Examen 2 Flashcards

1
Q

Que faut-il faire avant de vacciner?

A

Vérifier la technique d’injection
Lecture du PIQ
Vérifier le vaccin

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
2
Q

Que faut-il faire lors de la vaccination?

A

Évaluation du carnet vaccinal
Évaluation de la personne
Enseignement sur les précautions
Obtenir un consentement libre et éclairé
Respecter la chaîne de froid
Administrer le vaccin
Compléter le dossier et le carnet vaccinal

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
3
Q

Que faut-il demander au client de faire après la vaccination?

A

Attendre 20 minutes avant de quitter

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
4
Q

Quelles sont les 11 règles d’or du vaccinateur?

A

Bien connaître le produit
Se rappeler qu’aucun vaccin n’est 100% sûr ou efficace et respecter les normes de conservation pour minimiser les risques
Se rappeler que tous les produits immunisants peuvent être administrer en même temps, sauf si interaction
Réserver le muscle fessier aux immunoglobulines
Respecter le calendrier recommandé
Administrer de nouveau la dernière dose si l’intervalle minimal n’est pas respectée
Toujours donner des doses complètes
Respecter un délai d’attente de 15-20 minutes
Ne pas reprendre une primovaccination, mais la poursuivre où elle s’est arrêtée
Profiter de chaque occasion pour mettre à jour l’immunisation
S’assurer que sa propre immunisation est à jour

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
5
Q

Période d’incubation de la varicelle

A

14 à 21 jours

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
6
Q

Manifestations cliniques varicelle

A

Fièvre légère, sensation de malaise, irritabilité, démangeaisons

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
7
Q

Incubation rougeole

A

8 à 12 jours

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
8
Q

Manifestations cliniques rougeole

A

Fièvre élevée, conjonctivite, coryza (rhinite), toux, anorexie, sensation de malaise, fatigue

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
9
Q

Incubation rubéole

A

14 à 21 jours (entre 16 et 18 normalement)

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
10
Q

Manifestations cliniques rubéole

A

Fièvre légère, céphalées, sensation de malaise, coryza (rhinite), mal de gorge, anorexie
Lymphadénopathie généralisée zones cervicales post auriculaire, sous-occipitale et postérieur

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
11
Q

Incubation oreillons

A

12 à 25 jours

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
12
Q

Manifestations cliniques oreillons

A

Sensation de malaise, fièvre légère, maux d’oreilles, douleurs lors de la mastication, perte d’appétit et déclin de l’activité
Œdème de la glande parotide atteint son apogée vers le 3e jour
Symptômes méningés (raideur nuque, céphalée, photophobie: 15% des cas

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
13
Q

Incubation roséole

A

10 jours

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
14
Q

Manifestations cliniques roséole

A

Fièvre élevée suivie d’une éruption cutanée lorsque la fièvre chute

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
15
Q

Incubation 5e maladie

A

4 à 20 jours

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
16
Q

Manifestations cliniques 5e maladie

A

D’abord joues rouges (comme giflées)
Puis éruption réticulée symétrique sur les avant-bras et les cuisses
Parfois qq macules rosées sur le thorax
Pas de lésions muqueuses
Empirée par la pression, la chaleur et le soleil

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
17
Q

Réactions comportements à la douleur pour le nourrisson de moins de 6 mois

A

Agitation, tremblements du menton, grimace, difficulté d’alimentation, pleurs

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
18
Q

Réactions comportements à la douleur pour le nourrisson de plus de 6 moins

A

Apparition de la peur des situations douloureuses
Réflexe de retrait face aux stimuli, grimace, irritabilité, agitation, perturbation du sommeil

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
19
Q

Réactions comportements à la douleur pour le trottineur

A

Peut localiser la douleur, mais pas décrire l’intensité
Pense que les autres voient sa douleur
Retrait, résistance de tout le corps, non coopératif, agressif, crises de colère, pleurs

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
20
Q

Réactions comportements à la douleur pour le préscolaire

A

Peut intensifier et qualifier la douleur
Peut la nier
Croit parfois que sa douleur est évidente pour les autres ou est une punition
Peut tenir qq d’autre responsable de sa douleur
Résistance physique, agressif, protestations verbales et physiques

