Examen 1 Flashcards

1
Q

Définir la pratique infirmière.

A

Champ d’exercice de la profession infirmière qui inclut traiter, mais aussi administrer des soins afin de répondre aux besoins de base à la vie

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2
Q

Définir le mot pratique à l’aide des concepts d’action et de compétence.

A

La pratique est l’application, l’exécution et la mise en action des principes d’une science, d’une technique, d’un art. Cela est possible grâce à la compétence, acquise par l’expérience. C’est donc utiliser son savoir agir pour agir efficacement.
Le savoir agir est constitué du savoir (connaissances scientifiques, théoriques, éthiques et techniques), du savoir faire (habiletés psychomotrices, relationnelles et cognitives) et du savoir être (attitudes, valeurs, connaissance et expression de soi).

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3
Q

Quels sont les critères d’une profession?

A
  1. Reconnaissance légale (normes et lois à respecter)
  2. Haut niveau de formation
  3. Idéal de services
  4. Ordre professionnel
  5. Autonomie professionnel
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4
Q

Quelles sont les responsabilités des infirmières et leurs objectifs?

A
  • Évaluer l’état de santé, déterminer et assurer la réalisation du plan de soins et de traitements infirmiers, prodiguer les soins et les traitements infirmiers et médicaux
  • Maintenir et rétablir la santé de l’être humain en interaction avec son environnement et prévenir la maladie et fournir les soins palliatifs
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5
Q

Combien y a-t-il de tâches que l’infirmière peut remplir selon la Loi sur les infirmières et infirmiers?

A

17

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6
Q

Pourquoi la tenue professionnelle est importante dans la profession infirmière?

A
  1. Joue un rôle dans la prévention et le contrôle des infections
  2. Incarne l’image de la profession
  3. Influence la perception du client quant à la compétence et au professionnalisme de l’infirmière
  4. Favorise l’établissement et le maintien de la relation thérapeutique
  5. Contribue aussi à assurer votre protection
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7
Q

Quelles sont les responsabilités de l’étudiante immatriculée?

A
  1. Respecter les obligations déontologiques applicables aux membres de l’OIIQ
  2. Avoir une conduite conforme à l’éthique en milieu clinique
  3. Agir de manière à sauvegarder la dignité de la profession
  4. Exercer toutes les activités prévues à l’article 36 de la Loi
    sur les infirmières et infirmiers (uniquement dans le cadre de son programme d’étude et sous la supervision d’une infirmière qui encadre le stage et est présente dans l’unité de soins concernée)
  5. Être admis au programme d’externat après 60 crédits
  6. Obtenir gratuitement une assurance responsabilité professionnelle offerte par l’OIIQ
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8
Q

Décrire les éléments du cadre légal de l’admission à l’exercice de la profession et la pratique infirmière.

A
  1. Lois –> Code des Professions, Loi sur les infirmières et infirmiers
  2. Règlements
  3. Organisation professionnelle –> OIIQ (assurer la protection du public, veiller à l’application des lois, règlements et code de déontologie)
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9
Q

Vrai ou Faux. Le code de déontologie décrit la manière de se comporter en tant que professionnelle infirmière.

A

Vrai. Valeurs et règles morales

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10
Q

Quelles sont les conditions pouvant mener à la révocation de l’immatriculation?

A
  1. Absence d’inscription au programme depuis plus
    d’un an ou échec du programme.
  2. Exercice d’activités non permises.
  3. Conduite contraire à l’éthique ou au code de déontologie.
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11
Q

Sarah espérait effectuer auprès de monsieur Boissonneault son premier prélèvement sanguin lors de son stage. Mais ce dernier lui explique qu’il a très peur des aiguilles, et Sarah se sent stressée. Elle ne sait pas trop comment procéder.
Quel est le type de savoir?

A

Savoir faire

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12
Q

Après discussion avec sa superviseure, elles décident ensemble qu’il est préférable que ce soit celle-ci qui effectue le prélèvement, car elle a beaucoup d’expérience.
Quel est le type de savoir?

A

Savoir agir
expérience = savoir + savoir faire + savoir être

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13
Q

Sa superviseure sélectionne un tube bleu, puisque le test demandé par le médecin correspond à un Temps de Quick (INR). Elle explique a Sarah que ce test permet d’évaluer l’efficacité d’un médicament anticoagulant que reçoit monsieur Boissonneault.
Quel est le type de savoir?

A

Savoir

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14
Q

En se présentant auprès de monsieur, la superviseure lui tient chaleureusement le bras et elle écoute attentivement les craintes qu’il exprime, avec un regard compréhensif.
Quel est le type de savoir?

A

Savoir être (empathique, bienvaillante)

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15
Q

Pendant qu’elle prépare son matériel, la superviseure discute avec monsieur de la partie de hockey de la veille, puisque celui-ci est un fan de ce sport. Comme son équipe favorite a gagné, il en parle avec enthousiasme. Quand la superviseure le pique, il s’en aperçoit à peine.
Quel est le type de savoir?

A

Savoir agir
prépare du matériel = savoir
change les idées = savoir être
fait la technique = savoir faire

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16
Q

Vrai ou Faux. Le plus de savon ou de gel antiseptique qu’on met, meilleure est la désinfection.

A

Faux, trop en utiliser = assèche mains

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17
Q

Vrai ou Faux. La température idéale pour se laver les mains est le plus chaud possible.

A

Faux, trop chaud ou trop froid = assèche les mains

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18
Q

Quelle région est la plus sale avant et pendant le lavage des mains?

A

Les doigts

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19
Q

Quelle est la région la plus sale après le lavage des mains (lorsqu’on se les essuie)?

A

Les poignets (ou juste en haut d’où qu’on a laver)

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20
Q

Nommer 3 occasions qu’il faut absolument se laver les mains avec de l’eau et du savon.

A
  1. En sortant d’une chambre avec une précaution contact renforcée
  2. Lorsque les mains sont visiblement souillées
  3. Après être aller aux toilettes
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21
Q

Nommer 3 occasions où le lavage des mains à l’antiseptique est suffisant.

A
  1. Avant et après le contact avec la personne soignée (si pas de précaution contact renforcé)
  2. Avant et après les gants
  3. Avant de manipuler des médicaments
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22
Q

Définir la démarche de soins.

A

C’est une méthode ou un outil qui facilite le raisonnement clinique de l’infirmière et soutient son jugement dans sa pratique et qui permet de guider l’infirmière dans sa pratique par un processus structuré d’évaluation, de planification et d’intervention.

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23
Q

Quel est le but des principes de précautions de base?

A

Prévenir ou limiter une infection
Mesures appliquées lors des soins donnés aux patients (hygiène des mains et port de gants non stériles)

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24
Q

Quelles sont les 5 indications d’hygiène des mains par l’OMS?

