exam 1 pratique inf 2 Flashcards

1
Q

les différents niveaux/stades du développement du jugement moral selon la théorie de Kolhberg

A
  1. Niveau pré-conventionnel stade 1: Punition
    À ce stade, le jugement moral est basé sur la peur de la punition et le désir d’éviter les conséquences négatives. Les individus se préoccupent principalement de leurs propres intérêts.
  2. Niveau pré-conventionnel stade 2: Intérêts personnels
    Dans ce stade, le comportement moral est déterminé par la poursuite de récompenses personnelles. Les individus agissent de manière à obtenir des avantages pour eux-mêmes.
  3. Niveau conventionnel stade 3: Conformité, conformisme
    À ce stade, les individus commencent à prendre en compte les attentes sociales et les normes sociales pour déterminer ce qui est moral. Ils cherchent à plaire aux autres et à être acceptés. Se lève quand les autres se lèvent au bip.
  4. Niveau conventionnel stade 4: Loi et ordre social
    À ce stade, le respect des règles, des lois et des obligations sociales est essentiel. Les individus jugent les actions morales en fonction de leur conformité aux normes sociales établies. Autorité aussi.
  5. Niveau post-conventionnel stade 5: Autonomie morale, principe universel de justice
    Stade de moralité conçue en termes d’utilité sociale. Caractérisé par l’autonomie morale. Distingue clairement les droits et valeurs morales, d’une part, et les droits légalement reconnus, d’autres part. Concilie les points de vue opposés de manière formelle en termes d’impartialité objective, d’égalité de la règle. Implique des modes de pensée intériorisés contrairement aux niveaux précédents. Donc implique un effort pour définir les valeurs et les principes qui ont une validité. Le contrat social
  6. Niveau post-conventionnel stade 6: Principes éthiques universels
    Stade de la moralité conçue en termes de principes éthiques universels
    Adhésion aux principes universels de justice: - Respect de la personne humaine - Égalité des droits de la personne humaine
    Les règles et conventions sociales sont jugées en fonction de ces principes
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2
Q

Identifier les principes éthiques

A

Principe central : respect de la personne
Respect de l’autonomie, bienfaisance, caring et justice.

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3
Q

Distinguer les responsabilités légales reliées au statut juridique de la profession (civile, pénale et professionnelle)

A

Trois conditions sont nécessaires à la responsabilité civile :
 La faute
 Le préjudice
 Le lien de causalité

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4
Q

Responsabilité pénale

A

L’infirmière engage sa responsabilité pénale lorsqu’elle enfreint les règles de la société (ex. vol, voie de fait, donner la mort à autrui)
Principale source: Loi : Code criminel
Visée : Sanctionner un comportement

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5
Q

Responsabilité professionnelle

A

Obligations professionnelles de l’infirmière telles que déterminer dans différentes lois
Principales sources: Loi : Code des professions, Loi sur les infirmières et infirmiers, Code de déontologie des infirmières et infirmiers
Visée : Protéger le public et assurer un service infirmier de qualité

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6
Q

les valeurs cible dans la gestion du diabète

A

personne non atteinte de diabète:
à jeun/avant les repas=[4-7], postprandial/2hrs après les repas=[5-8]
personne atteinte de diabète:
à jeun/avant les repas=[4-7], postprandial/2hrs après les repas=[5-10]

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7
Q

signes et symptômes de l’hypoglycémie

A

neurogène (plus bas ou égale à 3,1): tremblements, transpirations, anxiété, faim urgente, nausées, picotements mains/pieds

neuroglycopénique (plus bas ou égal à 2,8) :
difficultées de concentration, confusion, faiblesse, somnolence, altérations de la vue, difficultées d’élocution, étourdissements, céphalées
*cas graves

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8
Q

causes possibles de l’hypoglycémie

A

1.diminution de la qté d’aliments (mange moins qu’à l’habitude, repas n’a pas de glucides, personne ne mange pas etc)
2. dose trop forte/erreur médic diabète (insuline ou antihyperglycémiants)
3. surplus d’exercice

