EXAM 1 : CHAP 1 + 2 Flashcards
situer dans le temps les principaux évenements du début de la vie sur terre
- 15 milliards d’années : univers
- 4,6 milliards : terre
- 3,8 : procaryotes
- 3 : eucaryotes unicellulaires
- 2,1 : eucaryotes pluricell
def origine autogène
- les premiers organismes encartes sont apparus par la formation d’orgaites cellulaire : invagination de la membrane plasmique + spécialisation
def origine endosymbiotique
- origanites auraient été des procaryptes s’entant insérés dans une cellule plus grande, qui aurait bénéficié de leur présence
- formation d’une relation symbiotique entre une archeabactérie et un procaryote hétérotrophe aérobie/photosynthétique (mitochondrie/chloroplaste)
- le procaryote aurait été phagocyté mais pas digéré : l’hôtel aurait pu utiliser les nutriment qu’il produisait
preuve de la théorie endosymbiotique
- taille mitochondries/chlorplaste = taille procaryotes
- ADN granites = ADN procaryote (ils possèdent leur propres ribosomes)
- système d’enzyme et de transport membranaire organises = procaryote
- mode de fission binaire = procaryotes
caractéristiques qui définissent l’ensemble des microorganismes :
- abondance + omniprésence
- unicellularité (petits)
- organisation cellulaire souvent simple
def cellule eucaryote + org cellulaire
- cellules formées d’un vrai noyau entouré d’une membrane nucléaire avec plusieurs chromosomes et un nucléole
- complexe, uni ou pluricell
def procaryotes + org cellulaire
- cellules n’ayant pas de noyau défini, un seul chromosome libre dans le sytoplasme et sans enveloppe nucléaire
- simple, peu d’organistes spécialisés, unicellulaires
def acaryote + org cellulaire
- ne possèdent ni noyau ni organisation cellulaire
- formés d’acides nucléiques et/ou de protéines
différences eucaryotes/procaryotes/acaryotes : paroi cellulaire
- E : OUI (mycètes), sans peptidoglycane
- P : OUI, avec peptidoglycane
- A : NON
différences eucaryotes/procaryotes/acaryotes : membrane plasmique
- E : OUI
- P : OUI
- A : NON
différences eucaryotes/procaryotes/acaryotes : membrane nuckéaire
- E : OUI
- P : NON
- A : non
différences eucaryotes/procaryotes/acaryotes : noyau défini
- E : OUI
- P ; non
- A : non
différences eucaryotes/procaryotes/acaryotes : chromosomes
- e : oui, linéaires, plusieurs, diploides
- p : oui, unique, circulaire, haploide
- a : non
différences eucaryotes/procaryotes/acaryotes : ribosomes
- e : associés au RE, 40s, 60s
- p : libres dans le cytoplasme L30s et 50s
- a : aucun
différences eucaryotes/procaryotes/acaryotes : organites membraneux
- e : oui
- p : non
- a : non
différences eucaryotes/procaryotes/acaryotes : reproduction
- e : division mitotique + méiotique
- p : fission binaire
- a : reproduction dans la cellule hote
différences eucaryotes/procaryotes : mobilité
- e : oui (protozoaires)
- p : oui, quelques espèces
nommer organites membraneux
- mitochondries
- RE
- App de Golgi
- lysosomes
- vacuoles
- centrioles
type cellule, règne, caractéristiques et grosseur relative : protozoaires
- eucaryotes
- protistes
- unicellulaires, mobiles ou non (souvent oui), aucune paroi cellulaire, hétérotrophes, reproduction sexuée ou non
- 20 à 30 micromètres
type cellule, règne, caractéristiques et grosseur relative : algues
- eucaryotes
- protistes
- unicellulaires, immobiles, paroi cellulaire, autotrophes (photosynthèse), reproduction sexuée ou non
- microscopiques
type cellule, règne, caractéristiques et grosseur relative : mycètes
- eucaryotes
- mycètes
- unicellulaires (levures)/pluricellulaires(moisissures), immobiles, paroi de chitine, hétérotrophes, reproduction sexuée ou non
- microscopiues
type cellule, règne, caractéristiques et grosseur relative : helminthes
- eucaryotes
- animaux
- pas des microorganismes (vecteurs), pluricellulaires, mobiles, pas de paroi cellulaire, 2 groupes (plathelminthes + némathelminthes)
- du mm au m
type cellule, règne, caractéristiques et grosseur relative : arthropodes
- eucaryotes
- animaux
- pas des microorg (vecteurs), pluricellulaires, squelettes extérieurs de chitine, corps segmenté, pattes articulées
- pathogènes : mm
type cellule, règne, caractéristiques et grosseur relative : archeobactéries
- procaryotes
- monères
