exam 2 Flashcards

1
Q

1- La crise déclenchée par une remise en question identitaire appartient exclusivement à la période adolescente, vrai ou faux?

A

FAUX, avant oui, mais aujourd’hui on croit plutôt que l’humain est en perpétuel changement toute sa vie.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
2
Q

Plutôt que de les diriger, quelle approche doit avoir les parents avec leurs adolescents face aux différents choix qu’ils doivent prendre, que ce soit au niveau identitaire, professionnel et interpersonnel?

A

Ils doivent les accompagner et les guider vers des choix identitaires, professionnels et interpersonnels qui leur permettrons de s’épanouir.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
3
Q

Quel est le principal but psychosexuel du stade génital de Freud?

A

L’ouverture à la sexualité adulte (canalisation des pulsions sexuelles vers la vie conjugale (mariage) et la reproduction constituent une adaptation saine pour se dernier stade.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
4
Q

Selon Érikson, comment se protège les adolescents contre les émotions désagréables de la crise d’identité?

A

S’identifier à des groupes de pairs : fusionner leurs identités individuelle à celle d’un groupe. (le groupe devient une base de sécurité)

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
5
Q

Selon Marcia, quels sont les deux facteurs importants dans la quête de l’identité de l’adolescent?

A

Questionnement (lié aux choix que la personne doit faire, remise en question, et prise de décision)
Engagement (résultat du processus de questionnement, engagement envers un rôle ou une idéologie)
L’ado peut avoir vécu ou non un questionnement ou engagement

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
6
Q

Sur quelle période de temps se poursuit la quête de l’identité personnelle?

A

Tout au long de la vie.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
7
Q

À quoi sont fortement liés les rôles de genre et de l’identité de genre?

A

La norme et culture

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
8
Q

Comment évolue l’estime de soi au cours de l’adolescence?

A

Elle baisse légèrement au début de cette période pour augmenter ensuite de manière régulière et substantielle. Adulte de 19-20 ans, image plus positive qu’à 8-11 ans.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
9
Q

À quoi est lié la baisse de l’estime de soi au début de l’adolescence?

A

Lié au changement d’école, aux changements pubertaires.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
10
Q

Que désigne le terme identité ethnique?

A

Désigne le sentiment d’appartenance à un groupe ethnique.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
11
Q

Les jeunes qui font partie d’une minorité ethnoculturelle doivent acquérir deux identités au cours de leur adolescence. Quelles sont-elles?

A

Identité individuelle lié à la culture dominante et identité ethnoculturelle lié au groupe d’origine.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
12
Q

Pour atteindre l’autonomie affective, l’adolescent/e doit apprendre quoi?

A

Doit apprendre à réguler ses émotions, à s’apaiser et à répondre à ses besoins d’attachement sans avoir recours à sa base de sécurité (à ses figures parentales)

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
13
Q

Le bien-être et le bonheur de l’adolescent est plus fortement corrélé à la qualité de leurs relations avec leurs pairs qu’à la qualité de leur attachement à leurs parents, vrai ou faux ?

A

FAUX, il est plus fortement lié à la qualité de leur attachement à leurs parents qu’à la qualité de leurs relations avec leurs pairs.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
14
Q

Qu’est-ce qui fait en sorte qu’à l’adolescence, on n’idéalise plus ses parents?

A

Puisque c’est à l’adolescence que l’on commence à percevoir les bons et les moins bons côtés de ses parents et donc à ne plus les idéaliser. Plus développe leurs capacités cognitives, plus ils acquièrent la capacité de penser au concept d’attachement, et plus ils peuvent réfléchir sur leurs relations et donc faire des choix qu’en à leur figure d’attachement.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
15
Q

Les adolescents homosexuels et lesbiennes prennent conscience de leur attirance pour des personnes de leur sexe vers quel âge?

A

11 – 12 ans

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
16
Q

Qu’est-ce qu’on appelle la prise de rôle?

A

Capable d’envisager une situation du point de vue d’autrui

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
17
Q

Comment un parent peut influer sur le développement moral de son enfant?