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9
Q

signes et symptômes de l’hyperglycémie

A

Soif excessive (+bouche sèche), urination fréquente, fatigue, faim exagérée, étourdissements, perte de poids involontaire, irritabilité et vision floue sont typiques de l’hyperglycémie

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10
Q

prévetion de l’hyperglycémie

A

-ne pas oublier de prendre la médic antihyperglycémiante
-respecter le plan alimentaire
-demeurer actif et bien hydraté
-palper les régions d’injection pour éviter d’injecter l’insuline dans la lypohyperthrophie

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11
Q

gestion d’une hyperglycémie

A

-boire + d’eau
-bouger
-consulter au besoin

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12
Q

les 4 piliers de l’équilibre du diabète

A

1.activité physique
2.alimentation saine et équilibrée
3.soins et traitements
4.gestion du stress

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13
Q

facteurs pouvant influencer le diabète

A

-prob santé influant l’appétit
-incapacité à s’alimenter
-jeûne pour investigation (idk wtf this is but it sounds like you)
-gain ou perte pondérale significatifs
-médication
-stress physique intense
-insuffisance rénale ou hépatique
-covid

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14
Q

points essentiels sur le diabète concernant la santé mentale

A
  1. les troubles de santé mentale, particulièrement la dépression, l’anxiété et les troubles alimentaires sont fréquents avec le diabète
    2.les prob de santé mentale augmentent le risque de diabète/complication diabétiques
    3.les patients qui prennent des psychotropes ont besoin d’un dépistage métabolique
    4.il est important de dépister les dépression et l’anxiété chex les patients diabétiques
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15
Q

évaluation du client présentant un diabète nouvellement diagnostiqué

A

1.aspect cognitif: compréhension de sa maladie, niveau de littératie
2.aspect psychomoteur: motricité fine, accuité visuelle
3.aspect affectif: son feeling par rapport à se faire les injections etc

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16
Q

hypoglycémie et conduite automobile

A

glycémie sécuritare avant de chauffer = 5 et plus –> good to go pour au moins les 40 prochaines minutes (si conduite en continu pris de glycémie q4h et prévoir snacksss)
-si elles est en bas de 5–> prendre 15 g de glucides et revérifier les glycémie 15 min après

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17
Q

objectifs alimentaires diabète

A

1.atteindre et maintenir un contrôle métabolique (normaliser les glycémies, normaliser les lipides, normaliser la tension artérielle)
2. prévenir et traiter les complications liées au diabète et les comorbiditées associées (gestion du poids)
3. améliorer ou maintenir la santé/qualité de vie (changement des habitudes de vie)
4. rencontrer les besoin nutritionels des individus (préférences personnelles, familiales et culturelles)

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18
Q

recommadations alimentaire pour diabétiques

A

-manger 3 repas équilibrés et réguliers
-manger des bons gras
-consommer des fibres combinées avec eau
-boire eau, utiliser les jus/boissons sucrées au moments appropriés
-faire attention avec l’alcool (hypoglycémiant)
-manger à sa faim
-prévoir collations

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19
Q

pourquoi est-ce que c’est préférable de perdre du poids quand t’es diabétique

A

amélioration de:
-sensibilité à l’insuline
-contrôle de la glycémie
-TA
-taux de lipides bruh

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20
Q

recommandation exercice physique pour diabétiques

A

-150 min/sem exercices aérobique modérés ou intenses
-exercices de contre résistance au moins 2x/sem
-fixer des objectifs d’AP avec l’équipe multidisciplinaire
-évaluer la santé du patient pour prescire un programme d’exercice approprié

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21
Q

ordre des systèmes de l’évaluation par systèmes

A

en procédant de la tête aux pieds:
1.observation générale:
apparence visage, posture, articulation, débit, odeur.. signes vitaux, pqrstu

2.système neuro:
état de conscience, orientation temps et lieu

3.syst respi:
fréquence rythme aplitude.. efforts respiratoires, tirage, muscles accessoires,cyanose, toux
appareillage O2 …

4.syst cadriovasc:
pouls, TA, remplissage capillaire,
appareillage IV

5.syst urinaire:
fréquence et qté mictions, caractéristiques de l’urine, présence globe vésical
appareillage genre sonde

