Epaule Flashcards

1
Q

Les stabilisateurs de l’articulation gléno- humérale:

les stabilisateurs dynamique

A
  • Les tendons de la coiffe des rotateurs

- La longue portion du biceps

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2
Q

Les stabilisateurs de l’articulation gléno- humérale:

Les stabilisateurs statiques

A
  • Les ligaments gléno- huméraux, supérieur, moyen et inférieurs qui forment un Z antérieur à la capsule.
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3
Q

le ligament gléno- huméral supérieur limite

A

la luxation inférieure

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4
Q

Le ligament gléno- huméral moyen limite la

A

rotation latérale

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5
Q

Le ligament gléno- huméral inférieur limite la

A

luxation antérieure

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6
Q

Le ligament coraco- huméral, qui stabilise l’épaule en

A

adduction

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7
Q

Le ligament huméral transverse, qui stabilise la

A

longue portion du biceps dans sa gouttière

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8
Q

Le bourrelet glénoïdien, qui est un

A

anneau fibrocartilagineux entourant la cavité glénoïde. Il augmente la cavité glénoïde et augmente sa profondeur de 50%, renforçant sa stabilité, il sert de surface articulaire pour la tête humérale et aussi de point d’insertion pour la capsule articulaire.

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9
Q

Articulation acromio-claviculaire

A

une articulation plane

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10
Q

Articulation acromio-claviculaire

A

d’une capsule,
un disque articulaire,
des ligaments acromio- claviculaire, coraco- claviculaire et coraco- acromiale.

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11
Q

les principales suspenseurs du membre supérieur.

A

Le ligament coraco- claviculaire, le deltoïde et le trapèze constituent

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12
Q

Articulation sterno-claviculaire

A

C’est une articulation en selle et représente la seule connexion entre le tronc le membre supérieur.

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13
Q

Articulation sterno-claviculaire possède un

A

disque articulaire fibrocartilagineux qui augmente la capacité de mouvement, améliore la congruence des surfaces articulaires et résiste à la luxation supérieure de la clavicule.

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14
Q

Articulation sterno-claviculaire est stabilisée par

A

par le ligament costo- claviculaire entre la première côte et la clavicule, ce ligament s’oppose à la force de luxation supérieure des muscles sterno-cléido-mastoïdiens.

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15
Q

Articulation scapulo-thoracique

A

une articulation physiologique qui glisse librement sans restriction ligamentaire et joue un rôle important dans la biomécanique du complexe épaule.
Le glissement se fait entre la face antérieure de la scapula et la cage thoracique.

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16
Q

La coiffe des rotateurs est une structure

A

musculotendineuse complexe constituée de quatre muscles prenant leur origine sur l’omoplate et s’insèrent sur les tubérosités humérales.

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17
Q

Les muscles de la coiffe des rotateurs:

A
  • Le muscle sus-épineux
    • Le muscle infra-épineux
    • Le muscle petit rond
    • Le muscle sous-scapulaire
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18
Q

Antécédents de néoplasie (poumon, côlon, rein, sein…) laisse présager

A

une métastase osseuse !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

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19
Q

Douleur très intense -» 2 diagnostics les plus fréquents:

A

Bursite (phase très inflammatoire)

- Tendinite calcifiante

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20
Q

Une douleur d’épaule n’irradie jamais

A

au coude

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21
Q

• Douleur en regard des trapèzes ->

A

douleur cervicale projetée

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22
Q

• Douleur de l’acromio claviculaire ->

A

atteinte spécifique de cette articulation (souvent négligée)

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23
Q

Douleur postérieure de l’omoplate ->

A

dérangement intervertébral mineur, douleur cervicale projetée

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24
Q

AMYOTROPHIE

A

DEFORMATION

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25
Q

Des mobilités passives normales et une mobilité active diminuée en flexion réalisent le tableau d’épaule pseudo-paralytique. Il s’agit le plus souvent d’un problème de

A

de coiffe des Rotateurs.

