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TRS 109 - dynamiques interculturelles > Examen 1 > Flashcards

Examen 1 Flashcards

1
Q

Définition de la culture

A

Ensemble des connaissances acquises par les sociétés

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Q

CULTUREL OU NATUREL?

Un besoin ou comportement ne nécessite AUCUN apprentissage.

A

Naturel

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3
Q

CULTUREL OU NATUREL?

Le comportement, la norme doit être appris.

A

Culturel
Ex : nous mangeons tous par la bouche, mais la façon dont on mange varie d’une culture à l’autre.

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4
Q

Les composantes de la culture se rapporte à …

A

Toutes les sphères de l’activité humaine
Ex : langage, idéologies, règles vestimentaires

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5
Q

Vrai ou faux : Chez l’être humain un comportement n’est ni totalement inné, ni totalement acquis.

A

Vrai

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6
Q

Quelle est la différence entre le langage et la langue?

A

Langage : fait référence à la capacité humaine générale à utiliser des systèmes de signes pour communiquer. Il englobe toutes les formes de communication, qu’elles soient verbales, non verbales ou symboliques.

Langue est un système de signes et de règles spécifiques utilisé pour la communication au sein d’une communauté ou d’un groupe. Les langues sont des manifestations concrètes du langage.

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7
Q

Nommez quelques fonctions de la culture

A

Favoriser la cohésion sociale
- prévisibilité
- donner un sens
- communication entre les membres

Adaptation à son environnement en offrant des solutions a ses problèmes de survie.

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8
Q

Vrai ou faux : La culture n’est pas mouvante et toujours définie.

A

Faux. Elle est toujours mouvante et jamais définie.

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9
Q

Quel est notre marqueur identitaire au Québec?

A

Le Français

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10
Q

Qu’est-ce qui est universel dans tout le monde?

A

Le complexe d’Oedipe

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11
Q

Que considérons nous comme un très gros choc culturel?

A

Quand quelqu’un arrive et fait quelque chose que nous considérons intolérable dans notre culture.

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12
Q

Pourquoi adapter les pratiques professionnelles en situations interculturelles ?

RÉPONSE 1

A
  • Parce que l’humain est un être de culture.
  • Parce que « Découvrir les autres, c’est s’ouvrir à une relation et ne pas se heurter à une barrière »
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13
Q

Pourquoi adapter les pratiques professionnelles en situations interculturelles ?

RÉPONSE 2

A

Parce qu’il y a au moins 9 possibilités de se comprendre.

Dans le contexte interculturel le processus est compromis par les filtres provenant des cultures en présence.

Impensable VS archaïque

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14
Q

Pourquoi adapter les pratiques professionnelles en situations interculturelles ?

RÉPONSE 3

A

Mieux comprendre les gens avec qui vous intervenez = intervention plus efficace.

Les personnes avec qui l’on travaille ne sont pas des cultures : elles sont porteuse de culture.

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15
Q

Pourquoi on fait de l’interculturelle ?

A

Pour mieux faire notre travaille et nous outillé à mieux faire notre travaille.

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16
Q

Stéréotype ou Préjugé?

Généralisations simplifiées appliquées à un groupe entier de personnes qui fait fi des différences individuelles et est dépourvu d’adaptation à la situation présente.

A

Stéréotype

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17
Q

Stéréotype ou préjugé?

Opinion adopté sans examen et formé à l’avance selon certains critères personnels. C’est un jugement porté sur une personne, une opinion préconçue qu’on s’en fait, parfois sans même la connaître.

A

Préjugé

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18
Q

La recherche de Cohen-Émerique s’intéresse aux

A

Difficultés des intervenants, leurs réactions et l’impact de leurs difficultés et de leurs réactions sur la prise en charge

19
Q

Vrai ou faux : la recherche de Cohen-Émerique change de paradigme pour poser le regard sur les migrants plutôt que sur les professionnels.

A

Faux : pour poser le regard sur les intervenants plutôt que sur les migrants.

20
Q

Qu’est-ce que Cohen-Émerique identifie comme un frein à l’intervention?

A

L’incident critique

21
Q

Concernant la recherche de Cohen-Émerique, le fait de poser le regard sur les migrants plutôt que sur les intervenant (avant le changement) faisait en sorte de…

A

Plaquait l’usager sur un prototype culturel (processus d’ethnicisation) qui effaçait la dimension individuelle (ne tient pas compte des raisons de la migration, du moment de la migration, etc.

22
Q

diapos incident critique y revenir

A

à voir pas bien compris

23
Q

“Dès sa naissance, un humain est immergé dans la cohérence des modèles de sa société. Les sociétés vont mettre en pratique des moyens concrets pour viser soit l’autonomie soit l’interdépendance. L’un d’entre eux consiste à faire dormir, ou non, un enfant seul dans sa chambre.”

