Examen 1 Flashcards

1
Q

Qu’est-ce que la criminologie?

A

L’étude du crime, oui, mais ce n’est pas que ça. La notion de criminalité n’est pas une notion très évidente, car elle dépend de la vision qu’on a.
“Acte de juger un comportement dans le cadre d’un processus institutionnel de type judiciaire.”

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2
Q

Donner les deux dimensions du crime.

A
  1. Manière de faire, comportement.
  2. Manière de définir et de réagir (comment la personne qui prend la décision voit les choses).
    N.B.Il n’y a pas de caractéristique claire et définit qui viennent régir les actions dites “criminelles”.
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3
Q

Donner les deuxparadigmes créé par les dimensions du crime.

A
  1. Paradigme du passage à l’acte ou du fait social (brut).

2. Paradigme de la réaction sociale ou de la définition sociale.

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4
Q

Donnez deux exemples du paradigme du fait social (brut) ou du passage à l’acte.

A

École positive italienne: Qui est le délinquant, comment peut-on le distinguer des honnêtes citoyens?
École de Chicago: Comment devient-on déviant au cours d’un processus normal d’adaptation sociale et personnelle aux conditions “mauvaises” de vie?

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5
Q

Donner trois exemples du paradigme de la réaction sociale ou de la définition sociale.

A
  • Qui définit le comportement de qui comme déviant, criminel?
  • Quelles sont les conséquences de ce processus d’étiquetage?
  • Comment sont créés et ont évolué historiquement certaines pratiques sociales d’étiquetage?
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6
Q

Donner les années de dominance des deux paradigmes (soit le paradigme du passage à l’acte et le paradigme de la réaction sociale).

A

Le moment fort du paradigme du passage à l’acte se situe entre 1930 et 1960.
Le moment fort du paradigme de la réaction sociale se situe entre 1960 et 1990.

N.B. Des années 1800 à 1930, le savoir était diffus, jusqu’à la naissance de la criminologie “scientifique”. L’école positive italienne a donné naissance à la criminologie en lui donnant le projet de connaissance scientifique (fin XIXe siècle).

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7
Q

Définir la relation qui existe entre les normes sociale, la déviance, les illégalismes et le crime.

A

De base, notre société est institué de normes sociales qui, par le fait même, viennent créer des actes qui sont non conformes à celles-ci. Nous nommerons ces actes “Déviance”. Dans la déviance pure, se trouve les “illégalismes” qui se définissent comme les déviances qui ont été institutionnalisées et qui sont devenues des lois. Parmi ces illégalismes se trouve les lois criminelles et pénales, qui viennent régir ce qu’est le crime.

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8
Q

Nommer trois des 5 objets de la criminologie vue en classe.

A
  1. Les comportement problématiques.
  2. La réaction sociale.
  3. Les victimes.
  4. La création de la loi.
  5. Le fonctionnement du système pénal.
  6. Et plusieurs autres…
    NB. Le champs de la criminologie est très large, il ne concerne pas seulement les crimes.
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9
Q

Donner le contexte d’émergence de l’école classique

A

L’école classique apparaît au 18e siècle, soit le siècle des lumières, alors que la justice pénale est apparût du 16e au 18e siècle.

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10
Q

Définir le concept “d’école” et expliquer son problème.

A

L’école de droit classique n’est pas un ensemble de savoir, de normes ou de courant de pensées uniforme. C’est plutôt un ensemble de pensées hétérogènes qui forment une certaine unité par le fil conducteur qui les unis.
Il y a plusieurs conflits à l’intérieur de l’école.

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11
Q

Donner les deux groupes de penseurs de l’école classique, ainsi qu’un penseur associé à cette école.

A
  • Utilitariste, comme Beccaria, qui croit que la peine se doit d’être utile.
  • Rétributivisite, comme Kant.
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12
Q

Expliquer l’humanisme que fait preuve Cesare Beccaria dans le pamphlet qu’il a produit se nommant “Des délits et des peines”, 1764.

A

Dans se pamphlet, Beccaria propose un projet de réforme de droit pénal humaniste, car il se positionne contre la torture et la peine de mort comme châtiment tout en voulant garder l’efficacité des lois pénales. Il est a noter que cela était très dangereux à l’époque de se positionner pour les droits des criminels, car ceux-ci n’avaient aucun droit alors. C’est la raison pour laquelle il l’a publié de façon anonyme, car il ne voulait pas devenir un martyr.

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13
Q

Définir le rôle des lois pénales selon Beccaria.