6.syst digestif et abdo:
diète, hydratation, nausées/vomissements, selles, distensions de l’abdomen
appareillage tubes, gavages, stomies

7.syt tégumentaire:
couleur de la peau, intégrité, turgescence
pansements, sutures

  1. syst musculosqulettique:
    déformations, démarche, équilibre
    appareillage canne, attelle, plâtre
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22
Q

norme de documentation pour la détermination d’un PTI

A

-tout client hopitalisé/CHSLD–> PTI

sinon

requiert-il un suivi déterminé par l’inf à partir de son évaluation?
si oui–>PTI
si non–>pas de PTI

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23
Q

facteurs influençant l’élimination intestinale

A

veillissement
apport liquidien
alimentation
activité physique
habitudes (intimité, horraire, régularité)
douleur
médics
certaines maladies

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24
Q

causes diarrhée

A

-stress émotionel->motilité intestinale et sécrétion de mucus

-infection intestinale->inflammation muqueuse,sécrétion accrue de mucus

-allergie alimentaire->digestion compromise

-intolérance alimentaire-> motilité mucus

-alimentation par gavage-> attraction des liquides dans le tractus G-I

-medics ou suppléments-> irritation muqueuse intestinale, altération de la flore

-laxatifs: motilité augmentée

-maladie intestinale->inflammation, prob d’absorption, motilité augmentée

-maladie fonctionnelle-> hypersensibilité intestinale

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25
Q

critères constipation aigue ou situationnelle

A

définition: diminution de la fréquence d’élimination p/r à ce qui est normal pour la personne

critères:
1.si pas de selles depuis 3 jours
ou
moins de 3 selles par semaine
2.selles dures/tough à expulser
3.distension abdo, ballonnements,pression rectale

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26
Q

définition de constipation fonctionelles ou chronique

A

definition: doit posséder 2 des critères suivants
1.effort d’évacuation
2.sellesdures ou fragmentées (bristol 1 ou 2)
3. sensation d’évacuation incomplète
4.sensation d’obstruction ou de blocage ano-rectal
5.nécéssité de manoeuvres manuelles pour faciliter la défécation
6.moins de 3 défécation par semaine

début des symptômes depuis au moins 6 mois et 2 symptômes présents au cours des 3 derniers mois

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27
Q

fécalome

A

complication de la constipation portée à un degré extrême
accumulation des selles durcies dans le rectum et impossibles à expulser, suitement des selles liquides, distensions et crampes involontaires
nausées/vomissements, rétention urinaire, ulcération muqueuse intestinale, delirium

28
Q

diarrhée (complications et évaluation)

A

complications:
-déséquilibres hydroélectrolytiques et acido-basique
-altération de l’intégrité des téguments
-dénutrition

évaluation:
-caractérisques des selles (sang mucus odeur)
-signes de déshydratation
-bilan excreta/ingesta
-exam para

29
Q

constipation (complications, interventions possibles)

A

complications:
-hémorroides
-fécalome

interventions possibles:
-augmenter apport en fibres
-recours aux agents mucilagineux
-augmenter apport liquidien
-augmenter l’activité physique
-promouvoir un horraire favorable de défécation
-améliorer position et environnement favorable

30
Q

conséquence de l’abus de laxatifs

A

lorsque utilisation sans besoin réel: purge de l’intestin->abscence de mouvement pour quelques jours-> perception de constipation-poursuite des laxatifs->perte du réfexe de défécation, déséquilibre hydroélectrolytique, colite
cercle vicieux!

