exam 1 Flashcards

1
Q

Développement

A

changements physiques et psychologiques qui surviennent chez un individu au cours de la vie

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2
Q

Psychologie du développement

A

étude scientifique des changements sur les plans du comportement et des activités mentales au cours de la vie (approche scientifique, théorie empirique, objectif=intervention); Multidimentionnel (facettes) et multidéterminé (causes) : multidisciplinaire

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3
Q

interaction nature-culture

A

(remise en question par la génétique), critique sur les études portant seulement sur un enfant de la famille, maintenant sur les jumeaux, car bcp de différences entre deux enfants de la même famille; environnement partagé donc aucun effet lié à la famille sauf les gènes

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4
Q

lien biologique vrai pour

A

tempérament à 5 et 18 mois, agressivité physique à 18 mois et hyperactivité et impulsivité

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5
Q

corrélations très forte pour MZ et DZ école

A

famille joue sur la préparation à l’école

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6
Q

l’environnement et les modalités d’influence socioculturelle

A

développement influencé par l’environnement plus que la famille

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7
Q

l’éducation est influencé

A

par le contexte socioculturel ; affecte L’enfant indirectement par les pratiques parentales et directement par les soins à la petite enfance

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8
Q

le contexte socioculturel

A

coutumes, valeurs, croyances

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9
Q

environnement multifactoriel

A

modèle écologique

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10
Q

possibles influences de l’environnement

A

parent-enfant (interaction); parent (histoire psychiatrique, anxiété, dépression, éducation); famille (emploi, revenu, taille, monoparentalité); école (relations prof-élèves, relations entre les enfants); social-société (évènements de la vie stressants, politiques sociales, culture, statut minoritaire)

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11
Q

modèle écologique de Bronfenbrenner (5)

A

enfant; microsystème; mésosystème; exosystème; macrosystème

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12
Q

microsystème

A

école, famille, servives de santé, amis, espaces de jeu dans le voisinage

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13
Q

mésosystème

A

lien entre les deux

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14
Q

exosystème

A

amis de la famille, famille éloigné, voisins, média, services sociaux, services légaux

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15
Q

macrosystème

A

attitudes et idéologies de la culture

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16
Q

gradient de santé

A

santé varie en fonction des revenus de la famille

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17
Q

Quand manque de revenu les parents pensent

A

avoir moins d’impact sur leur enfant et les surprotègent plus

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18
Q

continuité et discontinuité

A

développement normal implique des changements (compétences et caractéristiques individuelles), la meilleure façon de se rendre compte de ces changements ?

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19
Q

développement quantitatif

A

développement est continu et progressif

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20
Q

développement qualitatif

A

discontinu (ex. stade de Piaget)

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21
Q

continuité et discontinuité ou

A

il y a variété de stratégies coexistantes selon les contenus

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22
Q

préférable de documenter les trajectoires de développement et d’étudier ce qui détermine ces trajectoires

A

étude ressentes disent que c’est plus continu …

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23
Q

Interaction entre les différentes sphères du développement (défi de la synthèse)

A

Objectif intégration en recherche pour comprendre toutes les facettes du développement ; Présentement peu de théories intégratives, Intégration bio-psycho-sociale de plus en plus présente ; Importance d’examiner les transactions entre les facteurs biologiques et les facteurs psychosociaux

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24
Q

Enfant = cible passive ou promoteur actif de son développement

A

Présentement on dit rôle actif ( a des caractéristiques personnel et est capable d’intégrer et d’organiser de l’information de l’environnement de facon à créer une cohérence)

