oublie est causé par le passage du temps?
A. L'interférence proactive
B. L'estompage
C. L'interférence rétroactive
D. L'oublie intentionnel
A

B. L’estompage

43
Q
Dans une tâche de rappel sériel immédiat, la longueur de la liste d'items qu'un participant peut généralement rappeler correctement correspond à:
A. La courbe de position sérielle
B. Un « chunk »
C. L'empan mnémonique
D. L'effet de récence
A

C. L’empan mnémonique

44
Q

Laquelle des listes suivantes serait la plus difficile à retenir en MCT?
A. 6 lettres
B. 6 lettres comprenant 2 syllabes
C. 6 lettres comprenant 3 syllabes
D. Toutes ces listes sont équivalentes, car chacune contient 6 chunks

A

C. 6 lettres comprenant 3 syllabes

45
Q

Lors d’une tâche de rappel sériel spatial, l’exécution d’une autre tâche spatiale de frappe cadencée (frapper en alternance sur des blocs) interfère avec la première tâche. Cependant, si la tâche de frappe cadencée est remplacée par une tâche verbale de suppression articulatoire, aucune interférence n’est observée. Cet effet illustre:
A. L’effet de longueur du mot
B. La modularité de la mémoire de travail
C. Que la mémoire de travail est un concept unitaire
D. L’effet de similitude phonologique

A

B. La modularité de la mémoire de travail

46
Q
Zhang et Simon ont présenté visuellement à leurs participants des caractères chinois se prononçant de la même façon (des homophones). Ils rapportent que l'empan visuel est de 2 à 3 items. Selon eux, quel module serait responsable du traitement de ce type de stimuli?
A. La boucle phonologique
B. La tablette visuo-spatiale
C. Le registre d'input
D. L'unité de gestion centrale
A

B. La tablette visuo-spatiale

47
Q

Vous élaborez une tâche dans laquelle les participants doivent mémoriser 3 mots présentés simultanément à l’écran, pour ensuite compter à rebours pendant quelques secondes avant de les rappeler. Les mots à mémoriser sont des noms de pays au 3 premiers essais, et des noms de pierres précieuses pour le 4ème.

  1. En vous basant sur les études antérieures, décrivez la performance que vous obtiendrez lors des trois premiers essais et expliquez votre raisonnement
  2. Décrivez la performance que vous obtiendrez au 4e essai et expliquez votre raisonnement.
A
  1. La performance diminuera au cours des trois premiers essais à cause du phénomène d’interférence proactive. Plus la quantité d’information en mémoire augmente, plus l’interférence est importante et diminue le rappel de la nouvelle information.
  2. La performance augmentera au 4ème essai, car il y aura un relâchement de l’interférence proactive attribuable au fait que la catégorie des mots à mémoriser à été changée.
48
Q
Comment se nomme le processus qui permet de réactiver une information en MLT?
A. L'encodage
B. La récupération
C. L'oubli
D. Le maintien
A

B. La récupération

49
Q
Dans une procédure de rappel indicé, une liste de mots-cibles est présentée au participant afin qu'il les mémorise. Chaque mot-cible est accompagné d'un mot contexte. Lequel des mots-contextes suivants est fortement associé au mot-cible «bébé»?
A. Livre
B. Hochet
C. Fleur
D. Épée
A

B. Hochet

50
Q

Lequel des énoncés suivants concernant les souvenirs de faits complexes est vrai?
A. Une fois encodée, la trace mnésique ne peut être modifiée
B. La trace mnésique peut être modifiée par une information postévénement

A

B. La trace mnésique peut être modifiée par une information postévénement

51
Q

Qu’est-ce que le traitement approprié au transfert?
A. Un traitement permettant de faire une élaboration relationnelle
B. Un traitement permettant de faire une élaboration distinctive
C. Un traitement adapté au test de mémoire utilisé
D. Un traitement profond

A

C. Un traitement adapté au test de mémoire utilisé

52
Q
Morris, Bransford et Franks (1977) ont observé que la performance à un test de reconnaissance de rimes est supérieure pour un groupe ayant effectué une tâche d'orientation phonétique que pour un groupe ayant effectué une tâche d'orientation sémantique. Ce résultat appuie l'hypothèse:
A. Spécifié de l'encodage
B. D'encodage distinctif
C. De traitement approprié au transfert
D. De profondeur de traitement
A