31
Q

interventions diarrhée

A

-rétablir et prévenir les déséquilibres hydrolitiques et électrolytiques (gastrolyte, thérappie iv)

-prévention transmission des infections

-admin d’anti-diarrhéiques
(seulement pour de courtes périodes et si pas origine infectieuse)

-diète selon tolérance

-soins de la peau (savon doux blabla)

32
Q

interventions constipation

A

-admin de laxatifs ou lavements
-fibres, agents mucilagineux, habitudes de vie(ne pas rétarder/retenir), si échec –>
laxatifs osmotiques (laxaday), si échec –> laxatifs stimulants, si échec–>poursuivre laxatifs stimulants à long terme avec suivi médical

33
Q

interventions fécalome

A

lavement évacuant ou fleet
si échec–>curage rectal

34
Q

Facteurs de risque de déséquilibre hydrique chez une personne

A

-habitudes de vie & environnement:
T° extérieure
alimentation
élimination urinaire et intestinale
activité physique
-âge
-maladie
-meds

35
Q

bilan ingesta/excreta

A

bilan ingesta excreta : + (plus d’apports que pertes) ou – (plus de pertes que d’apports)
Équilibre entre apports (liquides, soupes, jell-o miam, ice cream miam, solutions IV et medic IV) et pertes (urine, vomissements, selles liquides, diaphorèse)

36
Q

déshydratation hypertonique

A

Hypertonique = perte d’eau surtout, non remplacée, hypernatrémie, risque de déshydratation intracellulaire. Causes possibles vomissements ou sudation excessive

37
Q

déshydratation isotonique

A

Isotonique = perte eau et sodium, déshydratation extracellulaire, hypovolémie, hémoconcentration. Causes possibles gastroentérite ou diurétiques

38
Q

déshydratation hypotonique

A

Hypotonique = perte de sodium supérieure à la perte d’eau, hyponatrémie. Causes possibles pertes liquidiennes G-I isotoniques qui sont comblées par l’eau seulement.

39
Q

conséquences hypo/hyper kaliémie

A

troubles cardiaques possibles (arythmie)

risques de blessures (faiblesse musculaire, paresthésie)

40
Q

conséquences hypernatrémie

A

risques:
d’altération de l’état de conscience
convulsion
coma

41
Q

surcharge liquidienne

A

surcharge liquidienne : excès de volume liquidien
Causes=excès de liquide IV, insuffisance cardiaque, insuffisance rénale
Manif clin= céphalées, pouls bondissant, agmnt PA, dyspnée, crépitants, gain pondéral
Oedeme périphérique (accumulation de liquides dans les tissus, peau tendue/luisante, oedeme à godet)

42
Q

symptomalogie de la déshydratation selon l’importance des pertes liquidiennes:

A

Légère= soif, muqueuses sèches, dmnt turgescence, dmnt débit urinaire
Modérée= comme légère + tachycardie, HTO, encore moins de turgenscence
Sévère=tachypnée, hypotension, confusion, dmnt remplissage capillaire

43
Q

causes possibles d’un déficit liquidien

A

-fièvre/coup de chaleur
-diabète insipide
-diurès osmotique
-hémorragie lol
-vomissements/diarrhée
-surutilisation de diurétiques
-apport hydrique inadéquat
-déplacement de liquide dans le troisième espace (not sure where this is located)

44
Q

objectifs de la thérapie IV

A

-remplacer des pertes hydriques
-remplacer les électrolytes perdus
-permettre l’admin de meds intermitents ou continus
-admin de produits sanguins
-admin de nutriments parentéaux (cas spécifiques)

45
Q

types de solutions IV

A

-dextrose 5% (isotonique):
pour remplacer les pertes liquidiennes avec hypernatrémie, patient diabétique et NPO. ce qui prévient la cétose & le déséquilibre du pH + fournit un peu d’énergie

-NaCl 0,9% (isotonique):
déficit liquidien isotonique ou avec légère hyponatrémie, admin de produits sanguins

46
Q

éléments de surveillance de la thérapie IV

A

-bilan hydrique
-poids
-réponse du client à la thérapie
-manif clin d’une surchage liquidienne si patient atteint d’insuffisance cadiaque ou rénale (risque de surcharge pulmonaire->dyspnée, orthopnée, toux expectorante/mousseuse, tachypnée, tachycardie)
-sac: c’est tu la bonne solution, date expiration, limpidité de la solution, sac en bon état
-tubulure: bien branchée, pas coudée, pas de bulles
-débit de la perfusion: soluté n’est pas positionnel (idk what this means)
-signes d’infiltration: oedeme au site d’insertion avc tissus blanchâtres, froids, douleur, abscence de retour veineux
-signe d’inflammation: rougeur, chaleur, oedeme le long de la veine,douleur