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
21
Q

Réactions comportements à la douleur pour l’enfant d’âge scolaire (6-9 ans)

A

Capable de distinguer différents niveaux d’intensité
Peut indiquer avec précision le site et caractéristiques de la douleur
Résistance passive, rigidité de tout le corps, chantage

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
22
Q

Réactions comportements à la douleur pour l’enfant d’âge scolaire (10-12 ans)

A

Possède un vocabulaire qui lui permet de décrire sa douleur et d’en expliquer l’origine
Peut décrire douleur psychologique
Peut faire semblant de ne pas avoir de douleur, régression

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
23
Q

Réactions comportements à la douleur pour les adolescents

A

Perception de la douleur devient moins rationnelle (atteinte de l’image de soi, perte d’autonomie)
Maîtrise de soi
Coopération
Peur, angoisse

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
24
Q

Conséquences d’une douleur non soulagée

A

Respiration rapide et superficielle (alcalose, atélectasie)
Toux inefficace (pneumonie)
Immobilité (complications cardiovasculaire et respiratoires, thrombo-embolie)
Libération de cortisol
Augmentation des pertes hydroélectrolytiques secondaire à une respiration plus rapide et une augmentation du métabolisme de base
Conséquences psychologiques (cauchemars, moins coopératif, anxiété majorée)

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
25
Q

Que veut-on déterminer avec l’évalulation de la douleur?

A

Zone douloureuse
Intensité
Effets sur l’enfant

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
26
Q

Les 3 types de mesures de la douleur

A

Physiologiques (indicateurs, mais peuvent être influencés par autre chose que la douleur)
Comportementales
Autoévaluation

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
27
Q

Quelles sont les mesures physiologiques qu’y peuvent être évaluer lors de l’évaluation de la douleur?

A

FC
FR
PA
Saturation
Sudation
Niveaux d’endorphines et cortisol

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
28
Q

Quelles sont les échelles pour l’évaluation comportementales de la douleur?

A

Échelle FLACC (Face Legs Activity Cry Consolability)
Échelle PPMP (Postoperative Pain Measure for Parents)

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
29
Q

Échelles d’autoévaluation de la douleur?

A

Échelle des visages
EVA (échelle visuelle analogique)

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
30
Q

Qu’est-ce que l’APPT??

A

Adolescent Pediatric Pain Tool
(Dessin, EVA, qualité)

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
31
Q

Principaux défis de l’évaluation de la douleur pédiatrique?

A

Culture
Troubles cognitifs
Troubles neuromusculaires
Troubles fonctionnels
Troubles métaboliques
Troubles envahissants du développement
Traumatismes crâniens sévères
Entraves à la communication (intubation, sédation)

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
32
Q

Les différents moyens de gestion de la douleur

A

Pompe ACP
Sédation procédurale
Sucrose
Distraction
Relaxation
Imagerie mentale
Massage
Chaud/froid
Musicothérapie
Parents

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
33
Q

Le top 10 pour bien préparer un enfant à une procédure

A

Créer une connexion
Expliquer la nécessité de la procédure
Préparer l’enfant à la procédure
Utiliser un langage positif plutôt que négatif
Positionner l’enfant confortablement
Impliquer les parents
Modeler un comportement approprié
Introduire un objet de distraction
Récompenser et encourager un comportement positif
Permettre de faire un choix lorsqu’approprié

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
34
Q

Principes de bases pour l’évaluation physique d’un enfant

A

Allouer un peu de temps pour qu’il se familiarise avec l’environnement et avec nous
Maintenir un contact visuel
Se pencher au niveau de l’enfant
Utiliser un langage approprié pour le niveau de compréhension de l’enfant
Se rappeler que l’enfant est conscient de nos réactions et du langage non verbal
Respecter les réponses de l’enfant et ses besoins d’intimité
Faire participer l’enfant
Incorporer des jeux lors de l’évaluation