A

Les lois pénales ont la capacité d’empêcher le passage à l’acte, si elles sont certaines et sévères. Elles arrivent à dissuader les criminels de commettre un crime, car elles enlèvent le courage de l’individu en instituant la peur de la peine.
N.B. Le rôle des lois pénales n’est pas d’enlever l’envie de commettre le délit chez le criminel.

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14
Q

Expliquer le rôle du pouvoir législatif et du pouvoir judiciaire dans le cadre des peines dissuasives, selon le contexte de l’école utilitariste classique.

A

Pouvoir législatif: Se doit de faire des peines sévère dans les lois pénales.
Pouvoir judiciaire: Se doit de toujours appliquer les peines qui sont inscrites dans les lois pénales pour que la justice puisse être prévisible.
Mis ensemble, ils viennent créer un aura sévère et certain autour des punitions pénales.

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15
Q

Expliquer la théorie des causes de la criminalité derrière la pensée de Beccaria, comme quoi la peine sévère et certaine décourage le criminel à poser un délit.

A
  1. Tout choix repose sur un calcule de coûts/bénéfices
  2. L’être humain cherche avant tout le plaisir dans ses actions.
  3. Le criminel est comme tout autre être humain.
  4. Donc, si les coûts d’une action sont plus grand que les bénéfices, l’individu évitera de commettre le comportement.
    N.B. C’est la raison pour laquelle il faut que la justice soit certaine, car sinon le coût n’est plus autant élevé.
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16
Q

Vrai ou faux: Pour Beccaria, le châtiment est plus juste quand il est prompt, car plus le temps passe entre la commission de l’infraction et l’application de la peine, plus l’individu angoisse, plus il désespère, plus il est confronté à des souffrances injustifiées: injustifiées du fait qu’elles n’avaient pas été prévues dans la loi et qu’elles sont donc arbitraires?

A

FAUX.
Beccaria n’est pas contre la souffrance, mais contre les peines disproportionnelles et la souffrance injustifiée. Il est contre l’arbitraire, car pour que la peine dissuade elle doit être prévisible et c’est seulement comme ça qu’elle pourra être efficace.
Le châtiment est effectivement plus juste quand il est prompt, mais c’est pour que cela facilite l’association entre crime / châtiment et non parce que cela peut causer des souffrances injustifiées.

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17
Q

Donner les trois conditions d’efficacité de la punition et les expliquer brièvement.

A

Sévérité: Beccaria est pour les peines proportionnelles, car pour qu’une peine dissuade, il suffit que le châtiment soit plus grand que le bénéfice. Il est donc contre la souffrance arbitraire.
Promptitude: Lorsque la peine arrive rapidement après le crime, cela renforce l’association crime / châtiment chez l’individu (la peine est donc plus efficace lorsque prompt).
Certitude: L’infaillibilité est la façon la plus efficace de punir les délits et c’est pourquoi TOUS les délits doivent être punit, même les plus petits.

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18
Q

Expliquer comment, chez Kant, l’impératif catégorique influence l’agir humain (rétributivisme classique).

A

Impératif catégorique : “agit de telle sorte que la maxime de ta volonté puisse être érigée en loi universelle.”
Selon Kant, cette loi morale suprême vient annuler toutes les influences négatives. Donc, selon lui, malgré le fait qu’on ai des conditionnements sociaux ainsi que naturels (personnels), les conditionnements moraux prennent le dessus.

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19
Q

Dire pourquoi, selon Kant et son rétributivisme classique, celui qui reçoit une peine mérite sa peine.

A

Comme les conditionnements moraux surplombent les conditionnements sociaux et naturels (personnels), lorsqu’un individu décide de faire le mal, c’est parce qu’il désir faire le mal.
La peine lui est donc infligée pour venir rétablir l’ordre qu’il a volontairement transgressé.

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20
Q

Vrai ou Faux : Pour Kant, sauf exceptions relatives à l’âge de l’individu (minorité) ou à son état psychique (maladies mentales), l’individu est en tout temps capable d’exercer un contrôle sur ses conduites, et ce indépendamment des pressions qu’exercent sur lui différent conditionnements. C’est la raison pour laquelle Kant considère que l’individu qui choisit le mal plutôt que le bien mérite le châtiment.

A

VRAI.
Selon Kant, l’individu est en tout temps capable d’exercer son libre arbitre, sauf exception. Pour lui, l’âge et l’état mental peuvent empêcher l’individu d’exercer son libre arbitre.

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21
Q

Définir la vision de la peine pour le rétributivisme classique de Kant.

A

Selon Kant, la peine est un impératif catégorique, il faut payer le mal par le mal. La peine est le miroir du crime, oeil pour oeil, dent pour dent.

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22
Q

Donner 4 des 7 éléments qu’on en commun l’utilitarisme classique et le rétributivisme classique.