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26
Q

Le conflit sous acromial correspond à des lésions

A

dégénératives de la coiffe des rotateurs ayant pour origine un conflit répété des tendons de la coiffe avec le bec antéro-inférieur de l’acromion et le ligament acromio-coracoïdien.

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27
Q

Recherche d’un conflit sous acromial

A

NEER YOCUM HAWKINS

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28
Q

Le signe de NEER

A

consiste à effectuer une élévation antérieure passive de l’épaule main en
pronation, tout en bloquant la rotation de l’omoplate. Il est positif si la douleur apparaît entre 60 et 120° d’élévation antérieure. Elle disparaît main en supination.

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29
Q

Le signe de YOCUM

A

se recherche la main du patient posée sur l’épaule opposée, bras à 90 ° d’élévation antérieure. On demande au patient de lever le coude au ciel contre résistance. Le signe est positif si le patient ressent une douleur qu’il reconnaît.

30
Q

Le signe de HAWKINS

A

se recherche bras à 90° d’élévation antérieure, coude fléchit à 90°, en imprimant un mouvement de rotation interne. Le signe est positif si le patient ressent une douleur qu’il reconnaît.

31
Q

resultat de neer, yocum, hawkins

A

Résistance correcte sans douleur = test NORMAL
•Douleur= tendinopathie/ enthésopathie
•Diminution de la force= rupture tendineuse/ atteinte
neurologique

32
Q

Le signe de JOBE

A

sus-épineux
se recherche bras dans le plan de l’omoplate (30° vers l’avant) à 90°
d’abduction, pouce vers le bas, en demandant au patient de résister à une pression
descendante de l’examinateur. Il est positif en cas de diminution de la force.

33
Q

Signe de Patte

A

. Sous-épineux et petit rond
L’examinateur se place derrière le patient, et demande à celui-ci d’effectuer une rotation externe contrariée en partant de la position RE2 (bras à 90° d’abduction) Il apprécie la force musculaire selon la cotation suivante :
• 5 : force musculaire normale et symétrique
• 4 : force musculaire diminuée
• 3 : RE2 contre pesanteur seulement
• 2 : pas de rotation externe active (clairon)
• 1 : contraction musculaire
• 0 : absence de contraction musculaire

34
Q

Signe du clairon

A

En l’absence de rotateurs externes, pour porter la main à la bouche, le patient devra élever le coude au-dessus de l’horizontal, prenant ainsi la position d’un joueur de clairon.

35
Q

Retour automatique ou signe du portillon

A

En l’absence de rotateur externe, le patient ne pourra freiner le retour automatique de la main vers l’abdomen, lorsque partant d’une position en rotation externe coude au corps, l’examinateur lâche la main du patient. La main vient alors frapper l’abdomen. Le retour automatique peut aussi se rechercher en position RE2. Il s’agit alors du Drop Sign

36
Q

La manoeuvre de GERBER

A

Sous-scapulaire
: Le patient passe la main dans le dos au niveau de la ceinture, il doit alors fermer le poing, décoller celui-ci de la ceinture et garder la position. Le signe est positif si le patient ne peut tenir la position. Une rotation interne douloureuse ou déficitaire rend impossible la réalisation de ce test. Il faut alors utiliser la manoeuvre du Press –Belly Test.

37
Q

Le PRESS BELLY TEST

A

Sous-scapulaire
On demande au patient d’appuyer sur son ventre (belly) avec la paume de la main en décollant le coude du corps. S’il ramène le coude au corps, le test est positif signant l’atteinte du sub-scapulaire. Ce signe est parfois appelé signe de Napoléon.

38
Q

Douleur & déformation acromio-claviculaire reproduites en adduction d’épaule

A

luxation AC

39
Q

Douleur, déformation en coup de hache externe, comblement du sillon deltopectoral

A

-> luxation antérieure GH

40
Q

Mobilisation active très limitée, mobilisation passive normale

A

lésion de coiffe

41
Q

dlr référées
ep droite
ep gauche

A

droite: rachis cervical, poumons, vesicule billiaire, coude
gauche:
coeur, rate
diaphragme - golf ball gauche

42
Q

Les causes neurologiques dlr a l’epaule

A

Les hernies discales cervicales constituent la cause la plus fréquente, en général la douleur provoquée par des mouvements actifs ou passifs du rachis cervical, avec des signes radiculaires (irradiation au niveau des membres supérieurs, réflexes ostéotendineux atteints, troubles sensitifs et moteurs).