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25
Débat rôle de l'enfant (3)
caractéristiques de l’enfant déterminant dans quelle mesure ?, influence des premières expériences de vie sur le développement nerveux ?, mécanismes impliqués dans l’intéraction caractéristiques de l’enfant vs sa facon de répondre à l’environnement ?
26
Approche nomothétique
normative : accent sur les normes générales, les similarités, l’enfant typique : aspects universels, pour l’espèce humain (ex. théorie de Piaget)
27
Approche idiosyncratique
accent sur les différences individuelles (distinctions entre enfants)
28
Résillience
facteurs personnels qui font qu’un enfant se développe normalement malgré les difficultés (facteurs de risques) auxquels il est exposé
29
Caractéristiques de la démarche scientifique (5)
Déterminisme ; Approche empirique; Recherche d’objectivité ; Intégration théorique ; Caractère dynamique
30
Déterminisme
la réalité est ordonnée et prévisible : principes organisateurs sous-jacents, le principe de causalité explique ultimement cette réalité
31
Approche empirique
obligation de se soumettre à l’examen des faits observables (cueillette active et systématique) protocoles
32
Recherche d’objectivité
une information sujette à un accord général, voir mesures
33
Intégration théorique
formulation de théories explicites
34
Caractère dynamique
théories soumises à l’épreuve des faits, démarche hypothético-déductive
35
Rôles des théories
organiser et expliquer les faits, orienter les nouvelles hypothèses de recherche et être éventuellement refutées
36
Modèle
formalisation d’hypothèses testables à partir des théories
37
Exemples de modèles
modèle explicatif, modèle d’émergence (modèle mathématique, on peut le tester pour voir si il fonctionne)
38
Doit confronter les modèles aux modèle empirique
pour voir s’il est appuyé; Choisir les mesures et le protocole de recherche
39
Objectif scientifique
information mesurable, objective et reproduisible
40
Choix de variables
définition opérationnelle , ce qui construit le modèle
41
Qualités métrologiques recherchées (5)
sensibilité (variabilité inter-individuelle), Fiabilité-fidélité (dimension claire et homogène, homogénéité des échelles, fidèlité test-retest, fidélité inter-juge); Validité (mesure ce qu’il doit mesurer)
42
Validité interne
contrôle du plus de facteurs externes possibles pour que le résultat (variable dépendante) soit du à l’expérimentation (variable indépendante)
43
Validité externe
généralisation des résultats obtenus à d’autres situations contextes, et autres enfants
44
Le choix de la mesure
dépend de la question
45
Observation en milieu naturel
objectif, permet d’évaluer les séquences naturelles, beaucoup de variables peuvent jouer (évaluation contextuelle), relation cause-effet pas déductible, fréquences faibles du comportement recherché, biais de l’observateur, échantillon temporel limité, lourdeur logistique
46
Observation structurée
souvent en labo, permet d’observer des comportements plus rares, permet d’autres mesures physiologiques si en labo, limite possible : impossibilité de généraliser au milieu naturel
47
Entrevue structuré, test, questionnaires
sources enfant, parent, profs, pairs : rapide et très utile, limites possibles : compréhension, mesure de la perception, désirabilité sociale, validité
48
Protocole de recherche
approche qui définit les moyens et procédures par lesquels les variables d’intérêt seront étudiés
49
Méthode corrélationnelle
évaluer les relations entre les variables, porte sur relations naturelles entre les variables, pas de manipulation, pas d’inférence causale possible
50
Méthode expérimentale
vise à démontrer une relation causale (permet inférence causale); 1. Manipulation d’une ou de plusieurs variables indépendantes; 2. Mesure d’une ou plusieurs variables indépendantes; 3. Contrôle des variables reliées (sélectionne, maintien certain aspects de la situation ; groupe témoin, assignation aléatoire)
51
affaissement de l’échantillon
Attrition = plus grand problème; autre problèmes: mesure répétés, effets du à l’âge, évaluation historiqueet culturelle
52
Étude longitudinale
évaluation répétées des même enfants, généralement sur plusieurs années, beaucoup de temps, d’efforts et de ressources, seule approche qui évalue la stabilité et le changement chez les individus, teste hypothèses de prédiction et processus de développement, limite principal : attrition
53
La valeur de l’étude dépend
de la valeur et l’envergure du suivi
54
Etude transversale (cross-sectional study)
enfants différents groupes d’âges sont comparés (il n’y a pas de suivi), plus économiste, moins long, réponses plus rapides quant aux différences reliés à l’âge, limites : n’évalue pas la stabilité et le changement chez les individus, n’examine pas si les caractéristiques d’une personne à un certain âge sont les même à un autre age, pas de prédiction dans le temps possible, pas d’évaluation des mécanismes de développement, les résulats peuvent refléter des efforts de cohortes
55
Les connaissances les plus sur sur le développement de l’enfant devraient
orienter les politiques sociales.
56
étude Préférable
études longitudinale et protocoles randomisés
57
compréhension de la période pré-natal
dans les 50 dernières années
58
Prénatal
conception, zygote, embryon, fœtus, naissance
59
Périnatal
du 7e mois de grossesse à la fin du premier mois de vie (naissance+ premiers ajustements du nourrisson, chevauche les deux autres périodes)
60
Postnatale
naissance à forever more ; environnement physique et social = les parents
61
Prénatal : 3 trimestres
1. 1 à 12 semaine DDM ; 2. 13 à 24 semaines DDM ; 3. 25 à 40 semaines DDM
62
AG (âge de gestation)