A

À la socialisation

24
Q

  • Accent mis sur le développement de l’autonomie.
  • Dès la naissance, diverses formes de stimulation.
  • L’enfant doit faire ses choix, user de sa créativité et de son propre jugement critique, on est à l’écoute de ses besoins personnels.
  • La discussion est valorisée plutôt que l’autorité.
A

Autonomie

25
Q

Est-ce un modèle qui favorise l’autonomie ou l’interdépendance?
——————————————-* L’enfant apprend dès le berceau qu’il est membre d’un groupe, qu’il doit se soumettre à l’autorité de ses aînés.
* Il est le fils de.., le frère de..,
* Les enfants plus vieux prennent en charge les plus jeunes.
* La séparation entre les adultes et les enfants est plus marqué

A

Interdépendance

26
Q

Nomme quelques zones d’incompréhension culturelle

A
  • perceptions différentielles de l’espace et du temps
  • notions de famille, d’organisation familiale et les modèles d’éducation
  • rapports entre hommes et femmes
  • rôle des rites et croyances religieuses
  • conceptions des services et du rôle professionnel des intervenants.
  • modèles de communication, code de socialisation, de bienséance
  • conceptions de la santé physique et mentale, de la maladie, de la vie et de la mort.
27
Q

Nomme les avantages de l’intervention interculturelles

A
  • Favorise des interventions mieux adaptées dans le respect de la diversité, des représentations,
    des valeurs et des comportements.
  • Diminue la portée des stéréotypes et des préjugés chez les intervenants.
  • Diminue les malentendus, les conflits et l’exclusion sociale des personnes immigrantes et réfugiées. Capacité d’intervenir dans une situation plus complexe.
  • Permets de mieux gérer les chocs culturels et les zones d’incompréhension.
  • Aide à trouver un équilibre chez les familles entre émancipation-changement et maintien des traditions familiales.
  • Favorise une dynamique sociale plus positive et contribue à une meilleure intégration sociale.
28
Q

Nomme les limites de l’intervention interculturelle

A

Pas un remède miracle et ne peut pallier:
- aux grands dysfonctionnements sociaux
- à l’inadéquation des institutions devant les besoins de certains types de population

autres :
- manque de temps et de ressources
- décontraction : prendre une distance de soi-même ne se fait pas facilement dans le feu de l’action.
- Présence de rapport de pouvoir
- Danger d’une approche culturaliste ou ethnicisante
- Manque de formation

29
Q

Comment “diminuer” les limites de l’intervention interculturelles?

A
  • Être capable de se percevoir comme un être culturel
  • Comprendre les composantes et les fonctions de la culture
  • Comprendre les implications d’un parcours migratoire
  • comprendre la réalité de zones de non-rencontre entre deux cultures
  • effort de curiosité sans nécessairement accepter les prémisses et les aboutissements de la rationalité de l’autre.
30
Q

Quelques principes de base

A
31
Q

Qu’est-ce que le racisme? Définition?

A

Le racisme est une forme de discrimination consistant à hiérarchiser des groupes naturels humains, désignés souvent sous le terme de races, à partir d’attributs naturels, physiques et/ou psychiques s’appliquant à l’ensemble de ce groupe.
Mécanismes d’exclusion visant à exploiter la différence

32
Q

Qu’est-ce que le racisme systémique?

A

le racisme systémique est le racisme qui reste après qu’on s’est débarrassé des racistes. Une fois qu’on est débarrassé des racistes dans le système judiciaire, celui-ci continuera de faire preuve de racisme parce qu’il suit certains processus, règles, procédures, lignes directrices, précédents et lois qui sont par nature discriminatoires et raciste.

33
Q

Islamophobie qu’est-ce que c’est?

A

Il s’agit d’un ensemble de préjugés, stéréotypes et actes d’hostilité à l’endroit des personnes musulmanes ou des adeptes de l’Islam en général.
En plus de motiver des actes d’intolérance et de profilage racial, l’islamophobie mène à considérer aux niveaux institutionnel, systémique et sociétal que les musulmans constituent une menace accrue pour la sécurité.

34
Q

Qu’est-ce qui explique que les femmes autochtones renoncent à porter plainte?

A

Les préjugés racistes de la police

35
Q

Complète le mot : nous sommes tous des migrants sauf les personnes ____

A

Autochtones

36
Q

À partir de quel siècle nous pouvons remarquer une diversité plus grande en ce qui concerne l’immigration?

A

Milieu du XXe et plus grande autour des années 1980

37
Q

À partir des années 1980, nous passons d’une immigration européenne à une immigration _____

A

Provenant de l’hémisphère sud (Antilles, Afrique…)

38
Q

Qu’est-ce qui fait en sorte que nous parlons d’avantage de l’immigration qu’avant?

A

Les origines de plus en plus diversifiés (culturel et religion) ce qui fait que l’on en parle de plus en plus

39
Q

V ou F : Il y a beaucoup plus de personne qui arrivent au pays qu’avant?

A

Faux, ce qui change beaucoup c’est le portrait des populations migrantes.

40
Q

Avant 1960, les critères de sélection des nouveaux arrivant étaient basés sur ___

A

L’origine ethnique
Ex : chinois qui travaillent sur le chemin de fer, mais sans leur femme donc vont faire leur $$ et retourner en Chine… empêche qu’ils s’installent.

41
Q

Qu’est-ce qui arrivera réellement s’il n’y a plus d’immigration?

A

Nous allons aller tout droit dans un mur… il n’y aura plus assez de bébé.

42
Q

Nomme quelques mandats de la politique d’immigration canadienne actuelle.

A
  • Réaliser objectifs démographiques du pays ;
  • Participer au développement culturel et social du pays ;
  • Favoriser développement économique du pays ;
  • Encourager et faciliter l’adaptation des résidents permanents;
  • Remplir les obligations canadiennes envers les réfugiés.
43
Q

En 1978, quelle entente donne le droit au Québec de choisir ses immigrants à l’aide d’une grille de sélection qui fait de la connaissance de la langue française une priorité?

A

L’entente Couture-Cullen.
Autour des années 1980 le Québec a obtenu le droit de choisis les immigrants à l’aide de sa propre grille de sélection.

44
Q
A

TRS 109 - dynamiques interculturelles (3 decks)

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