A
  • Programme de réforme pénale contre la torture.
  • Cause du crime: repose sur le laxisme des lois pénales et sur le choix rationnel de l’individu (calcule coûts/bénéfice, bien/mal).
  • L’individu être un être rationnel qui a appliqué son libre-arbitre pour choisir de faire le mal.
  • Le transgresseur est vue comme tout autre être rationnel, il n’est pas différent.
  • Le transgresseur est vue comme un ennemie de la société, car il a troublé le contrat social.
  • L’accent est mis sur l’acte et non sur la personne.
  • Valorisation de la pénalité, nouvelle rationalité punitive (proportionnalité de la peine)
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23
Q

Quel est le principale changement lorsque apparaît l’école positive italienne au 19e siècle?

A

Rupture méthodologique, on passe de la pensée à la méthode scientifique. Introduire des connaissance qui sont basée sur l’expérience plutôt que sur la pensée.

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24
Q

Définir la théorie de Lombroso, qui est à la base de la pensée de l’école positive italienne, concernant l’atavisme criminel. (3 éléments principaux)

A
  • L’anormalité criminelle: comme quoi le criminel à des traits psychologiques et biologiques différents des non criminels.
  • Déterminisme biologique: Vient nier le libre-arbitre chez les criminels, ils sont déterminés par leurs conditionnements biologiques.
  • Criminel-né: Il faut trouver les traits biologique innées, trouver les traits prédisposant à la criminalité pour arriver à identifier les criminels dangereux.
    N.B. Cette théorie se base sur le principe que les criminels ont des caractéristiques des hommes primitifs. Il n’aurait donc pas suivit l’évolution normal des Hommes.
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25
Q

Donnez des éléments de l’aspect anatomique qui définissaient le criminel-né selon Lombroso (19e siècle, la pensée positive et la théorie de l’atavisme criminel).

A
  • Asymétrie (avoir un bras plus long que l’autre)
  • Barbe rare
  • Dents anormales
  • Dureté du regard
  • Abondance de la chevelure
  • Le front fuyant
  • Le nez difforme
  • Insensibilité physique plus marquée
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26
Q

Donnez des caractéristiques psychologiques qui définissaient le criminel-né selon Lombroso (19e siècle, la pensée positive et la théorie de l’atavisme criminel).

A
  • Insensibilité affective
  • Sentiment de vanité
  • Sens moral renversé/fait défaut
  • Intelligence défectueuse
  • Mode d’expression
  • Argot et tatouage
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27
Q

Comment expliquer la bonne réception de la théorie de l’atavisme criminel et du criminel-né au 19e siècle par Lombroso? (3 éléments)

A
  • De croire que la science est capable d’identifier les criminels dangereux est une pensée sécurisante.
  • Permet de nouveaux débats politiques ramenant la peine de mort, car les criminel-nés sont incorrigibles.
  • Explique et légitime la castration chimique des délinquants sexuels.
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28
Q

Donner 4 des 7 idées principales derrière l’école positive italienne.

A
  • Déterminisme absolu, vient nier le libre arbitre déclaré dans l’école classique.
  • Les criminels sont différents des autres citoyens.
  • La déviance et la criminalité sont le résultats d’une pathologie individuelle.
  • La punition est une responsabilité sociale, et non une responsabilité morale ou une dissuasion comme dans l’école classique.
  • L’accent est sur la personne, on cherche les causes du passage à l’acte de l’individu.
  • Niveau de dangerosité de l’infracteur, ce sur quoi se base les peines.
  • Les peines doivent être indéterminées pour libérer la personne qu’une fois qu’elle est réformée.
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29
Q

Lecture

Expliquer pourquoi Ferri et Garofalo ont une représentation différente de leur société.

A

Ferri
- Tendance sociologique, voir même marxiste. Affirme que la répression est la réaffirmation de l’autorité de l’État. L’État prime sur l’individu.
Garofalo
- Se présente comme un libérale conservateur. Pour lui, la répression sert à préserver l’état social et prévenir la commission d’un autre acte de la part du même individu.

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30
Q

Lecture

Expliquer en quoi la représentation de l’évolution des sociétés est différente pour Ferri et Garofalo.

A

Ferri
- Retiens surtout la loi de la solidarité qui unis tous les être humain.
- Prévoit qu’un jour nous parviondrons, par l’égalité des moyens de production, à un état de paix et d’égalité et la loi de la solidarité prendra le pas sur la lutte pour l’existance.
Garofalo
- Retiens surtout la lutte pour la vie et la concurrence entre les être humains.
- Prévoit qu’il y aura toujours du crime dans la société

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31
Q

Lecture
Expliquer les différences des causes et de la diminution de la criminalité qu’on Ferri et Garofalo (avenir de la criminalité).