- unicellulaires, auto/heterotrophes, souvent dans conditions extrêmes (halophiles, thermoacidophiles, methanogènes), paroi cellulaire SANS peptidoglycane, mobiles si flagelles
- micro à nanomètre
type cellule, règne, caractéristiques et grosseur relative : eubactéries
- procaryotes
- monres
- unicellulaires, autotrophes ou (maj) hétérotrophes
- paroi cellulaire DE peptidoglycane
- mobiles si flagelles
- micro à nanomètres
type cellule, règne, caractéristiques et grosseur relative : virus/virions
- acaryotes
- techniquement pas vivants
- acllulaires, une seule molécule (ARN ou ADN), recouverte d’une couche de protéines, pas de paroi cellulaire, intracellulaires obligatoire
- nm
type cellule, règne, caractéristiques et grosseur relative : prions
- acaryotes
- pas vivants
- protéines infectieuses du système nerveux, ne trainent pas d’infos génétique, cause encélopathie spongiformes transmissibles
- nm
colonie vs bactérie
- bactérie : individu microspcopique
- colonie : population macroscopique résultait de la division d’une bactérie-mère
caractéristiques des colonies pour les différencier
couleur, forme, aspect, surface, contour, relief, dimension
formes des bactéries
- coques : cocci
- bacilles (batonnets)
- spirilles (spirales)
- filamenteuses
arrangements (préfixes)
- paires : diplo-
- chainettes : strepto-
- grappes : staphylo-
- groupes de 4 : tetrades
- groupes de 8 : sarcine
quelle forme a le plus d’arrangement
cocci
pourquoi différents arrangements possibles
- quand une batterie se divise, des fois des cellules filles retenu liées faiblement ensemble
- plan de division cellulaire = caractéristique génétique de la bactérie
- son arrangements donc utile a l’identification (surtout pour les coques)
ordre des différentes “couches” externes de la cellule
- 1ere couche : membrane plasmique (le plus proche de la cellule)
- 2e couche : paroi cellulaire
- 3e couche : capsule (facultative)
composition chimique, caractéristiques, rôle et nécessité : membrane plasmique
- double couche de phosphoglycérolipides, sans cholestérol, avec protéines + traces de glucides
- structure mince, semblable à celle des eucaryotes
- barrière sélective, régulation de la pression osmotique (laisse diffusion l’eau et retient les substances)’ site d’action enzymatique (action endogèneenzymes, sécrétion exoenxymes)
- obligatoire
composition chimique, caractéristiques, rôle et nécessité : paroi cellulaire
- peptidoglycane + lipides
- structure semi-rigide, cible potentielle antibio
- force caractéristique des batteries, permission des échanges, protection de la bactérie, pouvoir pathogène (LPS)
- obligatoire
composition chimique, caractéristiques, rôle et nécessité : cytoplasme
- cytosol : liquide 70% aq dans lequel se trouvent des substances dissoutes ou en suspension (glucides, ions, etc)
- région dans le mambrane plasmique, contientt le nuclotide (chromosome) + les ribosomes
- site des rxn chimiques
- obligatoire
composition chimique, caractéristiques, rôle et nécessité : ribosomes
- complexe nucléoprotéines (37% protéines, 63% ARN)
- libre sou faiblement liés a la membrane, différents des ribosomes eucaryotes (cible antibiotiques)
- synthèse des protéines (traduction)
- obligatoire
composition chimique, caractéristiques, rôle et nécessité : chromosome :
- AND double brin
- unique, circulaire
- contient le patrimoine génétique (gênés essentiels)
- obligatoire
composition chimique, caractéristiques, rôle et nécessité : capsule
- polymère gélatineux fait surtout de polysaccarides + polypeptides
- couche strctée attachée a la paroi cellulaire, enveloppe dont la synthèse est influencée par des facteurs génétiques
- augmentation de l’adhérence, empêche la phagocytose, protection contre les agents chimiques et physiques
- facultative
composition chimique, caractéristiques, rôle et nécessité : flagelle
- falgelline (protéine contractile)
- appareil locomoteur, surtout chez le sbacilles
- permet le déplacement (augmente survie_
- facultatif
composition chimique, caractéristiques, rôle et nécessité : fimbriae
- piline (protéine)
- surtout chez les Gram -
- role de fixation
- facult
composition chimique, caractéristiques, rôle et nécessité : pili sexuels
- piline
- présence det par le facteur F
- permet la conjugaison (échange mat génétique)
- facult