A
  1. Avant de toucher un patient
  2. Avant un geste aseptique
  3. Après un risque d’exposition à un liquide biologique
  4. Après avoir touché un patient
  5. Après un contact avec l’environnement du patient
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25
Nommer 3 autres moments importants pour l'hygiène des mains.
1. Avant et après la préparation d'aliments 2. Après s'être mouché, avoir éternué ou toussé 3. Avant de manipuler des médicaments
26
Vrai ou Faux. Il n'est pas nécessaire de procéder à l'hygiène des mains lors du port de gants non stériles.
Faux, avant et après le port de gants non stériles
27
Vrai ou Faux. La démarche de soins est dynamique, continue et représente une boucle sans fin.
Vrai
28
Quels sont les buts de l'évaluation clinique dans la démarche de soins?
1. Cerner la situation de santé, déterminer les besoins et les problème de santé 2. Être en mesure d'établir des priorités et d'intervenir efficacement
29
Décrire les 3 types d'évaluation clinique.
1. Évaluation initiale complète : établir un profil de base pour connaître le patient et ses valeurs de référence 2. Évaluation initiale centrée sur un problème/symptôme : spécifique, pour une consultation sur un problème en particulier 3. Évaluation en cours d'évolution : évaluation des résultats et surveillance clinique
30
Décrire la collecte de données et dire dans quelle catégorie de la démarche de soins cette étape se situe.
Se situe dans la catégorie Évaluation - Permet de cibler les éléments qui relèvent des soins infirmiers dans une vision globale - Méthodes : entrevue (PQRSTU et AMPLE) = données subjectives, examen physique et mesures biophysiques et examens paracliniques = données objectives - Source : patient, famille et proche, collègues et autres professionnels de la santé, dossier clinique, documentation scientifique
31
Décrire l'analyse et interprétation et dire dans quelle catégorie de la démarche de soins cette étape se situe.
Dans l'évaluation - Permet de donner un sens aux données récoltées - Analyse : raisonnement clinique grâce à des connaissances et habiletés, recherche de tendances, comparaison avec les normes de santé, détecter une alerte clinique, prioriser, associer les données subjectives et objectives, repérer les données manquantes et formuler plusieurs hypothèses cliniques à confirmer ou infirmer - Interprétation : jugement clinique, formuler les constats associés à la promotion de la santé, la prévention de la maladie, un problème ou besoin
32
Décrire l'évaluation des résultats et dire dans quelle catégorie de la démarche de soins cette étape se situe.
Dans l'évaluation - Déterminer si l'état du client s'est améliorer ou détériorer après les interventions - Évaluer les soins dispensés lors des interventions - Déterminer si les objectifs déterminés lors de la planification ont été atteints - Inclus la collecte de données, leur analyse et interprétation et la comparaison avec les données initiales - Évaluer les réactions physiologiques, psychologiques, les comportements du patient et la perception du patient
33
Décrire la planification et dire dans quelle catégorie de la démarche de soins cette étape se situe.
Dans l'intervention clinique - Permet de déterminer les objectifs et résultats escomptés en sélectionnant les interventions appropriées pour les atteindre - Utilisation de PTSI regroupant les interventions infirmières courantes et les prescriptions médicales réalisées par l'infirmière afin de structurer les soins généraux - Utilisation de PTI pour assurer le suivi de problèmes prioritaires - La consignation de la planification nécessite précision, clarté et pertinence
34
Décrire les interventions infirmières et dire dans quelle catégorie de la démarche de soins cette étape se situe.
Dans l'intervention clinique - Types : relative à la promotion de la santé, au processus thérapeutique, à la réadaptation fonctionnelle et à la qualité de la vie - Nécessite une autonomie, une ordonnance individuelle ou collective et la collaboration interdisciplinaire
35
À quoi sert la prise de signes vitaux?
À informer sur l'homéostasie de l'organisme (homéostasie : processus physiologiques par lesquels les systèmes internes du corps sont maintenus en équilibre malgré des variations dans les conditions externes) Peuvent révéler des anomalies ou déséquilibres (pas spécifiques à un problème ou une maladie en particulier)
36
Vrai ou Faux. Les signes vitaux ne varient normalement pas chez une même personne.
Faux. peuvent varier en fonction de conditions externes (facteurs physiologiques, développementaux, comportementaux et environnementaux)
37
Qu'est-ce qui permettra de déterminer la fréquence de la prise des signes vitaux chez un patient?
Le premier contact = permet d'évaluer la stabilité de l'état du patient
38
Nomme 4 moments qui peuvent influencer la fréquence de la prise des signes vitaux.
1. En cas d'un changement dans l'état physique 2. Avant et après un examen invasif ou une intervention chirurgicale 3. Avant et après l'administration de certains médicaments 4. Avant et après certaines interventions infirmières (transfusion sanguine)
39
Vrai ou Faux. Chez un adulte, la valeur moyenne normale de température buccale est de 38°C.
Faux. 37°C
40
Quel est l'écart de température corporelle acceptable chez un adulte ?
36°C-38°C (varie selon le site de prise de la température)
41
Quel est le site le plus fiable pour la prise de température?
Le rectum
42
Décrire le pouls normal d'un adulte.
Fréquence : 55 à 95 bpm Rythme : régulier Amplitude : normal, bondissant
43
Vrai ou Faux. Une fréquence respiratoire plus petite de 10R/min est nommée tachypnée et une fréquence respiratoire supérieure à 20-24 R/min est nommée bradypnée
Faux, contraire
44
Vrai ou Faux. Habituellement, avec une tachypnée, l'amplitude de la respiration est superficielle.
Vrai
45
Quelle caractéristique de la respiration caractérise l'apnée?
Rythme irrégulier (et amplitude diminuée)
46
Définir la pression artérielle systolique et sa valeur normale chez un adulte.
Pression sur les vaisseaux lors du systole du coeur (pression la plus forte exercée sur les vaisseaux) Valeur normale : <120 mm Hg
47
Définir la pression artérielle diastolique et sa valeur normale chez un adulte.
Pression sur les vaisseaux entre 2 contractions du coeur (pression la plus faible) Valeur normale < 80 mm Hg
48
Nomme 5 erreurs courante de mesure de la pression artérielle et leurs conséquences.
1. Brassard trop large : résultat de TA faussement bas 2. Gonflement trop lent du brassard : résultat diastolique faussement élevé 3. Dégonflement trop rapide du brassard (> 2 mm Hg/sec) : résultat systolique faussement bas et résultat diastolique faussement haut 4. Bras placé plus bas que le coeur ou non soutenu : résultat faussement élevé 5. Répétition trop rapide de l'évaluation (< 5 min) : Résultat systolique faussement élevé
49
Vrai ou Faux. Chez les patients souffrant de MPOC, il est acceptable d'avoir une SpO2 inférieure à la normale (< 95%, et parfois <90%) en raison du risque d'hypercapnie ou de narcose lié à l'alcalose respiratoire possible
Vrai, car elles sont habituées de vivre avec cette saturation
50
Vrai ou Faux. Une fièvre peut être causée par une augmentation de la température dans l'environnement extérieur au corps.