43
Q

Les causes neurocirculatoires dlr epaule

A

Le syndrome du défilé thoracique constitue une cause neurocirculatoire.

44
Q

Les causes viscérales dlr epaule

A

La cause la plus fréquente est liée à une irritation du diaphragme.

45
Q

tendinite ep Signes et symptômes :

A

Symptômes : Douleurs très intenses, subite se localisant au niveau du muscle deltoïde et de la face latérale du bras.
L’anamnèse révèle souvent un traumatisme ou un mouvement inhabituel.
Signes cliniques: l’amplitude articulaire de l’épaule est fortement réduite à cause de la douleur et la mobilisation active est plus douloureuse que la passive.

46
Q

On recherche les signes de l’atteinte de la coiffe des rotateurs, en effectuant les tests suivants:

A
  • Rotation interne contre résistance (rechercher une lésion du muscle sous scapulaire).
    • Rotation externe contre résistance (rechercher une lésion de la coiffe des rotateurs).
    • Test de Jobe ( rechercher une lésion du muscle sus-épineux).
    • Épreuve de la poussée de Gerber (lésion du muscle sous scapulaire)
47
Q

tendinite ep diagnostic

A

Il s’agit d’un diagnostic clinique (anamnèse + examen physique), une radiographie standard peut être effectuée pour écarter une fracture.

48
Q

tendinite ep traitement

A
  • Immobilisation de quelques jours (pour éviter l’évolution vers une capsulite).
  • Traitement médicamenteux avec des AINS (3 à 7 j).
  • Une infiltration de corticoïdes en sous-acromiale.
49
Q

prognostic ep tendinite

A

Bon et sans séquelles.

50
Q

Tendinite chronique de l’épaule

Physiopathologie

A

Les tendinites de l’épaule représentent la condition douloureuse non traumatique de l’épaule la plus fréquente. Elles sont la conséquence de sollicitations habituellement répétées sur un tendon présentant un certain degré de dégénérescence.
Les changements dégénératifs des tendons de la coiffe des rotateurs et du tendon bicipital apparaissent fréquemment après 40 ans et augmentent avec l’âge.

À la suite des changements dégénératifs survenant à l’insertion des tendons de la coiffe, ces muscles deviennent moins aptes à assurer leur fonction de la coaptation de la tête humérale sur la glène. Il se produit donc un déséquilibre du couple deltoïde-sus-épineux et l’action dominante du deltoïde au cours de l’abduction entraîne la tête humérale vers le haut, sous l’acromion. Il s’ensuit des changements dégénératifs au niveau des tubérosités de la tête humérale et sous l’acromion, à la suite de frictions répétées et de microtraumatismes.
De façon parallèle aux changements dégénératifs observés dans les tendons de la coiffe, les parois de la bourse sous-acromiale s’épaississent et les adhérences se forment.
L’ensemble de ses modifications pathologiques survient dans un carrefour étroit ( sous la voûte acromio-coracoidienne), ce qui a pour effet de diminuer l’intervalle entre la voûte acromiocoracoidienne et les tubérosités de l’humérus. Le malade ressent alors une douleur, une sensation d’accrochage et parfois un ressaut ou un crépitement.