composition chimique, caractéristiques, rôle et nécessité : réplicons
- ADN a double brin
- contiennent gêne non essentiels
PLASMIDES : se répliquent indépendamment du chromosome, facilement transmis
EPISOME : plasmide intégré au chromosome - résistance aux antibios (facteur R), conjugaison (facteur F), virulence (gêné qui code pour enzymes/toxines), fonction métaboliques (gênés qui codent pour enzymes cataboliques)
- facult
composition chimique, caractéristiques, rôle et nécessité : spores
- dedans : ADN, ribosomes, enzymes, cytoplasmes déshydraté, un peu ATP
- cortex sporal : acide diplocolinque : résistance aux température élevés
- tunique sporale : kératine, imperméabilisation + protection agents chimiques
- cellule dormante, surtout produite par les Gram +, difficile sà éliminer, très volatile
- structure de résistance
quelles structures cellulaires sont obligatoires?
- membrane plasmique
- paroi cellulaire
- ribosomes
- cytoplasme
- chromosome
quelles structures cellulaires sont facultatives?
- capsule
- plasmides/épisomes
- flagelles
- fimbriae/pili sexuels
- spores
couleur après coloration, caractéristiques physique de la paroi, composition chimique de la paroi et résistance : Gram +
- mauve
- épaisse, une seule couche
- peptidoglycane, un peu de lipide, quelques acides teichoïques
- paroi + épaisse : résistance à la déhydratation + chocs physiques
couleur après coloration, caractéristiques physique de la paroi, composition chimique de la paroi et résistance : Gram -
- rouge/rose
- deux couches plus minces
- 1ere couche: peptidoglycane // 2e couche : LPS
- protection contre la phagocytose + agents chimiques et chimiothérapeutiques (membrane de LPS = imperméable)
def sporulation vs germination
- sporulation : lorsque les conditions environnementales sont mauvaises, le sbatcries qui le peuvent forme une spore
- germination : lorsque les conditions s’améliorent et que la croissance et de nouveau possible, la spore subit pas changements et devient une nouvelle cellule végétative et infectieuse
def cycle sporal
ensemble des changements qui surviennent entre le début de la foration de la spore et la transformation de la spore en cellule végétaive
pourquoi la spore augmente la possibilité d’infection?
- résistante :double membrane plasmique, cortex sporal (températures élevés), tunique sporale (imperméable + protection aux agents chimiques)
- facile à disséminer : déshydratée = très légèreère
étapes cycle sporal
- mauvaises conditions envrionnemntale
- la bactérie réplique ADN
- ADN répliqué + cytoplasme séparés cellule par septum trasnversal
- membrane plasmique enveloppe la préspore (double membrane)
- une couche de peptidogycane se forme entre les membranes (cortex sporal)
- formation de la tunique sporale
- lyse de la cellule + libération endospore
// - bonne conditions environnemntales
- hydratation de la spore
- activité enzymatique recommence
- bris des enveloppes (membranes, cortex, tunique)
- spore = cellule végétative
plasmides vs épisomes + caractères pour lesquels ils codent + gênés qu’ils portent
- plasmide : ADN extrachromosomique qui se réplique indépendamment
- épisome : plasmide intégré au chromosome
- codent pour des caractères non essentiels à la survie, mais qui confère des propriétés biologiques
- facteur F, facteur R, facteurs de virulence, facteur métaboliques
double contrainte lors de la culture bactérienne
- satisfaire besoins nutritifs + conditions environnementales dans lesquelles elles croissent
éléments essentiels à la croissance bactérienne
- élément utilisés pour la biosynthèse des molécules orgiaques et pour la production d’énergie
- C, H, O, N, P, S : elements essentiels
- Ca, Mg, Fe : ions qui agissent en cofacteurs et favorisent les rxn métaboliques
exemples facteurs de croissance
- vitamine = cofacteurs
- acides aminés : protéines
- pyrines et puridines pour synthèse acides nucléiques
mode de production d’énergie, source de C et d’électrons/H : photohétérotrophes
- É : photosynthèse
- C : molécules organiques
- é-/H : molécules organiques
mode de production d’énergie, source de C et d’électrons/H : photoautotrophes
- É : photosynthèse
- C : mol inorganique
- é-/H : mol inogranique
mode de production d’énergie, source de C et d’électrons/H : chimiohétérotrophe