Faux, cela est de l'hyperthermie, la fièvre est une augmentation de la température par rapport à la normale causée par une infection
51
Décrire les facteurs qui influencent la température
1. Site de la prise 2. Âge (en vieillissant, température chute) 3. Activité physique (augmente la T°) 4. Stress (émotions augmentent la T°) 5. Environnement (T° extérieure) 6. Variations hormonales (ménopause, SPM, hormones thyroïdiennes augmentent T°) 7. Rythme circadien (T° augmente en journée et baisse dans la nuit) 8. Fièvre/pyrexie (augmente T°) * quelqu'un de fièvreux = fébrile
52
Décrire les facteurs qui influence la tension artérielle.
1. Exercice physique (augmente TA, sauf chez les athlètes au repos) 2. Âge (augmente avec l'âge) 3. Sexe (à partir de la puberté = H > F, jusqu'à la ménopause = F > H) 4. Tabagisme (nicotine = vasoconstriction = augmente TA durant 15 min) 5. Origine ethnique 6. Émotions (stress, douleur, peur = augmente TA) 7. Variations circadiennes (au plus bas durant le sommeil, au plus haut en matinée et aprem) 8. Médicaments (antihypertenseurs ou diurétiques ou opioïdes = diminuent TA VS vasoconstricteurs = augmentent TA)
53
Décrire l'hypotension orthostatique.
Baisse de tension lors du passage de la position couchée ou assise à debout TAS diminue d'au moins 20 mm Hg et TAD diminue d'au moins 10 mm Hg dans les 3 minutes suivant le lever S'accompagne de pâleur, peau moite, augmentation de la FC, faiblesse Causes possibles : alitement prolongé, déshydratation, anémie, certains médicaments, pertes sanguines Intervention : se lever par étape, activer la circulation sanguin avant de se lever
54
Décrire les facteurs qui influencent la FC.
1. Température (fièvre/chaleur augmente la fréquence VS hypothermie diminue la fréquence) 2. Exercice physique (augmente la fréquence, sauf athlète au repos = fréquence basse) 3. Troubles respiratoires (mauvaise oxygénation augmente la fréquence VS dépression respiratoire diminue la fréquence) 4. Hémorragie (augmente la fréquence) 5. Médicaments (chronotropes positifs, comme l'épinéphrine, augmente la fréquence VS chronotropes négatifs, comme la digitale, diminue la fréquence) 6. Position (assis/debout augmente la fréquence VS coucher diminue la fréquence) 7. Sensations et émotions (douleur aigue/anxiété augmente la fréquence VS douleur chronique intense non soulagée diminue la fréquence)
55
Décrire les facteurs qui influencent la saturation en oxygène.
1. Sources de lumière extérieure 2. Monoxyde de carbone (augmente faussement la SpO2) 3. Mouvements 4. Ictère 5. Colorants intravasculaires (diminue artificiellement la saturation) 6. Vernis à ongles foncé ou faux ongles 7. Pigmentation foncée de la peau (augmente faussement la SpO2) 8. Athérosclérose (réduit la force du pouls) 9. Hypothermie (diminue l'apport sanguin) 10. Médicaments vasoconstricteurs (diminuent la force du pouls périphérique) 11. Faible débit cardiaque et TA (diminuent flux sanguin en périphérie) 12. Oedème périphérique (masque pouls) 13. Capteur trop serré (confusion pulsations artérielles et veineuses)
56
Décrire les facteurs influençant la FR.
1. Activité physique (augmente fréquence et amplitude) 2. Blessure au tronc cérébral (diminue fréquence et rythme) 3. Douleur aigue (amplitude superficielle) 4. Anxiété (augmente fréquence et amplitude) 5. Tabagisme (augmente la fréquence) 6. Médicaments (bronchodilatateurs diminuent fréquence, opioïdes et sédatifs diminuent la fréquence et l'amplitude, amphétamines et cocaïne augmentent la fréquence et amplitude) 7. Position (modifie et gêne l'expansion du thorax) 8. Fonctions hématologiques (Hb réduite = augmentation fréquence et amplitude)
57
Quelles sont les contre-indications à la prise de température par la bouche?
Si la personne à manger, mâcher de la gomme ou fumer dans les 30 minutes avant la prise Si la personne ne peut garder la bouche fermée En cas de chirurgie à la bouche ou glandes salivaires En cas de détresse respiratoire En cas d'oxygénothérapie sous masque En cas d'état de conscience altéré Avec une personne non coopérative ou combative Avec les enfants < 5 ans
58
Quelles sont les indications d'une prise de température par le rectum?
En cas de chirurgie de la bouche ou glandes salivaires En cas de détresse respiratoire En cas d'oxygénothérapie sous masque Avec une personne inconsciente Avec les enfants de moins de 2 ans
59
Dans quels cas il est utile de prendre la température par les aisselles?
Si les autres voies sont inaccessibles Chez les nouveau-nés
60
Vrai ou Faux. La température tympanique est surtout utilisée en gériatrie.
Faux. en pédiatrie
61
Vrai ou Faux. Dans le cas d'une cardiopathie ou d'une arythmie, il est préférable de prendre le pouls radial.
Faux, le pouls apical
62
Vrai ou Faux. Il faut comparer les FC radiales des 2 bras afin de vérifier une modification du système vasculaire périphérique.
Vrai
63
Vrai ou Faux. Pour prendre le pouls, il faut appuyer le plus fort possible sur le pouls, sans faire mal au patient.
Faux, ne pas faire une trop grande pression pour éviter d'inhiber le pouls et altérer la circulation sanguine
64
Quelles sont les valeurs de FC qui caractérisent une bradycardie et une tachycardie?
B : < 50 bpm T : > 100 bpm
65
Vrai ou Faux. Les personnes dyspnéiques ou les femmes en fin de grossesse voit leur FR diminué après des déplacements
Faux. augmentation = attendre quelques minutes avant d'évaluer la FR
66
Vrai ou Faux. Pour mesurer la SpO2, la lumière de l'appareil doit faire face à la peau
Faux, fait face à l'ongle, le photodétecteur face à la région de la pulpe
67
Vrai ou Faux. Parler lors de la prise de la PA peut donner un résultat faussement bas.
Faux. faussement élevé
68
Vrai ou Faux. Lors du premier contact, il faut prendre la PA aux 2 bras pour vérifier laquelle est la plus basse afin de réutiliser toujours ce bras.
Faux, la plus élevée
69
Quelles sont les conditions défavorables à la prise électronique de la PA?
1. FC irrégulière 2. Hypertension connue 3. Obstruction vasculaire périphérique 4. Frissons 5. Convulsions 6. Tremblements excessifs 7. Incapacité à coopérer 8. PA systolique < 90 mm Hg
70
Comment nomme-t-on les bruits qui permettent de mesurer la PA par auscultation?
Bruits de Korotkoff
71
Quels bruits écouter lors de la prise manuelle de la PA?
Le premier bruit après la coupure du flux sanguin avec le brassard = TAS (bruit de Korotkoff 1) Le dernier bruit avant de ne plus rien entendre = TAD (bruit de Korotkoff 5)
72
À quoi sert les 2 différentes faces d'un stéthoscope?
Diaphragme = sons hautes fréquences Cupule = sons basses fréquences
73
Quelles sont les 3 conditions pour considérer une activité réservée à une certaine profession?
1. Risque de préjudice 2. Compétence et connaissances requises 3. Complexité et caractère invasif
74
Vrai ou Faux. Les infirmières peuvent administrer et ajuster tous les médicaments, avec ou sans ordonnance.
Faux, doivent faire l'objet d'une ordonnance
75
Vrai ou Faux. L'administration de médicaments s'inscrit dans la démarche de soins des infirmières.
Vrai
76
Vrai ou Faux. L'administration et la prescription de médicaments en vente libre est une activité réservée qui ne peut être accomplie par des infirmières.
Faux, pas une activité réservée, les infirmières peuvent les recommander et les administrer, mais certains nécessitent tout de même une ordonnance
