Développement - Préscolaire Flashcards

1
Q

Âge préscolaire: tranche d’âge - développement principal

A
  • 3 à 5 ans
  • Progrès progressif plutôt que physique
  • Âge du pourquoi
  • Développement sa motricité, mémoire, langage, acquérir des habiletés qui élargiront son indépendance et ses champs d’exploitation.
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2
Q

Développement du SN - Maturation du cerveau

A

2 à 6 cerveau poursuit sa croissance mais plus lentement que dans les 2 premières années.

  • La formation réticulée et l’hippocampe:
    Plus d’attention et de mémoire

Myélinisation de ses 2 structures
Myélinisation: processus de dév. de la gaine protectrice de l’axone du neurone qui améliore la conductivité neuronale.
Formation réticulée: régularise l’attention et la mémoire
Maturation améliore le fonctionnement de la mémoire
Hippocampe: joue un rôle dans l’apprentissage et au transfert de l’information de la mémoire à CT à la LT.

  • Latéralisation du cerveau:
    Spécialisation du corps calleux
    Maturation des fonctions cérébrales: le langage et la dominance manuelle.

Latéralisation: l’organisation de l’asymétrie fonctionnelle du corps (droit/gauche)
Corps calleux: pont du cerveau qui relie l’hémisphères droit et gauche

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3
Q

Le développement moteur

A

Se remarque par l’évolution du dessin aussi
La dominance manuelle: main droite ou gauche

18-24 mois: court (20 mois), marche bien (24 mois)
2-3 ans: pousse-traine de gros jouets autour d’obstacles
3-4 ans: pédale et conduit un tricycle
4-5 ans: coup de pied sur un ballon
5-6 ans: saute sur un pied et sur l’autre

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4
Q

Les habitudes de vie (5)

A
  • L’alimentation (demi-portion, équilibré, collation, ne pas forcer)
  • Exercices physiques (60min/jour)
  • Sommeil (10h, durée et qualité, routine réconfortante vers l’autonomie, apparition des cauchemars et des terreurs nocturnes, éviter le cododo)
  • Maladies/blessures (maladies aigus rhume et grippe)
  • Exposition à la télévision (exposition aux heures supplémentaires: diminution de la participation et rendement mathématique et activité physique, forte prévalence à la victimisation)
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5
Q

Développement cognitif - révision période sensomotrice

A
  • Se termine vers 24 mois
  • Avec la permanence de l’objet, l’enfant intériorise l’image des objets, des personnes et des situations.
  • Bonne maitrise de la fonction symbolique = début de la période préparatoire : imitation différée et jeux symboliques

Fonction symbolique: propriété qu’a une chose d’en représente une autre. EX: dessin d’une chaise représente une vraie chaise.

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6
Q

Les 2 stades de la Période préopératoire

A

Par Piaget - La pensée symbolique (ou préconceptuelle) chez l’enfant de 2 à 4 ans.
La pensée intuitive chez l’enfant de 4 à 6-7 ans.

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7
Q

Période préopératoire - Stade de la pensée symbolique ou préconceptuelle, les caractéristiques

A

1) Apparition de préconcepts: Notions entre la généralité et l’individualité, incapacité à saisir que des choses semblables peuvent appartenir à une même catégorie mais s’en distinguer (EX: voit un escargot, en voit un 2ème et pense que c’est le même)
2) L’égocentrisme intellectuel: Incapacité de concevoir l’existence d’un autre point vue que le sien.
3) Le raisonnement transductif: Établir des relations par analgie immédiate (EX: voit une moufette = un chien a 4 pattes et du poils, donc ça doit être un chien)

4)La pensée animiste: croyances selon laquelle les animaux, objets et phénomènes se comportent comme des humains (intentions, sentiments, humeurs et conscience) EX: si la lune bouge, c’est quelle le suit.
Artificialisme: attribue l’existence des éléments et autres phénomènes naturels à l’action d’un être humain ou imaginaire.

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8
Q

Période préopératoire - Stade de la pensée intuitive, caractéristiques

A
  • N’envisage plus la réalité seulement à partir de ce qu’il éprouve
    1) L’intuition: Perception de la réalité sans l’aide du raisonnement, transition entre l’intelligence symbolique et opératoire, à sens unique pas réversible

2)La centration: Focalisation sur un aspect de la réalité perçus au détriment des autres.