- É : mol organiques
- C : ‘’
- é-/H : ‘’
mode de production d’énergie, source de C et d’électrons/H : chimioautotrophes
- É : dégradation molécules organiques
- C : inorgnique
- é-/H : idem
sous-groupe chimiohététrophes
- resp aérobie : accepteur final é- = O2
- fermentation : accepteur final = mol organique
- resp anaérobie : accepteur final = mol inorganique
efficacité relative production ATP chimiohétérotrophes
resp aérobie»_space;> resp anaérbie»_space;> fermantaion
(dégradation compte glucose»_space;> dégradation complète avec des accepteurs final ayant un plus faible pouvoir de réduction»_space;> dégradation partielle)
def hétérotrophes
qui ont une source de C organique
def phototrophes
tirent leur É de la lumière
def chimiotropehs
tirent leur É de l’oxydation de comp organiques
def autotrophe
source de C inorganique (CO2)
def organotrophe
source de é-/H organique
def litotrophes
source de é-/H inorganique
sous groupes photoautrotrophes
- oxygénique : prod O2
- anoxygénique : pas de prod O2
différentes facteurs physiques nécessaire la croissance bactérienne
- température
- pH
- atmosphère (O2)
- pression osmotique
types bactéries selon température + effets température
- influence l’activité enzymatique et le métabolisme (affecte a croissance)
- psychrophiles : très froides (0 à 15)
- psychotrophes : froides (0 à 37)
- mesophiles : moyennes (20 à 44)
- thermophiles : chaudes (55 à 75 - 100)
types bactéries selon pH
- acidophiles : acides (1 à 5,5,)
- neutrophiles : 5,5, à 8)
- alcalophiles: 8 à 11,5
types bacteries selon atmosphères/besoin O2
- aérobies stricts : besoin O2, possèdent enzymes pour la resp aérobie et la dégradation des produits toxiques dérivés de l’O2
- anaérobies facultatifs : possèdent les enzymes pour la resp aérobie et la fermentation, peuvent dégrader produits toxiques (O2), font la resp aérobie quand possible
- anaérobies strict : pas d’O2, ne possèdent pas les enzymes pour dégrader produit toxiques dérivés O2 (mortels) // endospores tolèrent O2
types bactéries selon pression osmotique
- majorités veulent des milieux faiblement concentrés en sel et en sucre
- trop concentré (hypertonique) = sortie d’eau = plasmolyse
- pas assez concentré (hypotonique) = pénétration eau + lyse
- halophiles : tolèrent/ont besoin de milieux très concentrés
étapes fission binaire
- replication de l’ADN : le chromosome s’ouvre et se déroule, chacun des brin se dirige vers une extrémité
- formation d’un septum : la membrane plasmique et la paroi cellulaire se divisent, des cloisons transversales se forment autour de l’ADN divisé et la cellule est séparée en 2 individus indépendants
def temps de génération
temps que met une cellule a se division (temps nécessaire au doublement de la population)
def taux de croissance
nb de division que subit une bactérie par unité de temps
def taux de multiplication
nombre total de bactérie dans une population pour un temps donné
def phase de latence
- entre ensemencement et moment ou les bactéries commencent a se développer
- le nombre de bactérie augmente lentement
- période d’adaptation et de métabolisme élevé : les bactéries s’accommodent aux nouvelles conditions de culture et fabriquent les enzymes nécessaires
def phase de croissance exponentielle
- temps de génération le + cours
- taux de croissance le + élevée
- production d’énergie cellulaire, synthèse des protéines et autres activités métaboliques vitales réalisés au rendement maximum
- production d’exotoxines par les Gram +
def phase stationnaire
- mort = reprod
- densité. maximale de la population
- pollution du milieu + épuisement des éléments nutritifs = phase de décroissance
def phase de décroissance
- mortalité»_space;> reproduction
- gram - libère les endotoxines lors de la lyse (LPS)
chromosomes procaryotes vs eucaryotes
différences :
- P : haploides, circulaire, gênés essentiels uniquement
- E : diploide, linéaire, tous genes
ressemblances :
-ADN a double brin antiparallèle (double hélice)
genes procaryotes vs eucaryotes
différences :
- P : sans introns (continus), sans chevauchement, 2000 à 4000 genes
- E : avec introns, avec chevauchement, plus de 15 000 genes
ressemblances : même code, même transcription et traduction
étapes de la synthèse des protéines