77
Vrai ou Faux. Les ordonnances ne concernent que les médicaments
Faux, concernent les médicaments, les examens paracliniques et les examens autres (imagerie)
78
Vrai ou Faux. Lorsque l'infirmière clinicienne fait la formation et reçoit son numéro de prescripteur, elle peut prescrire n'importe quel médicament.
Faux, seulement certains médicaments ciblés dans des contextes particuliers
79
Décrire la terminologie des ordonnances suivante : dose, concentration/teneur, posologie, forme pharmaceutique, voie d'administration, fréquence d'administration, moment d'administration
Dose : quantité de médicament à administrer, par prise ou unité de temps, exprimée en poids ou en unité Concentration : quantité du médicament par unité de mesure Posologie : quantité totale d'un médicament à administrer en une ou plusieurs fois Forme pharmaceutique : forme d'un médicament Voie d'administration : partie du corps par laquelle le médicament est introduit Fréquence d'administration : nombre d'administration d'un médicament dans une période donnée Moment d'administration : espace de temps précis où le médicament doit être administré
80
Quelles sont les principales conditions pour considérer une ordonnance valide?
1. Nom intégral du médicament 2. Posologie, forme pharmaceutique, teneur, dose 3. Voie d'administration 4. Fréquence d'administration 5. Intention thérapeutique (pour PRN) 6. Durée du traitement
81
Décrire les différents types d'ordonnance individuelle.
1. Régulière : administration d'un médicament à une fréquence donnée dans la journée 2. PRN : administration d'un médicament à l'occasion, lorsque la personne en a besoin et selon les directives du médecin 3. Unique : administration d'un médicament prescrit une seule fois, à une heure précise 4. STAT : administration d'un médicament en urgence, prise unique et immédiate
82
À quoi servent les ordonnances collectives?
Permettent à l'infirmière d'administrer dans certaines circonstances et auprès d'une clientèle précise un médicament sans attendre une ordonnance individuelle
83
Quelles sont les connaissances que doit avoir l'infirmière des médicaments qu'elle administre?
Classe du médicament Mécanisme d'action et pic d'action Effets thérapeutiques Principaux effets indésirables Conditions d'administration Posologie usuelle selon le type de clientèle Contre-indications Interactions médicamenteuses et alimentaires Éléments de surveillance clinique
84
Quelles sont les responsabilités de l'infirmière avant l'administration d'un médicament?
1. S'assurer de posséder toutes les connaissances nécessaires 2. Évaluer la situation clinique (allergie, intolérance, antécédents, état de santé actuel) 3. Déterminer si elle administre le médicament 4. Informer le patient sur l'effet thérapeutique et les effets indésirables
85
Quelles sont les responsabilités de l'infirmière pendant l'administration de médicaments?
1. Complète la préparation du médicament 2. Administre le médicament de manière sécuritaire et selon l'ordonnance (7 bons) 3. Complète la FADM
86
Quelles sont les responsabilités de l'infirmière après l'administration de médicaments?
1. Exercer une surveillance clinique (Réactions du clients, anticipe, prévient et décèle les effets indésirables et prend les moyens nécessaires pour corriger la situation) 2. Assure la continuité des soins (consigne au dossier l'info pertinente, assure un suivi auprès du médecin et pharmacien, supervise l'équipe de soins)
87
Décrire les 7 bons.
1. Bon médicament (vérifier selon l'ordonnance et la FADM, s'assurer de le connaître) 2. Bonne dose (vérifier selon l'ordonnance et la FADM) 3. Bon client (vérifier selon la FADM et l'étiquette des médicaments) 4. Bonne voie d'administration (vérifier selon l'ordonnance et la FADM) 5. Bon moment (vérifier selon l'ordonnance et la FADM) 6. Bonne documentation (connaitre le médicament, compléter la FADM rapidement) 7. Bonne surveillance clinique (effets thérapeutiques et indésirables)
88
Combien de fois et à quels moments que doivent être vérifier les 5 premiers bons?
3x, une fois lorsqu'on rassemble les médicaments, une fois après que tous les médicaments sont rassemblés et préparés, une fois juste avant de les donner au client (après avoir fait la double vérification)
89
Vrai ou Faux. Un intervalle de 1h avant et après l'heure prévue d'administration du médicament est acceptable.
Faux, 30 min avant ou après, si la fréquence d'administration est chaque 4h ou moins fréquent et sauf pour les médicaments à haut risque
90
Quels sont les autres principes d'une administration sécuritaire des médicaments?
1. Calculs de dose exacts et sans erreur 2. Lire attentivement les étiquettes 3. Éviter de déchiffrer une écriture illisible 4. Attention aux abréviations 5. Vérifier la place de la virgule 6. Administrer seulement un médicament que j'ai préparé moi-même 7. Administrer sans délai le médicament prêt 8. Enregistrer rapidement la médication donnée
91
Définir l'ordonnance suivante : Lasix 20mg P.O b.i.d
Nom du médicament : Lasix Dose à donner : 20 mg Voie d'administration : per os Forme pharmaceutique : co Fréquence d'administration : 2x/jour Posologie : 40mg/jour
92
Définir l'ordonnance suivante : Serax 15mg P.O, h.s p.r.n si insomnie
Nom du médicament : Serax Dose : 15mg Voie d'administration : per os Forme pharmaceutique : co Moment d'administration : au coucher Fréquence d'administration : au besoin (si insomnie)
93
Définir l'ordonnance suivante : Ventolin inh. 0.5mg/2ml, administrer 2ml b.i.d
Nom du médicament : Ventolin Dose : 2ml Voie d'administration : inhalation Forme pharmaceutique : liquide vaporisé Concentration ; 0.5mg/2ml Fréquence d'administration : 2x/jour Posologie : 4ml
94
Vrai ou Faux. Toute relation implique une communication, mais toute communication n'implique pas une relation
VRAI
95
Définir communication
Échange, partage d'un message entre des interlocuteurs par un processus continu, dynamique et complexe
96
Définir relation
Lien qui se crée entre des personnes qui communiquent de manière signifiante
97
Nommer les 2 grands types de communication
Sociale et professionnelle
98
Décrire les types de communications professionnelles.
1. Fonctionnelle : échange qui se rapporte à une fonction ou qui remplit une fonction 2. Pédagogique : enseignement au patient 3. Évaluative : axée sur le jugement clinique 4. Intra et interprofessionnelle : avec les autres professionnels de la santé 5. Aidante ou de soutient : relation aidante, relation d'aide, relation psychothérapeutique
99
Décrire la communication fonctionnelle.
Englobe tous les échanges ayant lieu au cours des soins et des traitements Concrète, centrée sur le présent, proximité Relation de service Vise la satisfaction des besoins du client (fonder sur l'écoute, orientée vers l'action et l'efficacité pour répondre aux besoins ou résoudre des problèmes) S'inscrit dans une relation fondée sur l'éthique professionnelle (relation de confiance, respect, connaissance de soi et ses valeurs, reconnaissance de l'autre et ses valeurs, accepter sans jugement, reconnaître et gérer les conflits de valeur)
100
À quoi sert la communication fonctionnelle pour l'infirmière?
Saisir ce qui se passe dans une situation donnée Recueillir les éléments nécessaires à la planification des soins Communiquer à la personne soignée les renseignements facilitant la compréhension de sa maladie et de son traitement
