Examen 1613 Flashcards
Expliquer le fonctionnement, le rôle et l’importance du système immunitaire en intégrant les lignes de défenses et les cellules qui le compose.
Rôle du système immunitaire. Il protéger l’organisme contre l’ensemble des agents infectieux, les substances étrangères, les cellules, les tissu et les cellules cancéreuses.
Importance du système immunitaire. Il est essentiel pour maintenir la survie de l’organisme. Sans lui, l’organisme serait incapable de se défendre contre les menaces externes et les dysfonctionnements internes. Il a la capacité de mémoriser les infections antérieures et de réguler les réponses inflammatoires.
Fonctionnement du système immunitaire. Celui-ci fonctionne comme un mécanisme de défense complexe qui protège l’organisme contre les infections et les maladies. Son fonctionnement se divise en deux grandes étapes clés, qui peuvent être organisées en deux grande catégorie : l’immunité innée et l’immunité adaptative.
Immunité innée. C’est la première ligne de défense et elle émet une réponse immédiate (c’est-à-dire qu’elle agit de la même manière contre tous les envahisseurs). Elle laisse le temps à l’immunité adaptative de se construire et elle ne possède pas de mémoire. Elle se divise en deux ligne de défense. La première ligne de défense est composée de barrières anatomiques et physiologiques (peau et muqueuses intactes / sécrétions : larmes, salive, sébum, mucus, cérumen / microbiote normal qui empêche la croissance des microorganismes pathogènes) qui bloquent l’entrée d’un corps étranger. Lorsque les agents pathogènes parviennent à franchir la première ligne, ils atteignent la deuxième ligne de défense est composée de défenses internes non spécifiques (défenses cellulaires comme les cellules tueuses naturelles, neutrophiles et macrophagocytes / protéines antimicrobiennes comme protéine C réactive, système du complément / réponses physiologiques comme inflammation ou fièvre).
Immunité adaptative. Cette immunité est plus lente à se mettre en place, mais elle est plus spécifique et efficace que l’immunité innée. En effet, elle émet une réponse différée à des antigènes spécifiques, elle s’installe et se construit lentement et possède une mémoire. L’immunité adaptative s’agit de la troisième ligne de défense et elle se divisie en immunité cellulaire et en immunité humorale. Immunité cellulaire agit contre les cellules infectées, cancéreuses, cellules étrangères provenant d’un greffon et impliquent les lymphocytes T cytotoxiques qui libèrent de la perforine et des granzymes pour provoquer la mort des cellules cibles par apoptose. Immunité humorale agit contre les antigènes à l’extérieur des cellules (microorganismes libres, toxines) et impliquent les lymphocytes B se transforment en plasmocytes capables de fabriquer des anticorps pour neutraliser l’antigène. Les deux sous-immunité sont influencées par lymphocytes T auxiliaires (Th).
Expliquez le processus physiologique, les effets et les signes de l’inflammation. Examen
L’inflammation est un évènement immédiat, local, non spécifique se produisant dans un tissu vascularisé en réaction à un stimulus causant notamment une blessure, un traumatisme ou une agression microbienne. Ce processus physiologique est la principale réponse effectrice de l’immunité innée. L’inflammation contribue à éliminer la plupart des agents infectieux et des autres substances indésirables de l’organisme.
Processus physiologique. L’inflammation comprend quatre étapes.
1. Libération de facteurs inflammatoires et chimiotactiques.
2. Changements vasculaires. Vasodilatation des artérioles, augmentation de la perméabilité des capillaires et production des molécules d’adhésion cellulaire.
3. Mobilisation des cellules immunitaires (Margination, diapédèse, chimiotactisme). Cette étape consiste à recruter des leucocytes qui passeront du sang aux tissus infectés.
4. Libération de protéines plasmatiques.
Effets de l’inflammation : le mouvement net du liquide qui traverse les régions infectées, passant ainsi du sang à la lymphe, constitue l’une des conséquences de la réponse inflammatoire. Une quantité plus grande de liquide, de protéines et de cellules immunitaires quitte les capillaires et pénètre dans l’espace interstitiel des tissus, formant l’exsudat. En transportant les cellules et les substances nécessaires à l’élimination des agents infectieux, l’exsudat favorise la guérison.