35
Q

Principes de bases pour la famille lors de l’évaluation physique d’un enfant

A

Développer une approche centrée sur la famille qui encourage les parents à participer
Choisir un endroit tranquille
Poser des questions ouvertes
Viser la résolution de problèmes ou l’obtention des informations
Écouter attentivement, respecter les réponses et procurer du feedback
Utiliser le silence de façon judicieuse
Souligner l’importance du rôle des parents dans la planification et la distribution de soins avec l’équipe

36
Q

Comment mesurer la croissance chez les enfants

A

Longueur (couché chez les moins de 24 mois)
Taille (debout chez les plus de 2 ans, sans soulier)
Poids (pèse-bébé chez les moins de 24 mois, nus)
Périmètre crânien (moins de 36 mois)
Périmètre thoracique, abdominal

37
Q

Quoi regarder lors de l’évaluation de la peau chez les enfants

A

Couleur
Température
Texture
Humidité
Élasticité
Remplissage capillaire
Lésions

38
Q

Quoi regarder lors de l’évaluation de la tête et du visage chez l’enfant

A

Symétrie du visage
Périmètre crânien
Palpation du crâne (fontanelles, sutures)
Cheveux
Structure externes de l’oeil (taille, écartement des yeux, paupières, conjonctive, pupilles, muscles moteurs)
Structure de l’oreille, audition
Bouche (lèvres, dents, haleine, gencive, langue, palais, amygdale)
Nez et sinus
Cou (ganglions, amplitude des mouvements, thyroïde)

39
Q

Comment tirer le pavillon de l’oreille du nourrisson vs plus de 3 ans

A

Nourrisson: Vers le bas et l’arrière
Plus de 3 ans: Vers le haut et l’arrière

40
Q

Quoi regarder lors de l’évaluation du thorax chez l’enfant

A

Taille, forme
Mouvement et effort respiratoire
FR
Bruits respiratoires
Anomalie: Pectus caritanum et pectus excavatum

41
Q

Quoi regarder lors de l’évaluation cardiaque chez l’enfant

A

FC x 1min à l’apex chez nn, nourrissons et trottineurs moins de 2 ans
Évaluer la qualité (distincts ou assourdis) et l’intensité (forts ou faibles)

42
Q

Quoi regarder lors de l’évaluation de l’abdomen chez l’enfant

A

Apparence de l’ombilic, bruits intestinaux, région inguinale (hernie?), taille et caractéristique du foie, de la rate, des reins et de la vessie

43
Q

Quoi regarder lors de l’évaluation des organes génitaux chez l’enfant

A

Faire en dernier
Fille: vulve, méat, examen vaginal (seulement si approprié), anomalies
Garçon: Pénis, scrotum, testicules, méat urinaire, anomalies
Caractéristiques sexuelles secondaires

44
Q

Quoi regarder lors de l’évaluation des extrémités et du MSK chez l’enfant

A

Colonne vertébrale
Grosseur et force des muscles, position et alignement du corps, symétrie, mobilité, équilibre

45
Q

Quoi regarder lors de l’évaluation neuromusculaire chez l’enfant

A

Fonctionnement des nerfs crâniens
Coordination
Réflexes
Sensorielle
Fonction cérébrale (langage)

46
Q

Quoi regarder lors de l’évaluation nutritionnelle xhez l’enfant

A

Quantité et type d’aliment/24 h
Hauteur, poids, circonférence crânienne vs courbes normales
Ration taille/poids
Tests labo si nécessaire (Hb, taux de fer)

47
Q

Quelques signes d’altération de la nutrition

A

Cheveux sec, couleur altérée
Figure pâle, œdématié
Langue rouge, rêche, avec des fissures ou des plaies
Peau sèche, hyper ou hypopigmentée
Ongles cassants, en forme de cuillère
Muscle atrophié
Genoux craquants
Irritabilité, tétanie, confusion
Abdomen distendu

48
Q

Pourquoi utiliser un ABCdaire pour évaluation d’un enfant?

