cours 9 - l'approche sociocognitive de Bandura et Mischel Flashcards

1
Q

manuel p. 393-394

la théorie socio-cognitive par rapport aux autres théories

A

veulent surmonter les limites des autres théories

  • psychanalystes accordent trop d’importance à l’inconscient et à l’influence des expériences vécus à la petite enfance

(préfère plus la réflexion sur soi et font valoir des processus essentiels pas juste à la petite enfance mais au cours de la vie)

  • ne sont pas en accord avec théoriciens des traits ( rendre compte de la personnalité par des tendances globales moyennes/ traits dans un test)

(selon les socio-cognitif, c’est les comportements habituels et la variabilité des comportements qui relèvent de la personnalité)

  • rejettent aussi l’argument béhavioriste selon lequel les stimuli environnementaux déterminent complètement le comportement

(ils pensent que les individus on de la maitrise de soi, et des processus cognitifs pour apprendre autrement (observation))

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2
Q

manuel p. 393-394

les principes clés de la théorie socio-cognitive (5)

A
  • la personne est un agent actif
  • le comportement a des origines sociales
  • les processus cognitifs sont important dans la personnalité
  • tendance comportementales habituelles et variables qui relèvent de la personnalité
  • les individus apprennent des modèles complexes de comportements sans récompenses à la clé
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3
Q

manuel p. 394

Qui est Albert Bandura ?

A

fondateur de la théorie sociocognitive

conception de la nature humaine reposant sur le pouvoir d’agir

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4
Q

manuel p. 395-396

Qui est Walter Mischel ?

A

propose un ensemble de variables sociocognitives permettant de caractériser les personnes

célèbre grâce au test de la guimauve

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5
Q

manuel p.397

quelle est la méthode d’étude utilisée par les sociocognitivistes

A

méthodes idéographiques (intérêt particulier pour la singularité de la personne )

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6
Q

pp.13

l’être humain selon l’approche sociocognitive

A
  • être humain est assez intelligent pour diriger sa vie et réguler son comportement (agent actif)

utilisation des processus cognitifs pour se représenter les événements, prévoir l’avenir et choisir différents moyens d’action

processus cognitifs :

  • comportement dépend en grande partir des attentes et des croyances des individus
  • l’individu n’est pas contrait à réagir à des renforçateurs et des punitions issus de l’environnement : il est capable de faire ses propres choix .

! rupture avec les béhavioristes (Skinner) qui pensent que l’humain ne fait que réagir avec l’environnement/stimuli

  • l’individu peut adapter son comportement en fonction des situations

! rupture avec la théorie des traits qui soutient une stabilité dans le comportement à travers les situations

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7
Q

pp.14

qu’est-ce que le débat personne-situation et comment les théoriciens des traits diffèrent des sociocognitivistes sur cet enjeu

A

débat personne - situation (Mischel)

Échec de la prédiction des traits de personnalité pour prédire le comportement

(costa et McCrae disent que ce sont les traits de personnalité qui déterminent le comportement habituel des gens)

—- la situation amènent des fluctuations importantes dans le comportement des gens que la mesure des traits ne peut pas prévoir

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8
Q

pp.16

définition de spécificité situationnelle

définition de cognitions

A

définition : attentes et croyances spécifiques à des situation précises

chaque individu à ses propres façons de penser et de percevoir le monde (cognitions)

individu est intelligent et capable de reconnaitre que différentes situations requièrent différents comportements (nouvelle situation amène une réflexion sur comment se comporter )

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9
Q

pp.17

les individus possèdent des patrons de comportement uniques. Comment se forment-ils?

définition d’empreinte comportementale

A

selon ses cognitions (façons de penser et percevoir le monde), l’individu interprète la situation et émet une série de comportement donnés

*étude de Mischel avec enfants dans un camp de vacances

Empreinte comportementale : Ces comportements forment un patron d’action unique à l’individu, qu’il répètera lorsqu’il sera à nouveau dans ce type de situation (profil individuels de relation situation-comportement)

2 individus peuvent présenter le même niveau moyen d’agressivité mais peuvent ressortir dans différentes situations

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10
Q

pp.17

Que forme la personnalité selon les sociocognitivistes ?