3) La non-conservation et la non-réversibilité:
- Non-conservation = état cognitif contraire, l’incompréhension à comprendre que la matière ne change pas en quantité peut importe les modifications de son apparence.
- Non-réversibilité = incapacité de revenir en arrière, à l’état initiale.

4)Les précatégories (collections figurales et non figurales): Compréhension limitée du principe de l’inclusion des classes.

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9
Q

4 types de jeux

A
  • Jeux sensorimoteurs: 1 an, explorer et manipuler les objets. Les portes à sa bouche.
  • Jeux de construction: 1 an, utiliser des objets pour assembler, fabriquer ou construire. 3-6 ans, principal jeu.
  • Jeux de stimulation: 2-3 ans, faire semblant (balais=cheval). Favorise le développement de la théorie de l’esprit.
  • Jeux régis pas de règles: préfère les jeux structurés avec des règles.
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10
Q

La recherche contemporaine

A
  • Les enfants semblent beaucoup plus évolués.
  • Jouent différemment avec les plus vieux ou les plus jeunes
  • Niveau 1: savoir que l’autre personne vit les choses différemment (2-3 ans)
  • Niveau 2: élabore une série de règles complexes pour déterminer ce que l’autre personne voit ou vit (4-5 ans)
  • 2-6 ans: régule leurs émotions pour se conformer aux attentes des autres. Dissimule, change leurs expressions faciales.
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11
Q

Théorie du traitement de l’information

A
  • Faire un usage efficace de leur système mnésique (mémoire) qui influe sur leur performance dans les tâches de résolutions de problèmes.
  • Métamémoire: la connaissance et la maitrise des processus mnésiques.
  • Métacognition: la connaissance et la maitrise des processus de la pensée.
  • La métamémoire et la métacognition s’améliorent durant la petite enfance.
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12
Q

Développement du langage - 3 caractéristiques

A

-1)Mappage rapide (0-2): Capacité de mettre en correspondance un mot à son référent. 3 ans, regroupe des mots qui désignent des choses semblables ou qui ont une signification similaire.

2)Stade grammatical (24-48): 1ère branche (24-36 mois), apparition des flexions (pluriels, auxiliaires, prépositions, déterminants), phrases - et interrogatives, surgénéralisation (utiliser le même mot pour tous les véhicules motorisés), surdiscrimination (restreindre un terme général à une seule signification).
2ème branche (36-48 mois): phrases complexes, utilise des conjonctions.
Types de langage (vygotsky)

3)Conscience phonologique (48 mois +): Sensibilité aux motifs sonores spécifiques de la langue qu’il est entrain d’acquérir et la conscience explicite que les mots du langues sont formés d’unités plus petites (syllabes ou sons). Se développe par des jeux de mots. L’écriture spontanée (stratégie d’écriture utilisée par des enfants dotés d’une bonne conscience phonologique avant d’acquérir l’orthographe de leur langue.

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13
Q

Mémoire et le décrochage scolaire

A
  • La mémoire de travail des préscolaires peut servir de variable prédictive du risque de décrochage scolaire.
  • Évaluée au moyen d’un jeu d’imitation et soumis à des tests d’intelligence verbale et non-verbale.
  • Problèmes de mémoire de travail prennent la forme de comportement dysfonctionnels en classe et à la maison: difficulté à effectuer des tâches en présence de distraction, suivre des instructions, gérer son temps.
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14
Q

Le tempérament construit-il la personnalité?

A

Non, c’est un facteur contributif mais ne construit pas forcément la personnalité. La personnalité englobe le tempérament à la naissance ainsi que les connaissances sur les comportements.

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15
Q

Développement de la personnalité et de l’identité - Définition et détail de l’évolution du concept de soi.

A

Construit d’abord son Moi objectif (ou catégoriel) construit au stade précédant, ensuite Moi émotionnel (construit au stade précédent), son Moi social et son Moi sexué.

