Diabète chapitre 4 Flashcards
Quel est l’effet de l’exercice sur le glucagon?
Glucagon augmente pendant toute la durée de l’exercice:
contribue à maintenir la concentration de glucose plasmatique, en stimulant la glycogénolyse hépatique
augmente la disponibilité du glucose pour les cellules
maintient une glycémie adéquate permettant de répondre à la demande métabolique
Quel est l’effet de l’exercice sur l’insuline?
Insulinémie (concentration plasmatique d’insuline) tend à baisser
nombre et la disponibilité des récepteurs à l’insuline augmentent à l’exercice, augmentant par là même la sensibilité à l’insuline. Dans ces conditions, un niveau élevé d’insuline n’est pas indispensable à l’exercice pour assurer le transport du glucose dans les cellules musculaires
Pourquoi le niveau d’insuline diminue à l’exercice?
sensibilité cellulaire à l’insuline peut jouer un rôle aussi important que la quantité d’hormone
contraction musculaire à un effet sur la sensibilité des récepteurs
Quel est l’effet de l’entraînement sur la glycémie à l’exercice?
Va utiliser ses graisses donc plus de glycémie dans le sang
AÉROBIE VS RÉSISTANCE
Combinaison des deux modalités semble améliorer encore plus le contrôle glycémique que soit l’aérobie ou résistance seule
Condition physique vs bienfaits santé
Participation régulière à un programme d’exercice d’intensité faible à modéré peut prévenir certaines maladies chroniques (maladies coronariennes, HTA, diabète) avec aucun changement à la VO2 max
Fréquence et durée vs. intensité = SANTÉ
Toujours évaluer les risques vs. bienfaits
attention particulière à la prescription
Objectif du traitement chez le T2DM
est d’atteindre et de maintenir une glycémie près de la normale et des niveaux de lipides optimaux
prévenir ou retarder les complications
Exercice = modalité logique de traitement
améliore la sensibilité à l’insuline (diminue la résistance), les anomalies lipidiques et l’HTA
La forme la plus courante de neuropathie diabétique est
la polyneuropathie distale et symétrique (PNDS). Les symptômes varient en fonction de la classe de fibres sensorielles impliquées.
Les premiers symptômes les plus fréquents sont
l’atteinte des petites fibres et comprennent de la douleur (p. ex., aiguë et vive) et des dysesthésies (p. ex., sensation de brûlure)
L’atteinte des grosses fibres peut causer des engourdissements, des picotements et la perte de sensations protectrices