A

l’ensemble des empreintes comportementales forment la personnalité

*stabilité temporelle mais variations situationnelles du comportement

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11
Q

pp.20

les quatre composantes de la structure de la personnalité

A
  1. croyances et attentes

deux types d’attentes (attentes de résultats/instrumentalité et attentes auto-efficacité/sentiments personnels)

  1. objectifs personnels

permettent la maitrise de soi

  1. normes d’autoévaluation

normes personnelles en rapport avec les attentes et croyances )
interprétation subjective des événements plus importante que les événements en tant que tel
* répondre aux normes d’autoévatuation peut constituer un auto renforcement interne

Ex. c’est ok pour toi d’avoir un B parce que ce n’est pas important pour le reste de tes études (pas vraiment de réactions)

si tu as besoin d’un A et tu obtiens un B, sentiments négatifs et état avertit

si tu as besoin d’un A et tu obtiens un A, sentiments positifs/fierté qui récompense la personne

  1. compétences et habiletés concrètes (unique à cet approche)

permettent d’agir de manière efficace ou non
important différenciateur inter-individus et intra-individus (du aux variations de l’aptitudes des personnes)

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12
Q

pp.21

comment les composantes de la structure sont interelliés ?

A

Le sentiment de compétence influe le sentiment d’auto-efficacité, et le sentiment d’auto-efficacité qui dictent le niveau de difficulté des objectifs poursuivis qui sont eux - mêmes régi par des normes

donc personnalité sur être perçu comme un système

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13
Q

manuel p. 398

définition d’attentes (première composante)

A

attentes : anticipation ou prédiction d’un résultat attendu par l’individu dans une situation précise (conséquence envisagée) *relatif aux événements futurs

c’est le principal déterminant de nos actions et émotions

attentes varient d’une situation à l’autre

théorie béhavioriste : comportements est le résultats renforcements et punitions externes
VS théorie sociocognitive : comportements sous l’angle des attentes à l’égard des récompenses et punitions du milieu externe.

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14
Q

manuel p.400

définition de sentiment d’efficacité personnelle (SEP) dans la première composante (attentes et croyances)

A

définition: perception de sa propre attitude à composer avec des situations précises (capacité à faire face à des situations)

! selon bandura, différent de l’estime de soi (évaluation de la valeur globale de la personne)

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15
Q

manuel p.404

définition d’objectifs dans la 2e composante (objectifs personnels)

A

définition : événement souhaité qui motive la personne sur des longues périodes et lui permet de transcender les influences du moment : représentation mentale d’un but ou d’une conduite.

différence entre objectifs d’apprentissage et objectifs de performance
apprentissage : voient en la tâche une possibilité d’apprendre et d’améliorer ses compétences
performance : ?

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16
Q

manuel p.405

définition de norme d’évaluation et réaction d’autoévaluation dans la 3e composante (norme évaluation)

A

norme d’évaluation : critère permettant d’évaluer la valeur d’une personne ou d’une chose.

définition sociocognitive: normes par lesquelles l’individu évalue ses propres actions et fait partie de la régulation du comportement et de l’expérimentation d’émotions comme la fierté, la honte et l’insatisfaction personnelle.

Réaction d’autoévaluation : sentiment de satisfaction (fierté) ou d’insatisfaction qu’on ressent envers soi lorsqu’on réfléchie à ses propres actions

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17
Q

manuel p. 398

définition et notion de spécificité contextuelle

A

spécificité contextuelle : variable donnée de la personnalité est mise à contribution dans certains contextes, mais pas dans tous, qui explique la variation systématique du comportement individuel d’un contexte à l’autre.

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18
Q

manuel p. 407

la nature des structures sociocognitives de la personnalité

A

les structures doivent être comprises comme des formes de pensées directes. chacune d’elles peuvent être comprises comme un sous-système cognitif faisant parti d’un système général qu’est la personnalité.

pas de quantité de chaque variable, système trop complexe selon eux.

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19
Q

pp.23

l’autorégulation (définition) et rôle de processus cognitifs dans l’autorégulation

A

autorégulation : capacité de motiver elle-même son comportement

processus associé à la motivation interne

initier, ajuster, poursuivre le comportement .

individu est un agent causal dans sa vie

comment arrive-t-on à s'autoréguler ? 
processus cognitifs 
- objectifs
-attentes 
-sentiment SEP 
-norme interne 

éléments malléables et fluides

processus cognitifs (manière délibéré) plutôt que la structure selon Bandura

20
Q

pp.23

exemple d’autorégulation : gratification différé

A

test de la guimauve

21
Q

pp.24

le déterminisme réciproque et différenciation avec déterminisme environnemental (béhaviorisme)

A

personne, environnement et le comportement sont en interaction constante

les autres théories se basent sur

  • uniquement les forces internes (traits de personnalité/ Costa et McCrae)
  • uniquement son environnement (béhaviorisme)

= forces internes et environnement (sociocognitive)
individu peut choisir ses comportements et environnement à cause de ses processus cognitifs

l’environnement peut façonner la personne, la personne peut modifier l’environnement en changeant ses perspectives et comportements.

