dyscalculie Flashcards
différences entre le cerveau contrôle et le cerveau de Einstein
- cortex postérieur pariétal plus développé
sulcus intrapariétal
impliqué dans la dyscalculie développementale et dans les compétences en mathématiques
— répond spécifiquement à des stimuli de nombres
tâche de détection de nouveauté
- individus en santé mis dans un scan
- séries d’images qui se suivent à quelques centaines de ms
- symboles peuvent se différencier sur 2 caractéristiques : nombre (16/32 éléments) ou forme (carré/cercles)
- la plupart des images = 16 éléments, donc 32 = déviant
- la plupart = cercle, déviant = carré
- y-a-t-il une différence d’activation selon le type de nouveauté ?
résultats de la tâche de détection de nouveauté
- sulcus intrapariétal est activé par les nombres
est-ce que les mathématiciens ont un patron de matière grise qui diffère des non-mathématiciens?
- augmentation de l’épaisseur corticale du sulcus intra pariétal chez les mathématiciens
- corrélation entre le nombre d’années d’études en mathématiques et l’épaisseur du sulcus intrapariétal
différences entre sujets dyscalculiques et sujets normaux
- degré d’activation dans une situation ‘difficile’ est moindre pour les enfants dyscalculiques
- MAIS plus grande activation pour la situation ‘facile’ que pour les sujets contrôles
quelles régions s’activent lors de tâches mathématiques?
- lobule pariétal supérieur
- sulcus intrapariétal
syndrôme de Turner
= syndrôme génétique causé par l’absence totale/partielle d’un chromosome X (prévalence = 3%)
- seulement chez les filles
- phénotype : petite taille, malformations cardiaques et rénales
- QI verbal normal, QI performance bas, pas de retard mental
- déficit dans le traitement des nombres
différence dans la taille du sulcus intrapariétal chez les sujets normaux vs syndrome de turner
sulcus intrapariétal plus petit chez les sujets atteints du syndrôme de Turner
—> différences fonctionnelles ET anatomiques
études avec la stimulation magnétique transcranienne
- création d’une ‘dyscalculie virtuelle’ en inhibant le sulcus intrapariétal
- certaine augmentation dans le temps de réaction
- pas autant que les sujets dyscalculiques
- –> le sulcus intrapariétal fait partie d’un réseau vaste et distribué, il est important de tenir compte des autres régions cérébrales qui pourraient sous-tendre les déficits observés dans la dyscalculie
approche thérapeutique : traitement SMT pour les sujets dyscalculiques
- apprennent une tâche ou nb sont associés à des symboles, patient doit apprendre par coeur et faire comparaisons numériques à partir de ça
- pendant qu’il fait son apprentissage, on apsse le courant dans son cerveau, ce qui suractive son sulcus intrapariétal