A

Ferri
- Cause principale des crimes = la faim
- C’est pas le socialisme, qui éliminera la faim et qu’on diminera la criminalité (il en restera, car la criminalité causé par des troubles psychiques n’est pas traité avec le socialisme).
Garofalo
- Cause principale des crimes = l’anomalie morale du criminel.
- C’est par une justice sévère et inflexible que l’on va diminuer la criminalité

32
Q

Lecture

Expliquer les différence entre la vision des définitions du crime qu’on Ferri et Garofalo (vision du crime)

A

Ferri
- La définition n’est pas importante, il faut principalement définir le criminel.
- Définit le crime comme la manifestation de sentiment antisociaux.
- Cherche à savoir si le criminel a fait preuve d’une criminalité atavique ou évolutive.
Garofalo
- La définition du crime est important.
- Pour lui, le délit naturel est la preuve d’un individu anormal, auquel il manque des sentiments altruistes qui composent la morale de la société.
- Crime de pitié ou de probité.

33
Q

Lecture

Pourquoi selon Digneffe, les définitions du crime de Garofalo et de Ferri ne sont-elles pas satisfaisantes?

A
  • La définition que donne Garofalo du crime, lorsqu’il le dénonce comme une offense au sentiment altruiste élémentaire, et lorsque le Ferri définit le crime comme la manifestation de sentiment antisociaux, il ne distingue pas ce qui est criminel de ce qui ne l’est pas.
  • Ils cherche à faire du crime un fait social brut, indépendant de la réaction que cela peut susciter dans la société
  • Cherche la définition dans le criminel au lieu de le chercher dans le crime définit par le droit pénal.
34
Q

Donnez le contexte socio-politique de l’émergence de l’école de Chicago.

A

Début XXe siècle, institutionnalisation de la criminologie. Divers changements sont provoqués rapidement suite à la 1re guerre mondiale et l’école de Chicago essaie d’expliquer la raison de ces changements.

35
Q

Expliquer le “pragmatisme” derrière les principales sources (scientifiques) de l’école de Chicago.

A
  • Philosophie de l’action, de l’intervention sociale: Pour avoir la meilleure compréhension possible de la situation, il faut aller sur le terrain. Il faut parler aux gens, vivre comme eux.
  • Subjectivité: Vise à mieux comprendre comment les délinquants perçoivent leurs actions. Il faut tenir compte de l’expérience de l’individu ainsi que de sa réalité (qui sera nécessairement subjective).
36
Q

Donner les quatre éléments du programme de recherche de l’École de Chicago.

A
  • Recherche empirique, ils accumulent plusieurs années d’expériences.
  • Neutralité et rigueur scientifique, il y a une méthodologie à suivre, ils ne portent pas de jugement moral.
  • Porte un regard sur la société, n’est pas juste centré sur l’individu (ce qui n’avait jamais été fait).
  • Réforme sociale (et non pénale).
    N.B. L’École de Chicago n’est centrée sur la criminologie, mais sur la sociologie urbaine, qui cherche à comprendre comment la vie s’organise, se désorganise et se réorganise.
37
Q

Définir le modèle de désorganisation sociale (ou écologique) de l’École de Chicago.

A

Centré sur l’écologie humaine, car tout est organique. Selon l’école de Chicago, l’environnement explique les différents groupes et leur organisation sociale et géographique.
Elle cherche a expliquer pourquoi lorsqu’il y a des changements rapides dans la société il se crée une désorganisation.

38
Q

Donner l’explication de la croissance de la ville et de son organisation selon l’écologie urbaine (4 espaces).

A
  • Le centre est le centre commercial
  • Ensuite il y l’espace interstitiel qui est un quartier pauvre et où il y a le plus de criminalité.
  • Ensuite les quartiers résidentiels de la classe ouvrière
  • Ensuite les quartiers résidentiels de la classe moyenne.
    Plus on s’éloigne du centre, plus les milieux sont favorisés.
39
Q

Expliquer pourquoi la ville est considéré comme un laboratoire sociale dans le modèle de désorganisation sociale de l’École de Chicago.

A

L’École de Chicago fait ici la métaphore avec un organisme. La ville serait un état d’esprit.

40
Q

Expliquer le concept de désorganisation sociale selon l’École de Chicago.