101
Comment la communication fonctionnelle fait appel aux règles de civilité?
Frapper avant d'entrer dans la chambre Saluer la personne Se présenter Vouvoyer Expliquer le motif de sa présence Obtenir l'approbation du client avant de poursuivre
102
À quoi sert la présentation de l'infirmière au client?
Lui permet de savoir à qui il s'adresse et qui s'adresse à lui Permet à l'infirmière d'affirmer son identité professionnelle auprès du client et de lui expliquer son rôle Facilite la création et le maintien d'un lien de confiance essentiel à la relation professionnelle Toute personne à le droit de s'assurer que son interlocuteur correspond à ce qu'il prétend être
103
Quelles sont les valeurs et attitudes au coeur de la relation professionnelle aidante?
1. Respect de la personne : s'intéresser à elle, comprendre son caractère unique, croire à son potentiel, optimiser son autonomie, préserver sa dignité 2. Empathie : se mettre à la place de la personne soignée, comprendre les sentiments et émotions de l'autre, au-delà du ressenti et se manifester dans un savoir faire, écouter attentivement, ne pas juger, chercher à comprendre le pdv de l'autre, conscience de ses propres émotions et réactions, utiliser le reflet de sentiment
104
Décrire la communication non verbale et les signes.
Confirme, renforce ou complète le verbal 1. Langage corporel : position ouverte, en retrait, prostré 2. Regard : direct, fuyant, interrogateur, inquiet 3. Expression du visage : sourire, froncements des sourcils, expression de douleur/tristesse 4. Qualité de la voix : débit rapide/lent, ton faible/fort 5. Gestes : tapotement nerveux, serrement des mains 6. Réactions physiologiques : respirations saccadées, tremblements, sudation 7. Distance : rapprochement ou éloignement
105
Décrire l'écoute active et les différents types.
Requiert une présence attentive à soi et à l'autre et une disponibilité, implique l'observation, le questionnement et la compréhension empathique et sans jugement, écouter avant de parler, éviter de penser à ce qu'on va dire, refléter ce qui est communiqué 1. Écoute active sélective : centrée sur le problème du patient, oriente/filtre/sélectionne l'info, cherche à poser un constat/formuler une hypothèse/choisir ou non un outil d'évaluation, permet de définir, objectiver et d'amorcer une résolution de problème 2. Écoute active non sélective : centrée sur le vécu/l'expérience du patient, accueille/reconnaît sans jugement, cherche à donner de la place aux mots/à l'histoire/aux émotions, permet à l'autre de se définir, comprendre son vécu et trouver une réassurance
106
Décrire les différents reflets.
Reflet simple : permet d'exprimer l'écoute active et la compréhension, reprendre les mots qui ont été exprimés Reflet de sentiment : intervention brève, formulée en termes faciles à comprendre et qui exprime clairement l'émotion ou le sentiment vécu au moment présent Reflet complexe : efficace dans la relation aidante, aller au-delà du contenu manifeste des propos du patient afin de lui procurer une compréhension plus large de son univers, saisir les sous-entendus, écoute très attentive
107
Décrire la technique de silence dans la communication verbale
Partie intégrante de la communication interpersonnelle, utiliser les silences productifs pour laisser la personne réfléchir et discerner les silences improductifs lorsque la personne est embarrassée
108
Décrire le questionnement dans la communication verbale.
Moyen pour obtenir des renseignements ou aider la personne à évoluer dans la définition de son problème et dans le processus de recherche de solutions Questions fermées : réponse de type oui/non, informations précises Questions ouvertes : réponse plus élaborée, la personne s'interroge, réfléchis, s'ouvre sur ses sentiments, info plus complète, soutenir la personne dans sa construction de son histoire, sa compréhension
109
Identifier si les tâches suivantes doivent être faites avant la préparation, pendant la préparation ou au moment de l'administration des médicaments : vérifier que la FADM est au nom de la bonne personne, s'assurer que la personne ne souffre pas d'une allergie au médicament, s'assurer que le nom qui figure sur l'étiquette de médicament correspond à la personne soignée
Avant
110
Identifier si les tâches suivantes doivent être faites avant la préparation, pendant la préparation ou au moment de l'administration des médicaments : vérifier le nom de la personne sur la FADM, l'étiquette du médicament et le bracelet d'identité, effectuer une double identification de la personne, vérifier si la personne a des allergies et si elle porte son bracelet d'allergie
Au moment
111
Identifier si les tâches suivantes doivent être faites avant la préparation, pendant la préparation ou au moment de l'administration des médicaments : s'assurer que le nom de la personne figurant sur la FADM est le même que celui sur l'étiquette
Pendant
112
Qu'est-ce que la double identification?
Demander à la personne soignée de dire son nom, prénom et date de naissance puis confirmer avec le bracelet
113
Identifier si les tâches suivantes doivent être faites avant la préparation, pendant la préparation ou au moment de l'administration des médicaments : s'assurer que le nom du médicament sur le sachet ou l'étiquette correspond à l'info sur la FADM, vérifier la date d'expiration du médicament
pendant
114
Identifier si les tâches suivantes doivent être faites avant la préparation, pendant la préparation ou au moment de l'administration des médicaments : s'assurer que le nom du médicament sur le sachet ou sur l'étiquette correspond à l'info sur la FADM
au moment
115
Identifier si les tâches suivantes doivent être faites avant la préparation, pendant la préparation ou au moment de l'administration des médicaments : s'assurer que la FADM et l'étiquette du médicament indiquent les mêmes infos, bon médicament au commun selon la FADM, s'assurer que la forme du médicament fourni correspond à la forme sur la FADM
avant
116
Identifier si les tâches suivantes doivent être faites avant la préparation, pendant la préparation ou au moment de l'administration des médicaments : vérifier la concordance entre la dose du médicament sur la FADM et celle sur l'étiquette du médicament, vérifier si la dose prescrite demande de modifier la présentation (couper)
avant
117
Identifier si les tâches suivantes doivent être faites avant la préparation, pendant la préparation ou au moment de l'administration des médicaments : s'assurer que la dose du médicament fournie correspond à celle indiquée sur la FADM et l'étiquette, effectuer un calcul de dose si nécessaire, porter une attention particulière lorsqu'il s'agit d'un médicament à risque élevé
Pendant
118
Identifier si les tâches suivantes doivent être faites avant la préparation, pendant la préparation ou au moment de l'administration des médicaments : s'assurer que la dose du médicament sur le sachet ou l'étiquette correspond à l'info sur la FADM
Au moment
119
Qu'est-ce que la double vérification indépendante, et quand la faire?
À faire lors d'un calcul de dose d'un médicament prescrit stat, au commun ou de niveau d'alerte élevé/dangereux, ou lorsque le calcul ou la préparation est complexe. Consiste à faire vérifier par un second professionnel de la santé l'exactitude de la dose à administrer