51
Q

Tendinite chronique de l’épaule symptomes et signes

A

Symptômes: Douleur au niveau du muscle deltoïde lors de l’abduction du bras, douleur nocturne en décubitus latéral du côté atteint. Si le processus devient chronique, le patient rapporte une faiblesse musculaire.
NB: 10% des patients peuvent évoluer vers la capsulite de l’épaule.
- Signes cliniques: Douleur lors de l’abduction du bras entre 60 degrés et 120 degrés, On aura aussi les signes de l’atteinte de la coiffe des rotateurs et les signes d’accrochage (abuttement).
Les signes témoignant de l’existence d’un syndrome d’accrochage

52
Q

Tendinite chronique de l’épaule diagnostic

A
  • Le diagnostic est clinique (anamnèse + examen physique).
  • La radiographie standard peut montrer en présence de tendinite chronique les signes suivants:
    • Pincement de l’espace acromio-huméral (N: 10,5 mm).
    • Arthrose acromio-claviculaire avec un pincement et ostéophytes.
    • Calcifications de la coiffe des rotateurs.
53
Q

Tendinite chronique de l’épaule traitement

A
  • Traitement conservateur: éviter l’immobilisation.
  • Traitement médicamenteux: AINS, Acétaminophène, infiltration de corticoïdes.
  • Traitement chirurgical: ablation du dépôt calcaire ou acromioplastie
54
Q

Rupture de la coiffe des rotateurs

physiopathologie

A

Les altérations dégénératives décrites plus haut constituent le substrat anatomopathologique de la majorité des déchirures partielles ou complètes. La déchirure siège habituellement entre le trochiter et la jonction musculotendineuse de la coiffe.

La rupture totale de la coiffe des rotateurs qui implique toute l’épaisseur d’un tendon, entraîne nécessairement un déséquilibre au niveau du couple deltoïde|coiffe, la tête humérale migre vers le haut sous l’action verticale du deltoïde, comprimant d’avantage les structure du défilé sous-acromial.
La rupture survient par ordre décroissant dans le tendon du sus-épineux, du sous épineux et du sous-scapulaire.

55
Q

Rupture de la coiffe des rotateurs

symptomes et signes

A

Symptômes:

la déchirure partielle de la coiffe des rotateurs est asymptomatique, le tableau clinique correspond au tableau d’une tendinite.
La déchirure complète de la coiffe se retrouve surtout chez un homme de plus de 45 ans, travailleur manuel, qui consulte pour une douleur incapacitante de l’épaule avec faiblesse d’abduction du membre supérieur et avec des antécédents tendinite chronique et de macro- ou microtraumatismes à l’épaule.

Signes cliniques:

  • Une faiblesse en rotation externe contre résistance.
  • Test de Jobe positif.
  • Les manœuvres en faveur d’un accrochage positives.
  • Un décollement précoce de l’omoplate lors de l’abduction
56
Q

Rupture de la coiffe des rotateurs diagnostic

A

Diagnostic

Il s’agit d’un diagnostic clinique (anamnèse + examen physique).

Examens complémentaires

À la radiographie standard, on recherche un pincement de l’espace acromioclaviculaire (une distance inférieure à 7 mm est associée à une rupture complète).
Une IRM de l’épaule surtout chez le sujet jeune suite à un traumatisme où on suspecte une rupture de la coiffe.

57
Q

La déchirure complète de la coiffe se retrouve surtout chez

A

un homme de plus de 45 ans, travailleur manuel, qui consulte pour une douleur incapacitante de l’épaule avec faiblesse d’abduction du membre supérieur et avec des antécédents tendinite chronique et de macro- ou microtraumatismes à l’épaule.

58
Q

Rupture de la coiffe des rotateurs traitement

A

AINS
Immobilisation et réévaluation
- Consultation en chirurgie (surtout chez le sujet jeune)

59
Q

Rupture du biceps

Physiopathologie

A

Une atteinte dégénérative préalable est présente dans la majorité des cas.

Le plus souvent la rupture se produit à la suite d’un effort important, entraînant une très forte contraction du biceps, parfois à la suite d’une contusion directe ou d’une chute (élongation).

La rupture est habituellement complète, le plus souvent au point le plus faible du tendon, à sa sortie de la cavité articulaire.

60
Q

Rupture du biceps

symptomes signes

A

Symptômes:

Un claquement douloureux est ressenti suivi d’une formation d’un gros hématome.

Signes cliniques:

Une déformation en boule de l’aire bicipitale au tiers distal du bras (bras de Popeye) et une diminution de la force musculaire avec douleurs associées.