47
Q

comment prévenir la déshydratation (question la plus stupide ever)

A

-encourager la personne à boire selon ses besoins (c’est dla vraie science poussée)
-expliquer les facteurs de risque, problèmes possibles (pente fatale)
-appliquer des mesures de prévention ex. en cannicule rester au frais

48
Q

la correction de la déshydratation par voie orale

A

on privilégie la voie orale si possible: cas de déshy légère ou modérée, chez une personne qui tolère liquides, vomit peu, ne présente pas de risques d’occlusion instestinale

49
Q

liquides à utiliser pour correction de déshy par voie orale

A

-solution de réhy orale (SRO)
gastro/pedia lyte ou recette maison [360 ml jus orange pur non sucré+ 600 ml eau boullie refroidie+ 1/2 cuillère thé de sel]
-eau

*à éviter: lait sauf si allaitement, café, jus, boissons gazeuses énergétiques (trop sucre, pas assez sodium)

50
Q

à quelle fréquence peut-on reprendre l’hydratation

A

commencer par 1 cuillere à thé ou 1 cuillère à soupe
poursuivre aux 5 à 15 min si toléré
si vomissements->attendre 30 min et réessayer

après 4hrs de réhydratation tolérée reprendre l’alimentation: commencer par de petites portions et éviter aliments gras, trop sucrés, grandes qtés de fibres, lactose

51
Q

les type d’incontinences

A

1)à l’effort :
old, pregnant, obésité, tabagisme, toux chronique, constipation, hystérectomie, ménopause,
exercer le plancher pelvien, perte du poids, pas fumer (la solution à tout), se déconstiper

2)par impérosité: tjs envie d’uriner après avoir uriné
infections urinaires, alcool,cancer vessie

3)fonctionnelle:
facteurs cognitifs ou environnementaux -> perte d’urine avant d’atteindre les toilettes, pas de reconnaissance de l’envie d’uriner (démence), incapacité physique à se rendre à la toilette
4)réflexe: pas perception sensorielle ni maîtrise motrice
perte involontaire d’urine
ex. lésion moelle au dessus de S2
nécéssite cathéter vésical

52
Q

facteurs influants l’élimination urinaire

A

personnes âgées, grossesse/accouchement
alimentation/hydratation
constipation
stress/anxiété
meds
la mobilité
la cognition
environnement

53
Q

Exercer une surveillance clinique auprès de personnes qui présentent des problèmes reliés à l’élimination urinaire.

A

-la collecte de données
Sur les caractéristiques des mictions, y compris la fréquence, le volume, la couleur, la clarté, l’odeur
Présence éventuelle de symptômes tels que la douleur, la sensation de pression, l’inconfort ou la dysurie, globe vésical à la palpation et à la percussion
Bilan des excreta, volume urinaire (bladder scan 50 à 75 mL est le VRPM (volume résidu post-mictionnel normal)
Paracliniques d’analyses/culture d’urine

54
Q

interventions Incontinences

A

Il faut quand même tenir compte du type d’incontinence et de la cause

¤ Établir un horaire mictionnel
- Acquisition d’habitudes régulières
- Ex. horaire régulier q 2-3 h, mais souple

¤ Modification des habitudes de vie selon la cause
- Ex. ne pas boire 2 heures avant le coucher, diminuer les aliments ou breuvages irritants pour la
vessie (ex. alcool), cessation tabagique, surveiller la constipation,

¤ Soutien et transmission d’information
- Normaliser (la personne n’est pas responsable)
- Expliquer les causes et les facteurs de risque