A

Structurer les visites médicales périodiques
Assurer un minimum d’enseignement préventif
Favoriser le suivi du calendrier de vaccination
Dépister et traiter les problèmes de façon précoce (avant les symptômes)

49
Q

Quelles sont les 3 parties de l’ABCdaire?

A
  1. Recueil des données de base et identification des facteurs de risque
  2. Feuilles de suivi de l’enfant de 0 à 5 ans (12 visites en tout)
  3. Courbes de croissances (0-24 mois et 2-19 ans, filles et garçon)
50
Q

Les 7 sections compris dans l’ABCdaire?

A

Préoccupations parentales
Informations pertinentes et évolution récente
Nutrition
Développement et comportement
Examen physique
Conseils préventifs et anticipatoires
Impression et conduite

51
Q

Séquence/Stratégies que l’on peut utiliser pour l’examen physique selon l’âge et principales inquiétudes de l’enfant à cet âge (0-6 mois)

A

0-6 mois: Faire les examens traumatisants en derniers.
Inquiétudes: Pas anxieux avec inconnus. Facilement distrait ou consolé. Inquiet séparation parents

52
Q

Séquence/Stratégies que l’on peut utiliser pour l’examen physique selon l’âge et principales inquiétudes de l’enfant à cet âge (6-12 mois)

A

Même séquence que 0-6 mois.
Inquiétudes: Anxieux avec étrangers à partir 8 mois. Réagit négativement lorsque touché par étrangers. Déranger de la séparation du parent.

53
Q

Séquence/Stratégies que l’on peut utiliser pour l’examen physique selon l’âge et principales inquiétudes de l’enfant à cet âge (1-3 ans)

A

Utiliser le jeu. Laisser le plus vieux décider où il veut faire l’examen. Commencer par une évaluation visuelle. Rapidité ***
Inquiétudes: Séparation avec mère plus difficile vs père. Négativisme. N’aime pas être sans vêtements. Mémoire d’évènements récents. Peut pleurer et être non coopératif.

54
Q

Séquence/Stratégies que l’on peut utiliser pour l’examen physique selon l’âge et principales inquiétudes de l’enfant à cet âge (3-6 ans)

A

Peut choisir l’endroit où il veut être examiné. Les plus vieux aime mieux s’asseoir sur la table. Évaluation avec appareils ou instruments faites à la fin
Inquiétudes: Moins craintif de la séparation d’avec parent. Peut encore avoir peur des étrangers. Veut apprendre et contrôler, Entre 4-6 ans, augmentation de l’inquiétude de mutilation du corps, de la douleur ou des blessures

55
Q

Séquence/Stratégies que l’on peut utiliser pour l’examen physique selon l’âge et principales inquiétudes de l’enfant à cet âge (6-12 ans)

A

De la tête au pieds. Examen des organes génitaux fait en dernier.
Inquiétudes: Inquiet de se déshabiller. Offrir qqc pour couvrir. Inquiet de la normalité de leur corps. Expliquer le fonctionnement du corps.

56
Q

Séquence/Stratégies que l’on peut utiliser pour l’examen physique selon l’âge et principales inquiétudes de l’enfant à cet âge (12-18 ans)

A

Même séquence qu’un adulte
Inquiétudes: Coopératif si intimité (ex. jaquette). Rassurer sur la confidentialité.

57
Q

Réactions face au diagnostic d’une maladie chronique?

A

Choc et déni
Colère et culpabilité
Dépossession et perte
Attente et appréhension
Réadaptation ou deuil

58
Q

Conséquences possibles de la maladie chronique ou du handicap chez les 0-12 mois

A

Fréquentes séparations d’avec les parents (surtout si hospitalisé)
Retard de l’établissement du lien parent-enfant causé par la séparation, par le deuil de l’enfant “rêvé” ou souhaité, par l’incapacité du parent à accepter la condition de l’enfant
Expositions à un plus grand nombre d’expériences plus douloureuses que plaisantes
Contact réduit avec l’environnement en raison de mouvements restreints
Dépendance accrue aux parents

59
Q

Conséquences possibles de la maladie chronique ou du handicap chez les 1-3 ans

A

Dépendances accrue aux parents
Peu d’occasions de tester ses capacités et ses limites
Peu d’occasions d’exercer son pouvoir décisionnel
Exposition accrue à des expériences douloureuses