A
  • Mots clés qui nous aident à comprendre le concept d’organisation sociale: “Adaptation de l’individu ou du groupe d’individus dans le processus d’organisation/désorganisation de l’espace urbain.”
  • Concept de désorganisation sociale: “Déclin de l’influence des normes sociales de comportement sur les membres d’un groupe.” C’est un état où les règles, les valeurs et le contrôle social sont affaiblit par les diverses transformations. C’est une adaptation de l’individu face à la perte de ses repères sociaux.
41
Q

Donner la plus grande critique du modèle de désorganisation sociale qui fut porté par William Foot White

A

Il est faux de parler de désorganisation sociale, car il existe un modèle d’organisation, il est juste différent. Les normes sont autres, mais il y en a.

42
Q

Vrai ou faux
L’École de Chicago se caractérise par un programme relié directement à un projet de réforme de la législation pénales pour résoudre les problèmes sociaux.

A

Faux.

On parle plutôt d’un projet de réforme sociale.

43
Q

Vrai ou faux
L’École de Chicago se caractérise par le développement d’un respect empathique pour le monde de la déviance et les groupes défavorisés.

A

Vrai.
On veut savoir le point de vue des délinquants, car on a besoin de cet élément pour expliquer et comprendre la décision de passage à l’acte.

44
Q

Vrai ou faux
L’École de Chicago se caractérise par une vision du criminel comme un être tout à fait ordinaire et rationnel qui agit selon un calcul des coûts et des bénéfices.

A

Faux.
Cette définition est celle de l’école utilitariste classique. L’École de Chicago voit plutôt le criminel comme étant en réaction face à la désorganisation sociale.

45
Q

Vrai ou faux
L’École de Chicago se caractérise par l’hypothèse de la pathologie individuelle comme cadre théorique pour expliquer le passage à l’acte.

A

Faux.
L’École de Chicago refuse d’expliquer la délinquance comme une pathologie individuelle, Elle parle plutôt d’une pathologie sociale, car c’est la désorganisation sociale qui explique le passage à l’acte selon elle.

46
Q

Donner les 3 caractéristiques du modèle écologique en criminologie (École de Chicago).

A
  • Empathie envers le “déviant”, le “délinquant”.
    - Postulat de l’interprétation subjective.
  • Réforme sociale de la ville (pour essayer de créer un lien entre l’individu et la société).
  • Pathologie SOCIALE.
47
Q

Donner les 3 des 5 éléments qui permettent de comprendre le phénomène de gangs selon le modèle écologique de l’École de Chicago.

A
  • Les gangs (bandes de jeunes) sont une réaction à la désorganisation sociale.
  • La localisation géographie de la délinquance juvénile
    • Certains secteurs sont plus touchés que d’autres.
  • La délinquance est le résultat d’un isolement écologique et culturel.
  • Les gangs sont une forme spontanée d’organisation sociale.
  • La délinquance juvénile est vue comme une forme de réinvention du monde.
48
Q

Que voulait dire Thrasher lorsqu’il a caractérisé les gangs comme un élément interstitiel (culturel et géographique)?

A

Culturel: Ils sont interstitiels, car ils sont capable d’organiser des individus.
Géographique: Ils se situent dans la zone dite “interstitielle”, soit entre le centre ville et la zone résidentielle des ouvriers.

49
Q

En quoi la recherche biographique est-elle importante selon le modèle écologique en criminologie de l’École de Chicago?

A

Il faut comprendre le processus de passage à l’acte pour pouvoir sortir l’individu de celui-ci.
Pour ce faire, il faut comprendre comment l’individu percevait la situation, les obstacles qu’ils croyaient devoir affronter…
N.B. Cette méthode illustre bien celle de Chicago, car elle est empirique, sur le terrain et donne la parole au “déviant”.

50
Q

Dans quel paradigme se situe l’extrait suivant pris dans The Jack-Roller:
“ Pour la première fois dans le champ de la délinquance, cet ouvrage nous offre un matériel adéquat pour analyser et décrire le comportement du délinquant en termes de facteurs culturels. Il montre comment les modèles culturels, dans sa famille, dans son voisinage, dans les groupes délinquants et criminels qu’il fréquente, en particulier dans les institutions pénales et correctionnelles, définissent ses visions du monde et ses attitudes et contrôlent, de façon quasi déterministe, son comportement.” Shaw, 1930

A

Dans le paradigme de la réaction sociale. Cet extrait est l’origine même de ce paradigme.
Il est intéressant de noter qu’on se trouve presque dans le déterminisme.

51
Q

Donner 3 des 5 éléments qui sont en corrélation avec le modèle de chicago dans le livre “Juvenil delinquence dans urban areas” de Shaw et Mckay, 1942.

