exam 2 Flashcards
accroissement cerveau 1ere année de vie
double
connexions entre neurones
synatogénaise
expériences environnementales
stimulent le nouveau-né
apogée apprentissage
première année quand il apprend à mieux connaître l’environnement, peu pré-natal
technologie
permet maintenant d’étudier comment le nourrisson percoit
types d’apprentissage
testables en labo
habituation
mécanisme d’apprentissage qui consiste à une baisse graduelle de l’intensité, la fréquence ou la durée d’une réponse comportementale ou physiologique suite à une présentation répétée à un stimulus. arrête de réagir car n’apporte pas d’information nouvelle
apparition habituation
très tôt, dès la naissance
habituation comportementale
le plus fréquent, recherche visuelle: attention moins porter sur un stimulus quand habituer
habituation physiologique
rythme cardiaque diminue quand habituation,
déshabituation
retour d’excitation lorsque le stimulus est modifié, ce qui nous permet de dire qu’il ne réagissait plus à cause de l’habituation et non par fatigue, démontre aussi que le bébé peut distinguer l’ancien stimuli du plus récent,
démonstration de l’apprentissage chez le bébé
à partir du processus d’habituation
lien intelligence habituation
lien entre potentiel cognitif et intellectuel à l’enfance et la vitesse d’habituation et de déshabituation; mécanismes essentiels pour apprendre
bébé prématurés
moins de facilité au niveau électrique du cerveau donc moins bonne habituation
conditionnement classique
un stimulus neutre arrive à déclencher un comportement après avoir été associé plusieurs fois avec un stimulus inconditionné qui déclenche habituellement ce comportement (pavlov 1849-1936)
apparition conditionnement classique
dès ses premières heures le nourrisson peut démontrer un conditionnement classique (blass 1984), souvent instauré avec de la nourriture
étapes conditionnement classique
stimulus inconditionné donne réponse inconditionné, stimulus neutre donne rien ; stimulus neutre et stimulus inconditionné présentés ensemble à plusieurs reprises donnent réponse inconditionnée; stimulus conditionné (auparavant neutre) donne réponse conditionné (même qu’inconditionnée)
watson
instauré le comportement de peur chez les enfants, trouvé que ca marche à 11 mois (réponse aversive)
conditionnement aversif
ne s’installe pas dans les 2 premiers mois car développement moteur n’est pas assez évolué (ne peut pas se sauver etc)
généralisation
stimuli semblable à celui de base (conditionné) font peur aussi même si jamais associés au bruit
conditionnement opérant
apparition d’un comportement dépend de la conséquence positive ou négative qui lui est associée (skinner )
apparition conditionnement opérant
très tôt bébé réagit aux conteigances et modifie son comportment pour avoir qqchose de plaisant ou non, apparait avant qu’il soit capable de marcher
défi parent
parent n’aiment pas toujours comportements de leurs enfants mais doivent s’en rendre compte et prendre les mesures nécessaires pour diminuer les comportements en trouvant les renforcements positifs
renforcement positif
augmentation du comportement en donnant un stimulus désirable ou agréable
renforcement négatif
augmentation du comportement en enlevant un stimulus désagréable
punition positive
diminution du comportement en donnant un stimulus désagréable
punition négative
diminution du comportement en enlevant un stimulus agréable
étude de sameroff
observe que le nourrisson adapte sa succion (rythme, pression, durée des pauses) lorsqu’il y a du lait ou non dans le biberon (le lait est ici un renforcement positif)
rôle alimentation conditionnement
les deux types de conditionnement fonctionnent meiux avec des comportements de recherche ou ceux liés à l’alimentation ou des stimuli réconfortants pour le nourrisson
imitation
moyen d’apprentissage précoce par lequel les nourrissons apprennent des habiletés cognitives et sociales
conception de piaget face à l’imitation
affirme que l’enfant ne peut imiter avant 8 mois n’ayant pas conscience de son corps, serait une activité motrice réflexive et non imitation contrôlé avant ca
conception de metlxoff et moore face à l’Imitation