- ADN + ARN p : transcription = ARNm
- ARNm + ribosomes : traduction = protéines
TRANSCRIPTION :
- synthèse d’un brin d’ARNm complémentaire à l’ADN à partir de la matrice d’ADN
- mécanisme par lequel l’info pour la séquence des acides aminés est transmise a l’ARNm selon la complémentarité des bases
TRADUCTION :
- utilisation de l’info encodée dans l’ARNm pour synthétiser des molécules spécifiques
- ARNm : intermédiaire qui transporte l’information du chromosome vers le ribosome
- le ribosome paroucrt l’ARNm ou les codons attirent les anti-codons des ARNt qui portent les acides aminés
quand est-ce qu’a lieu la traduction vs transcription
la traduction peut commencer avant la fin de la transcription : celle ci se fait dans le cytoplasme, les ribosomes ont donc accès au codon initiation avant la fin de la transcription
définition : promoteur
séquence reconnue par l’ARNp qui permet le dénuât de la transcription
définition : site de reconnaissance
site initial d’association de l’ARNp
définition : site de liaison
ou l’ARNp provoque l’ouverture de l’ADN
définition : séquence complémentaire a la séquence de tete de l’ARNm
code pour la séquence de tete, trasncrite mais pas traduite
définition : séquence de tete de l’ARNm
permet la reconnaissance de l’ARNm par le ribosome
permet l’orientation correcte de l’ARNm sur le ribosome
définition : région codante
- unité de transcription
- code pour un ARN qui commande la synthèse d’une protéine
- commence tjrs par une séquence TAC 3’ -> 5’ (codon d’initiation)
- se termine par une séquence complémentaire a un des 3 codons d’adret, pour que sur l’ARNm ça donne le codon d’adret
- peut comporter une ou plusieurs séquences pour des codons d’initaition ou d’adret, selon qu’elle code pour un ou pls genes
définition : opéron
groupe de gens sous le contrôle d’un même promoteur
regroupe pls gênés codant pour des enzymes d’une même voie métabolique : permet le contrôle simultané d’une voie métabolique
définition : séquence complémentaire a la séquence de pause de l’ARNm
code l’arret de la traduction mais pas de la transcription
transcrite mais pas traduite
définition : séquence de pause de l’ARNm
permet de générer plusieurs protéines différentes a partir d’un seul opérons, plutôt que d’avoir une seule longue chaine d’acide aminé
permet l’arrêt de la traduction mais pas de la trasncription
définition : séquence terminatrice
code pour l’arret de la transkription
pas transcrite ni traduite
définition : opérateurs
- sites régulateurs
- comportent des séquences auxquelles les protéines régulatrices se fixent, facilitant (CAP) ou empêchant (dépresseurs) l’expression des genes
- régule l’accès à l’ARNp aux gens en question
définition : protéine régulatrice
- se lie a l’opérateur, détermine si l’opérons est à on ou ff
def enzyme repressible/mécanisme de répression
- dont la synthèse est inhibée par un composé chimique
- implique que le redresseur est inactif a la base, mais que la présence dans le milieu de la molécule a synthétiser l’active : opérons a off
- repression = mecanisme de régulation qui inhibe l’expression génique des enzymes nécessaires à la synthèse d’un produit (voie analogique)
- déclenché par la surabondance du produit final de la voie métabolique
- liaison du complexe régulateur/co-represseur à l’opérateur = aucune synthèse
def répresseur
protéine régulatrice qui empêche l’ARNp de commencer la trasncription du gêne
def enzyme inductible/mécanisme d’induction
- dont la synthèse est stimulé par la présence d’un composé chimique
- implique que le répresseur est actif a la base, et que la présence d’une molécule a dégrader l’inactive : opérons a on
- voie catabolique
- processus qui stimule la transcription lorsque la présence d’un substrat a dégrader incite les cellules a synthétiser une plus grande quantité d’enzymes nécessaires à la voie catabolique
- liaison du represseur seul à l’opérateur = aucune synthèse
enzyme repressible vs inductible
- repressible : presence de la molécule active le represseur et inactive l’opéron
- inductible : présence de la molécule inactive le represseur et active l’opéron
def régulation génique négative
- présence de répresseurs qui, lorsqu’actifs, inactivent l’opéron
but régulation génique
- économie énergie
- économie ressources