nombre de semaines depuis le premier jour DDM; Donc le fœtus a 2 semaines de plus que l’âge que post-conception
63
Conception
débute quand l’ovule est rejeté de l’ovaire dans les trompes de Fallope, fertilisation, combinaison des chromosomes=zygote (ovule fécondé, 46 chromosomes)
64
Germinale
période du zygote: de la conception jusqu’avant l’implantation du zygote, de 10 à 14 jours, très vulnérable; Toutes des étapes très sensibles ou il y a beaucoup d’interférences avec le développement humain normal
65
Zygote
1 à 3 jours : se déplace dans les trompes de Fallope et se divise
66
Morula
16 blastomères (solide) indifférenciés, différenciation débute 4 jours post-conception, si se divise en 2 embryons génétiquement identiques
67
Blastocyste (blastula)
environ 100 cellules différenciés, s’implante dans l’utérus 5 à7 jours post-conception, les cellules externes forment le placenta et les cellules internes l,Humain
68
Fin de l’implantation dans l’endomètre
10 à 14 jours post conception
69
Pendant préparation à l’implantation
sécrétions d’hormones (test de grossesse), inhibation des menstruations, empêche le système immunitaire de la mère de le rejetter
70
Si pas d’implantation
il y a menstruations
71
Grossesse ectopique
implantation hors-utérus: première cause de décès maternel lors du premier trimestre, on doit interrompre la grossesse
72
embryonnaire
2 à 8 semaines post-conception; production et migration de cellules indifférenciées
73
organogenèse
différenciation rapide des cellules pour former les organes et les systèmes de l’embryon
74
gastrulation
(mise en place des tissus fondamentaux) apparition du troisième feuillet le mésoderme entre les deux déjà présent endoderme et l’ectoderme
75
endoderme
organes internes
76
mésoderme
squelette, muscle, système cardiovasculaire
77
ectoderme
tissus externes (SNC), cheveux, peau, ongles
78
développement accru de la tête donc du cerveau
100 000 neurones par minute; période embryonnaire
79
6e semaine post-conception
mise en marche du système nerveux, 1eres ondes cérébrales enregistrées
80
8e semaine post-conception
presque tous les organes et systèmes sont formés
81
risques période embryonnaire
avortement spontanés et vulnérabilité aux agressions et aux produits tératogènes
82
fœtale
début de la construction du système osseux, croissance rapide du corps et mise en fonction des organes et systèmes; humain reconnaissable, moins vulnérable à son environnement
83
second trimestre
taille augmente très rapidement, préparation des organes et des systèmes à fonctionner hors de l’utérus
84
troisième trimestre
développement considérable des systèmes sensoriels et prise de poids
85
procréation médicalement assistée
plusieurs causes donne de la difficulté à concevoir pour les femmes et les hommes, l’alternative médicale choisie dépend de la cause de l’infertilité; certaines alternatives suscitent des controverses éthiques, médicales et sociales
86
insimination artificielle
si infertilité homme
87
don ou transfert d’ovule
infertilité femme, fécondation in vivo
88
transfert de gamètes sains
ovule et spermatozoide simultanément
89
transférés dans les trompes de Fallope
fécondation in vivo
90
transfert de zygote
fécondation in vitro
91
stimulation ovarienne
stimule libération des ovules, souvent combiné à une autre méthode
92
mère porteuse
contrat MP mène à naissance pour autre couple : peut etre ou non la mère biologique, sinon peut être in vivo ou in vitro
93
contreverses stimulation ovarienne
donne souvent grossesses multiples, donc plus de chances que les enfants soient prématurés donc plus de chance de problèmes de développement associé à cela
94
naissances de faible poid
prématurés (- de 37 semaine DDM) ou retard de croissance intra-utérin; apporte beaucoup de problématiques surtout si l’enfant pèse moins de 1000 g, enjeux les attendent, doit faire attention pour encourager leur développement optimal
95
environnement proximal
placenta (organe), hormones, échange de nutriments ; cordon ombilical (relie le placenta au fœtus et aux vaisseaux sanguins) ; sac amniotique stabilise la température du fœtus, renouveller par lui-même (déchets, absorption, etc) et aide au développement des poumons
96
Tératogène
substance qui provoque une modification du développement prénatal normal.
97
Le placenta n’est pas isolé du fœtus
il n’est pas étanche.
98
Thalidomide
scandale qui a marqué naissance de la tératologie (étude des malformations et des effets sur l’enfant exposé aux tératogènes)
99
Principes de la thératologie :susceptibilité
varie entre les espèces et les individus, recherche donc difficiles à mener, besoin de précaution; le génotype peut influer sur la susceptibilité à une ST
100
Principes de la thératologie: période critique ou sensible
sévérité des effets dépend quand l’exposition est survenue ( si arrive en plein développement d’un organe peut avoir conséquence grave) ; entre 3e et 8e semaine post-conception les effets sont très graves SNC : effets graves tout au long de la période pré-natal; Les effets sont souvent les plus importants au moment ou la femme ne sait pas qu’elle est enceinte
101
exemple effet alcool sur foetus
premier trimestre (dismorphologie faciales majeures), deuxième trimestre (risque d’avortements spontanés), 3e trimestre (anomalie de croissance)
102
Principes de la thératologie: accessibilité
donc comment le fœtus a accès à la substence et pendant combien de temps, ; si femme plus vielle, fœtus exposé plus longtemps aux substances ; la génétique a aussi une influence; les effets sont différents si la prise est régulière a petite dose ou épisodique mais à grande dose
103
tabac
augmente la métabolisation des substances
104
absorbés de facon cutanné, orale ou respiratoire