  • Moi objectif: caractéristiques visibles
  • Moi émotionnel: Régulation émotionnelle (maitriser ses réactions émotionnelles, tant ses états que ses comportements). Lien avec le respects des règles morales et raisonné. Lien avec les comportements parentaux et leurs attentes. Conscience du bien et du mal. Apprentissage de la culpabilité, honte et fierté. Lien entre l’empathie et l’agressivité (plus empathique, mois agressif)
  • Moi social: Émergence du rôle et de la place dans le réseau social
  • Moi sexué: Identité sexuée. Sexe VS genre (=sexe social)
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16
Q

Le moi sexué: définition, développement et étapes de développement

A

Capacité de s’identifier soi-même et de reconnaitre les autres comme appartenant à un sexe ou à l’autre

On doit comprendre la catégorie sexe. Les rôles sexuels: attitudes, comportements, traits de personnalité associés aux sexes. Amène la compréhension du genre ou sexe social

Étapes:

  • Conscience du genre (18 à 24 mois)
  • L’identité du genre (2 à 3 ans)
  • La stabilité du genre (3 à 5 ans)
  • La consolidation du genre (5 à 6 ans)
17
Q

Qu’est-ce que l’identité de genre?

A

Représentation qu’une personne se fait d’elle-même selon son appartenant à un sexe et une société donnée.

18
Q

Quels sont les différents types de développement?

A
  • Physique
  • Cognitif
  • Langagier
  • Socio-affectif
19
Q

L’acquisition du moi sexué selon les perspectives psychodynamiques

A

-Freud: Théorie psychosexuelle
Stade 3 - Phallique
Déplacement de la libido vers les organes génitaux
Résolution du complexe d’OEdipe ou d’Électre par l’identification au parents du même sexe.

-Erikson: Théorie psychosociale
Crise 3 - L’initiative VS la culpabilité ( 3 à 6 ans)
Doit réaliser l’équilibre entre: le désir d’atteindre un but et les jugements moraux liés à ce qu’il veut faire
Nouvelle habileté cognitive qui permet de planifier ses actions (3 ans)
Force adaptative: capacité de se fixer un but

20
Q

L’acquisition du moi sexué selon la théorie sociale cognitive

A

Bandura

  • Apprentissage par les renforcements de la part des parents et par modelage
  • Adoption de comportements stéréotypés
  • Comportements typiquement considérés comme féminins ou masculins
21
Q

L’acquisition du moi sexué selon la théorie cognitivo-développementale

A

Kohlberg
La constance du genre est le principe d’organisation qu’utilisent les enfants pour acquérir des connaissances sur leur genre et pour conformer leur propre comportement aux normes culturelles.
-3 premières années: 1 - Identité sexuelle, distingue son propre sexe et celui des autres.

  • Vers 4 ans: 2 - Stabilité du genre, comprend que le sexe d’une même personne est stable dans le temps.
  • Vers 4-5 ans: 3 - Constance du genre, comprend que le sexe d’une personne est constant en toutes circonstances.
22
Q

L’acquisition du moi sexué selon la Théorie du schème du genre.

A

Par Bem
L’enfant organise les informations au sujet des comportements appropriés pour un garçon ou pour une ille en se basant sur les normes culturelles. Il intègre ensuite ces comportements dans un schème du genre et y adapte son comportement

Structures mentales = Schémas
Schéma de genre: Sert de filtre pour les nouvelles informations, permet d’organiser les rôles attendus, leur sexe au début et à l’âge scolaire pour l’autre sexe.

23
Q

Quelle est la principale différence entre la théorie de Kohlberg et celle de Bem?

A

Selon Bem, l’enfant n’a pas besoin de comprendre que le sexe est permanent pour former un schéma de genre initial.

