Dysphorie de genre et stress minoritaire Flashcards
Qu’est-ce que la dysphorie de genre?
Détresse qui découle du fait de ressentir une divergence entre son identité de genre et le sexe assigné à la naissance
Pourquoi dit-on que c’est un choix déchirant de choisir entre souffrir de dysphorie de genre ou souffrir d’une autre dysfonction sexuelle?
Certains traitements affirmatifs diminuent la dysphorie de genre mais augmentent les risques de dysfonctions sexuelles.
Ne pas déployer ces traitements maintient la dysphorie de genre mais ne cause pas de dysfonction sexuelle.
Nommez des traitements définitifs d’affirmation de genre (masculinisants et féminisants)
Masculinisant:
mastectomie
phalloplastie
Les 2: hormonothérapie
Féminisant:
augmentation mammaire
Vaginoplastie
Ablation pomme d’Adam
Nommez des traitements non-définitifs d’affirmation de genre (masculinisants et féminisants)
Masculinisant:
- binding
- strap-on
Les 2:
- Injections (mâchoire, lèvres, etc.)
Féminisant:
- rembourrage des seins
- tucking pénis
V ou F: les traitements affirmatifs de genre diminuent la dysphorie de genre ET la satisfaction sexuelle
F: diminuent la dysphorie de genre et AUGMENTENT la satisfaction sexuelle
Le trouble de l’intéret/du désir est plus prévalent chez quelle clientèle ? (hommes trans, femmes trans, lesbi)
Femmes trans (hormonothérapie = baisse désir, mais PAS détresse)
*difficultés lubrification = + détresse
Les troubles de l’orgasme sont plus prévalent chez quelle clientèle? (hommes trans, femmes trans, lesbi)
Hommes trans (43% rapportent des difficultés orgasmiques, + chez hormonothérapie que chirurgie, orgasmes + courts)
*F trans = orgasmes + longs à atteindrent mais + intenses
V ou F: Les F lesbi ont une plus grande prévalence à développer un trouble de l’intérêt/excitation et un trouble de l’orgasme que les F cis hét?
F: - prévlalent que Fcishét, -de détresse, activités variées
V ou F : le Lesbian Death Bed signifie une baisse des activités sexuelles après 2 ans de relation mais AUCUNE baisse de satisfaction sexuelle
V: baisse des activités mais satisfaction stable (activités variées, + communication)
Les troubles liés à la douleur génito-pelvienne sont plus prévalent chez quelle clientèle? (hommes trans, femmes trans, lesbi)
Hommes trans ET femmes trans
10% hommes trans rapportent douleurs vulvaires (peut provoquer/maintenir dysphorie)
27% des femmes trans ressentent douleur (+ chez chirurgie qu’hormonothérapie)
V ou F: Les personnes intersexes n’ont pas tendance à présenter des difficultés sexuelles
F: 100% des personnes intersexes actives sexuellement présentent des difficultés sexuelles
Expliquez comment le stress minoritaire + violences = répercussions psychologiques (donnez des exemples de chacun):
Stress minoritaire: événements de discrimination, homophobie internalisée, anticipation de la discrimination
Violence: physique, sexuelle, psychologique
=
Répercussions: honte, méfiance, peur d’être perçu comme LGBTQ, difficulté à affirmer ses relations
=
COMPORTEMENTS SEXUELS À RISQUE
Nommez des pistes d’intervention pour adresser le stress minoritaire et ses répercussions:
- empowerment (solidifier forces)
- laisser l’espace pour se déployer
- Créer un lien de confiance et un filet de sécurité
- Faire usage de discrétion et de jugement clinique
Qu’est-ce que le chemsex?
Faire l’usage de drogues stimulantes pendant des relations sexuelles
(+ chez HARSAH)
V ou F: les anabolisants (pour des gros muscles) améliorent la fonction érectile
F: ils nuisent à la fonction érectile