les effets sont différents de l'absorbtion des substances
105
Principes de la thératologie: relation dose-réponse (dose-effet)
corrélation; conséquence des substances plus importantes quand plus sévères
106
seuil maximal d’exposition
si on reste en dessous de ce seuil, aucun effets observables chez l’enfant
107
Principes de la thératologie: variabilité de la réponse ( de l’effet)
les ST n’ont pas tous les mêmes effets, mais certains peuvent être semblables (mortalité, malformations et croissance physique, comportement, développement moteur, cognitif, émotionel, social
108
Principes de la thératologie: inférences avec certains mécanismes
pour distinguer la différence entre les croyances et les explications scientifiques on doit trouver le mécanisme responsable de l’interférence
109
Principes de la thératologie: type d’effets
transitoires ou permanent ou irréversibles (peu s’atténuer ou s’intensifier) on peut les voir tardivement ou précocement, peut être significatif au plan statistiques, mais si différence entre deux groupes trop faible : pas significatif au plan clinique)
110
Alcool et grossesse
pire pour l’enfant que pour la mère, pas de différence entre les alcools
111
Tabac et grossesse
mortalité fœtale et postnatal, petit poids (même si non prématuré); A long terme : plus de comportements hyperactifs; Mécanismes d’actions : baisse du transport d’oxygène mère-fœtus, augmentation du rythme cardiaque fœtal, anomalies placentaire, interférence avec développement et différenciation cellulaire; Potentiellement affecté : développement cognitif, performence académique, vigilence auditie et visuelle
112
Substances en vente libre et grossesse
peu connu donc peu étudié
113
Aspirine et grossesse
plus de saignement chez la mère et le fœtus, problèmes de développement cognitif possibles
114
Vitamines et grossesse
doses massives peu entrainer malformations congénitales majeures (mais doit en avoir pour pas avoir de déficience)
115
rétinoides (acnée) et grossesse
doses massives peu entrainer malformations congénitales majeures
116
caféine et grossesse
diminution du poids à la naissance
117
amnioptérine (cancer) et grossesse
malformation faciale et congénitales, déficience intellectuelle
118
amphétamine (stimulant SNC, contrôle poids) et grossesse
retard de croissance intra-utérin, comportement agressif chez l’enfant ?
119
antibiotique (certains) et grossesse
perte d’audition, tâche sur les dents
120
anticonvulsif (épilepsie) et grossesse
malformation cardiaque, fissures labiales et palatines, croissance cranienne, déficience intellectuelle
121
hormones sexuelles et grossesses
problèmes cardiaques et circulatoire, problèmes de comportement et de personnalité, masculinasion embryons femelles
122
médicaments utilisé pour les traitement psychiatrique et grossesse
lithium, antidépresseur, calmants DIAPO 37
123
Drogues illicites et grossesse
Effets difficiles à démontrer, plusieurs difficultés méthodologiques (on ne connaît pas la concentration et les ingrédients connus dans les drogues) exposition simultané à d’autres facteurs de risque (diapo 38 et 39)
124
MTS et grossesse
Affecte la fertilité et les organes impliqués dans la conception donc peut être transmis prénatalement
125
Pollution environnementale et grossesse
produits chimiques dans l’air, dans l’eau et dans les aliments; Effets délétères lors d’empoisonnement
126
Caractéristiques maternels
Si 35 et+ plus de chance de problèmes de santé, si moins de 18 ans pas toujours prête, donc qualité des soins plus faible; Occupation emploi peut la mettre en contact avec substences non recommendés; Alimentation, stress psychologique (avec du soutien moins pire); Habitudes de vie; Dépendant de l’emploi elles peuvent être retiré du travail dès qu’elles savent qu’elles sont enceinte.
127
cerveau, développement moteur et croissance physique
Evoluent rapidement et sont influencés par l’environnement
128
cervelet
mouvements volontaires et coordination motrice
129
tronc cérébral
fonctionnement biologique de base
130
hypothalamus et glande pitulaire
rôle dans la croissance physique
131
cortex
subdivisé en régions qui ont des fonctions spécifiques
132
neurone
transmet des messages, myéline sur la plupart (substance grasse …)
133
cellules gliales (6)
procure matériel pour former la myéline ; nourissent les neurones ; participent à la migration des neurones ; contribuent aux fonctionnements cérébral ; participent ay traitement de l’information ; il y en a 10 fois plus que les neurones
134
développement des neurones
prolifération, migration et différenciation cellulaire
135
prolifération
production de nouvelles cellules nerveuses par division cellulaire
136
migration
déplacement des cellules à partir du tube neural jusqu’aux régions spécifiques du SNC (problèmes dans ca peut causer déficience intellectuelle et problèmes de comportements, les mécanismes d’action de l’alcool et du mercure ont aussi un lien)
137
différenciation cellulaire
développement du début de l’interaction synapsique, début fonctionnement, commence dans la période prénatale, mais se développe principalement au cours de l’enfance, est influencé par la qualité de la stimulation postnatale, modulé par l’expérience du fœtus du nourrisson et du jeune enfant, contribue à la croissance substantielle de la taille du cerveau
138
processus sous-jacents du développement cérébral
chaque hémisphère a ses fonctions spécifiques
139
plasticité
système immature peut remplacé autre région si les neurones sont endommagés, améliore le pronostic quand les dommages se produisent très tôt dans le développement
140
latéralisation
quand un hémisphère en vient à dominer plus qu’un autre ; présent à la naissance mais s’améliore beaucoup jusqu’à 2 ou 3 ans