24
Q

L’acquisition du moi sexué selon les approches biologiques

A
  • Importance des hormones sexuelles (testostérone)
  • Masculinisation du cerveau par l’exposition prénatale aux hormones mâles: Influe sur le comportement des ces animaux après leur naissance. Si les expérimentateurs bloquent la libération de testostérone au cours du développement prénatal d’embryons mâles, ceux-ci présentent un comportement qui est plus typique des femelles.
25
Q

Évolution de l’attachement (2)

A
  • Partenariat rectifié: la relation continue d’exister même si les partenaires sont séparés (à partir de 4 ans)
  • Le modèle interne se généralise: les enfant à l’attachement sécurisant sont plus susceptible d’établir des relations positives avec leurs éducateurs que ceux qui ont un attachement insécurisant.
26
Q

Les types d’attachement (4)

A
  • L’enfant sécurisé: Cherche de l’assistance en détresse. Autonome. Confiance en soi et aux autres. Expression émotionnelle ouverte. Capacité de négocier et de résoudre des problèmes avec adultes et pairs.
  • L’enfant insécurisé-évitant: Évitement des parents et de la dépendance, lié au sentiment de rejet. as de vulnérabilité et exprime peu d’émotions. Autonomie précoce et survalorisation de soi. Contexte faible risque = passe sous le radar, Contexte d’adversité familiale = peut démontrer des trouble de comportement.
  • L’enfant insécurisé-ambivalent/résistant: Surdépendant des parents et recherche constamment leur attention. Peu dépendant et pas autonome. Exagère des comportements immatures et négatifs. Problèmes de régulation des émotions. Manque de persévérance. Trouble de comportement agressif surtout contexte d’adversité familiale.
  • L’enfant insécurisé-désorganisé: Ceux qui on vécu de l’agression physique/sexuelle. En détresse, absence de stratégie cohérente. Comportements contradictoires d’approche et d’évitement. Signe de désorientation à l’égard du parent (peur). Fuir, figer ou attaquer. Faible exploration. Grandes difficultés d’adaptation psychosociale et de régulation émotionnelle. Faiblesse dans la négociation lors d’un conflit. Difficulté avec l’autorité. La source de protection et aussi sa source de peur.
27
Q

Les types d’attachement (4)

A
  • L’enfant sécurisé: Cherche de l’assistance en détresse. Autonome. Confiance en soi et aux autres. Expression émotionnelle ouverte. Capacité de négocier et de résoudre des problèmes avec adultes et pairs.
  • L’enfant insécurisé-évitant: Évitement des parents et de la dépendance, lié au sentiment de rejet. Pas de vulnérabilité, peu d’émotions. Autonomie précoce et survalorisation de soi. Contexte faible risque = passe sous le radar, Contexte d’adversité familiale = peut démontrer des troubles de comportement.
  • L’enfant insécurisé-ambivalent/résistant: Surdépendant des parents et recherche constamment leur attention. Peu dépendant et pas autonome. Exagère des comportements immatures et négatifs. Problèmes de régulation des émotions. Manque de persévérance. Trouble de comportement agressif surtout contexte d’adversité familiale.
  • L’enfant insécurisé-désorganisé: Vécu de l’agression physique/sexuelle. En détresse, absence de stratégie cohérente. Comportements contradictoires d’approche et d’évitement. Signe de désorientation à l’égard du parent (peur). Fuir, figer ou attaquer. Faible exploration. Grandes difficultés d’adaptation psychosociale et de régulation émotionnelle. Faiblesse dans la négociation lors d’un conflit. Difficulté avec l’autorité. La source de protection et aussi sa source de peur.
28
Q

Développement affectif - L’agressivité

A
  • Comportement intentionnel qui vise à blesser autrui ou à abimer un objet. Directe = physique, Indirecte = Verbale.
  • Gars plus agressif que les filles, diminue dans l’âge préscolaire.
  • Les agresseurs chroniques dans l’adolescence = souvent agresseurs physiques chroniques dans la petite enfance.
29
Q

Origines qui augmente la probabilité de l’agressivité. Méthodes pour diminuer le risque.

A
  • La frustration
  • Les renforçateurs
  • Bandura: apprentissage par observation des parents
  • Prédisposition génétique?
    - Intervention précoce chez les familles à risque élevé
    - Stratégie de prévention (amélioration de la vie des femmes enceintes à risque)
  • Apprentissage de comportements prosociaux: comportements opportuns, constructifs et utiles pour les autres, leur but étant d’aider autrui.
30
Q

Comment la famille influence + et - le développement social de l’enfant?

