Dysfonctions sexuelles masculines Flashcards
Quelle était l’ancienne terminologie utilisée pour décrire la plupart des problèmes sexuels masculins ?
L’impuissance.
Comment M&J (1970) ont-ils catégorisé les dysfonctions sexuelles masculines ?
En distinguant quatre types de dysfonctions sexuelles : l’impuissance primaire ou secondaire, l’absence d’éjaculation, l’éjaculation précoce et la dyspareunie.
Comment est caractérisé le trouble du désir sexuel hypoactif ?
Par l’absence ou la forte diminution du désir ou de la motivation à pratiquer une activité sexuelle, manifestée par un désir spontané faible ou inexistant, un désir faible ou inexistant en réponse aux stimulations érotiques, ou une incapacité à maintenir le désir ou l’intérêt pour l’activité sexuelle une fois celle-ci commencée.
Quelle est la prévalence de la dysfonction érectile chez les hommes de plus de 70 ou 80 ans ?
Entre 50 et 100%.
Quels sont certains facteurs prédisposants à la dysfonction érectile ?
Le diabète, les maladies cardio-vasculaires, les maladies psychiatriques, les troubles psychologiques, les déficits hormonaux, les conditions socio-économiques défavorables et le tabagisme.
Quels sont les traitements médicamenteux possibles pour la dysfonction érectile ?
Les pompes à vide, les implants péniens, les injections intra-caverneuses ou intra-urétrales et les inhibiteurs de la phosphodiestérase 5 (IPDE-5).
Qu’est-ce que le priapisme ?
La persistance involontaire d’une érection complète ou partielle après l’orgasme et l’arrêt de toute stimulation sexuelle.
Comment Masters et Johnson définissaient-ils l’éjaculation précoce ?
Comme le moment où l’homme avait un orgasme avant sa ou son partenaire.
Quelles sont les tentatives de définition de l’éjaculation précoce ?
Le temps de pénétration inférieur à une, deux ou trois minutes, le nombre de mouvements pelviens intravaginaux inférieur à quinze, et la perte de contrôle du réflexe éjaculatoire.
Qu’est-ce qui peut être suggéré à un patient souffrant d’éjaculation précoce ?
Une sexualité moins axée sur la pénétration, le développement des perceptions sensorielles et l’écoute du ressenti, ainsi que des exercices masturbatoires.
Comment est caractérisée l’éjaculation tardive ?
Par une incapacité à atteindre l’éjaculation ou une latence excessive de l’éjaculation malgré une stimulation sexuelle adéquate et le désir d’éjaculer.
Quels sont certains types de troubles éjaculatoires non référencés dans les manuels diagnostiques ?
L’éjaculation asthénique, l’anéjaculation, l’éjaculation de faible volume, l’éjaculation rétrograde et l’éjaculation douloureuse ou avec du sang.
Quelles sont les douleurs sexuelles mentionnées dans le texte ?
Les douleurs génito-pelviennes causées par des lésions au niveau du frein du gland ou la maladie de La Peyronie.
Comment est caractérisé le trouble compulsif du comportement sexuel ?
Par un schéma persistant d’incapacité à contrôler des impulsions ou des envies impérieuses répétitives intenses entraînant un comportement sexuel répétitif.
Quels sont les symptômes du trouble compulsif du comportement sexuel ?
Des activités sexuelles répétitives devenant un point central de la vie de la personne au point d’en négliger la santé ou les soins personnels, de nombreux efforts vains pour réduire significativement le comportement sexuel répétitif, et un comportement sexuel répétitif continu malgré les conséquences négatives ou le fait d’en tirer peu ou pas de satisfaction.