141
Les premières tâches du nouveau-né
respirer avec ses poumons et de stabiliser sa température corporelle
142
Nait avec réflexes
mouvements involontaires qui surviennent en réponse à des stimulations, sont presque tous présents avant la naissance, comportements peu évolués comparé à ce qu’on va développé plus tard
143
2 groupes de réflexe
survie et archaiques-posturaux
144
Réflexes primitifs (archaiques) (6)
s’ils ne sont pas là ou s’ils disparaissenr trop tard au court de la première année c’est un signe que quelque chose cloche au niveau moteur; Evaluation pour voir si les réflexes sont trop ou pas assez forts; Agrippement, succion-déglutition, babinski (orteils en éventail), mouveemnt de tête vers source de stimulation (rooting), Moro (quand on le laisse tomber il lève les bras), réflexe tonique asymétrique du cou (truc de l’escrimeur)
145
Réflexes posturaux (5)
présence de réflexes vifs, reproductibles et facile à stimuler est souhaitable ; doit disparaître au cours des premiers mois de la vie, sont les premiers indicateurs du développement moteur; marche automatique ( on le tient et il avance sur ses pieds), extension des bras et des jambes, respiration sous l’eau, inflexion des jambes réaction en landau, rotation du corps
146
APGAR SCORING SYSTEM
codification des états de l’enfant pour voir à quel point l’accouchement a été difficile pour lui; Évaluation de l’état du nouveau-né ; Documente : les battements cardiaques, les efforts respiratoires, le tonus musculaire, les réflexes et la couleur de la peau; Administré à 1 et 5 minutes de vie, a 5 minutes permet d’évaluer à quel point il récupère de l’acouchement, si trop faible va en observation De routine dans les pays indistrualisés (fait par le médecin ou la sage femme); Sur 10 (deux points par critère)
147
CLNBAS
outil d’observation pour les parents pour évaluer le tempérament de leur enfant et d’ainsi savoir comment interagir avec lui (savoir si il réagit trop ou pas assez aux stimulations), réaction initiale vs est-ce qu’il y a une habituation rapide ou lente (pas fait à la maison), est-ce qu’il se console lui-même, peut évalué la sensorialité du nourrisson même si elle est encore faible, permet de détecter les problèmes tôt pour agir plus vite (sinon peut aller jusqu’à 18 mois …); Administré 3-4 jours après la naissance et au 2e mois post-natal
148
CLNBAS évalue
la réaction et l’habituation aux stimuli de l’environnement, la présence et la qualité des réflexes, la régulation des états, la sensorialité (vision et audition) et la capacité d’interaction avec l’adulte; Performance indicatrice de la condition neurologique, si réagit trop ou pas assez présente risque de présenter des difficultés au plan du développement dans les premiers mois de la vie.
149
Développement moteur
activité motrice = premier stade de la construction de connaissances ; lui permet de découvrir son corps
150
expérience visuo-motrice
met en jeu main et yeux (va mener à la conscience d’avoir une main et à sa position dans le corps)
151
stéréotypies
répétitions de mouvements sans but apparent (met en action les os, les articulations et les muscles), apparaît au cours de la première année de vie, avec les réflexes sont à la base des mouvements volontaires plus élaborés qui apparaitrons avec l’âge
152
contrôle posture, locomotion et préhension
étapes marquantes des premières années de vie. Développer ces habiletés mène à marcher indéoendemment (apprentissage monde qu’il l’entoure et donc développement cognitif accéléré), lui permet d’interagir avec l’environnement de nouvelle facon.
153
Contrôle postural
réfère aux étapes pour passer du coucher à debout
154
Maintien stable de la tête en position verticale
apparaît vers 2-3 mois (premiers jalons du développement moteur) est bien droit à 4 mois
155
Assis
vers 6-8 mois équilibre préquaire avant 8 mois
156
Debout sans aide
vers 11 mois (vers 8 mois avec appui)
157
Maturation muscles
cou, tronc, membres inférieurs; avant assis : dos très courbé (vers 4 mois, haut du dos moins courbé)
158
Maturation du SN
permet contrôle progressif des actions motrices selon deux directions: Céphalo-caudale et Proximo-distale
159
Céphalo-caudale
contrôle moteur progresse de la tête vers le bassin, le long de l’axe vertical
160
Proximo-distale
contrôle moteur progresse de la racine de membres jusqu’à leur extrémité
161
locomotion (6)
se tourner du ventre au dos et vice versa; avancer n’importe comment; ramper arrière, avant, tourne; marcher à quatre pattes; marcher latéralement avec support; puis sans appui, puis apprendre à reculer
162
différences individuelles importantes dans locomotion
le comment à chaque étape et respect ou non des étapes classiques
163
soutien sa tête
2-3 MOIS
164
assis sans soutien et debout avec appui
6 MOIS
165
tourne du dos au ventre, essai de ramper
7 MOIS
166
assois et debout sans aide
8 MOIS
167
marche latérale avec aide mobilier
9 MOIS
168
marche avec aide
10 MOIS
169
tient sur place sans tomber
11 MOIS
170
marche sans aide
12-14 MOIS
171
marche côté et reculons
15-16 MOIS
172
monte les marches
17 MOIS
173
commence à courir
18-19 MOIS
174
coups de pied sur ballon
20-24 MOIS
175
saute sur 2 pieds (quelques cms), se tient sur un pied quelques secondes, délaisse marche rapide et court
2-3 ANS
176
monte escaliers en alternant les pieds, saute environ 30 cm
3-4 ANS
177
descend escalier en alternant les pieds, saute à cloche pied
4-5 ANS
178
marche sur une poutre, saute 30 cm de haut et environ 1 m vers l’avant
5-6 ANS
179
fait boucles de chaussures et écrit des chiffres et des lettres
6-7 ANS
180
geste est constitué de deux mouvements
approche et capture de l’objet par la main
181
main à la bouche