A
  • Résultats positifs au développement de l’enfant par: Une dynamique familiale saine, et se, que les parents soient mariés, union libre, monoparentaux, même sexe, etc.
    La qualité des interactions parent-enfant (coparentalité) influe davantage que la structure familiale elle-même.
    Coparentalité: à quel point les parents sont consistants et cohérents dans l’éducation.
  • Adversité en bas âge: événements néfastes et traumatiques pouvant avoir des conséquences désastreuses.
  • Résilience: facteur de protection et capacité à surmonter l’adversité
  • Les styles parentaux
  • Influences des facteurs socioéconomiques
  • La négligence et maltraitance
  • Relations avec les pairs
31
Q

Les différents styles parentaux

A

Différences dans la façon de réagir aux manifestations d’indépendance des enfants d’âge préscolaire.

  • Autoritaire (fondé sur le pouvoir): Punitions sévères et parfois arbitraire. EFFETS: plus renfermé, méfiant et insatisfait.
  • Négligent (désengagé): Absent. EFFETS: retard dans le développement et troubles de comportement.
  • Démocratique (fondé sur la réciprocité): Persuasion et raisonnement. EFFETS: autonome, affirmatif et curieux, fait preuve de contrôle de soi.
  • Permissif (indulgent): Raisonnement, parfois punition mais rarement. EFFETS: plus immature et peu porter à l’exploration, manque de contrôle de soi.

Modèle Baumrind (aller voir le petit tableau: degré d’exigence et le degré d’acceptation)
- 4 caractéristiques: la chaleur et l’affection, encadrement avec des règles claires et appliquées de façon constante, attentes réalistes par rapport à l’âge et au stade de développement, la qualité de communication parent-enfant.

32
Q

Facteurs socioéconomiques des familles pour le développement social?

A
  • les 3 plus grands facteurs: mère (ou père) à l’adolescence, dépression parentale, dysfonctionnement familial.
  • Si tu vies dans un milieu familial à faible revenu = effet négatif. Si de plus le style parental n’est pas approprié = augmentation + des effets négatifs
  • La monoparentalité, le divorce, la séparation: revenu moins élevé, le parent qui a la garde est souvent plus déprimé.
33
Q

La négligence et maltraitance: catégories principales (3) et facteurs de risque

A

Négligence: forme passive de maltraitance, elle se manifeste par l’omission répétée et consciente de pourvoir aux besoins physiques et psychologiques de l’enfant.

  • La négligence, l’exposition à la violence familiale, violence physique.
  • Enfants maltraités: plus de chance d’éprouver des retards dans tous les aspects de leur développement.

Facteurs de risque:
-Socioculturels: selon le système de valeur des parents. Croyance que l’enfant est la propriété des parents.

  • Caractéristiques de l’enfant et celles de la personne qui le maltraite: Enfant ayant un handicap physique/mental ou tempérament difficile. Parents n’ayant pas les compétences sociales et parentales.
  • Stress familiaux: pauvreté, chômage, structure familiale, conflits entre les parents.
34
Q

Les 2 types de relation avec les pairs de l’enfant préscolaire

A
  • Relation verticale: besoin d’un attachement à une personne ayant des connaissances et un pouvoir social supérieurs aux siens (parents, éduc, frère, etc)
  • Relation horizontale: relation réciproques avec les enfants qui ont à peu près son âge, et dont les connaissances et le pouvoir social sont équivalents aux siens.
  • meilleures compétences sociales à l’âge scolaire*
35
Q

Critiques de Piaget et nouvelles perspectives

A
  • Le développement à cet âge est trop complexe pour être divisé en stade
  • Attention à l’importance de l’influence de l’environnement: Piaget = « petite enfance » = enfant « isolé ». Vygostky = « petit apprenti » = enfant en société, « réceptacle » (enfant apprend de la société)

-Perspective sociale cognitive: la théorie de l’esprit de l’enfant VS leur égocentrisme intellectuel –> capacité de pouvoir se représenter ce que pensent les autres, prédire leur comportement, leurs intentions, imaginer qu’ils ont telles ou telles préoccupations, telles ou telles croyances. Le début de l’empathie vers 3-4 ans.

36
Q

Types de langage (Vygotsky)

A

1) égocentriques: parle sans s’occuper de savoir si on l’écoute et sans attendre de réponse.
- Langage social: destiné à un interlocuteur
- Le soliloque: action de penser à voix haute sans intention de communiquer

2)intérieur