60
Q

Conséquences possibles de la maladie chronique ou du handicap chez les 3-6 ans

A

Diminution de l’apprentissage de l’autonomie
Diminution de la socialisation
Conscience du corps axée sur la douleur, l’anxiété et l’échec
Culpabilité, puisque l’enfant se croit responsable de sa maladie/handicap

61
Q

Conséquences possibles de la maladie chronique ou du handicap chez les 6-11 ans

A

Peu d’occasion de se dépasser ou de compétitionner
Diminution socialisation

62
Q

Conséquences possibles de la maladie chronique ou du handicap chez les 12-18 ans

A

Sentiment accru d’être différent des autres
Dépendance accrue à la famille
Peu d’occasion d’établir des liens et de discuter des enjeux de la sexualité avec les autres

63
Q

3 facteurs qui influencent la compréhension du concept de la mort par les enfants

A

Stade de développement
Culture
Croyances religieuses

64
Q

Perceptions de la mort chez les 0-3 ans

A

Ne peut pas comprendre le sens et la signification de la mort
Davantage troublé par les absences et les changements qui s’opèrent dans son mode de vie que par la mort en soi

65
Q

Perceptions de la mort chez les 3-6 ans

A

Comprend en partie le sens de la mort et croit que le seul fait d’y penser peut la causer
Son égocentrisme lui donne une impression de puissance et d’omnipotence
Mort est perçue comme un départ ou un long sommeil
Mort est perçue comme une étape temporaire et graduelle
Ne comprend pas que la mort est universelle et inévitable

66
Q

Perceptions de la mort chez les 6-11 ans

A

Croit que la mort est causée par un méfait ou une mauvaise pensée. Se sent coupable et responsable de la situation
Répond bien aux explications logiques et comprend le caractère figuré des mots
Craint la mutilation et les châtiments
Dès 9-10 ans, comprend le sens de la mort comme un adulte

67
Q

Perceptions de la mort chez les 11-19 ans

A

Compréhension mature de la mort
Encore influencé par des vestiges de la pensée magique et peut ressentir de la culpabilité et de la honte

68
Q

Processus du deuil selon Kubler-Ross

A

Déni
Colère
Marchandage
Dépression
Acceptation
*Le deuil est un processus non linéaire et long. Chaque deuil est unique et se manifeste différemment selon les individus. Touts les deuils suivent un chemin semblable

69
Q

Processus du deuil selon la théorie de l’oscillation

A

Oscillation entre des comportements axés sur la perte (travail de deuil, rumination, résistance aux activités) et des comportements axés sur la reconstruction (s’occuper des changements quotidiens, nouveaux rôles-relations, loisirs)
*Le deuil est un travail. Étapes non linéaires, non ordonnées. Pathologie du deuil = absence de mouvement.

70
Q

Interventions inf. auprès du nourrisson et trottineur en lien avec le deuil

A

Aider les parents à exprimer et à comprendre leurs sentiments afin d’être plus aptes pour répondre aux besoins de leur enfant
Encourager les parents à rester près de leur enfant
Changer l’environnement le moins possible, maintenir la routine, encourager les rituels
Privilégier la présence d’une infirmière primaire

71
Q

Interventions inf. auprès de l’enfant d’âge préscolaire en lien avec le deuil

A

Idem à nourrisson et trottineur
Aider les parents à comprendre les réactions de leur enfant

72
Q

Interventions inf. auprès de l’enfant d’âge scolaire en lien avec le deuil

A

Idem que les 2 précédents
Préparer l’enfant afin qu’il surmonte sa peur de l’inconnu
Clarifier sa compréhension, ce qu’il pense
Favoriser son autonomie, sa valorisation, son estime de soi
Encourager l’enfant à exprimer ses sentiments et son agressivité
Encourager les parents à répondre honnêtement aux questions de l’enfant au sujet de la mort
Encourager les parents à partager leur chagrin avec leur enfant