A
  • Écologie de la délinquance. Il établit une relation entre la délinquance juvénile et l’espace urbain.
  • Étude comparative de grandes villes américaines.
  • Calculs statistiques et données empiriques afin de mettre en relation les données de la délinquance avec les variable sociales et économiques. (Donne une carte qui localise la délinquance.)
  • Facteurs associé à la criminalité
  • Les meilleurs réponses à la criminalité. Conclus qu’il faut donner aux jeunes un espace où ils vont pouvoir développer et construire les liens de solidarité nécessaire pour exister en société.
52
Q

Donnez dans les grandes lignes comment Thrasher arrive-t-il à conclusion que « traiter le problème de la criminalité consistera à construire un avenir et une motivation au délinquant » ?

A

Un gang est une réaction à la désorganisation sociale, son association est spontanée. La situation de conflit permet de solidifier l’organisation, car:

  • Il se soudera (pourrait même y avoir une alliance entre les gangs).
  • Il se créera une morale.
  • On verra apparaître une structure chez les divers rôles joués par les membres.
  • Viendra donner aux gangs une raison de se battre
  • Permettra aux jeunes d’investir leur énergie contre les autorités
53
Q

Pourquoi Herpin, se basant sur les recherches de Shaw et McKay, trouve-t-il que la recherche perd de son pittoresque?

A

Par la standardisation des données et parce qu’elle devient systématique:

  • Cherche à rendre les données comparable et représentative par l’utilisation d’une grille subjective.
  • Alors que Thrasher, qui lui est romanesque, utilisait une méthode empirique qualitative et présentait la délinquance comme une réinvention du monde.

Écart entre les résultats et les explications théoriques:

  • Il n’est pas très pittoresque d’avoir des divergences entre ceux-ci.
  • Elles sont misent en juxtaposition, car misent côte à côte elle serait en contradiction
  • Contrairement la théorie de Thrasher était très bien articulée.
54
Q

Donner, globalement, les 4 grandes caractéristique qui détermine l’École de Chicago.

A
  • Analyse axée sur des facteurs sociaux et non individuels.
  • L’image du déviant est un individu tout à fait ordinaire.
  • Le sens de désorganisation
  • Une analyse axée sur la déviance des classes pauvres.
55
Q

Dire ce sur quoi portait le vidéo d’actualité portant sur comment la ville est criminogène.

A
  • La ville est, encore aujourd’hui, perçu comme un facteur criminogène (contribue au passage à l’acte).
  • Parle des politiques qui contribuent à contrer la violence.
  • Parle de la théorie des vitres brisées.
56
Q

Dire ce qu’est la théorie de la vitre brisées et donner sa morale.

A

La théorie des vitres brisées est lorsqu’il y a un bâtiment où une vitre est brisée, après une semaine, d’autres vitres seront brisées.
La morale de cette histoire est que si on ne réagit pas, le mal va s’agrandir (avec la non réaction, ça se détériore).

57
Q

Quelles sont les idées vues dans le cadre de ce cours (CRI 1003) jusqu’à maintenant qui sont sous-jacentes à la politiques pénales de la “Vitre brisée”? (Politique de la tolérance 0)

A

École classique (utilitariste) : Les lois pénales doivent être appliquée à tous les crimes (même les plus petits), car si on n’agit pas, on encourage (cela vient enlevé le caractère certains de la justice pénale et donc, vient diminuer le désavantage à commettre un crime).
École de Chicago : Corrélation entre les rôles de l’environnement sur le passage à l’acte, avec la notion de désorganisation sociale..

58
Q

Donner les 4 éléments de la théorie du contrôle social de Hirshi, qui vient essayer d’expliquer la délinquance.

A
  • L’attachement : c’est par les personnes à qui nous sommes attachées que se crée le contrôle sociale (parents, amis, groupe, école, communauté).
  • L’engagement: La force de l’engagement qu’on a auprès des personnes qui nous sont proches nous empêche de commettre des délits.
  • L’implication: un haut degré d’implication nous empêche de commettre des délits,
  • Croyance en la valeur des normes communes: un haut degré de croyance nous empêche de commettre un délit.
    N.B. Le contrôle social est la base de la non délinquance selon cette théorie.
59
Q

Le modèle culturaliste en criminologie s’inspire de l’École de Chicago, dire pourquoi.

A

Le modèle culturaliste s’inspire de l’écologie sociale de l’École de Chicago pour son concept de désorganisation sociale.
Le concept clé du modèle de culturaliste, le fait qu’on devient un criminel, vient aussi de l’École de Chicago.

60
Q

Définir de façon générale le modèle culturaliste en criminologie.

A

“Le poids de la culture dans la formation/transformation de l’individu (processus de socialisation).”