Signes de l’inflammation : rougeur, chaleur, œdème, douleur, la perte de fonction.
Comment peut-on expliquer le phénomène de la fièvre? Expliquez si la fièvre est bénéfique ou non dans la situation d’Aïsha. Examen
La fièvre est une élévation anormale de la température corporelle. Lorsqu’il y a une infection, une inflammation ou une agression détectée dans l’organisme, certaines cellules immunitaires (comme macrophages et neutrophiles) libèrent dans la circulation sanguine des substances appelées pyrogènes. Ils ciblent l’hypothalamus, dans lequel se situe le centre de la thermorégulation et déclenchent la libération de prostaglandine. La PGE2 hausse la valeur de la température normale fixée à 37 °C dans l’hypothalamus. Donc elle modifie la valeur de référence. Cela signifie que l’hypothalamus va considérer une température plus élevée comme normale et va déclencher des mécanismes pour augmenter la température corporelle. Lors du déclenchement des mécanismes de la thermogénèse, il y a apparition de fièvre. L’hypothalamus stimule les vaisseaux sanguins du derme et provoque leur vasoconstriction afin de réduire les pertes de chaleur par la peau. La personne fiévreuse tremble afin d’accroître la production de chaleur par des contractions des muscles superficiels, et donc, la température augmente. La période d’état correspond à la période de maintien de la température élevée. Le taux de métabolisme augmente afin de favoriser les processus physiologiques participant à l’élimination de la substance nocive. La défervescence se produit lorsque la température revient à la normale. L’hypothalamus n’est alors plus stimulé par les pyrogènes, la libération de prostaglandine diminue et la température corporelle revient à un niveau normal.
Avantages de la fièvre. Elle inhibe la reproduction des bactéries et des virus, favorise l’activité des interférons, accroît l’activité de l’immunité adaptative et accélère la réparation des tissus.
Expliquez-en quoi consiste les infections nosocomiales et comment les prévenir.
Les infections nosocomiales sont des infections contractées au cours de séjour dans un établissement de santé. Ces infections sont principalement causées par des agents pathogènes présents dans l’environnement hospitalier ou par des pratiques médicales. Types infections nosocomiales courantes : pneumonie, infection urinaire.
Principaux facteurs contribuant à leur appariation : dispositifs médicaux (ex : cathéters augmente le risque d’infection, car introduit directement les agents pathogènes dans le corps et utilisation antibiotiques)
Comment les prévenir? Bon enseignement, hygiène des mains (lavage + port gants), désinfection, isolement des patients infectés, etc.
Détaillez et différencier l’immunité innée de l’immunité adaptative. Présentez votre réponse sous forme de schéma.
Immunité innée:
-Réponse immédiate à plusieurs substances étrangères
-Laisse le temps à l’immunité adaptative de se construire
-Ne possède pas de mémoire
-Première et deuxième ligne de défense
-Composé de barrières anatomiques et physiologiques + de défense internes non spécifique
Immunité adaptative:
-Réponse différée à antigènes spécifiques
-S’installe et se construit lentement
-Possède mémoire
-Troisième ligne de défense
-Se divise en immunité cellulaire et immunité humorale
Expliquez le rôle d’un vaccin pour l’organisme. Pourquoi faut-il se faire vacciner ?
La vaccination est le moyen le plus efficace d’éviter la propagation de maladies infectieuses graves. Elle utilise les défenses naturelles de l’organisme pour créer une résistance à des infections spécifiques et renforcer le système immunitaire.
Les vaccins stimulent le système immunitaire pour créer des anticorps, de la même manière que s’il était exposé à la maladie. Mais comme les vaccins ne renferment que des formes tuées ou atténuées des germes, virus ou bactéries, ils ne provoquent pas la maladie et n’exposent pas le sujet à des risques de complications.
Les vaccins réduisent le risque de contracter une maladie en travaillant sur les défenses naturelles de l’organisme pour établir une protection. C’est le système immunitaire qui réagit lorsqu’on se fait vacciner :
* Il reconnaît le germe invasif, comme un virus ou une bactérie.
* Il produit des anticorps. Ce sont des protéines produites naturellement par le système immunitaire pour combattre la maladie.
