exam 3 Flashcards
interaction émotions-intelligence
processus traitement de l’information; quand on parle d’émotions s’est associé de près avec ce qu’on fait sur le plan cognitif
développement
les aspects s’influencent entre eux mais pas nécessairement tous
époque très réductionniste
réduit les émotions à de la biologie alors que les émotions sont très humaines, ce n’est pas les psy qui les décrivent le mieux, on a tendance à réduire pour pouvoir quantifié, faire attention de ne pas enlever l’expérience
définition émotions
ensemble de comportements qu’On produit en réponse à un évènement externe ou interne, servant à motiver et diriger la pensée et les actions
consposante physiologique des émotions
changements dans l’activité du système nerveux autonome (activité respiratoire et cardiaque)
composante expressive des émotions
souvent expression faciale
composante expérientielle des émotions
un sentiment, évaluation cognitive de la part de l’individu
fonctions des émotions
organisation et régulation du comportement, organisation des processus cognitifs, organisation des interactions sociales
enfant apprenant à faire du vélo
on veut qu’il sente l’euphorie de réussir pour qu’ils veulent recommencer (donc on va sur la pelouse)
haut de la montagne qui est beau
réponse émotionnelle à quelque chose d’externe, ca nous arrete (on se pause des questions existentielles)
tigre
quelqun va y passer, on décide de s’enfuir.
intérêt de l’apprentissage
organisation des processus cognitif: ca nous dit ce qu’on doit faire,
carmen campagne
expression faciale (bouche ouverte et sourcils levés) montre qu’ils sont intéressés parce qu’ils pensent que quelque chose qu’ils ont fait a provoqué ca, ceux qui ont le plus d’intérêt sont ceux qui apprennent le mieux que c’est à cause d’eux
organisation des interactions sociales
dans le contexte d’une interaction, les émotions servent à initier, entretenir ou terminer des échanges (retour sur la stabilité de l’intelligence, le traitement de l’information et le QI)
début de l’interaction
expression faciale quand on parle qui change d’une situation à l’autre,
information la plus difficile à décoder dans sa vie
interaction sociale avec le parent: dès la naissance l’enfant tente de comprendre comment ses gestes sont en lien avec les gestes de la personne qui est devant lui ou elle; mobilise fortement l’attention de l’enfant
la mesure des réponses physiologiques
activité cardiaque, électroconductivité de la peau, activité cérébrale (électroencéohalograme, résonance magnétique), PETscans, fMRI (tracent l’activité cérébrale durant diverses situations pouvant susciter des émotions)
expressions et mouvements faciaux
évaluation d’émotions élémentaires (joie, tristesse, peur, colère, intérêt, etc) ou des combinaisons d’émotions; autres mouvements et comportements: variation dans le timbre de la voix chez l’enfant
auto-rapports
lorsque les enfants sont plus vieux, deviennent la source principale d’information concernant les émotions; interprétation de ce que dit l’enfant dépendant de son âge
la mesure des réponses physiologiques et les problèmes de spéficité des émotions
difficile de trouver des résultats qui correspondent à une émotion bien précise (réaction physiologique joie ressemble à réaction de peur ou colère); commence à être assez sophistiqué pour détecter différences mais pas la même ampleur que dans la réalité
le manque de concordance entre les mesures
convergence rare
émotions fondées sur la biologie de l’individu
ekman, elfenbein et ambardy et izard
ekman (1972, 1973
les constances interculturelles d’expressions émotionnelles témoignent de l’universalité de l’expression et de la reconnaissance émotionnelle
elfenbein et ambardy (2002)
méta-analyse sur la capacité de reconnaître les émotions de personnes provenant de divers contextes culturels (97 études)