ESC 2024 HBP, épilepsie,paralysie cérébrale Flashcards
physiopatho HBP
vieillissement normal,
1- accumulation excessive de DHT= prolifération des cellules de la prostate
2- baisse de la testostérone= hausse de l’estrogène= prolifération des cellules de la prostate ( augmente l’activité de la DHT)
décrire la HBP à un patient en mots simple
augmentation de la taille de la prostate causée par une prolifération (hyperplasie) des cellules dans la prostate, soit dû au vieillissement normal, à une hausse de la testostérone ou une baisse de la testostérone qui causerait ensuite une hausse d’œstrogène
FR HBP (3)
70 ans +
Homme
ROH + caféine → ↑ distension vessie (diurétique)
S/S obstruction lié à HBP (5)
↓ calibre et force jet
Difficulté à commencer miction
Globe vésical → besoin uriner urgent mais Ø satisfait
Intermittence flux urinaire
Persistance égouttement post-mictionnel
S/S irritation lié à HBP
↑ fréquence des mictions
Mictions impérieuses
Dysurie
Dlr vessie
Nycturie
Incontinence
quelle chx peut avoir lieu pour HBP
RTUP ( résection trans-urétale prostate)
quelle est le but de la RTUP
A/n voies naturelles
Retirer du tissu prostatique obstruant avec résectocope
pré-op chx RTUP
Anesthésie rachidienne
Anesthésie générale → Ø incision
post-op chx RTUP
Sonde 3 voies avec irrigation continue x 24h → système drainage → on veut urine rose pâle Ø caillot
Vérifier quantité dans le sac collecteur
Ajuster débit d’irrigation selon retour urine dans sac
Prévenir obstruction caillots sanguins et viscosité
complication post op chx RTUP
Saignement → blocage songe par caillot → urine s’accumule à la vessie → Ø capable d’évacuer
Rétention caillots
Hyponatrémie de dilution associée à irrigation → ↓ Na
Spasme vessie → perte urine côté de la sonde → dlr, sonde est trop poussée dans vessie
Dysfonctionnement sexuel
Incontinence post retrait sonde
moyens d’investigation RTUP
Examen physique + anamnèse
Toucher rectal → prostate lisse, ferme, élargie et symétrique
Analyse + culture urine → infection car urine stagne, pyélonéphrite
↑ antigène prostatique spécifique (APS) → → HBP ou cancer prostate
Taux sérique créatinine → éliminer IR causée par hydronéphrose
Bladder scan post miction
Écho transrectale → différencier HBP du cancer → biopsie PRN
Débimétrie urinaire → déterminer degré obstruction
c,est quoi pourquoi on regarde le niveau D’APS dans les labos chez les pt avec HBP
Le test de l’antigène prostatique spécifique (APS) est une protéine fabriquée par les cellules de la prostate. On trouve cet antigène surtout dans le sperme, qui est également fabriqué dans la prostate, mais il arrive qu’on le détecte aussi en petite quantité dans le sang. Une augmentation du taux sanguin d’APS peut être attribuable à un cancer de la prostate.
labos à vérifier avec HBP
FSC → voir APS et créatinine
Culture / analyse urine → GB, hématurie, bactérie → HBP ↑ risque infection urinaire car stase urinaire
enseignement hbp
Ø se retenir ou attendre avant d’aller aux toilettes
Restreindre la consommation de liquide le soir→ ↓ nycturie
Éviter consommation aliments irritants, comme le jus d’agrume
Exercices Kegel post retrait sonde
↓ activités qui ↑ pression abdo → 2 mois → marche, assis longtemps
Incontinence temporaire → résolu après 2 mois → irritation post-op (N)
Éjaculation rétrograde lors orgasme → sperme remonte a/n vessie car atteinte sphincter lors Chx → urine trouble
Observer les s/s d’infection urinaire
interventions inf HBP
Évaluer + soulager dlr (PQRSTU) - GLOBE VÉSICAL?
Nettoyer sonde BID + irriguer
Vérifier si retour urine dans sac collecteur identique à irrigation, arrêter si Non.
S’assurer que système drainage Ø coudé
Irriguer à la main jusqu’à déloger le caillot. Ensuite,
↑ débit irrigation jusqu’à retour clair urine si caillot
Noter qualité + qté urine → couleur, odeur, dépôts → hématurie N X 24h
I/E → minimum 250 mL / 8h
Évaluer l’état psychologique du pt
Surveiller S/S infection urinaire → brûlements mictionnels, urine nauséabonde
Perméabilité sonde, cesser irrigation si obstruction et aviser Md
prob infirmiers HBP
Rétention urinaire
Incontinence urinaire
Douleur aiguë
Risque déficit liquidien
Risque déséquilibre électrolytique
Manque de connaissance
FR epilepsie
H > F
Adultes avec Alzheimer
ATCD AVC
ATCD familiaux
S/S crise toniclonique épilepsie généralisée (grand mal)
-souvent chez adultes
-raideur
-secousses
-cyanose
-chute
-incontinence
-ptyalisme(salivation ++)
-morsure langue et joue
S/S crise absence typique épilepsie généralisée
-souvent chez les enfants
-regard fixe
-évanouissement bref
S/S crise myoclonique épilepsie généralisée
-secousses musculaires
S/S crise atonique épilepsie généralisé
-pas de tonus, chute
-reprend conscience dès que touche le sol
c’est quoi l’épilepsie
décharge électrique a/n des neurones qui empêche un fonctionnement normal cérébral
c’est quoi un foyer épileptogène
lieu des décharge électrique dans le cerveau ( ex: lobe frontal)
un foyer épileptogène va créer quoi?
du tissu cicatriciel ( gliose) = interférences chimiques et structurales a/n des neurones
que fait les astrocytes dans le cerveau
cellules qui soutiennent les neurones, elle libèrent du glutamate= décharge neuronales
c’est quoi une épilepsie focale?