¤ Dispositifs anti-incontinence (serviette ou culotte pour l’incontinence

55
Q

interventions rétention urinaire

A

Avant de passer au cathétérisme, utiliser la stimulation sensorielle
* ¤ Favoriser l’hydratation
* ¤ Bruit de l’eau qui coule
* ¤ Doigts dans un bassin d’eau tiède
* ¤ Verser de l’eau tiède sur le périnée
* ¤ Massage à l’intérieur de la cuisse
* Si non efficace
* ¤ Envisager cathétérisme vésical (nécessite une ordonnance) attention aux infections
* ¤ Si drainage en continu, surveiller première miction lors du retrait
- ↓tonus vésical et lésions des sphincters urétraux possibles
¨ Cathétérisme vésical
¤ Risque d’infection
urinaire (asepsie)
¤ Hygiène périnéale
¤ Maintenir l’apport
liquidien
¤ Surveillance de la peau
si usage prolongé

56
Q

interventions infection urinaire

A

¨ Infection urinaire (voies inférieures)
¤ Manifestations cliniques
- Dysurie, inconfort sus-pubien, douleur à la miction,
- Envie impérieuse d’uriner, pollakiurie (fréquence ↑,petites quantité < 200 ml, > 8 fois/24h),
nycturie, incontinence
- Hématurie, urine concentrée et trouble
- Si s’aggrave : fièvre, frissons, nausées et vomissements
¤ Infection nosocomiale fréquente (sondes vésicales)
¤ Facteurs
- femmes enceintes, ménopause, âge, habitudes d’hygiène périnéale chez la femme, stase
urinaire
¤ Traitement : antibiothérapie PO
¤ Chez les personnes à risque
1. Vider la vessie complètement et régulièrement (q 3-4 h)
2. Aller à la selle régulièrement
3. Nettoyer la région périnéale de l’avant vers l’arrière
4. S’assurer d’un apport liquidien adéquat
5. Uriner avant et après les relations sexuelles
6. Jus de canneberge en cas d’infection chronique : mythe ou réalité?
¤ En milieu hospitalier : attention à l’asepsie lors de cathétérismes vésicaux…
¤ Maintenir un apport liquidien adéquat
- Diminue l’irritation de la vessie en diluant l’urine
- Favorise l’évacuation des bactéries
¤ Éviter les aliments sensésirrité la vessie
- Caféine, alcool, jus d’agrume, chocolat, aliments épicés
¤ Application locale de chaleur dans la région sus-pubienne
¤ Souligner l’importance de poursuivre l’antibiothérapie jusqu’à la fin
¤ Surveiller l’évolution des symptômes

57
Q

Exercer une surveillance clinique auprès de personnes qui présentent des problèmes reliés à l’oxygénation.

A

Surveiller la fréquence respiratoire, l’amplitude et le rythme respiratoire,
Les caractéristiques des expectorations
La présence de bruits respiratoires anormaux
L’utilisation des muscles accessoires, le tirage, la présence de cyanose, la forme du thorax
La difficulté à communiquer, et l’augmentation du rapport inspiration/expiration.

58
Q

Déterminer les interventions appropriées pour soulager les problèmes reliés à l’oxygénation.

A

le positionnement en position assise ou avec le haut du corps surélevé, pour favoriser une meilleure expansion pulmonaire.
Les techniques de respiration, notamment l’utilisation de respiration avec les lèvres pincées pour éviter l’effondrement des bronchioles
la mobilisation et le dégagement des sécrétions pour libérer les voies respiratoires
L’administration d’oxygène pour soulager l’hypoxie
L’utilisation d’un spiromètre pour favoriser l’expansion pulmonaire
Des interventions médicamenteuses telles que les corticostéroïdes et les bêta-agonistes

59
Q

étapes de quoi faire en cas de crise aigue

A
  1. rester calme
  2. inspirer par la bouche
  3. expirer par la bouche
  4. inspirer et expirer aussi rapidement que nécéssaire
    5.commencer à expirer en pratiquant la technique de respiration lèvres pincées
  5. ralentir la respiration
  6. commencer inspiration par le nez
    8.continuer lèvres pincées au moins 5 min
    meds de secours si besoin
60
Q

Évaluer les besoins d’enseignements d’une personne liée à la gestion de son asthme

A

Pour évaluer les besoins d’enseignement d’une personne concernant la gestion de son asthme, il est important d’aborder les points suivants :
- Identifier les connaissances actuelles de la personne sur l’asthme.
- Évaluer sa compréhension des facteurs déclenchants de l’asthme et sa capacité à les gérer.
- Examiner sa connaissance et son utilisation des médicaments prescrits, ainsi que sa compréhension de son plan d’action.
- Explorer son niveau de maîtrise des symptômes de l’asthme et son expérience lors de crises antérieures.
- Prendre en compte son environnement physique, familial et social pour adapter l’enseignement à ses besoins spécifiques.