première action orientée vers un but
182
préhension
outil d’exploration du monde
183
préhension fine est au service d’un intérêt envers les objets
elle est donc liée au développement intellectuel et social
184
Réussite dépend de beaucoup d’opérations motrices
qui deviennent de plus en plus précises avec le développement
185
utilise paume pour attraper objet
Vers 4 mois
186
utilise paume et doigts fléchis
6-8 mois
187
utilise le pouce et l’index en opposition (pince digitale)
9 mois; si il y a un problème là, on s’en rend compte car va déterminer la capacité de prendre les choses (peu avoir problèmes graphiques pour écrire)
188
préhension mieux en mieux ajustée aux propriétés de l’objet
8-12 mois
189
coordination main-main et œil-main
augmente avec l’âge
190
Asymétrie fonctionnelle
dissociation des deux côtés du corps pour effectuer des mouvements; émerge vers 5-6 mois, mais se raffine pendant la deuxième année de vie
191
adopte notion d’espace
Apprécie aussi la distance entre l’objet et le corps
192
1er ballayage
articulation en jeu = en partie en tout 3 articulations
193
habiletés motrices acquises entre 0 et 2 ans s’améliore en tant que (5)
coordination œil-main; équilibre; vitesses d’exécution; agilité; puissance-force; lui permet d’améliorer ses compétences d’interaction avec l’environnement
194
différences individuelles habiletés motrices
augmentent avec l’âge en raison des milieux sociaux et culturels
195
Déterminant du développement des habiletés motrices
souvent sous l’influence de facteurs biologiques, génétiques et environnementaux
196
contribution biologique habiletés motrices
se développe selon une séquence prévisible même chez les enfants présentant un retard de développement ; l’âge d’apparition d’une habileté motrice donnée est relativement stable chez l’enfant normal
197
contribution génétique habiletés motrices
plus de ressemblances et de concordances dans le développement d’habiletés motrices lorsque les enfants partagent un bagage génétique semblable (MZ vs HZ)
198
contribution environnementale
manque d’opportunités ou expériences ralentit l’acquisition de la préhension, la locomotion et le contrôle postural ; l’expérience favorise le développement optimal d’habiletés motrices complexes
199
différences culturelles
les différences se trouvent principalement dans l’âge d’acquisition des jalons du DM et sont attribuables aux pratiques parentales spécifiques à la culture
200
croissance
réfère à l’accroissement de la taille du corps et des organes
201
principaux indicateurs croissance
poids, taille et périmètre cranien; indicateurs sont comparés à une norme, laquelle est définie en fonction de l’âge chronologique, du sexe et de l’ethnie
202
rythme de croissance du corps
influence plusieurs aspects du développement moteur, cognitif, social et émotionnel
203
Taille
plus rapide pendant les 4 premiers mois post-conception, lors des 6 premiers mois post-nataux = accroissement rapide, taille augmente deux fois plus vite à l’adolescence qu’à l’enfance
204
Poids
gain de poids plus rapide = semaines qui suivent la naissance, poid naissance a doublé vers 4 mois et triplé vers 12 mois
205
Les organes et systèmes spécifiques
se développent à des rythmes différents de celui du corps
206
Le rythme de croissance d’un organe ou système
dépend de son importance dans le fonctionnement humain.
207
La croissance du corps se fait selon deux axes
céphalo-caudale et proximo-distale.
208
Déterminants de la croissance physique: Facteurs génétiques
grandes similitudes intrafamiliale, grande différence internethnique et culturelle
209
Déterminants de la croissance physique: Influences hormonales
hypothamalus : gardien du code génétique pour la taille, agit sur la glande pitutaire laquelle produit des hormones impliquées dans la croissance ; régularise le rythme de croissance jusqu’à ce que la taille génétiquement déterminée soit atteinte
210
Déterminants de la croissance physique: nutrition et santé
s’il atteint son poid préprogrammé, pas nécessaire que la carence soi majeure, l’anémie infantile doit être réglée avant que l’enfant ai 9 mois
211
Déterminants de la croissance physique: socio-émotionnels
caractéristiques et comportements parentaux et des enfants, relation parent-enfant, attitudes des parents par rapport à l’alimentation
212
Déterminants de la croissance physique: facteurs générationnels
amélioration des connaissances de la nutrition et des services de santé
213
perception individuelle et attitudes sociales
influencées par les caractéristiques physiques, notamment la taille et le poids
214
estime de soi
semble être inférieur chez les enfants obèses, mais n’est pas associé à la taille
215
taux d’obésité chez l’enfant et l’adolescent
en amérique du Nord on assiste à une augmentation épidémique
216
l’utilisation des hormones de croissance pour accroitre la taille
soulève des questionnements médicaux et éthiques
217
LA CONTRIBUTION DES FACTEURS GÉNÉTIQUES AU DÉVELOPPEMENT
Avant on pensait que quand l’enfant naissait, il était comme un tableau vierge
218
Gène
section d’ADN codant pour former une protéine
219
Génotype
ensemble des traits génétiques hérités, potentiel inné d’un individu (ADN)
220
Phénotype
ensemble de traits observables manifestés par un individu, produit du génotype et de l’expérience (environnement), se mesure (ex. tempérament, QI)
221
Phénotype n’égale pas le génotype
environnement a une influence sur le développement
222
ce qu’on sait sur le rôle des gènes sur le développement découle
des observations directes du génotype et des associations entre gènes et phénotype (pas encore donné de résultats, regarder si un gène est responsable d’une propension) ET des inférences (déductions) suite à l’observation d’individus dont on connaît la relation génétique