imiteraient pour maintenir interaction avec une autre personne, fonction socio-communicative. ces auteurs ont d’ailleurs démontrés que très jeunes les nourrissons peuvent imiter : imitent plusieurs comportements, modifient imitations pour correspondre aux modèles, dirigent imitation aux personnes et non aux objets inanimés, pevent dès 6 semaines reproduire un comportement la journées souvant son imitation et observation
imitation différée
à partir de 6 mois: les bébés font preuve d’imitation différée, soit la capacité d’imiter une séquence d’action après un délai
imitation 14 mois
peuvent imiter deux jours après voir jusqu’à 1 semaine
imitation post 14 mois
l’enfant peut faire preuve de sélectivité et a plus tendance à imiter les actions intentionnelles qui sont dirigées vers un but
sensation
les informations sensorielles percues et traitées par les récepteurs sensoriels et le cerveau (info brute)
perception
processus d’organisation et d’interprétation des sensations , nous dit c’est tel objet c’est telle chanson
2 approches perception
certain pensent que c’est iné d’autres qu’on l’acquiert avec l’expérience
perception acquise avec expérience
dit que c’est graduel plus le bébé à de contacts avec les stimuli donc de sensations brutes et plus on est en contact avec l’environnement plus on développe la perception
perception innée
disent que le bébé nait avec un bagage pour traiter les stimuli complexes malgré cela l’expérience à quand même un rôle à jouer (paufine notre capacité à traiter l’information sensorielle)
mesure d’attention et d’activation excitation classique
mesurer regards préférentiels sur une image (avec nouvelles technologies on peut avoir de plus en plus de données sur la capacité d’explorer l’environnement
exploration des visages
vers 1 mois portent beaucoup d’attention à ce qui est externe (cheveux menton) ; 2 mois: portent beaucoup d’attention à ce qui est interne (yeux, nez)
perception
sur quoi on porte attention
autre mesure de perception
concept d’habituation à 3 jours : présentation visage, habituation; tourne le visage: déshabituation ; conditionnement opérant (bébé s’adapte à ce qu’ils préfèrent)
maturation physiologique du système visuel
pas complétée à la naissance, accommodation visuelle permettant de faire le focus devient mature qu’à 3 mois, les réflexes pupillaires, processus qui gère la quantité de lumière qui entre dans l’oeil, sont plus lents dans les premiers mois de vie. le bébé a ainsi de la difficultée à faire le focus pour percevoir les détails
saccades visuelles
mouvement rapide des yeux lorsqu’on inspecte un objet, sont présentes dès la naissance, mais sont initiées plus lentement et couvrent une petite distance jusqu’à 3 4 mois
poursuite visuelle
lente et saccadée jusqu’à 6-8 mois
la convergence
permet de percevoir les profondeurs est irrégulière mais s’améliore rapidement dans les premiers mois
détection des contours
nourrisson capable de le faire mais sont acuité visuelle est estimée à 40 fois plus faible que celle des adultes ; sont acuité idéale est à 22 cm environ la distance lorsqu’il est dans les bras de sa mère pour voir son visage
acuité
se développe rapidement jusqu’à 6 mois et encore pendant l’enfance, approche niveau adulte vers 6 a 12 mois
amélioration acuité due à
amilioration des habiletés visuomotrices, amélioration des récepteurs visuels de la rétine, des changements neurologique, changement dans la forme et les caractéristiques physiques dans l’oeil
perception visuelle
malgré système visuel immature, perception visuelle des nourrissons est un processus actif les bébés mobilisent activement leurs récepteurs sensoriels en réponse à la stimulation (on ne fait pas seulement voir on regarde -gibson)
développement perceptif dépend
de la maturation du système visuel et de la capacité cognitive à porter attention aux stimuli dans l’environnement
perception des couleurs
bébés percoivent les couleurs comme les adultes autour de 3 a 4 mois avant cet age l’immaturité des cônes limite la perception de certaines nuances cependant peu de temps après la naissance, le nourrissons percoivent la couleur rouge
perception des formes et des motifs