def régulation génique positive
- complémente la régulation négative en augmentas le rythme de trasncription de l’opérons a “on” lorsque la cellule en a vraiment besoin, et en laissant le rythme nasal lorsque ce n’est pas en besoin crucial
- une protéine régulatrice activée signifie un opérons à régime maximal
régulation génique positive de l’opérons lac
- uniquement quand il y a lactose et peu de glucose, car sinon le glucose est consommé en priorité et on a pas besoin ‘augmenter la dégradation de lactose
- peu de glucose = haute concentration en AMPc dans la cellule = activation de la CAP (protéine régulatrice)
- la CAP se lie avec le promoteur = augmentation de l’affinité de l’ARNp avec le promoteur = augmentation du rythme de transcription
- augmente l’effet du repsressur inactif qui a mit l’opérons a on (comme si on montait le volume)
def + impact mutation géniques
- changements de caractères morphologiques, physiologies ou biochimiques résultant de changements produits au niveau de l’ADN qui les controle
- mutations brusques et stages d’un gène qui surviennent au hasard et entraîne des modification de la séquence nucléotidique de l’ADN
- se produisent lors de la réplication de l’ADN au moment de la divison cellulaire
- erreurs spontanées ou liées a des agents mutagènes
IMPACT
- apparition de caractères nouveaux et transmissibles a la descendance
- changement de nuclotide dans un gène = changement du code génétique = changement de la protéine = changement d’un caractère
- affecte tous les caractères car ils sont tous déterminés par des protéines dont la synthèse est sous le contrôle des genes
def mutation ponctuelle + impact
- résultent de la substitution d’un nuclotide par un autre
- modification d’un seul triplet d’AND et d’un seul codon
- silencieux, entre, faux-sens ou non-sens
def décalage du cadre de lecture + impact
- addition ou soustraction d’un nucléoitde dans la séquence codante d’un gene
- entraine la modifiacation de tous les triplets d’ADN qui suivent
- tous les codons dans l’ARNm sont donc modifiés, de même que tous les acides aminés pour lesquels ils codent
- protéines souvent non fonctionnelles
def recombinaison bactrienne
- transfert de matériel génétique
- unidirectionnelles
- permet l’échange et la modification des caractères génétiques
- affectent 1 des 2 bactéries impliqués
que peut faire l’ADN lorsqu’il est transféré?
- être détruit pas es enzymes cellulaires après être demeuré è l’état libre dans la cellule
- devenir un plasmide
- être incorporé dans le chromosome et devenir un épisome
définition transformation
- mécanisme d’échange matériel qui se produit entre l’ADN d’une bactérie morte et celui d’une bactérie réceptrice vivante et compétente
processus transformation
- fixation : la cellule receveuse rencontre des fragments d’ADN nu issus de la bactérie donneuse (la rencontre se fait au hasard)
- pénétration : l’ADN est hydrolysé et un brin d’ADN passe dans la cellule réceptrice
- celui-ci s’aligne en face des bases complémentaires de l’ADN de la bactérie receveuse
- intégration : recombinaison de l’ADN
- la cellule est donc génétiquement modifiée
les parties d’ADN pas intégrées sont détruites
caract transformation
- aucun contact entre les bactéries
- possible que lors de la phase de croissance exponentielle des bactéries
- la bactérie réceptrice doit fabriquer un affecter de compétence qui fixe les fragments d’ADN a des sites spécifiques à la surface de la bactérie et rendre la membrane perméable à l’ADN
conséquences trasnformation
introduction des gènes de la bactérie morte chez la bactérie vivante
def conjugaison
mécanisme d’échange génétique unidirectionnel ou l’ADN d’un plasmide ou d’un fragment de chromosome ou de sa totalité est transféré d’une bactérie donatrice mâle avec pili a une bactérie réceptrice femelle sans pili
processus conjugaison (F+)
- la bactérie donatrice male (F+) appcorhce un site actif de la bactérie réceptrice femelle (F-)
- formation du pont de conjugaison
- réplication du matériel génétique à trasnférer
- transfert du plasmide
- séparation des deux bactéries
processus conjugaison (Hfr)
- formation du pont de conjugaison
- un des deux brins du facteur F dans le chromosome se brise en deux, et une de ses extrémités s’engage dans le pont