120
Identifier si les tâches suivantes doivent être faites avant la préparation, pendant la préparation ou au moment de l'administration des médicaments : vérifier une dernière fois la concordance entre la voie d'administration de la FADM et celle de l'étiquette, installer la personne dans la bonne position selon la voie, s'assurer que la personne est apte à recevoir les médicaments quelque soit la voie
Au moment
121
Identifier si les tâches suivantes doivent être faites avant la préparation, pendant la préparation ou au moment de l'administration des médicaments : s'assurer que la voie d'administration sur la FADM correspond à la forme du médicament prescrit et qu'elle est indiqué sur l'étiquette, choisir le matériel adéquat pour préparer et administrer le médicament selon la voie prescrite
pendant
122
Identifier si les tâches suivantes doivent être faites avant la préparation, pendant la préparation ou au moment de l'administration des médicaments : s'assurer de la concordance entre la voie sur la FADM et celle sur l'étiquette, vérifier si la note d'évolution comporte des contre-indications à l'administration selon la voie prescrite, si la FADM offre un choix de voie, choisir la voie appropriée selon la condition clinique de la personne
avant
123
Identifier si les tâches suivantes doivent être faites avant la préparation, pendant la préparation ou au moment de l'administration des médicaments : vérifier une dernière fois sur la FADM et l'étiquette la concordance du moment et de la fréquence d'administration; pour PRN, si la FADM indique un intervalle de dose, vérifier la dernière dose reçue pour décider de la dose à administrer; s'assurer que la personne est dispo pour l'administration à l'heure indiquée sur la FADM
avant
124
Identifier si les tâches suivantes doivent être faites avant la préparation, pendant la préparation ou au moment de l'administration des médicaments : s'assurer d'administrer le médicament dans les délais prévus sur la FADM
au moment
125
Identifier si les tâches suivantes doivent être faites avant la préparation, pendant la préparation ou au moment de l'administration des médicaments : préparer le médicament selon l'heure prévue sur la FADM
pendant
126
Identifier si les tâches suivantes doivent être faites avant la préparation ou après l'administration des médicaments : s'assurer d'avoir la bonne FADM, connaître le médicament à administrer, respecter les principes d'administration selon la voie prescrite
avant
127
Identifier si les tâches suivantes doivent être faites avant la préparation ou après l'administration des médicaments : procéder à l'enregistrement dans la FADM avant de sortir de la chambre, vérifier les connaissance de la personne concernant sa médication, rédiger une note d'évolution pour les médicaments PRN et un refus, indiquer les effets thérapeutiques ou secondaires, rédiger un PTI au besoin
après
128
Identifier si les tâches suivantes doivent être faites avant la préparation ou après l'administration des médicaments : effectuer la surveillance de l'effet thérapeutique du médicament
après
129
Identifier si les tâches suivantes doivent être faites avant la préparation ou après l'administration des médicaments : évaluer l'état de la personne pour décider si le médicament doit être administré
avant
130
Quel est le but de l'hygiène des mains avant de toucher un patient?
Protéger le patient d'une colonisation par des germes présents sur les mains et d'une infection exogène
131
Quel est le but de l'hygiène des mains avant un geste aseptique?
Protéger le patient d'une infection par inoculation de germes, y compris ceux dont il est lui-même porteur
132
Quel est le but de l'hygiène des mains après un risque d'exposition à un liquide biologique?
Protéger le professionnel d'une infection par les germes dont le patient est porteur et pour protéger l'environnement des soins d'une dissémination de ces germes
133
Quel est le but de l'hygiène des mains après avoir touché un patient?
Protéger le professionnel d'une colonisation avec les germes dont le patient est porteur et protéger l'environnement des soins d'une dissémination de ces germes
134
Quel est le but de l'hygiène des mains après avoir touché l'environnement d'un patient?
Protéger le professionnel d'une colonisation avec les germes dont le patient est porteur, susceptibles d'être présents sur les surfaces inertes et objets de l'environnement du patient, et protéger l'environnement des soins d'une dissémination de ces germes
135
Quelles sont les recommandations à faire aux parents de Béatrice (varicelle)?
1. garder la peau propre 2. appliquer de la creme hydratante non parfumée sur les croutes seulement 3. Sirop antihistaminique ou bain tiède avec bicarbonate de soude si prurit 4. Acétaminophène en cas de fièvre 5. Se laver les mains souvent et correctement 6. Enseigner l'étiquette respiratoire (mouchoirs à porter de main, les jeter immédiatement, se couvrir la bouche et le nez lors de toux et d'éternuements, souffler doucement une narine à la dois) 7. Éviter de partager les objets personnels 8. Désinfecter les jouets 9. Retourner l'enfant à la maison si présente des lésions cutanées avec écoulement purulent + fièvre, ne peut participer aux activités ou maladie sévère
136
Qu'est-ce qu'une infection nosocomiale?
Infections en milieu hospitalier
137
Définir bactériémie
Présence de bactéries dans le sang chez un patient symptomatique. Peut survenir à la suite d'une infection urinaire, infection d'un site opératoire, infection pulmonaire, associé à un acte invasif
138
Quel est le rôle de l'infirmière dans les infection nosocomiales?
Évaluer, identifier et prévenir les risques
139
À quel endroit de la chaîne d'infection est-il possible d'agir pour briser cette chaîne?
1. Hôte réceptif : agir sur les facteurs de susceptibilité (âge, malnutrition, sexe, stress, maladies chroniques, déficits immunitaires, conditions environnementales, médications) 2. Réservoir : nettoyage -> désinfection -> stérilisation 3. Modes de transmission : pratiques de base et précautions additionnelles
140
Quels sont les risques d'infections nosocomiales reliés aux soins?
1. Asepsie médicale (technique propre) : pour réduire le nombre de microorganismes présents et prévenir leur dissémination en utilisant les pratiques de base qui sont mises en place pour tous, sans référence à un statut infectieux et les précautions additionnelles basées sur le mode de transmission, mises en place dès qu'une infection transmissible est suspectée ou confirmée 2. Asepsie chirurgicale (technique stérile) : pour éliminer tous les microorganismes
141
Décrire les pratiques de base
1. Hygiène des mains : moyen le plus simple et efficace (privilégier l'antiseptique, mais utiliser savon si les mains sont souillées/après être aller aux toilettes et pour les spores) 2. Port de gants non stériles : nécessaire au cours de tout procédé de soins pouvant occasionner un contact avec des liquides organiques, muqueuses ou peau non intacte, lors de la manipulation d'objets piquants ou tranchants (changer entre les intervention et entre les patients) 3. Blouse : si contact avec sang ou liquides biologiques anticipés 4. Masque et protection oculaire : lorsque des activités de soins risquent de générer des éclaboussures de sang ou liquides biologiques 5. Hygiène et étiquette respiratoire : si infection respiratoire suspectée = port du masque ou 2m de distance 6. Protection de l'environnement : nettoyage des lieux physiques et du matériel 7. Gestion des visiteurs : informer, enseigner sur les risques de contamination