61
Q

Reconnaitre les critères de maitrise de l’asthme

A

Les critères de maîtrise de l’asthme incluent généralement :
- Moins de 4 symptômes diurnes par semaine.
- Aucun symptôme nocturne.
- Capacité à maintenir une activité physique normale sans limitation due à l’asthme.
- Pas d’absentéisme lié à l’asthme (à l’école ou au travail).
- Utilisation de moins de quatre doses de bronchodilatateur (BACA) par semaine.
- Taux de DEP (Débit Expiratoire de Pointe) d’au moins 90% du meilleur résultat personnel.
- Variation du DEP de moins de 10-15%.

62
Q

Appliquer un plan d’action pour les crises d’asthme

A

L’application d’un plan d’action pour les crises d’asthme implique :
- Reconnaître les signes avant-coureurs d’une crise d’asthme.
- Savoir comment utiliser les médicaments de secours, tels que les bronchodilatateurs à action rapide.
- Suivre les étapes du plan d’action pour ajuster le traitement en fonction de la gravité des symptômes.
- Connaître le moment propice pour consulter un professionnel de la santé en cas de crise sévère ou persistent.

63
Q

Expliquer les recommandations en lien avec la promotion de la santé et la prévention de l’asthme

A

Les recommandations pour la promotion de la santé et la prévention de l’asthme peuvent inclure :
- Éviter l’exposition aux allergènes et irritants connus, tels que les acariens, les animaux domestiques, les pollens, les moisissures, etc.
- Assurer une bonne qualité de l’air intérieur en évitant les moisissures, en contrôlant l’humidité et en favorisant la circulation de l’air.
- Encourager une bonne hygiène des voies respiratoires, y compris la vaccination contre la grippe et la gestion des infections respiratoires.
- Promouvoir l’activité physique pour renforcer les voies respiratoires et maintenir la forme physique.
- Favoriser l’adoption de stratégies de gestion du stress et des émotions pour minimiser les déclencheurs émotionnels de l’asthme.

64
Q

Comprendre les éléments faisant en sorte que l’on considère un client comme étant difficile.

A

-les comportements ou attitudes tels que la manipulation l’agressivité, la dépendance, la somatisation
-patients pensent tout savoir
-des attentes ou besoins non satisfaits
-des consultations répétées ou avec plusieurs professionnels
-pas adhérents aux traitements
-manque de collaboration/participation ou résistant à former alliance thérapeutique
-une incapacité fonctionnelle
-une demande excessive de temps et d’énergie
-la présence de multiples symptômes physiques et/ou psychologiques
-peu d’amélioration de la condition
-des troubles de personnalité et d’autres problématiques de santé mentale.

65
Q

Identifier des pistes de stratégie auprès des clients difficiles

A

une approche centrée sur le client
favoriser la participation active, le renforcement de l’autonomie et de la prise de décision
-des interventions basées sur des approches psychologiques,
-la gestion des conflits; la prise de distance par rapport aux comportements et propos,
-prendre connaissance de ses propres mécanismes de défense, croyances, attitudes
la pacification pour les clients verbalisant de la colère : faire verbaliser la personne sur les émotions qu’elle ressent (questions ouvertes, reformulation, silences, en évitant la communication négative)
-des stratégies spécifiques pour les personnes ayant un trouble de la personnalité : souligner l’autonomie et valoriser les efforts pour les personnes avec une faible motivation, renforcer le sentiment d’efficacité personnelle pour les personnes ayant un manque de confiance en leurs capacités, et enfin, des stratégies pour rétablir le partenariat et la sécurité pour gérer la dissonance dans la relation.