- avec ou sans altération conscience
-paresthésie, faiblesse
-tr. mémoire, confusion
-distorsion perceptions (auditive, visuelle)
-sexualité débridé ou inhibé (baisse libido)
-mouvements répétitifs (claquement lèvres, triturer objets)
tx pour épilepsies focales (chx)
chirurgie: excision du foyer, s/s selon région
tx rx lié aux astrocytes
suppresseurs des astrocytes= inhibition libération glutamate
étiologie épilepsie
60%= cause inconnue
40%= cause connue:
- enfant - de 2 ans avec tr. développement, lésions néonatales ou tr. métaboliques
-adultes: TCC, tumeur, maladie vasculaire
-pers. âgées= tumeur, AVC
complications épilepsie
État de mal épileptique → trop de crises épuise neurones → risque lésions cérébrales
État de mal tonicoclonique → peut causer insuffisance ventilatoire, hypoxémie, arythmies
Mort dû aux traumas
moyens d’investigations épilepsie
Anamnèse + examen physique
ECG → détermine type épilepsie + siège de la crise
Hémogramme
Début, durée, fréquence crise
Analyses biochimiques
TDM / IRM → voir si présence lésions structurelles
Angiographie cérébrale
Tomographie d’émission à photon unique
tx épilepsie
Antiépileptique (dilantin)
Calmant (ativan)
Tx chirurgicale
Stimulation nerf vagale
Counseling psychosocial
soins infirmiers durant/après crise épilepsie
Dégager VR
O2 PRN ou ventilation
Aspirer sécrétions
Coussins côté du lit pour éviter blessures
Desserrer vêtements
Rester avec pt ad fin de crise
Cathéter IV
Ativan
SV + état de conscience
Glasgow et SN
problèmes infirmiers épilepsie
Risque de traumatisme
Identité personnelle perturbée(baisse de l’estime de soi)
Connaissances insuffisantes sur maladie
interactions sociales perturbées
ce que le test de glasgow évalue
l’ouverture des yeux, la réponse verbale et motrice
paralysie cérébrale
infirmité motrice cérébrale relié à atteinte au développement du cerveau du nourisson ou foetus
lors de TCC, on veut garder la T entre 36 et 37, pourquoi?
hypothermie= A FINIR
hyperthermie=
qu’est ce qui cause les atteinte au développement du cerveau chez les nourrissons et foetus qui vont mener à paralysie/ causes
-atrophie/ occlusion vasculaire
-perte neuronale = dégénérescence
-hypoplasie cérébrale
-dyplegie cérébrale= lié à infarctus (baisse O2 ou hémorragie)
-encéphalopathie
-acidose métabolique ou déséquilibre basique
-infection
-maladie génétique
Traumatisme
Problème de coagulation
4 catégories de paralysie
Spastique 70% =atteinte 1er moto neurone
Dyskinétique 20%= atteinte noyaux gris centraux
Ataxique = atteinte cervelet
Type mixte
FR paralysie
Leucomalacie périventriculaire
Syndrome BB secoué
Méningite
Encéphalite
Accident auto
Maltraitance
s/s paralysie généraux
-retard moteur
-persistence des réflexes archaiques(moro)
-faiblesse tonus musculaire
-hyperréflexie
Positions anormales
Difficultés à l’alimentation
Bras / jambes raides et rigides
Repoussement ou dos arqué → posture rigide
Irritabilité / pleurs extrêmes
Incapacité de s’asseoir sans soutien à 8 mois
Ø capable de se retourner, élever tête, s’asseoir, ramper
paralysie ataxique s/s
-hypotonie
-pas de coordination
-tremblements involontaires
-démarche ébrieuse
-difficulté gestes fins et rapides
paralysie dyskinétique s/s
-mouvements reptatoires(comme un reptile), involontaires, lents
-dysarthrie
-pas pendant le sommeil
-hausse des émotions
paralysie mixte s/s
mixte?
paralysie spastique s/s
-hypertonie musculaire
-pas coordination
-mouvements involontaires
-dysarthrie
-dysphagie
quel est le risque de la dysphagie chez la paralysie spastique et ce qu’on doit/peut faire pour prévenir
pneumonie d’aspiration:
-surveiller s/s
-gavage possible
diète adapté
moyens d’investigations paralysie
Présence d’agents étiologiques
Imagerie cerveau
IRM > TDM
Examens métaboliques et génétiques
SN
enseignement au parents pour paralysie
S/S pneumonie → Tº, toux grasse, essoufflement, frissons.
Dépistage des plaies de pression (tourner +++)
S/S infection urinaire → brûlement mictionnel, sensation d’envie d’uriner (observer lors de mictions, qualité qté urine, fréquence)
Soutien famille:
Association
Groupe soutien
Aide-ressource soutien financier
-Soutien psycho proche aidant, expliquer les besoins de gavage/O2 à la maison par exemple.
-Constipation:
↑ apport liquidien
Laxatifs
Alimentation riche fibres
Exercices actifs et passifs
-Faiblesse maîtrise vessie / rétention urinaire :
Uriner fréquemment ou dès envie, HS et réveil
Routine mictionnelle
-Infection chronique VR / pneumonie par aspiration :
Physiothérapie respi
Exercices toux
Adapter alimentation selon capacités → petits morceaux ou purée
Stabiliser mâchoire → éviter étouffements → position anti-reflux lors ou post alimentation
-Atteintes cutanées / risque de lésion :
Assurer bon alignement corporel