22
Q

manuel p. 431-432

différence entre auto valorisation et autovérification

comment ces notions peuvent influencer le comportement

A

autovalorisation : désir d’améliorer ou de maintenir des visions positives de soi

autovérification : désir d’acquérir de l’information qui correspond au concept de soi

refléter notre vision de nous -même et notre volonté de conserver notre image de nous-mêmes

23
Q

pp.29

l’apprentissage vicariant

différence entre conception d’apprentissage des béhavioristes et sociocognitivistes

A

apprentissage vicariant : incorporer des manières de faire ou d’agir d’autrui. Représentation mentale et s’y référer par la suite.
Emmagasinage mental des conséquences du comportements chez autrui (positif, négatif, est-ce que je veux le reproduire)

vision béhavioriste : on apprend par expérimentation directe (association entre stimulus et récompenses)

vision Bandura : on peut apprendre par la simple observation de modèle (vicariant /modelage)

24
Q

pp.31-32

étude poupée Bobo

conclusions et implications de l’étude

A

3 observations (résultats)

  1. renforcements directs augmentent la fréquence de comportement agressifs (conforme les prédiction béhavioriste)
  2. observation d’un modèle récompensé plutôt que puni fait une différence quant à la manifestation de comportement agressif (quand il n’y a pas d’incitatifs à la violence)
  3. (!!!) niveau d’agression était le même dans les 3 groupes (qu’ils aillent été récompensés, puni ou sans conséquences particulières)

tous on acquis les comportements agressifs dans leurs mental en y étant exposé.
Tout doit être renforcé pour être acquis. (doit être renforcé pour être agressif)

25
Q

pp.33

conditionnement vicariant émotionnel

A

réactions émotionnelles développés suite à l’observation répété d’un modèle

Ex. association serpent - panique chez la mère est assez pour que la peur se forme chez soi

26
Q

manuel p. 414

différence entre acquisition et exécution

A

acquisition : apprentissage de nouveaux comportements indépendants de la récompense

exécution : production de comportements acquis en lien avec la récompense

26
Q

manuel p. 414

différence entre acquisition et exécution

A

acquisition : apprentissage de nouveaux comportements indépendants de la récompense

exécution : production de comportements acquis en lien avec la récompense

acquisition (étude Bobo) est que tous ceux qui ont été exposé à la violence on intégré de l’agression dans leur représentation mentale

exécution : ceux dont le modèle était renforcé exécutait plus d’agression

27
Q

manuel p. 416

efficacité personnelle, buts et réactions d’autoévaluation

A

motivation découle d’objectifs et de connaissance de son rendement par rapport à une norme

28
Q

manuel p. 418

maitrise de soi et gratification différée

A

devoir faire qqch : normes de rendement, objectifs clairs et Sentiment élevé d’efficacité personnelle

cesser de faire qqch : réduire de comportements pour produire du plaisir , maitrise de soi

29
Q

grandes conclusions de l’étude de Bandura et ‘Mischel

A

les enfants ont sensiblement changé leur mode de gratification en fonction du modèle

l’enfant n’imite pas tout ce qu’il voit, seulement ce qui est récompensé ou non puni

30
Q

paradigme de la gratification différé selon Mischel

le facteur clé qui permet la gratification différé chez les enfants

savoirs si l’aptitude à maitriser ses impulsions et émotions demeurent stable durant toute la vie

A

report du plaisir à un moment opportun ou optimal

facteur clé : ce qui occupe l’esprit des enfants lorsqu’ils attendent la grosse récompense
ils sont capables d’attendre plus longtemps lorsqu’ils utilisent des stratégies cognitives pour se distraire du pouvoir d’attraction de la récompense

l’aptitude à maitriser ses impulsions et émotions demeurent stables au courant de la vie et aide à la réussite scolaire, consommation de drogue, d’alcool, boulimie, la gestion d’argent

31
Q

pp.36

qu’est-ce que la psychopathologie selon les sociocognitivistes ?

A

psychopathologie : résultat de croyances irréalistes ou inadaptés

traitement : corriger les distorsions cognitives et les remplacer par des cognitions plus réalistes et adaptés

les facteurs clés qui engendrent les réactions problématiques sont les :

CROYANCES ET ATTENTES FACE AU FUTUR

  • les réactions problématiques tendent à se perpétuer et à se généraliser
  • importance de cibler ces facteurs clés dans le traitement
  • croyance = schéma
32
Q

pp.37

Quel est le discours interne problématique ?