C. De traitement approprié au transfert

53
Q

Quelle condition produit la plus faible performance?
A. Sobre à l’encodage et sobre à la récupération
B. Intoxiqué à l’encodage et intoxiqué à la récupération
C. Sobre à l’encodage et intoxiqué à la récupération
D. Intoxiqué à l’encodage et sobre à la récupération

A

D. Intoxiqué à l’encodage et sobre à la récupération

54
Q

Les participants mémorisent une série d’énoncés. Par la suite, des énoncés sont présentés et les participants doivent donner une réponse le plus rapidement possible à leur égard. Dans ce type d’expérience, plus le nombre de faits présentés est élevé:
A. Plus il est difficile de juger de la plausibilité d’un énoncé
B. Plus la reconnaissance exacte d’un énoncé est rapide
C. Plus la reconnaissance exacte d’un énoncé est lente
D. Moins il est facile de faire d’inférences

A

C. Plus la reconnaissance exacte d’un énoncé est lente

55
Q

Les participants doivent mémoriser une liste de mots-cibles accompagnés de mots-contextes faiblement associés. Lors du rappel, l’indice de récupération peut être le mot-contexte ou un mot fortement associé au mot cible. Le pourcentage de rappel correct est:
A. Équivalent, quel que soit l’indice
B. Supérieur lorsque l’indice est le mot-contexte
C. Supérieur lorsque l’indice est un mot fortement associé

A

B. Supérieur lorsque l’indice est le mot-contexte

56
Q

Qu’est-ce qui distingue une tâche de rappel libre, une tâche de reconnaissance et une tâche de rappel indicé?
A. Le matériel à retenir
B. Le temps de présentation du matériel
C. Le type d’indice guidant la récupération
D. Le délai entre la présentation et le test de mémorisation

A

C. Le type d’indice guidant la récupération

57
Q

Tulving et Psotka (1971) ont demandé aux participants d’apprendre six listes successives de 24 mots appartenant à 6 catégories. Après chaque liste, un test de rappel libre immédiat était administré. Après présentation de toutes les listes, les participants étaient soumis à un test de rappel libre sur tous les mots appris. Les indices de catégorie étaient fournis par la suite, lors d’un dernier test de rappel indicé. Quels sont les résultats obtenus?
A. La performance diminue en fonction de nbre de listes interférentes en rappel indicé
B. La performance ne varie pas en fonction de nbre de listes interférentes en rappel indicé
C. Une meilleure performance est obtenue en rappel libre
D. Une performance équivalente est obtenue en rappel libre et en rappel indicé

A

B. La performance ne varie pas en fonction de nbre de listes interférentes en rappel indicé

58
Q

Comment s’explique l’oubli en MLT?
A. L’info n’est plus disponible
B. L’info est encore présente, mais elle est inaccessible
C. L’info n’est plus disponible à cause du phénomène d’interférence proactive
D. L’info n’est plus disponible à cause du phénomène d’interférence rétroactive

A

B. L’info est encore présente, mais elle est inaccessible

59
Q

Dans l’expérience de Thomson et Tulving (1970), des participants doivent mémoriser une liste de mots-cibles dont certains ne sont accompagnés d’aucun mot-contexte. Dans un deuxième temps, on présente des indices fortement ou faiblement associés aux mots-cibles afin que les participants rappellent ces mots.

  1. Quel type d’indice permet un meilleur rappel des mots encodés seuls?
  2. Pour expliquer ce résultat, Tulving a développé une nouvelle théorie basée sur la spécificité de l’encodage. Identifiez et expliquez brièvement cette nouvelle théorie.
A
  1. Lorsqu’un mot-cible est encodé sans aucun mot-contexte, le meilleur indice de récupération est un indice fortement associé
  2. La théorie de l’encodage implicite. Selon ce principe, il se forme des associations implicites entre le mot-cible et les mots fortement associés en MLT, ce qui explique qu’un indice fortement associé au mot-cible puisse en favoriser le rappel même s’il n’a pas été présenté à l’encodage.