dès l’âge de 2 3 mois les bébé percoivent l’unité des formes. à cet age ils inspectent les stimuli de facon plus délibérée et organisée avant cet age on observe que les bébés portent davantage attention aux contours des stimuli complexes et explorent moins les caractéristiques internes (externality effect)
formes subjectives
percues à 3 4 mois
mouvement
informations liés au mouvement aideraient à la perception des objets, dès l’age de 4 mois les bébés seraient en mesure d’attribuer une unité à un objet selon le mouvement cohérant de ses contours
ce qui supporte la détection d’un pbjet comme unité
la couleur, la texture, la luminosité et les recoupements de ses contours. l’expérience aussi
attirance vers les visages
très tôt, nourrisson accordent plus d’importance et passent plus de temps à regarder visages que les autres figures complexes;
reconnaissance de la mère
dès les premiers jours de vie, les nourrissons peuvent reconnaître le visage de leur mère. dès 6 mois, l’activation cérébrale serait spécifique à la présence de la mère versus un autre personne de sexe féminin
spécialisation du cortex cérébrale dans le traitement des visages
dès 3 mois
turati et al 2004
attirance pour les visages ne serait pas causée par l’aspect social ou instinctif de survie mais serait plutot sous-tendue uniquement par un biais perceptif lié à une préférence pour une configuration géométrique (haut visuellement chargé par rapport au bas) qui serait semblable à celle des visages
perception du mouvement biologique
les bébés s’y intéressent très tôt, mouvement produit par un humain et donc organisé
points organisés vs non-organisés
dès 3 6 mois préfère mouvement biologique, beaucoup utilisé dans les dernières années pour évaluer les enfants ayant un trouble sur le spectre autistique (moins attirés vers mouvement biologique, mais de différence de réponse entre les deux stimuli)
perception des profondeurs
bébés percoivent profondeurs et distances, même si la rétine ne traite les stimuli qu’en 2D; serait intimement lié à la vision binoculaire particulièrement le stéréapsie qui s’améliore grandement jusqu’à 4 mois. 6 mois seraient équivalente à celle de l’adulte; indices kinésiques des objets et du corps dans l’environnement aiderait aussi à décoder les profondeurs
maturation biologique structures de l’oreille
complété au 7e mois de grossesse
sons de basses fréquences (voix humaines) détectés à
23e semaine de gestation (environ 6 mois)
naissance et audition
à la naissance bébés démontrent acuité auditive équivalente à celle de l’adulte pour les fréquences modérées (60dB) et graves (-2000Hz); 6 mois détectent et discriminent fréquence et intensité presque comme les adultes
études sur la succion non nutritive et audition
préférence pour les sons qu’ils ont déjà entendus lors de la grossesse dont : la voix de leur mère, le rythme des comptines, le passage d’une histoire lue durant le dernier trimestre de grossesse
tourne la tête vers son comme réflexe
peu de temps après la naissance (tournent tête et yeux), à partir de 4 mois le font de facon délibérée pour localiser le son
reconnaissance des changements de tempo
3 mois
reconnaissance de modification dans le patron de courte mélodies tel que la fréquence et le rythme
8 mois
perception de la parole
dès naissance préférence pour la voix humaine, activation de certaines zones du cerveau plus importante quand entend voix humaine vs autres sons, reconnaissent phonèmes très tôt, avant 6 mois sont capable de reconnaitre phonèmes de toutes les langues
phonèmes
petite variation acoustique dans la voix
si perception du langage innée
bébés ont un module du langage inné qui est spécialisé et permet le traitement des sons subtils et complexes du langage humain
si perception du langage acquise
discrimination des phonèmes dépend des capacités auditives générales que les nourrissons développent tôt et qui ne sont pas uniquement dédiées au traitement du langage
spécialisation des perceptions
durant la première année de vie, les nourrissons peaufinent leurs systèmes visuels et auditifs pour traiter les informations qui sont davantage présentent dans leur quotidien; du seulement à une amélioration au niveau neurologique faisant que le bébé traite son entourage plus efficacement ou influence de l’environnement?