* Il se rappelle de la maladie par la suite et de la manière de la combattre. Lorsqu’on est exposé plus tard au même germe, le système immunitaire peut le détruire rapidement, avant que la personne ne tombe malade.
Les deux raisons essentielles de se faire vacciner sont de se protéger soi-même et de protéger son entourage.
Expliquez si Aïsha devrait se faire vacciner malgré ses symptômes.
Non, Aisha ne devrait pas se faire vacciner selon ses symptômes. Étant donné que le vaccin est préventif, il n’est pas conseillé qu’Aïsha se fasse vacciner. De plus, contracter le virus permet tout de même une mémoire immunologique aussi efficace que la vaccination.
Quelles sont les manifestions cliniques (signes et symptômes) d’un processus infectieux que présentent Aïsha ?
- Fièvre
- Mal de gorge
- Ganglions enflés
- Toux fréquente
- Expectoras jaune/vert
- Congestion nasale
Quels mécanismes expliquent pourquoi Charlotte salive en pensant au gâteau, pourquoi son estomac gargouille et pourquoi elle éprouve des difficultés à se concentrer tout en se sentant faible ? Examen
Pourquoi elle s’alive en pensant au gâteau? En réponse à la pensée de Charlotte, les noyaux salivaires reçoivent des signaux neuronaux provenant des centres supérieurs du cerveau. La stimulation de ces noyaux produit une augmentation du réflexe parasympathique, transmis le long du nerf facial aux glandes salivaires submandibulaires et sublinguales de même qu’au nerf glossopharyngien jusqu’aux glandes parotides, pour déclencher une production supplémentaire de salive.
Pourquoi son estomac gargouille? La phase céphalique concerne principalement le réflexe céphalique. Ce réflexe du système nerveux est déclenché peut être déclenché par la pensée. Les signaux nerveux des régions supérieures de l’encéphale sont transmis à l’hypothalamus, qui relaie ensuite ces signaux à la moelle allongée. Celle-ci accroît la stimulation vagale de l’estomac, en accentuant la réponse parasympathique du nerf vague, ce qui produit une augmentation de la force des contractions dans la paroi gastrique et de l’activité sécrétrice des cellules gastriques. Ces réflexes se manifestent par la sensation de gargouillement dans l’estomac et ils le préparent à la digestion.
Pourquoi elle éprouve des difficultés à se concentrer et elle se sent faible?
Étant donné que Charlotte a négligé de prendre son déjeuner ce matin, elle se sent plus faible et elle éprouve de la difficulté à se concentrer. En effet, le glucose est le carburant principal du cerveau. Puisqu’elle n’a pas ingéré de nourriture, les réserves de glucose s’épuisent, ce qui limite la capacité du cerveau à fonctionner efficacement générant des faiblesse et des difficultés de concentration. Le corps dépend d’un apport régulier en macronutriments, notamment les glucides, pour maintenir l’énergie et soutenir les fonctions cérébrales.
A) Quels sont les nutriments essentiels que Charlotte devrait consommer pour fournir l’énergie nécessaire à son organisme et quelles sont les fonctions de ces nutriments ? B) Comment le choix des aliments par Charlotte influence-t-il son niveau d’énergie et son bien-être tout au long de la journée ?
A) Charlotte devrait consommer des glucides, des lipides et des protéines, car ils fournissent de l’énergie nécessaire à son organisme. Les glucides sont des carburants énergétiques majeur et utilisable rapidement (principale source d’énergie pour le corps). Les lipides sont stockés dans les cellules adipeuses et permettent à l’organisme de disposer d’une réserve d’énergie en cas de besoin. Les protéines permettent la construction et la réparation de tissus : essentielles à la croissance, la réparation des tissus et le renouvellement cellulaire. B) Les glucides sont rapidement digérés, ce qui provoque des fluctuations d’énergie et des sensations de fatigue. Les protéines contribuent à la sensation de satiété et à la stabilisation du taux de sucre dans le sang. Les lipides fournissent une énergie à long terme et aident à maintenir la satiété. Il est aussi important de s’hydrater.
A) Expliquez les processus de glycogénolyse, néoglucogenèse, lipolyse et dégradation des protéines en lien avec la manière dont Charlotte pourrait puiser dans ses réserves d’énergie après son jeûne involontaire. B) Quel est l’impact du jeûne involontaire sur le corps de Charlotte et comment son organisme puisera-t-il de l’énergie pour rester actif malgré ce jeûne ?