142
Nommer 3 infections qui nécessitent des précautions additionnelles.
Grippe, gastro-entérite, zona, c.difficile, SARM, ERV, BGNMR
143
Décrire les précautions contact
1. Contact direct : d'une personne à l'autre par le toucher 2. Contact indirect : véhicule intermédiaire (eau, sang, environnement physique) 3. Contact renforcé : pour les spores (c. difficile) 4. Contact allégé : dépend de contacts physiques présents ou non Enseignement : hygiène des mains, rester dans la chambre (porte ouverte), visiteurs = hygiène des mains + équipement (gants et blouse)
144
Quelles sont les particularités dans l'équipement de précaution contact renforcé et celle d'allégé?
R : eau + savon en sortant de la chambre, gants et blouse en tout temps, chambre seule avec salle de bain privée, désinfection du matériel rehaussée (chlore) A : blouse et gants si contact physique
145
Décrire les précautions gouttelettes
Modes de transmission : macro-gouttelettes, ne demeurent pas en suspension, propagation en éternuant, toussant, parlant Portes d'entrée : conjonctives, muqueuses du nez et de la bouche Enseignement : hygiène des mains, rester dans la chambre privée (porte ouverte), visiteurs = hygiène des mains + équipement (masque) et pas d'enfants en bas âge *Gouttelettes contact : hygiène des mains + blouse + gants + masque
146
Décrire les précautions aériennes.
Modes de transmission : dissémination dans l'air ambiant de microgouttelettes, peuvent demeurer en suspension pendant de longues périodes et être dispersées par les courants d'air Enseignement : hygiène des mains, interdiction de quitter la chambre privée à pression négative, visiteurs = hygiène des mains + N95 et pas d'enfants en bas âge * Aérien contact : chambre privée à pression négative, lavage des mains + N95 + blouse et gants *Aérien contact renforcé : ajout protection oculaire
147
Décrire les précautions de protection.
Pour les personnes immunodéprimées, vise à protéger la personne elle-même Chambre à pression positive, hygiène des mains Visiteurs = limiter le nombre et surveiller les infections
148
Quels problèmes peuvent amener les précautions additionnelles?
Isolement social : contacts sensoriels limités, sentiment de solitude Solutions : expliquer la maladie et les raisons de l'isolement, maintenir la stimulation sensorielle et intellectuelle, mesures de confort et de soutient, impliquer la famille
149
Décrire le SARM.
Colonisation nasale par un staphylocoque ayant développé une résistance à plusieurs antibiotiques (dont la méthicilline). Asymptomatique chez les patients porteurs sans infection, mais peuvent développer des infection urinaires, pneumonies, bactériémies, des infections de plaies ou d'un site chirurgical. Réservoirs : nez, sites infectés (peau, plaies) Mode de transmission : contact direct ou indirect = PRÉCAUTIONS CONTACT Facteurs de risque : personnes immunodéprimées, hospitalisation récente, diabète, cathéters, sondes, interventions chirurgicales, plaies Dépistage préventif
150
Vrai ou Faux. Le staphylocoque est une bactérie retrouvée normalement sur la peau ou dans les narines
Vrai
151
Comment détecte-t-on le SARM?
Prélèvement nasal -> labo Présence de la bactérie sans signe d'infection : patient porteur, ou colonisé Présence de la bactérie avec signe d'infection : patient infecté
152
Quel est le principal vecteur du SARM?
Mains contaminés du personnel soignant
153
Comment prévient-on la transmission du SARM à la maison?
Hygiène des mains régulièrement pour la personne porteuse et la famille Jeter les pansements souillés dans un sac de plastique fermé
154
L'hygiène des mains se fait quand pour le SARM?
1. Avant et après avoir donné des soins 2. Avant de préparer, de manipuler, de servir des aliments ou de manger 3. Après être allé aux toilettes 4. Après s’être mouché, toussé ou éternué 5. Après une contamination accidentelle avec du sang ou autres liquides biologiques 6. Lorsque les mains sont visiblement souillées
155
Décrire l'ERV.
Colonisation dans les selles par des entérocoques qui ont développé une résistance à plusieurs antibiotiques (dont vancomycine) Asymptomatique chez les clients porteurs sans infection (peuvent causer des infections urinaires, de plaies, bactériémies = acquises lors d'un séjour hospitalier) Réservoir : selles, environnement Mode de transmission : contact direct ou indirect = PRÉCAUTIONS CONTACT Facteurs de risque : hospitalisation hors province ou à MTL, hospitalisation dans un centre endémique
156
Vrai ou Faux. Les entérocoques ne sont pas des bactéries de flore normale
Faux, normalement trouvés dans l'intestin et les selles ou sur les parties génitales
157
Comment détecte-t-on l'ERV?
Prélèvement des selles ou rectal -> labo Présence de la bactérie sans signe d'infection : patient porteur, ou colonisé Présence de la bactérie avec signe d'infection : patient infecté
158
Quel est le vecteur principal de l'ERV?
mains contaminées du personnel soignant (contaminées lors des soins au patient ou en touchant l'environnement contaminé du patient)
159
Quelles sont les mesures à prendre pour l'ERV?
Chambre individuelle avec toilette privée, blouse + gants + désinfection fréquence de l'environnement, prélèvement préventif
160
Comment prévenir la transmission de l'ERV à la maison?
Lavage des mains régulièrement par la personne porteuse et famille Désinfection à l'eau de Javel les objets et surfaces fréquemment touchés par la personne porteuse Pansements souillés jetés dans un sac de plastique fermé
161
L'hygiène des mains est fait quand pour l'ERV?
- Après être allé aux toilettes - Avant et après avoir donné des soins à la personne porteuse - Après tout contact avec l’environnement de la personne porteuse et en sortant de la chambre - Avant de préparer, de manipuler, de servir des aliments ou de manger - Après s’être mouché, toussé ou éternué - Après une contamination accidentelle avec du sang ou autres liquides biologiques - Lorsque les mains sont visiblement souillées
162
Décrire le BGNMR.
Sous groupe BGNPC (ensemble de bactéries fréquemment rencontrées dans la flore normale qui ont développées des mécanismes de résistance à plusieurs classes d'antibiotiques) = très résistants, plus grand risque de transmission (transmission rapide et facile) Infections possibles : multiples (urinaires, abdominales, pneumonies, bactériémies, peau, plaies, etc.) Réservoirs : flore intestinale, environnement Asymptomatique chez les clients porteurs sans infection Mode de transmission : contact direct et indirect = PRÉCAUTIONS CONTACT Facteurs de risque : hospitalisation dans un centre endémique ou hors province, présence d'un objet médical invasif, long séjour hospitalier, visite de certains pays
163
Vrai ou Faux. Les risques d'infection nosocomiale sont liés à la susceptibilité de l'hôte.
Vrai
164
Comment détecte-t-on le BGNMR?
Prélèvement rectal, ou plaie, ou gorge, ou sonde urinaire
165
Vrai ou Faux. Il y a des dépistages préventifs pour le SARM, ERV, BGNMR et C.difficile?
Faux, pas pour C.difficile