spécialisation du a l’environnement
plus le bébé grandi plus ses perceptions s’affinent en concordance avec les stimulations de son environnement socioculturel vers 6 12 mois se spécialise dans sa langue maternelle
langue maternelle
après 12 mois, on réagit aux sons prédominants dans notre langue maternelle alors qu’un autre enfant d,une autre langue n’y réagit pas du tout,
habituation visages
après 9 mois: enfant moins intéressé par visages de singes et pas nécessairement d’habituation alors que pour les visages humains oui
maturation des récepteurs olfactifs
complété à la naissance
détection des odeurs
dès la naissance (mesures telles que le rythme de la respiration, l’activité cérébrale ou les comportements de recherche et d’évitement)
reconnaissance des parents
d’abord par l’odeur (comme les animaux)
récepteurs du gout
se situent sur la langue (sucré, salé, amer, sur) sont développés bien avant la naissance. le foetus peut déja gouter lorsqu’il avale le liquide amniotique
expressions faciales typiques en fonction du type de gout
produit très tôt
préférences peuvent être modifiés par expérience (gout)
beauchamp et moran ont observés que les nourrissons qui sont nourris avec un liquide sucré dans les premiers mois de vie boivent plus d’eau sucrée à l’age de six mois qye les nourrissons qui n’avaient pas bu ce type de liquide à la naissance
exposition aux gouts déplaisants
si fait très tot deviennent plus tolérants
lait maternel
détectent les saveurs à l’intérieurs de celui-ci, permet de se familiariser avec les aliments typiques de leurs familles et culture
récepteurs cutanés
se développent en premier durant la période prénatale
premiers indices de la sensibilité cutanée
observation des réflexes involontaires lors du toucher
interaction sociale parent-enfant
toucher un des systèmes sensoriels importants pour ces interactions, peu de temps après la naissance, les parents sont capables de reconnaitre leur bébé simplement en caressant ses mains
régulation de la température
le nouveau-né est très sensible à la température car il n’a pas encore les capacités pour réguler sa chaleur corporelle, incapables de suer donc en présence d’une chaleur intense pour faire diminuer la température corporelle nous observons que la peau devient rouge, portés à dormir davantage et a se placer en position étalée
perception de la douleur
avant on pensait que les nouveaux-nés n’avaient pas la capacité neurologique pour ressentir la douleur, toutefois on sait maintenant que les récepteurs neurologiques impliqués dans la détection de la douleur sont bien développés durant la période prénatale,
réponses comportementales (toucher)
dès la naissance, sous forme d’expressions faciales et de pleurs pour signifier leur inconfort ou un malaise
exposition expériences douloureuses tot dans la vie
peut modifier les systèmes endocriniens et immunitaires du bébé de facon permanente
perception intermodale
capacité d’intégrer plusieurs informations sensorielles pour percevoir et faire des inférences sur les caractéristiques d’un objet ou d’un évènement; intégration en un tout pour attribuer des sens aux situations qui nous arrive
première conception perception intermodale
les perceptions sont d’abord unimodale et ensuite avec l’expérience les nourrissons développent leur perception intermodale; ex hochet (plus on lui présente plus il va associé le son avec l’image et va comprendre que les deux perceptions vont ensemble)
deuxième conception perception intermodale
dès la naissance un traitement unitaire des sens serait possible (inné) ; stimuli amodales dépendant du timing temporel (non concordance bouche son à la tv), bébés sensibles à ca
regardent si les stimuli auditifs et visuels concordent
dès 4 mois, regardent plus longtemps le film qui concorde savent différencié un bruit de plusieurs bruits, important au niveau social
théorie de l’apprentissage perceptif (gibson)
capacités perceptuelles s’améliorent durant l’enfance à cause de trois changements: perception plus spécifique, amélioration des capacités attentionnelles et traitement plus efficace de l’information perceptuelle; serait aussi influencé par les expériences et éléments culturels
bébé à la naissance par rapport au langage
un peut commen nous quand on est dans un pays ou on connait pas la langue; doit couper en petites sections ce qu’il entend et détecter que quelques parties lui sont destinés en tant que message capable d’isoler environ 30 mots avant 1 an
réaction au prénom
vers 4 mois (n’ont pas compris que c,est leur identité mais on compris que c’est associé à eux)
le développement du langage
séquence relativement fixe au rythme variable (peu importe la langue) (certains enfants sautent des étapes), aspect du développement le plus variable!!