A)
-Glycogénolyse : dégradation des réserves de glycogène en glucose. Dans les premières heures d’un jeune, le corps puisse dans ses réserves de glycogène pour maintenir un niveau stable de glucose sanguin. Ce processus est déclenché par l’action des hormones comme le glucagon.
-Néoglucogénèse : production de glucose à partir de molécules non glucidiques telles que les acides aminés, le glycérol ou le lactate. Lorsque les réserves de glycogène sont épuisées, le corps passe à la néoglucogénèse pour fournir du glucose au cerveau et aux globules rouges, qui dépendent exclusivement du glucose comme source d’énergie.
-Lipolyse : dégradation des réserves de triglycérides en glycérol et en acides gras. Après plusieurs heures, lorsque les réserves de glycogène sont épuisées, le corps commence à utiliser de plus en plus ses réserves de graisses par la lipolyse.
-Dégradation des protéines : lorsque les réserves de glycogène sont épuisées et que les réserves de graisse diminuent, le corps commence à dégrader les protéines (principalement des muscles) en acide aminés, qui peuvent être utilisés pour produire de l’énergie ou pour la néoglucogenèse. Dans les premières étapes du jeûne, le corps évite autant que possible de puiser dans les protéines. Cependant, si le jeûne se prolonge au-delà de quelques jours et que les réserves de graisses commencent à diminuer, le corps augmentera la dégradation des protéines pour fournir des acides aminés pour la néoglucogenèse. Cela peut entraîner une perte de masse musculaire. *La dégradation des protéines est un mécanisme de dernier recours dans un jeûne prolongé.
B)
Durant l’état de jeûne, les nutriments sont libérés par les divers tissus dans lesquels ils étaient emmagasinés et sont acheminés vers le sang.Les impacts du jeûne involontaire : diminution du taux de glucose sanguin, épuisement des réserves de glycogènes, perte de masse musculaire (si jeûne dure plusieurs jours).
Son organisme va puiser dans ses réserves d’énergie via les processus mentionnés plus haut.
État de jeûne
L’état de jeûne survient généralement quatre heures après le début d’un repas. Il correspond à la période entre les repas, lorsque le tube digestif est exempt de nutriments absorbables et que le corps puise dans ses réserves de nutriments pour produire l’énergie qui lui est nécessaire. Une personne qui mange 3 repas par jour et qui se trouve 12 heures par jour en état postprandial passe donc les 12 heures restantes en état de jeûne. Afin d’assurer son bon fonctionnement, l’organisme doit maintenir des concentrations sanguines adéquates en nutriments malgré l’absence momentanée d’apport alimentaire. Le glucagon est la principale hormone régulatrice libérée durant l’état de jeune. Le pancréas libère le glucagon en réponse à la baisse de la glycémie. Le glucagon provoque notamment les effets suivants:
-Il favorise la glycogénolyse et la néoglucogenèse dans les cellules hépatiques tout en inhibant la glycogenèse, ce qui permet au foie de libérer du glucose dans la circulation sanguine. Ce glucose pourra être utilisé par les cellules de l’organisme pour produire de l’énergie. Cette disponibilité est notamment cruciale pour les cellules nerveuses, qui utilisent presque exclusivement le glucose comme source d’énergie.
-Il favorise la glycogénolyse dans les cellules musculaires squelettiques. Le glucose produit est ensuite oxydé directement à l’intérieur des muscles pour produire de l’énergie, puisque ces cellules ne sont pas en mesure de libérer du glucose dans le sang.
-Il augmente la lipolyse au niveau du tissu adipeux et du foie tout en inhibant la lipogenèse, ce qui favorise la libération d’acides gras et de glycérol dans la circulation sanguine. Ces molécules pourront être utilisées par les cellules de l’organisme pour produire de l’énergie.