223
le tout dépend des principes de la transmission héréditaire et de l’organisation du matériel génétique
on pensait que trouver des bouts d’adn allait être associés à une pathologie, mais ca marche pas vraiment comme ca (ce qui est trouvé ce sont des petites fonctions) : il y a des bouts récurrents pour la dyslexie par exemple
224
Avant Mendel
pensait que l’hérédité se faisait par mélange génotypes parents
225
1866 : Mendel propose la première théorie particulaire de l’hérédité
facteurs transmis intacts d’une génération à l’autre, dominant et récessif; les génotypes de la première et de la deuxième génération ne sont pas pareils
226
1900, découverte des chromosomes
segments en forme de torsades porteurs des gènes
227
1953 : Watson & Crik
décrivent la structure des chromosomes et leur processus de transmission
228
2003 : Projet Génome Humain
a établi la séquence des 3 milliards de paires de bases du génome humain
229
bombre de cellules dans l'être humain
100 billions de cellules dans l’être humain
230
cellules contiennent combine chromosomes
46 chromosomes ;
231
gamètes contiennent combien de chromosomes
23 chromosomes
232
chromosomes
chaine d’ADN organisée en torsade double, ensemble 46 chromosomes = de 20 à 25 000 gènes
233
allèle
forme que peut prendre un gène
234
gène composé d’environ 1000 paires de nucléotides
séquence différente pour chaque gène et contient information pour la production d’une protéine ou d’une enzyme
235
nucléotides
plus petites unités du matériel génétique, pairés selon un ordre précis, adénine-tymine et cytosine-guanine
236
gènes fonctionnels
2% des paires de nucléotides codent la production de protéines (exons) ; 98% ADN est non codant : gènes régulateurs (modifient, activent ou arrêtent la fonction d’autres gènes) ou rôles inconnus
237
caryotype
photomicrographie des 46 chromosomes d’un individu (montre anomalies),
238
autosomes
chromosomes 1 à 22
239
XX ou XY
déterminent de sexe, 23e paire
240
méiose
division cellulaire en gamète avec la moitiée de l’ADN
241
crossing-over
échange d’ADN entre chromosomes homologues en début de méiose
242
fécondation
combinaison des gamètes donne le zygote et plus de 64 billions de combinaisons génétiques possibles par couple
243
mitose
division cellulaire pour la reproduction d’ADN
244
le pairage fixe des nucléotides A-T, C-G,
assure la reproduction intégrale du matériel génétique dans chaque cellule
245
humain = organisme diploide
2 allèles par gène
246
formes possibles du gène
2 ou +
247
allèle dominant
détermine seul la fonction du gène
248
allèle récessif
en double détermine la fonction du gène
249
homozygote
allèles identiques
250
hétérozygotes
allèles différents
251
dominance complète
manifestation de l’allèle dominant
252
codominance ou dominance incomplète
2 allèles influencent le trait, donc pas de dominance
253
locus
position d’un gène sur le chromosome
254
transmission polygénique :
implique 2 ou + gènes; 1 gène donne 3 génotypes possibles (Nn, NN, nn); 2 gènes donne 9 génotypes possibles (aabb, aabB, aAbb, aaBB, aAbB, Aabb, aABB, AAbB, AABB) ; ressemble à une courbe normale (quand il y a beaucoup de gènes) ; explique en partie pourquoi on se dit que les gènes sont répartis de facon normale dans la population
255
les gènes ne causent pas directement
le phénotype
256
protéomique
étude des processus biochimiques des gènes à la création de protéines
257
transcription
: ADN vers mARN vers cytoplasme
258
traduction
création de la protéine via mARN
259
Épigénétique
Modifications transmissibles de l’expression des gènes par l’environnement: ADN intact, mais expression modifiée et Ces modifications sont inscrites dans l’ADN et peuvent être transmises
260
Empreinte génomique
Expression différente de gènes selon qu’ils viennent du père ou de la mère
261
Mutation génétique
changement dans les bases qui composent un gène par substitution, délétion ou insertion de bases (si non fatal, peut être transmis génétiquement)
262
anomalies congénitales
Exemple DRD4
263
Un petit nombre de mutations sont responsables de maladies transmises par les gènes
plus souvent récessifs, car quand dominant pas le temps de se reproduire; fausses-couches : mutations fatales
264
certaines anomalies récessives se manifestent chez les garçons, mais les filles sont plus souvent porteuses
quand c’est sur le 23e chromosome
265
transmission d’une anomalie par gène dominant
la maladie d’Huntington (manifestations plus sévères si transmisent par le père)
266
transmission d’une anomalie par gène récessif
anémie falciforme, fibrose kystique (dans le cas de l’anémie falciforme, les porteurs peuvent avoir quelques symptômes)
267
transmission d’une anomalie liée au sexe
l’hémophilie (une fille peut être hémophile si son père est hémophile et que sa mère est porteuse)
268
Anomalies des chromosomes
des chromosomes ou portions de chromosomes peuvent être présents ou en trop
269
majorité des anomalies chromosomiques sont fatales et si elles ne le sont pas affectent profondément le développement (maladies congénitales) :
par la présence d’un chromosome en trop sur les paires 13, 18 ou 21; par l’absence d’un segment de chromosome (syndrôme du cris du chat, 5e chromosome pas intact); par un chromosome sexuel en trop ou en moins
270
méthode pour départager les sources d’influence qui expliquent les différences individuelles (4)
quelles proportions des différences entre les individus sont attribuables aux gènes à l’environnement ?; quels gènes et quelles caractéristiques environnementales sont impliqués dans la production et la variation des phénotypes ?; comment les influences génétiques et environnementales se combinent-elles pour produire des différences phénotypiques ; seulement phénotypes ou y a t’il des comportements différents entre individus ?