phonologie
représente les unités fondamentales de sons (phomènes) et les règles qui dictent comment les sons peuvent être combinés dans un langage donné
sémantique
associer une séquence de sons du langage à son référent (les mots compris forment le lexique, vocabulaire)
grammaire
ensemble des règles qui gouvernent la structure du langage
syntaxe
règles qui dictent comment les mots peuvent être combinés
morphologie
règles qui dictent comment les plus petites unités significatives du langage (morphèmes) peuvent être combinés pour former des mots
pragmatique
règles qui gouvernent l’usage efficace et approprié du langage
latéralisation
chaque hémisphère a des fonctions spécialisées. chez la plupart des gens, les régions primaires du langage sont dans l’hémisphère gauche. (activité localisé hémisphère gauche dès 12 mois)
expérience et organisation de la latéralisation
le cerveau est prêt pour traiter le langage, mais l’expérience agit sur l’organisation du cerveau: les expériences langagières de l’enfant vont jouer un rôle dans le processus de latéralisation
aphasie expressive
atteinte à l’aire de broca
aphasie réceptive
atteinte à l’aire de wernicke, on peut dire des mots mais ce qu’on dit n’a pas de sens
région perception auditive
tout ce qui est traité après avoir été entendu verbalement
aire de broca
activé quand on est entrain de parler et on doit penser à ce qu’on va dire
aire de wernicke
ce qui nous permet de comprendre, donner un sens
cortex moteur
parler pas seulement générer des mots, composante motrice importante (sinon on se parle dans notre tête); pour certains enfants c’est la partie motrice qui est difficile à acquérir
quand on entend
- aire auditive activée 2. aire de wernicke et territoire de Verchwin (impliqué dans interprétation) 3. réponse = activation aire de broca et partie motrice
quand on lit
- cortex visuel primaire (lobe occipital) 2. territoire de verchwin et aire de wernicke 3. aire de broca
quand on lit le braille
- partie somatosensorielle 2. verchwin et wernicke 3. aire de broca
ensemble de réseaux
permettent de traiter l’information, la produire et la mettre en mémoire (dans le lobe frontal)
période critique
existerait pour apprendre le langage, serait du à une plasticité cérébrale accrue en début de développement par l’apprentissage d’une langue : les enfants privés d’expériences langagières ont plus de difficulté à apprendre un langue et l’acquisition d’une langue seconde est facilité lorsque l’enfant est plus jeune
modèles linguistiques
systèmes de langage innés et modulaires (module inné et séparé des autres apprentissages) aires dédiés aux langages et activés quand on L’entend, vitesse d’acquisition de la structure du langage, prédisposition à extraire des règles , distincte des autres aspects cognitifs trop rapide pour que ce soit seulement un apprentissage normal
surgénéralisation
appliquer règles ou elles ne sont pas applicables
apprentissage grammaire
très rapide dans les 5 premières années de vie, peuvent être appliqués à des mots jamais entendus
processus cognitifs généraux
mémoire, catégorisation; synchronisme du développement cognitif et langagier, simulations connexionnistes (par ordinateur)
simulations connexionniste
approche en intelligence artificielle chercheurs on appris à un ordi à parler, capable d’imiter l’apparition du langage chez l’enfant avec un ordi sans un aire spécifique au langage, montre que l’apprentissage du langage se base sur des processus cognitifs généraux (fréquence des associations)
principal rejet des modèles cognitivistes
il n’y a pas de régions spécifiques au langage pour eux. disent que ce sont des régions capable de traiter toute l’Information cognitive et elles servent particulièrement bien au développement du langage
ce que modèle cognitiviste met en évidence
mémoire, catégorisation (actifs dans le langage mais aussi dans beaucoup d’autres choses); disent que ce que l’enfant développe au plan langagier est un miroir de ce qu’il développe au plan cognitif (synchronisme entre ces deux aspects du développement)
modèles social-interactionnels
contextes sociaux, échafaudage via parleurs compétents,
rôle du langage parental
on aide à segmenter le flau de paroles en parlant avec beaucoup d’intonnations et de gagaggougogu, pas seulement abstrait. on doit être exposé aux gens qui parlent pour pouvoir parler
échafaudage
adapte notre facon de parler pour l’enfant, adapte complexité, tendance à proposer à l’enfant un langage qui est juste un peu plus avancé que ce qu’il sait faire; se fait presque naturellement
capacités auditives innées pour traiter le langage
préférence pour la voix humaine et perception catégorielle des phomènes à 1 2 mois
sensibilité à la prosodie
patron des intonations, des accentuations et du rythme qui dénote le sens dans la parole; le child-directed speech parler bébé ou mamanais: tonalité élevée, intonations exagérées et musicales, préférence pour la tonalité élevée et l’affect positif; dans les 9 premiers mois plus important, on retient la mélodie plutôt que le message; 18 mois, le message passe mais confusion si intonnation fit pas avec