- la réplication de l’ADN a lieu simultanément dans les deux bactéries
- le pont de conjugaison se brise avant le transfert complèt d’un des deux brins du chromosome de la bactérie donneuse
- recombinaison ADN entre le segment de chromosome et le chromosome de la bactérie receveuse
- des enzymes cellulaires désagrègent les segments d’ADN n’ayant pas été incorporés dans le chromosome
caractéristique conjugaison
- exige un contact directe entre les cellules au cours duquel les pili forment un pont cytoplasmique qui permet le transfert de matériel génétique
- la capacité d’être bactérie donatrice dépend de la présence du facteur F (gênés sur le plasmide)
conséquences conjugaison F+
- la bactérie receveuse est maintenant une bactérie donneuse mal, puisqu’elle possède maintenant le facteur F
conséquence conjugaison Hfr
seule une partie du facteur F est transmis si le pont se brise avant la fin du transfert : la bactérie receveuse est recombiner, mais reste F-
definition transduction
mécanisme d’échange génétique entre l’ADN d’une bactérie donatrice celui d’une bactérie receveuse par l’intermédiaire de bactériophages
processus transduction
- phage infecte B1
- lui injecte son acide nucléique, la B1 réplique son ADN et forme sa capsule poétique
- l’ADN phallique doit être introduit dans la capsule poétique : parfois, des erreurs ont lieu et des segments d’ADN bactérien s’y retrouvent
- la B1 lyse et libère les phages répliqués
- un de ces phages infecte une B2
- il transfert le segment d’ADN de la B1 à la B2
- il y a recombinaison
conséquences transduction
la B2 est génétiquement modifiée : son génotype est différent de la B1 et de la B2 initiale
importance des recombinaison génétiques dans l’acquisition de la résistances aux antibiotiques
- transposons : regroupent les gènes de résistance a des antibios multiples sur les plasmide (facteur R)
- les plasmides sont facilement transmis par recombinaison génétique = augmentation du nb de bactéries résistantes
facteurs de virulence
- facteurs cellulaires (adhérence, résistance a la phagocytose)
- sécrétion de substances toxiques (exo/endotoxines)
- sécrétion d’enzymes extraceullaires (sang, tissus conjonctif)
- biofillm
description, structures permettant et effet : adhérence
- réduit l’efficacité de la première ligne de défense (nettoyage mécanique)
- une molécule située à la surface de la bactérie (ligand) doit se lier a un récepteur spécifique sur la cellule hote pour qu’il y ait infection
- permit par : capsule, fimbriae, dextran
- augmente la capacité de survie et de dissémination
description, structures permettant et effet : résistance a la phagocytose
- réduit efficacité de 2e ligne (pagocytose)
- résistance au mode de défense non spécifique
- capsule : empêche les phagocytes d’adhérer a la bactérie et donc de la phagocyter (l’organisme va faire des anticorps spécifiques à la capsule et l’agent pathogène sera détruit ultimement)
- paroi cellulaire : parfois composés des substances chimiques qui offrent la résistance (protéine M, cire)
- augmente la capacité de survie et de dissémination
exotoxines : type de bactérie, description, nature chimique, mode d’action, effet, dose létale
- gram +
- sécrétées dans le milieu environnant durant la croissance bactérienne
- prétines, solubles dans les liquides de l’orgnisme
- Solubles : diffusion dans le sang, se lient a des récepteurs sp.cifiques a la surface des cellules cibles
- protéines : mode d’action très spécifique
- effets : neurotoxines (effet su la transmission synaptique, entérotixines (effets sur le transport membranaire intestinal)
- dose létale : micro a nano gramme par kg
endotoxines : type de bactérie, description, nature chimique, mode d’action, effet, dose létale
- gram -
- constitutant lipidique de la paroi cellulaire, libéré lors de la lyse des cellules
- lipides (LPS)
- action non spécifique
- produits toutes les memes symptômes mais a différents degrés d’intensité
- plus difficile à se débarrasser pcq on pas besoin d’une conformation spécifique comme les protéines (ne se dénaturent pas aussi facilement)
- symptômes causés par surreaction système immunitaire
- symptômes : fuissions, fièvres, faiblesse, état de choc, mort
- dose létale : mg/kg
def exoenzymes