A

Un parent qui exprime ses valeur morale dans des termes qui correspondent au niveau de compréhension de son enfant.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
18
Q

Quelle est la première cause de mortalité chez les 10-18 ans?

A

Suicide.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
19
Q

Bien qu’il n’y a pas de consensus dans la littérature sur la définition, à quoi sont généralement associés les conduites à risque à l’adolescence?

A

Notion de danger, de perte et de conséquences négatives consécutives à l’engagement dans une activité risquée. Conséquences positives : plaisir et développement personnel (dépendamment du contexte).

20
Q

L’engagement répété dans des conduites à risque est associé à un taux de morbidité et de mortalité important chez les adolescents, vrai ou faux ?

A

Vrai, selon les études épidémiologiques, l’engagement répété dans des conduites à risque est associer aux taux élevé de morbidité et de mortalité chez les adolescents (relations sexuelles non protégées, consommation abusive d’alcool).

21
Q

Toutes les conduites à risque chez les adolescents sont pathologiques, vrai ou faux ?

A

Faux, la majorité des conduites à risque s’inscrivent dans un processus développementale normal, correspondant à des comportements exploratoires ou expérimentaux normatifs propres à l’adolescence. Donc pas intrinsèquement pathologique, mais si répété et persistants, ça peut.

22
Q

Selon Michaud (1998, 2006), il y a une distinction entre des conduites « exploratoires » ou « expérimentales » et des « conduites à risque ». Bien que les « conduites à risque » soient plus rares, quels sont les 2 autres critères pour qu’on puisse parler de « conduites à risque » ?

A

Conduite à risque :
- Être répété ou s’inscrire dans la durée.
- Non adaptation, dépasser le cadre d’une exploration typique de l’environnement. Ex. délits, consommation fréquente.

23
Q

Qu’est-ce que désigne la résilience individuelle en psychologie ?

A

La résilience individuelle consiste à la capacité d’une personne à rebondir ou à s’adapter face à des situations adverses, tout en étant capable de garder ou de retrouver un état de bien-être psychologique.

24
Q

La résilience familiale est simplement la somme des résiliences individuelles inhérentes à chacun des membres de la famille, vrai ou faux ?

A

FAUX, la résilience familiale inclut les interactions, le soutien mutuel et les dynamiques collectives qui contribuent à la capacité globale de la famille à surmonter des épreuves. Elle équivaut à plus que la somme des résiliences individuelles.

25
Q

À quel moment la résilience se développe, qu’elle soit individuelle ou familiale ?

A

La résilience se développe lors d’expériences de stress ou d’adversité. Se développe grâce aux ressources internes et externes et des apprentissages à travers les épreuves.

26
Q

Identifie deux traits de caractéristiques présents chez les membres de la famille qui contribueraient significativement au processus de résilience.

A
  • La communication ouverte et honnête
  • Le soutien émotionnel mutuel
27
Q

5- La résilience familiale est un processus linéaire, vrai ou faux ?

A

FAUX, ce n’est pas un processus linéaire, elle fluctue avec les défis rencontrés, les ressources disponibles et les interactions entre les membres.

28
Q

Qu’est-ce qui, entre autre, peut prédire la résilience des jeunes?

A

Relation de qualité avec des pairs ou des adultes.

29
Q

Que va intégrer un enfant qui peut se fier sur ses parents pour répondre de façon sensible, prévisible et chaleureuse à ses besoins?

A

Intègrera donc qu’il est aimable, qu’il a de la valeur et que les autres sont dignes de confiance et disponible lorsqu’il en a de besoin.

30
Q

3- Le cumul de traumas et d’expérience de vie adverses durant l’enfance est associé à un risque accru de souffrir de divers troubles de santé physique à l’âge adulte, vrai ou faux ?

A

VRAI, obésité, cancer, fibromyalgie, douleurs chroniques, problèmes digestifs, maladies cardiaques, pulmonaires ou hépatique (hyper ou hyposécrétion d’hormones de stress peuvent être la cause de l’apparition de ces maladies) développement neurologique perturbé peut mener à des difficultés sur le plan émotionnel, social, cognitif.