L’individu vient au monde dans une culture qui lui permet d’intégrer et d’apprendre les normes de conduites qui lui sont associés. En disant que la criminalité fait parti des apprentissages, on sort du modèle biologique ou de transformation sociale pour entrer dans l’apprentissage.

61
Q

Définir la vision du crime et du criminel qu’avait Gabriel Tarde à la fin du XIXe siècle, dans le cadre du modèle culturaliste en criminologie.

A
  • Il refuse la thèse du déterminisme criminel.
  • Selon lui, tout le monde peut passer à l’acte et devenir un criminel (banalisation des crimes).
  • Postulat de la non différence: Selon lui, le criminel n’est pas fondamentalement différent (contrairement à l’école positive italienne), il a simplement un comportement différent.
62
Q

Définir le concept de crime et imitation qu’avait Gabriel Tarde à la fin du XIXe siècle, dans le cadre du modèle culturaliste en criminologie.

A

Le comportement criminel est un processus social d’imitation (apprentissage).
Il se base sur les 3 lois de l’imitation
- On imite les gens qui nous sont proches.
- On imite les gens qui ont une position supérieure à la nôtre.
- La “mode” vient aussi influer sur le comportement de l’individu.

63
Q

Selon Sellin, pourquoi le droit pénal existe-t-il?

A

Comme la société est un amalgame de culture, selon Sellin, la loi pénale représente l’une des valeurs de la culture de cette société.
N.B. Les juristes ont tendances à dire que c’est pour protéger la structure de la société que les lois pénales existent, mais Sellin contredit cette information en disant qu’il n’y a pas une société qui soit stable.

64
Q

Donner les deux principes sur lequel se repose la notion des conflits de cultures,

A
  • Les règles morales sont variable d’une société à l’autre.
  • Chaque individu intériorise les normes de sa société ou de son groupe de référence.
    N.B. Lorsqu’un individu d’une autre culture vient s’installer dans un pays, il est probable que celui-ci subisse un choc ou un conflit de culture dans l’application de la loi pénale.
65
Q

Donner trois situations où les conflits de culture peuvent survenir.

A
  • Lorsqu’une culture côtoie une autre culture, le conflit surviendra à la lisière entre les deux;
  • Lorsqu’une culture essaie d’imposer ses normes culturels à une autre culture (exemple des A);
  • Lorsqu’une personne venant d’une culture X immigre dans une culture Y (il se retrouve donc dans une culture dont il n’a pas intégré les normes).
66
Q

Donner les deux type de conflits de culture.

A
  • Primaire : Lorsqu’un individu applique ses normes de conduite dans un environnement culturel qui à d’autre normes de conduite. La société à un problème avec l’individu et non le contraire.
  • Secondaire : se situe à l’intérieur d’une personne. Celle-ci est tiraillé entre la culture de laquelle elle vient et la culture dans laquelle elle vit.
67
Q

Donner les 4 résultats que peuvent avoir le conflit de culture secondaire chez un individu.

A
  • Marginalisation : garde la culture de son pays
  • Assimilation : prend la culture du nouvel environnement
  • Retrait : Ne prend aucune culture
  • Biculturalisme : Trouve l’équilibre parfait entre les deux cultures, intègre les deux.
68
Q

Vrai ou Faux
Thorsten Sellin analyse les conflits susceptibles d’exister entre les normes culturelles américaines et les normes culturelles des immigrants. Ces conflits ont un rôle spécifique dans la causalité criminelle qui ne dépends pas d’éléments tels que la délinquance des parents ou des paires, ou de la désorganisation de l’environnement.

A

Vrai.
Dans une situation où la culture que l’individu a n’est pas la culture dominante dans l’environnement où il se situe, Sellin inclus la culture dans les éléments qui poussent passage à l’acte. C’est principalement à cause du choc de culture et que l’individu ne voit pas les choses comme les individus de l’environnement dans lequel il vit.
N.B. Selon Sellin, ce n’est que passager, la situation se placera avec le temps.

69
Q

Donner le bilan (les trois caractéristiques principales) du modèle culturaliste en criminologie.

A
  • Une critique aux statistiques criminelles : l’immigrant fait l’objet d’un traitement différentiel. (Les données de la police ne sont utiles que lorsqu’on sait les lire.)
  • Accent fort sur le processus de socialisation. (Ne donne pas d’espace à l’individu pour choisir.)
  • Surestimation des différence entre les codes culturels (ne parle pas des ressemblances).
70
Q

Expliquer la 1re phase de Sutherland dans la théorie de l’apprentissage ou de l’association différentielle et son idée de base.