A

le discours interne problématique a une influence causale sur les problèmes de comportement et d’adaptation des gens

Ex. : je ne serai jamais capable, il faut toujours que je sois parfaite

33
Q

pp.38

caractéristiques fréquentes des schémas inadaptés (discours internes problématique)

A
  • des croyances absolues problématiques

(il FAUT que je sois parfait)

  • des cognitions sont problématiques quand elles traduisent une vision négative de soi, du monde et du futur.

(JE suis nul)

= triade cognitive de la dépression

34
Q

pp.39

2 interventions pour traiter le discours interne négatif

A
  1. identifier les croyances/attentes et les éliminer les cognitions problématiques (Ellis et Beck)
  2. remplacer les cognitions problématiques par des cognitions bénéfiques (Bandura)

=importance d’augmenter le sentiment d’efficacité personnelle (SEP) pour modifier le comportement des gens.

35
Q

pp.40

les trois vagues d’interventions en psychothérapie

A
  1. approche béhaviorale

modifier les contingences de l’environnement pour changer le comportement (Skinner)

  1. approches cognitives

modifier l’environnement et les pensées/croyances pour changer le comportement (Ellis, Beck, Bandura…)

  1. approches centrées sur les émotions

observer et accepter les émotions pour changer le comportement (acceptance therapy)

sociocognitivistes - thérapie cognitive-comportementale (2e vague)

36
Q

pp. 41

thérapie cognitive-comportementale (définition)

A

approche psychothérapeutique qui vise à modifier les comportements, pensées, cognitions inadaptés en faisant appel à une procédure systématique;mtique et qui est orienté vers un ou des objectifs sur lesquels s’entendent le client et le thérapeute

37
Q

pp.42

4 éléments clés de la thérapie cognitive-comportementale

A
  1. cibles d’intervention précises

vise les causes actuelles pas passé

  1. démarche structurée et de courte durée

décomposer la tâche, identifier moyens pour y faire face

  1. collaboration thérapeute - client

client décide des cibles d’intervention

entente sur les objectifs et méthodes de travail

  • alliance entre client et thérapeute
    4. rôle actif du client dans la démarche

Clé : dire et expliquer ce qu’il ressent

petites réussites augmentent le sentiment efficacité personnelle

38
Q

pp.44

deux modalités d’intervention selon Bandura

A
  1. modelage

ressemble à l’apprentissage vicariant

  • observer le comportement désiré et les conséquences de ce comportement chez un modèle
  • répliquer soi-même le comportement
  1. participation guidée

même chose que le modelage sauf que le thérapeute guide verbalement dans la réalisation du comportement, l’encourage et donne de la rétroaction.

  • décomposer le comportement en petites actions (petites victoires)
  • permet de vivre une expérience de maitrise (plus de chance s’il a l’aide du thérapeute )
39
Q

pp.46

Quelle des deux modalités d’intervention est la plus efficace (modelage ou participation guidée)

A

participation guidée

augmentation de SEP qui s’est généralisé

40
Q

pp.48

5 conditions à mettre en place pour augmenter le SEP

A
  1. choisir un modèle auquel le client peut s’identifier
  2. structure le comportement à apprendre une série de plus petits actions et les organiser dns une hiérarchie de plus facile au plus difficile
  3. faire vivre des petits succès au client avec la participation guidée
  4. fournir des occasions de pratique en milieu contrôlé
  5. favoriser l’autonomie chez le client dans la régulation de ses comportements en dehors du milieu contrôlé

rôle du thérapeute est de guidé à travers ces étapes. il passe d’un enseignement qui dirige les efforts à un conseiller qui facilite l’autorégulation

41
Q

manuel p. 460-462

évaluation critique

les observations sont-elles scientifiques ?

A

basé leur théories sur une accumulation systématique d’observations scientifiques

diversité

théories des traits et sociocognitives sont celle qui sont les plus basés sur des données

42
Q

manuel p. 460-462

évaluation critique

les observation sont-elles systématiques ?

A

faiblesse !

pas cohérent et intereliée

43
Q

manuel p. 461

évaluation critique

la théorie est-elle observable

A

oui !

44
Q

manuel p. 461

évaluation critique

la théorie est-elle exhaustive ?

A

assez complète mais quelques lacunes aux niveaux des expériences humaines.

45
Q

manuel p. 462

évaluation critique

existe-t-il des applications pratiques de la théorie ?

A

bien réussi à appliquer leur théorie aux soulagements de détresse psychologique et résolutions de problèmes sociaux