31
Q

En référence aux comportements des jeunes ayant vécu des traumas, en ciblant les cause sous-jacentes plutôt que les symptômes apparents, quels en seront les impacts sur l’intervention et les comportements du jeune?

A

Interventions plus efficaces et les comportements inadaptés s’éteindront plus facilement.

32
Q

Quand on partage aux jeunes notre hypothèse concernant les causes sous-jacentes à leurs comportements, il est important que le jeune soit en accord avec notre proposition afin que cette stratégie soit efficace, vrai ou faux ?

A

FAUX, pas nécessaire.. si ça fait du sens

33
Q

Il est possible que le même comportement d’un jeune soit adapté lorsqu’il est dans un environnement chaotique et imprévisible mais inadapté dans un environnement sécuritaire, vrai ou faux ?

A

VRAI, comportement solidement enracinés dans leur mode de fonctionnement.

34
Q

Complète la phrase : Les jeunes ayant vécu des traumas ont été si souvent blessés qu’ils peuvent avoir de la difficulté à croire…

A

Qu’ils peuvent se fier a aux adultes afin de répondre à leurs besoins.

35
Q

Quels sont les deux besoins sur lesquels il est important de mettre l’accent avec les jeunes ayant vécu des traumas?

A

Attachement et soins de la part d’adultes stables

36
Q

Afin de favoriser un sentiment de sécurité chez les jeunes ayant vécu des traumas, il est important de bannir quel type d’intervention?

A

Discipline, rigidité, contrôle, punitions

37
Q

Qu’est-ce qu’il est pertinent d’offrir aux jeunes pour qui la nouveauté et le changement peuvent être vécu difficilement?

A

Prévisibilité par le biais de routine quotidiennes personnalisées

38
Q

Que permettent les routines de régulation?

A

Relâcher leur trop-plein d’énergie ou de se reconnecter avec leur environnement, agir en prévention de dérégulation ultérieures et aident à expérimenter différentes stratégies de régulation pour choisir ce qu’il préfère.

39
Q

Que permet l’utilisation d’un objet transitionnel dans les routines de transition?

A

Rassurer le jeune pour créer un pont entre les deux activités. (Moment de transition)

40
Q

Quels types de situation de stress déclenchent ce que l’on nomme les réponses de « combat ou de fuite »?

A

Un danger est perçu, mais l’issue est incertaine.

41
Q

Quelles sont les deux réponses qui sont associées au niveau le plus élevé de stress?

A

Figer ou se soumettre

42
Q

L’activation répétée de la réponse au stress favorise le développement d’un cerveau orienté vers la survie au détriment d’un cerveau orienté vers quoi?

A

L’activation répétée de la réponse au stress favorise le développement d’un cerveau orienté vers la survie, au détriment d’un cerveau orienté vers la croissance, l’apprentissage, et la régulation émotionnelle. Cela limite la capacité de réflexion, de résolution de problèmes et de connexion sociale.

43
Q

La double réalité du trauma complexe renvoie généralement :

A

À la nature chronique et cumulative des événements traumatiques (souvent multiples et interconnectés) et
aux effets dévastateurs sur le développement global de la personne, incluant ses relations interpersonnelles et sa perception de soi.

44
Q

Les deux caractéristiques inhérentes au trauma complexe qui expliquent en partie ses impacts sévères et durables sont :

A
  • La chronicité : Ces traumas s’étendent sur une longue période, souvent durant des étapes critiques du développement.
  • Le lien avec des figures d’attachement ou des milieux significatifs : Lorsque les personnes responsables du bien-être de l’individu sont aussi la source de la menace, cela intensifie les blessures émotionnelles.
45
Q

Le cumul de formes distinctes de victimisation est associé à des difficultés plus importantes que de vivre une seule forme de victimisation, même si cette dernière est répétée, vrai ou faux ?

A

VRAI. Les recherches montrent que la polyvictimisation augmente la gravité et la diversité des impacts négatifs sur la santé mentale, physique et sociale.