Les acides aminés et les protéines ne peuvent pas être emmagasinés sous une autre forme dans les cellules. Par conséquent. le glucagon ne produit aucun effet sur les protéines structurales et fonctionnelles de l’organisme. Il s’agit d’une particularité physiologique importante: cette hormone libérée régulièrement entre les repas ne dégrade pas les composants protéiques structuraux et fonctionnels de l’organisme afin de maintenir les concentrations en glucose sanguin. Cependant, la libération de glucagon est stimulée à la suite d’un repas riche en protéines. La grande quantité d’acides aminés dans le repas stimule la libération d’insuline, ce qui risque de provoquer une hypoglycémie si la quantité de glucides dans le repas est trop faible.
Comment les nutriments que Thomas a consommés pendant le repas en famille sont-ils libérés et utilisés par son corps pour soutenir son activité physique intense prévue l’après-midi ?
« Thomas mentionne qu’il prévoit faire une séance d’exercice intense dans l’après-midi. Il choisit donc de consommer des aliments riches en glucides complexes et en protéines, comme du pain complet et de la quiche, tout en veillant à bien s’hydrater pour s’assurer d’avoir l’énergie nécessaire à son entraînement. »
-Les glucides (pain et quiche) que Thomas a ingéré sont décomposés en glucose et celui-ci est ensuite absorbé dans le sang et stocké sous forme de glycogène dans les muscles et le foie. Pendant son activité physique, le glycogène sera sa principale source d’énergie rapidement mobilisée pour alimenter ses muscles. Il bénéficiera de la libération progressive de glucose provenant de ces glucides, ce qui lui permettra de maintenir un niveau d’énergie stable tout au long de son entraînement, retardant ainsi la fatigue musculaire.
-Les protéines consommées dans la quiche sont digérées en acides aminés, qui sont ensuite absorbés dans le sang. Les protéines ne sont pas la source d’énergie principale pendant l’exercice, mais elles sont essentielles pour la récupération musculaire post-entraînement. Les acides aminés aideront Thomas à réparer les microdéchirures musculaires induites par l’exercice intense.
Que se passe-t-il dans le corps de Charlotte lors de l’état postprandial, depuis le début de son repas jusqu’à quatre heures après avoir mangé ?
L’état postprandial regroupe les étapes de l’ingestion, de la digestion et de l’absorption des nutriments. Au cours de cette période, les concentrations sanguines en glucose, en acides gras et en acides aminés augmentent au fur et à mesure que ces nutriments sont absorbés par le tube digestif. L’organisme doit maintenir l’homéostasie, et ce, malgré l’ingestion d’aliments. Cet équilibre est surtout primordial pour la glycémie. L’insuline est la principale hormone régulatrice libérée durant l’état postprandial. Effets de l’insuline :
-Favorise entrée du glucose dans les cellules par diffusion facilitée en augmentant le nombre de transporteurs membranaires du glucose.
-Stimule production d’énergie par oxydation de glucose.
-Favorise glycogénèse dans les cellules musculaires squelettiques et dans le foie.
-Augmente activité de la lipoprotéine lipase.
Comment les signes de satiété s’activent chez Charlotte pendant le repas en famille, et quels mécanismes physiologiques sous-tendent ces signaux ?
*L’hypothalamus est la région du cerveau responsable du contrôle de la prise alimentaire.
- Au fur et à mesure que Charlotte mange, le passage du bol alimentaire vers l’estomac augmente le volume gastrique, ce qui entraîne une distension des parois de son estomac.
- Les mécanorécepteurs et les barorécepteurs sont alors activés et envoient les premiers signes de satiété à l’hypothalamus.
- L’arrivée du chyme dans l’intestin grêle entraîne la sécrétion de peptides. Ceux-ci induisent des signaux de satiété.
- L’absorption de nutriments entraîne une hausse de la glycémie et de la concentration plasmatique en acides aminés ainsi qu’en acides gras, ce qui génère des signaux de satiété.
Quels sont les principes d’une alimentation saine que Charlotte et sa famille devraient appliquer lors du repas pour maintenir un bon équilibre nutritionnel et soutenir leur bien-être général ?
- Consulter étiquettes
-Prioriser l’eau comme boisson
-Cuisiner plus souvent - Une saine alimentation est composée de tous les nutriments essentiels de l’organisme tel les lipides, protéines et glucides ainsi que les vitamines et minéraux.
-Respecter les limites recommandées en sucres libres, lipides saturés et sodium.
-½ des fibres
¼ grains entiers
¼ protéines