271
TROIS FAMILLES DE MÉTHODES EN GÉNÉTIQUE DU COMPORTEMENT
Inférences à partir de l’Observation du phénotype d’intérêt chez des personnes apparentés à des degrés divers; Étude de gènes spécifiques potentiellement impliqués dans la production d’un phénotype donné; Étude des interrelations génotype-environnement
272
Étude des interrelations génotype-environnement :
à partir d’observations phénotypiques et de caractéristiques environnementales mesurées; à partir de gènes spécifiques et de caractéristiques environnementales mesurées
273
Inférence basée sur l’observation phénotypique
Principe : si un trait possède une base génétique, les individus apparents devraient se ressembler pour ce trait davantage que les individus non-apparentés; Mais : les personnes apparentés partagent souvent des gènes et un environnement; Donc : pour départager la part de la variance du trait attribuable aux gènes, il faut contrôler la ressemblance environnementale
274
Jumeaux identiques (MZ)
issus d’un même ovule fécondé donc partagent 100% de leurs gènes
275
Jumeaux fraternels (DZ)
issus de deux ovules fécondés et partagent en moyenne 50% de leurs gènes comme les frères et sœurs normaux
276
Les deux types de jumeaux vivent dans des environnements très semblables (intra-paire)
Si jumeaux MZ sont plus similaire pour un trait cela veut dire qu’il y a une base génétique
277
Notion d’héritabilité : comparaison formelle de la ressemblance intra-paire des jumeaux MZ & DZ permet d’estimer l’héritabilité (5)
la part de la variation d’un phénotype qui est attribuable aux différences génétiques entre individus; statistiques de population, qui ne dit rien sur les individus (ex. la différence entre toi et la moyenne est expliqué à 50% par l’héritabilité); varie entre les populations et dans le temps ; ne permet pas d’identifier les gènes impliqués dans la variation interindividuelle; le reste de la variance est attribuable à l’environnement
278
héritabilité ne veut pas dire qu’il y a influence des gènes
pas d’héritabilité associé au fait d’avoir une tête; pas d’héritabilité si pas de différences individuelles
279
Composantes de la variance
2 types de variance d’origine génétique: Additive (A) et non-additive (D)
280
Additive (A)
variance d’un trait est attribuable à l’effet cumulatif de plusieurs gènes
281
Non-additive (D)
variance d’un trait est attribuable à plusieurs gènes qui interagissent, par effet de dominance ou parce qu’un gène modifie l’expression d’un autre
282
2 types de variance d’origine environnementale
environnement commun C et environnement unique E
283
environnement commun (C)
toute influence environnementale qui augmente la ressemblance intra-paire des jumeaux
284
environnement unique (E)
toute influence environnementale qui diminue la ressemblance intra-paire des jumeaux, inclut l’erreur de mesure du trait
285
selon le patron de différence de corrélation
on déduit ainsi quelle combinaison de ces différentes composantes est la plus probable
286
LES études d’adoption (3)
basées sur la ressemblance phénotypique d’individus qui ne sont pas génétiquement apparentés : la corrélation génétique entre enfants adoptés et parents adoptifs = 0; une ressemblance phénotypique entre frères et sœurs adoptés ou parent adoptants et enfants adoptés est attribuable à l’environnement; limite : placer les enfants en adoption dans une famille semblable à leur famille biologique peut invalider la prémise voulant que la corrélation génétique = 0
287
analyse de liaison
toujours présence d’un allèle ou du gène candidat, toujours en présence du phénotype d’intérêt, toujours absence de l’allèle en absence du phénotype (utile pour identifier gènes à effets majeurs)
288
analyse d’association
analyse de la probabilité qu’un allèle d’un gène candidat soit associé à un phénotype (utile pour identifier gènes associés à des phénotypes qui varient de façon continue)
289
Interrelations génotypiques-environnementales: basées sur des observations phénotypiques
un certain phénotype héritable est-il associé à un environnement en particulier ? (corrélation G-E) ET l’héritabilité d’un phénotype varie-t-elle selon les carctéristiques de l’environnement (interaction GxE)
290
Interrelations génotypiques-environnementales: basées sur des variations génétiques spécifiés
est-ce qu’un gène s’exprime différement selon les caractéristiques de l’environnement (interaction GxE)
291
Corrélation génotype-environnement
Processus par lequel un phénotype et les gènes qui influencent sa variation, se retrouvent associés à une caractéristique environnementale
292
corrélation passive
les gènes sont transmis en même temps que l’environnement
293
corrélation active
niche-picking, les individus présentant un certain phénotype vont chercher activement un certain environnement
294
corrélation réactive
les individus montrant un certain phénotype provoquent une réaction de l’environnement
295
l’importance respective de la variance génétique par rapport à la variance environnementale
peut varier selon une mesure de l’environnement
296
Intéraction GxE
gènes spécifiques et environnement mesuré
297
L’exposition à un environnement à risque ou enrichissant
peut modifier l’association entre les allèles d’un gène et un phénotype
298
Diathèses-stress
un allèle d’un gène est associé à un trouble développemental, mais seulement si l’individu porteur est exposé à un risque de l’environnement
299
Susceptibilité différentielle
une même allèle sera associé à un phénotype négatif dans un environnement à risque et à un phénotype positif dans un environnement enrichissant