apprentissage statistique
détection de la fréquence d’occurence des sons et des probabilités qu’un son soit suivi par un autre pour isoler des mots (hypersensible); cet apprentissage permet aux enfants (6-8 mois) d’identifier le début et la fin des mots en se basant sur la fréquence d’occurance des sons
étude de saffran
procède par habituation, pa toujours suivi par bi, di suivi une fois sur trois par go ; lumière rouge: on fait entendre les mots isolés (fixe plus longtemps pigola car entendu moins souvent est plus nouveau); pabiku : réussi à être isolé
gazouillis et babillage
débbuts
production prélangagière à la naissance
pleurs, grognements, soupirs, petits cris
production prélangagière entre 6 et 8 semaines
émergence de gazouillis surtout des voyelles puis consonnes sotturales puis graduellement consonnes labiales
production prélangagière entre 3 et 6 mois
émergence du babillage: combinaisons simples consonne-voyelle (syllabe), accompagné d,expressions faciales, babillage canonique ou dupliqué, répétition de la même syllabe
production prélangagière entre 9 et 10 mois
babillage diversifié: combinaison complexes de syllabes
rôle de la maturation physiologique sur la production prélangagière
maturation appareil vocal: descente du larynx, croissance de la cavité buccale; maturation du cerveau: disparition des vocalisations réflexes, contrôle accru du cortex
rôle de la stimulation langagière sur la production prélangagière
le contenu du babillage et de la langue d’usage
la gestuelle
apparait peu avant les premiers mots, vers la fin du babillage, signe que le développement se passe bien, accompagne un certain temps les premiers mots,
gestuelle protodéclarative
pointer quelque chose pour le désigner, pour engager l’adulte, regarde la même chose que moi
gestuelle protoimpérative
pointer pour avoir ou demander quelque chose, le plus utilisé
mimiques symboliques
mimer une action ou la fonction d’un objet, gestes conventionnés dans une communauté donnée a une signification, montre qu’ils savent communiquer quelque chose non-verbalement
rôle de la gestuelle dans l’acquisition du langage
facilite la communication en l’absence de langage, précède les premiers mots: renseigne sur les capacités symboliques de l’enfant, combinaison d’un geste et d’un mot pour signifier une idée: peut être considéré comme un début de grammaire
dispariton de la gestuelle
s’estompe après 18 mois comme mode de communication seul mais demeure pour appuyer le langage oral
lexique
ensemble des mots qui forment le vocabulaire d’un individu
les premiers mots dits
vers 12 mois: langage par mots isolés jusqu’à 18-24 mois; vocabulaire moyen d’environ 50 mots à 18 mois (surtout des noms (biais nominal) pour les personnes et les objets (dynamiques vs stationnaires))
ce qui est considérer un mot
si L’enfant désigne une chose particulière en le disant (il y a une symbolique à ce qu’il dit); si dit baba pour bouteille on le considère comme un mot même si ce n’est pas le bon
rythme d’acquisition
après les dix premiers mots: 1 à 3 mots par mois; vers 18-24 mois: jusqu’à 20 mots par semaine pendant l’explosition du vocabulaire
explosion du vocabulaire
peut être avant ou après, chez certains enfants on ne le voit pas vraiment, montrerait que l’enfant a développé des capacités cognitives lui permettant de gérer l’information de facon plus efficace; peut maintenant catégorié l’information lexicale
maitrise articulatoire
répertoire de sons maitrisés augmente mais erreurs phonologiques, pas nécessaire de maitriser les sons à 2-3 ans (vers 4-5 ans plus), maitrise de son très variable, esquise les sons
mots contextualisés
sur-extension: mot utilisé pour une catégorie trop large (dire maman à toute les femmes); sous-extension: mot pour une catégorie trop restreinte (ex dit eau seulement pour le bain et lolo seulement pour boire)
distinctinction expressif versus réceptif
règle: le réceptif précède l’expressif: le bombre de mots compris surpasse le nombre de mots produits; compréhension dès 6 mois : individus et noms avant verbes et adjectifs
vers 30 mois (langage)
vocabulaire expressif d’environ 500 mots
apprentissage statistique
la fréquence des associations entre l’objet et son nom: un mot plus souvent associé à son référent est appris plus vite qu’un mot moins souvent associé à son référent
fast-maping
construction active du sens du mot à partir du contexte certaines contraintes interagissent dans l’apprentissage des mots
biais d,exclusivité mutuelle
à 3 ans: tendance chez l’enfant à assumer que le nouveau mot réfère à l’objet non-familier
biais taxonomique
à 4-5 ans: tendance chez l’enfant à assumer que le nouveau mot réfère aux membres d’une même catégorie conceptuelle
biais du tout et de la forme
l,enfant assume que le nouveau mot réfère à l,objet entier, en particulier à sa forme
interaction sociales
indices du langage et d ela gestuelle de l’adulte, attention conjointe: engagment mutuel adulte-enfant, exposition incidente au langage de différentes personnes
différences individuelles
beaucoup entre individus en bas âge