73
Q

Interventions inf. auprès de l’adolescent en lien avec le deuil

A

Permettre un maximum de maîtrise de soi et d’autonomie
Laisser l’adolescent apprendre à vous connaître
Répondre honnêtement aux questions de l’adolescent, le traiter comme un adulte
Respecter son besoin de latitude, d’intimité et l’expression de ses sentiments
Aider les parents à comprendre le souci qu’il se fait au sujet d’évènements présents (perte de cheveux par exemple) plutôt que ceux à venir
Référer à des groupes de soutien

74
Q

Les 3 axes à tenir en compte pour définir la négligences envers les enfants

A

Identification des besoins
Identification des effets développementaux
Identification de la réponse appropriée

75
Q

4 types de négligences

A

Physique (alimentation, logement, habillement, soins de santé…)
Éducative (stimulation, surveillance, supervision, encadrement…)
Affective (rejet, hostilité, intrusion, indifférence)
Complexe (3 autres mis ensemble)

76
Q

4 types de violence envers les enfants

A

Physique
Abus sexuel
Psychologique
Exposition à la violence conjugale

77
Q

Rôle de l’inf. face à la maltraitance

A

Identification des facteurs de risque et mesures préventives associées
Identification des conduits inappropriées, des risques engendrés et des mesures préventives associées
Identification des conséquences existantes de la maltraitance et mesures correctives associées
Signalement à la DPJ au besoin

78
Q

Situations qui présentent un risque élevé de violence ou négligence envers un nourrisson

A

Enfant prématuré
Nourrisson souffrant d’une anomalie
Enfant ayant un retard de développement
Nourrisson souffrant de coliques
Jumeaux, naissances multiples
Grossesse non planifiée
Dépression associée à la grossesse
Accouchement difficile
Incompréhension de la part de la mère des bouleversements que la naissance provoque dans sa vie
Mère célibataire ou très jeune (- de 20 ans)
L’un ou l’autre des parents désirait un avortement ou l’abandon de l’enfant, ce qui n’a pas été fait

79
Q

Manifestations cliniques de la négligence et de la violence psychologique

A

Retard de croissance
Troubles de l’alimentation
Énurésie
Troubles de sommeil
Autostimulation (mordre, se balancer…)
Absence de sourire social chez le nourrisson
Timidité inhabituelle
Diminution de l’estime de soi

80
Q

Manifestations cliniques de la négligence physique

A

Retard de croissance
Signes de malnutrition
Mauvaise hygiène
Vêtements sales/inadaptés
Affect maussade
Absentéisme scolaire
Abus de substance

81
Q

Manifestations cliniques de la violence physique

A

Contusions et marques de coups
Brûlures
Fractures/dislocations
Lacérations/abrasions
Intox répété à des produits chimique inexpliquée
Crainte des parents
Réaction inapproprié à un traumatisme
Relations superficielles

82
Q

Manifestations cliniques des abus sexuels

A

Contusions, saignements, lacérations ou irritation des organes génitaux externes
Sous-vêtements déchirés
Douleur à la miction
ITSS
Difficulté à marcher/s’asseoir
Odeur inhabituelle de la région génitale
Sperme
Grossesse non désirée à l’adolescence
Comportements sexuels son adapté à l’âge
Socialisation difficile avec enfant de son âge
Peur des hommes

83
Q

Signaux d’alarme de maltraitance

A

Signes physiques
Récits contradictoires
Trauma important et incompatible avec l’explication
Histoire non compatible avec le niveau de développement de l’enfant
Réactions inappropriées de la personne qui s’occupe de l’enfant

84
Q

Rôle de l’inf. en lien avec la maltraitance

A

DÉPISTER (observation +++)
DOCUMENTER dans les notes d’observations
*Les évènements, les relations parent-enfant, les verbalisations, les signes et symptômes
RÉFÉRER (obligation prof. et personnelle)
*au CLSC
*au CPEJ
*à la travailleuse sociale
ASSURER
*les soins physiques, les soins psychologiques de l’enfant
SOUTENIR
*la famille
ÉVITER
*tout jugement: travailler sur les causes profondes…