enzymes qui diffusent dans le milieu extra cellulaire et augmentent la capacité de survie et le pouvoir d’invasion des bactéries en favorisant leur dispersion dans les tissus profonds ou en leur permettant d’échapper au système immunitaire
def cytosine
enzymes qui détruisent l’intégrité des cellules
site d’action, action, avantage bactérie + effets humain : hémolysine
- sang
- lyse des globules rouges (hémolyse) par formation de pores par lesquels s’échappent l’hémoglobine et les ions
- accès à de Fe (cofacteur) = favorise survie
- risque transport oxygène
site d’action, action, avantage bactérie + effets humain : leucocidine
- sang
- lyse des globules blancs (lysosomes) + producton de pu (bactéries pyogènes)
- diminution de la capacité immunitaire de l’hôte - augmentation des chances de survie
- diminution de la résistance aux agent infectieux/malades
site d’action, action, avantage bactérie + effets humain : coagulase
- sang
- formation de caillot dans les capillaires sanguins
- protection contre l’action des phagocytes et des autres mécanismes de défense de l’hote
- problème d’approvisionnement en sang dans les tissus (nécrose)
site d’action, action, avantage bactérie + effets humain : hyaluronidase
- tissus
- hydrolyse l’acide hyaluronique
- dissémination dans les tissus profonds = protection du système immunitaire
- aimâts graves sur les tissus conjonctifs
site d’action, action, avantage bactérie + effets humain : collagénase
- tissus
- hydrolyse le collagène
- dissémination dans les tissus profonds = protection du système immunitaire
- aimâts graves sur les tissus conjonctifs
def biofilm
- matrice gélatineuse dans laquelle les bactéries se dispersent
- coopération des bactéries pour permettre la protection
- contient canaux qui permettent aux nutriment d’atteindre les couches inférieurs + évacuation déchets
composition biofil
glucides, polysacchardies, quelques protéines
role biofilm
résistance aux agents chimiques + système immunitaire
comment le biofilm protege
- formation d’un amas de pls couhces
- les cellules au centre sont protégés par les cellules environnantes de l’action de médicaments/syst immunitaire
- elles sont tjrs infectieuses : elle peuvent donc continuer à infecter
étapes identification bactéries
- prélèvement
- obtention d’une culture pure
- observation caractères macro/microscopiques
- observations caractères physiologiques, biochimiques, immunologiques
- analyse moléculaire + génétique
4 grandes division de la classification du monde bactérien
- gram+
- gram -
- mycoplasmes (sans paroi cellulaire)
- archéobactérie (paroi sans peptidoglycane)
maladies propres a la pseudomonas aeruginosa
- plaies, blessures, brulures
- infections des yeux
- infection des oreilles
- infection du système respiratoire
maladies propres a la serratia marcescens
- pneumonie
- cystite
maladies porpores a la E. Coli
- diarrhées, infections urinaires
maladies propres a la staphylococcus aureus
- choc toxique
maladies propres a la enterococcus faecalis
- endocardite
maladies propres a la staphylococcus epidermidis
- infection site a la pose de cathéters/ortheses
maladies propres a la bacillus cereus
- gastro-entérite émétique ou diarrhéique
malaidie proteus vulgaris
- infections urinaires
exemple utilité bactérie environnement
cycles biogéochimiques, cycle de la matière, dépollution
exemple utilité bactérie industrie alimentaire
fermentation, source de protéine unicellulaire (spirulina)
exemple utilité bactérie biotechnologies
medicaments, ADN recombinant, biopolymères, bioinsecticides
exemple utilité bactérie santé (flore normale)
- role métabolique (vitamine K, B12)
- role physiologique (meilleure absorption de l’eau et des aliments, augmentation de la vitesse du transit intestinal)
- role immunitaire (barrière pour empêcher les agents pathogènes de s’installer ou de proliférer)
ex. bactérie, maladie : staphylocoques
- staphylococcus aureus
- infections cutanées, système resp, choc toxique, intoxication alimentaire
ex. bactérie, maladie : streptocoques
- streptococcus pneumoniae, streptococcus pyogenes
- bactéries hémolytiques
ex : mangeuse de chair, pneumonies
ex bactérie, maladie : entérobactéries
- shigella, salmonelle, Escherichia
- gastro-entérites potentiellement mortelles