166
Décrire l'infection par C. difficile.
Gastro-entérite causée par la bactérie C. difficile Diarrhées, selles d'odeur caractéristique (paracrésol), douleur abdominale, fièvre, nausées Réservoir : selles Mode de transmission : contact direct et indirect + spores résistants dans l'environnement = PRÉCAUTIONS CONTACT RENFORCÉ et désinfection de l'environnement avec du chlore jusqu'à 72h après le retour de selles normales Facteurs de risque : antibiothérapie au cours des 8 dernières semaines, âge avancé, hospitalisation récente ou prolongée, histoire antérieure de C. difficile
167
Décrire les différents types de communications écrites de l'infirmière et les occasions.
1. Pour collecter des données : Évaluation initiale de l'usager, feuille SV, note d'évaluation 2. Pour analyser et interpréter : PTI et PSTI 3. Pour planifier : PTI 4. Pour intervenir et évaluer les résultats : FADM, note d'évolution
168
Décrire la note d'évolution.
C'est un document légal qui contient le compte rendu descriptif de l'état de santé du client et de la démarche clinique de l'infirmière (services rendus). Inclus ce qui a été observé, ce qui a été fait et les résultats
169
Quelles sont les règles à respecter dans la note d'évolution?
1. Date en haut de chaque page (aaaa-mm-jj) 2. Écrire l'heure selon le format 00:00 à 23:59) 3. Écrire ses notes au fur et à mesure 4. Limiter l'emploi de la note tardive (pour les oublis) 5. Ne pas répéter le nom du patient, les mots patient/usager/client, etc. 6. Écrire sur les lignes prévues à cet effet (pas de lignes vides) 7. Signer lisiblement et ajouter le titre 8. Écrire à l'encre bleue ou noire 9. Erreur : tirer un trait ou mettre entre parenthèses, indiquer le type d'erreur et mettre date + initiales
170
Décrire les différentes méthodes de rédaction de la note d'évolution.
1. Méthode narrative : information rapportée en continu selon l'ordre chronologique 2. Méthode SOAPIE : regroupement des notes par problèmes S = données subjectives O = données objectives A = analyse et interprétation P = plan d'intervention I = interventions réalisées E = résultats des interventions 3. Méthode par exception (fiche clinique) : normes de pratiques et critères prédéterminés = cadre de référence pour les soins généraux, inscrire des notes seulement pour ce qui dévie de ce qui était attendu 4. Méthode Voyer : en soins longue durée, intègre l'examen clinique et structure la note autour de ce dernier
171
Décrire les caractéristiques attendues dans la note d'évolution.
1. Pertinence : info en lien avec le patient et sa santé, justesse de la situation de santé et du suivi infirmier, justifier les décisions cliniques, constats et directives, soins et traitements prodigués, comportements et réponses du patient 2. Factuel : info repose sur des faits, éviter les suppositions 3. Précision : vocabulaire scientifique et reconnu, éviter les termes flous, spécifier les éléments requis 4. Concision : uniquement les éléments essentiels, pas de répétition d'infos déjà inscrites ailleurs dans le dossier 5. Complet : toutes les infos qui soutiennent, expliquent et justifient les décisions infirmières sont présentes, fréquence suffisante pour suivre l'évolution de santé du client et détecter les changements, tous les soins prodigués
172
Vrai ou Faux. Plus le calibre d'une aiguille est gros, plus le diamètre de sa lumière est gros
Faux, diamètre plus petit
173
Quels sont les 2 critères qui interviennent dans le choix de l'aiguille?
1. Tissus dans lesquels est injecté le médicament (sc = superficiel vs im = volumineux et profond) dépendant du poids de la personne et de l'estimation de l'épaisseur de son tissu sous-cutané 2. viscosité du produit à injecter
174
À quel occasion faudrait-il faire une injection sous cutané à 45° au lieu de 90°?
Lorsque le pli cutané est très petit (personnes maigres)
175
Vrai ou Faux. Le délai d'action d'une injection sc est le même que celui d'une injection im?
Faux, im = délai plus court
176
Vrai ou Faux. Le maximum de liquide qui peut être injecté sc en 1 dose est 5ml.
Faux, 2ml
177
Vrai ou Faux. Pour un volume de 1ml à injecter, je vais utiliser une seringue de 1ml.
Faux, ne pas se rendre au volume maximum d'une seringue, utiliser une seringue de 3 ml pour toutes injections > ou égale à 1 ml
178
Le calcul de la dose de médicament devrait être arrondi à quelle position pour une injection avec une seringue de 5ml? 3 ml? 1 ml?
5 ml: résultat entre 2-3 ml, arrondie au dixième de millilitre et précision aux 0,2ml (si résultat n'est pas précis aux 0,2ml = prendre seringue 3ml) 3ml : résultat entre 1 et 2,9ml, arrondi au dixième de millilitre 1ml : résultat < 1ml, arrondi au centième de millilitre (si résultat s'arrondie au dixième de millilitre = utiliser seringue 3ml)
179
Quelle est la quantité maximale pour une injection IM en 1 dose?
3ml (gros muscles)
180
Comment injecter IM une quantité supérieure à 3ml?
2 injections dans 2 sites différents
181
Pourquoi le muscle du fessier postérieur ne peut pas être utilisé pour les injections IM?
Car présence du nerfs sciatique et plusieurs vaisseaux sanguins = augmente le risque d'accident d'injection Utiliser le fessier antérieur à la place car plus profond et plus sécuritaire
182
Pourquoi faut-il garder la bulle d'air dans les seringues pré-remplies?
Permet de faire le vide d'air dans l'aiguille à la fin de l'injection afin de que le patient reçoive la dose exacte de médicament Positionner la bulle la plus loin de l'aiguille
183
Quelles sont les différences avec l'injection de vaccins versus les autres injections?
Pas de gants nécessaires, ne pas aspirer avant l'injection, injecter rapidement le produit, pas de FADM (carnet vaccinal et formulaire prévaccinal)
184
Quels sont les sites d'injections sc possibles? et IM?
SC : tier médian postérieur du bras, tier médian de la cuisse, autour de l'ombilic à une distance de 5cm de celui-ci IM : muscle deltoïde, muscle fessier antérieur, muscle vaste externe
185
Comment reconnaître le site d'injection sc dans le bras?
Ligne droite reliant l'acromion et l'articulation du coude puis la diviser en 3 parties égales
186
Comment reconnaître le site d'injection sc dans la cuisse?
Ligne droite reliant l'articulation de la hanche à celle du genou, diviser la ligne en 3 parties égales
187
Comment reconnaître le site d'injection im dans le bras?
personne assise, annulaire sur l'acromion et 2 doigts sous l'acromion (délimite la bordure supérieure de la zone) puis localiser la ligne axillaire (pointe du triangle inversé délimitant la limite inférieure de la zone), site d'injection au centre du triangle
188
Comment reconnaître le site d'injection im dans le fessier?
position décubitus dorsal ou latéral, main sur le grand trochanter de la hanche, majeur sur l'épine iliaque antérosupérieur et index le long de la crête iliaque vers la fesse (ou contraire) -> injection au centre du triangle formé par index, majeur et crête iliaque
189
Comment reconnaître le site d'injection im dans la cuisse?
personne assise ou décubitus dorsal, ligne à partir du milieu du genou vers la hanche et une 2 ligne du cote du genou vers la hanche, diviser en 3 parties égales, injection dans le tier médian de la ligne (côté externe de la cuisse au milieu de l’espace compris entre le grand trochanter du fémur et le dessus du genou)