A

But: Expliquer les différents taux de criminalité.
Pour ce faire, Sutherland soutient qu’il existe deux genres d’association, soit les association pour le crime et contre la loi et les association contre le crime et pour la loi. La majorité des gangs se situent de façon ambivalente et le taux de criminalité serait le résultat d’une organisation différentiel du groupe (ici, on ne parle pas de désorganisation).

71
Q

Expliquer la 2e phase de Sutherland dans la théorie de l’apprentissage ou de l’association différentielle et son idée de base.

A

But: Trouver une théorie qui expliquera TOUS les types de passage à l’acte/d’acte criminel.
Pour ce faire, Sutherland élaborera la théorie des associations différentielles (qui explique le passage à l’acte de façon générale, historique et génétique, montre comment ils en sont venu à faire un acte criminel).

72
Q

Expliquer l’idée d’association différentielle selon Sutherland.

A

C’est une théorie de niveau cognitive.
On ne vient pas au monde déviant, on apprend à l’être.
Il existe dans notre société des définitions différentielles qui définissent certains comportements comme criminel ou non et cela nous est transmis de diverses façons.
L’association différentielle est la façon dont nous, en tant qu’individu, nous associons à ces diverses définitions.
N.B. Cette idée n’est pas déterministe, car même si nous avons une certaine façon de penser, cela ne veut pas dire que nous allons passer à l’acte.

73
Q

Donner 5 des 9 énoncés de la théorie de Sutherland concernant l’apprentissage et l’association différentielle.

A
  • Le comportement du criminel est APPRIS.
  • Ce comportement est appris au contact de la société (personnes, médias), par un processus de COMMUNICATION.
  • Il s’apprend surtout à partir d’INTERACTION dans un groupe restreint de relation interpersonnelle (face à face).
  • Une fois la formation criminel terminée, il faut apprendre un technique ET accepter des mobiles.
  • L’interprétation des mobiles se fait de façon favorable ou défavorable à la loi.
  • Un individu devient criminel lorsque ses interprétations sont principalement défavorable à la loi. (ASSOCIATION DIFFÉRENTIELLE)
  • L’association différentielle qu’on se fait d’un acte peu variée en fréquence, durée, antériorité et intensité.
  • La formation criminel par association, qu’elle soit favorable ou défavorable à la loi, se fait de la même façon que tout autre mécanisme de formation.
  • Le comportement criminel a des besoins et des valeurs, mais ce ne sont pas celles-ci qui définissent le comportement criminel, car le comportement non criminel à les mêmes besoins et les mêmes valeurs.
74
Q

Vrai ou faux
Selon la théorie de l’association différentielle de Sutherland, un individu devient CRIMINEL lorsque les interprétations défavorables au respect de la loi l’emportent sur les interprétations favorables.

A

Vrai.
Énoncé 6 de la théorie de Sutherland, c’est le principe même de l’association différentielle. Cette affirmation serait vraie dans tous les types de crime.
N.B. Ce n’est pas parce qu’un individu a une interprétation défavorable au respect de la loi qu’il deviendra absolument criminel.

75
Q

Donner, de façon générale, ce qui ressort de la théorie de Sutherland ainsi que les critiques qui ont été portées à son égard.

A
  • C’est une théorie GÉNÉRALE du comportement criminel.
  • Tous le monde peut être criminel (car c’est un processus social).
    Critiques
  • Ne parle pas des intérêts sociaux des gens qui définissent ce qui est criminel de ce qui ne l’est pas.
  • Ne parle pas du rôle du système pénale dans la construction de la criminalité.
76
Q

Lecture
Identifiez et expliquez deux caractéristiques de la catégorie « voleur professionnel » permettant à Sutherland de la comparer à n’importe quelle autre profession.

A

Ils ont un statu qui définit l’homme par son rang social.
- Statut donné par l’entourage
- Méprise des amateurs
- “Code de déontologie”
- Fierté et standing de la profession
Esprit d’équipe
- Uniformité des modes de pensées
- Loyaux et solidaire même dans l’arrestation
- Association de groupe (encourage le voleur à rester dans le groupe).

77
Q

Lecture
Le problème pour la criminologie est d’expliquer le caractère criminel du comportement et non le comportement en tant que tel. Expliquez.

A

Le comportement criminel doit être décrit avec précision pour être distingué du comportement non criminel.
- Trouver ce qui est spécifique au criminel.
- Différencier le comportement criminel
- Trouver le comportement nécessaire qui explique la criminalité.
- Il doit se retrouver chez tous les criminels et aucunement chez les non criminels.
Il faut différencier les divers niveaux d’analyse du comportement criminel.
- Cette analyse doit être faite a un niveau déterminé d’avance.
- Création de confusion dans les diverses analyses, car impossible de s’y tenir.