Dossier 4 : Les APU Flashcards
Fonctions principales des APU
La production de bien et services non marchands (même si de façon résiduelle production marchande) ; répartition-redistribution (retraite, RSA)
Opérations de production de bien et services non marchands
(400M) Education, hopital, police, armée, routes… + PM
Opérations de répartition-redistribution
(450M) PSE (retraites, alloc. familiale, RSA, chomage) + TSN de PM (APL, médecin)
Sens de répartition
Lutte contre les inégalites de revenus (redistribution verticale); socialisation (= prise en charge collective des risques : redistibution horizontale)
Calcul de la VA des SNM des APU
Somme des couts de production : P = VAB = RS + CI + IP° + CCF. (RS = 80%)
Evolution de la production des APU par rapport au SNF
Environ 1/3 depuis les années 70.
Domaine de la production des APU
Entreprises publiques exclues
Evolution de la production des APU+entreprise public par rapport au SNF
Environ 40% aujourd’hui. 75% en 1982 (avec les nationalisations)
Prestations sociales autre que transferts sociaux en nature (PSE)
ERROR!
Transfert sociaux en nature (TSN) de produit marchand (TSNPM)
ERROR!
Transfert sociaux en nature (TSN) de produit non marchand (TSNPNM)
ERROR!
Dépense de consommation finale des APU
DCI + DCC
DCF individuelle (DCI) de APU
TSNPM + TSNPNM = TSN
DCF collective (DCC) des APU
Production de biens et services non marchands non individualisable (police, armée, justice) = DCC des APU
Raison pour laquelle la DCF des APU n’est pas égale à ce qui est observé dans le compte des ménages
PSE en ressources du CDSR pour les ménages. Montant supérieure car SNF et ISBLSM en plus. De même pour les les TSNPM et TSNPNM
Evolution de la socialisation du revenu des ménages
Plus de 40% du RDBA (RDB + TSN) ; n’a pas cessé de croite depuis 90 puis tournant néolibéral en 1993 et 2008 (mais n’a pas regressé). ; 2009 et 2014 hausse puis stagnation (allocation chomage mais baisse du dénominateur) ; Augmentation surtout des PSE et des TSN marchand (vieillissement) (donc pas la RS du public ou du nombre de fonctionnaire)
Raison pour laquelle la prise en compte de la DCC des APU amplifie la socialisation du revenu des ménages
Car DCF > DCI.
Critiques du discours sur le “poids” supposé “exorbitant” des “charges sociales”, des “prélèvements obligatoires” ou de la dépense public
laisse entendre qu’une grande part de la richesse « est prélevée par le public pour financer des agents publics improductifs » mais c’est faux ; Sert à payer des PSE (qui reviennent diretement au ménage), puis dépensé dans le privé et TSNPM (qui va au privé : bailleur, pharmacie) ; TSNPM + PSE = 50% de la dépense publique. Mais dépense publique/PIB <=> 57% mais n’est pas une part du PIB ; Agents publics pas improductif (pas besoin de financer son activité improductive) ; Aux EU, PO plus faible (malgrès Medicare, Medicaid) mais prélèvement au bénéfice du privé non compté => PO stricto sensu plus faible.
Taux de prélèvement obligatoires
45% du PIB
Equivalent de la dépense publique
57% du PIB
Evolution de l’épargne des APU
Capable de financer leur FBCF. Positive jusqu’à 2008 puis négative avec la recession (recettes < dépenses courantes => moins d’investissement). 2015, 2016 : >0
Besoin de financement des APU
Solde du compte de capital : part des dépenses qu’elle ne peuvent pas financer avec leur EB. Effet de crise depuis 2009 : réduction recette et augmentation dépenses. EB < 0 avant même FBCF donc.
Montant du BF des APU
75M en 2016 ; 140M en 2009. Comparaison dans le temps : en recul depuis 2009, le pic de la crise (reprise d’activité depuis 2010), puis stagnation en 2012 d’où stagnation du PIB et donc BF réduit peu même si austérité budgétaire. Puis redémarage de la croissance ; Comparaison en % du PIB : Au dela de barre des 3% (3.6 en 2016) mais comme autres payes de l’UE et US (13% en 2009).
Raison pour laquelle le décficit ne s’est pas fortement réduit depuis l’austérité budgétaire
Lecon keynesienne : amplfication des phases recessive lorsque austérité budgétaire (compression des dépenses, hausse des impots) car perte de recette et compression du PIB.