61
Q

rupture du biceps traitement

A

Traitement:

est chirurgical chez le jeune
et conservateur chez le malade plus âgé si la rupture du tendon n’est pas invalidante.

62
Q

capsulite

durée, age

A

La capsulite est secondaire à un épaississement fibreux de la capsule articulaire avec rétraction de la capsule. La synoviale peut ne pas être affectée et une décalcification de la tête humérale apparaît après quelques mois d’évolution.
La durée moyenne d’une capsulite est de 1,5 ans et elle touche surtout les patients entre 40 et 60 ans.

63
Q

capsulite étiologie

A

Primaire: La capsulite s’installe progressivement sans raisons décelable chez des personnes qui ont un profil de personnalité bien défini, caractérisé par des traits anxiodépressifs, chez des personnalités passives dotées de seuil bas de tolérance à la douleur.

Secondaire: à des conditions médicales qui prédisposent à la survenue de la capsulite, parmi ces conditions, on retrouve:

* Diabète (associé dans 30 à 40% des cas).
* Hypothyroïdie.
* Immobilisation de l’épaule.
* Tendinite chronique de la coiffe des rotateurs.
* A.V.C.
* Maladie de Parkinson.
* Chirurgie thoracique ou des bras.
* Polyarthrite sévère.
* Traumatisme de la cage thoracique.
* Néoplasie du thorax ou du sein
64
Q

capsulite clinique

Il existe trois phases dans la capsulite adhésive:

A

Phase de douleur, c’est une douleur qui ressemble aux douleurs liées à la tendinites chroniques.

Phase d’enraidissement, qui dure quelques mois, caractérisée par une perte de la mobilité progressive qui suit toujours une séquence appelée patron capsulaire. Le premier mouvement restreint est la rotation externe de l’épaule, la perte de mobilité gagne l’abduction puis en dernier lieu, la rotation interne. Cette phase correspond à la rétraction de la capsule qui devient de plus en plus comme un sac sous vide.

Phase de récupération spontanée, cette récupération n’est pas toujours complète.

65
Q

capsulite clinique

A

À l’examen clinique, on a:

  • Une perte d’amplitude (active et passive) de l’articulation gléno- humérale ( plus la rotation externe > abduction > rotation interne).
  • La mobilisation passive de l’épaule est douloureuse.
  • Participation de l’articulation scapulohumérale précoce.
  • Manœuvre de rotation externe, interne contre résistance sont peu douloureuses.
    La manœuvre de grattage d’Apley positive.
66
Q

capsulite traitement

A

Rassurer le patient sur la guérison spontanée de la maladie.

  • Il faut traiter la maladie de base ( ex: diabète, hypothyroïdie…).
  • AINS, acétaminophène, infiltration intra- articulaire de corticoïde.
  • Physiothérapie.
67
Q

L’arthrose scapulo- humérale

A

, la plus fréquente, elle s’accompagne souvent à une ancienne rupture des tendons de la coiffe des rotateurs.
Sur le plan thérapeutique, les AINS, les infiltrations de corticoïdes et la rééducation.

68
Q

L’arthrose acromio-claviculaire

A

se manifeste par une douleur au niveau de la région supérieure et latérale de l’épaule.

69
Q

L’arthrose sterno-claviculaire

A

elle ne cause pas de gêne fonctionnelle.

70
Q

La polyarthrite rhumatoïde

A

L’épaule est impliqué chez 50% des malades, l’inflammation de la synoviale, les tendons et les bourses avec faiblesse musculaire et limitation articulaire importante.

71
Q

La nécrose avasculaire aseptique

A

C’est l’ostéonécrose de la tête humérale, le tableau clinique donne lieu à des douleurs associées à une limitation des mouvements.

72
Q

Arthrite septique

A

Doit être suspectée en présence d’un gros épanchement mono-articulaire avec douleurs sévères, chaleur, rougeur de l’articulation et la présence d’une fièvre.
Traitement consiste en une antibiothérapie I.V, associée à des ponctions évacuatrices, puis antibiothérapie par voie orale.