Cours 7 Flashcards

1
Q

Décris le conditionnement classique : le avant le conditionnement et le après conditionnement

A

Conditionnement classique :

  1. Avant le conditionnement (ex un chien ds la nature)
    - Le stimulus neutre (SN), stimulus qui ne déclenche, de prime abord, aucun réflexe, aucune réponse ou qui ne déclenche pas la réponse souhaitée.
    - Le stimulus inconditionnel (SI) (ou stimulus inconditionné), un stimulus qui déclenche une réponse (inconditionnelle) de manière réflexe, sans apprentissage nécessaire.
    - La réponse inconditionnelle (RI) (ou réponse inconditionnée), réponse déclenchée par un stimulus (inconditionnel) de manière réflexe, sans apprentissage nécessaire. Elle peut se manifester sous forme d’émotion ou de réflexe
  2. Après le conditionnement,
    - Le stimulus conditionnel (SC) (ou stimulus conditionné), un stimulus initialement neutre qui finit par déclencher une réponse conditionnelle (RC).
    - On aura une réponse conditionnelle (ou réponse conditionnée), soit une réponse déclenchée par un stimulus conditionnel.
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2
Q

Comment estceque le conditionnement s’effectue, concrètement?

A

Stimuli -> comportement
- Le conditionnement classique s’effectue lorsqu’un stimulus neutre est associé à un stimulus inconditionnel
Le stimulus inconditionnel déclenche automatiquement une certaine réponse qu’on appelle la réponse inconditionnelle
- En présentant de façon régulière et fréquente un stimulus neutre en présence d’un stimulus inconditionnel, une association inconsciente entre les 2 stimuli va se faire.
- Le stimulus neutre devient un stimulus conditionnel et va prendre une réponse qui est très similaire, voire identique à celle du stimulus inconditionnel.
On appelle cette réponse la réponse conditionnelle (réponse voulue).

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3
Q

Cmt traiter les phobies? (conditionnement classique, 2 techniques)

A

Contre conditionnement
Association progressive d’un stimulus conditionnel à un nouveau stimulus déclenchant une réponse incompatible ou opposée à la réponse conditionnelle (Pour traiter les phobies).

Désensibilisation
Faire disparaître graduellement la réponse conditionnelle en présentant, au rythme de la personne, des représentations du stimulus conditionnel du moins phobique au plus phobique. (Ex : on commence par un jouet en plastique, après une image + réelle, après kklch en 3D, pr finalement arriver à l’araignée en question)

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4
Q

Sur quoi estceque le behaviorisme classique se base-t-il?

A

On ne nie pas la réalité de l’individu, ni le fonctionnement interne, c’est juste que le behaviorisme ne s’occupe pas de l’intérieur.
L’objectif du behaviorisme classique c’est vrm de spécifier les conditions et les processus par lesquels l’environnement va contrôler le comportement, sans faire référence à des variables internes qui sont selon eux non observables et hypothétiques. Selon Watson, les projets intéressants pr les psycho n’intéressent pas les pensées ou les sentiments, mais plutôt la manipulation du comportement au moyen du renforcement.

Le behaviorisme s’appuie sur l’expérimentation et la méthode scientifique (à l’époque l’essai-erreur).
On utilise encore svnt le behaviorisme classique, surtt pr traiter les gens atteints de troubles envahissants du développement, comme l’autisme, le syndrome d’Asperger, le syndrome de Rett (mvmts répétitifs périodiques).

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5
Q

Quelles sont les 3 phases mettant en oeuvre le comportement?

A
  1. L’environnement qui stimule (tt cki est à l’extérieur de notre corps, ex le Soleil)
  2. L’individu qui est stimulé (je reçois ses rayons ds les yeux)
  3. La réponse de l’individu suite à la stimulation (je ferme mes rideaux)
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6
Q

Schéma classique du behaviorisme?

A
Schéma classique
S -­> I -> R (Comportement répondant)
S = stimulus provenant de l’environnement (des stimuli)
I = Individu
R = La réponse (le comportement)
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7
Q

Pk le behaviorisme était critiqué? (3)

A

Théorie assez critiquée (le modèle a été créer env en 1930)
1. Un événement traumatique n’est pas nécessaire ni suffisant pour expliquer l’origine des phobies. La plupart des gens n’ont pas vécu d’événements traumatiques en particulier.
2. Plsrs personnes ont déjà vécu des événements traumatiques mais qui n’ont pas développé de phobie. (Ex : accident automobile, la pers peut qd mm être capable de conduire ds sa vie)
3. Les gens ont tendance à avoir plus peur de certains objets que d’autres (araignées)
Cette théorie ne permet pas d’expliquer tous les comportements (surtt pr les comportements qui n’ont pas de cause antérieure ds l’environnement)

La plupart des comportements des organismes sont aussi spontanés et volontaires.

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8
Q

Quelles sont les 2 comportements selon le behaviorisme qui peut expliquer tous les comportements?

A

Le comportement répondant = conditionnement classique. Apprentissage qui se fait par une association répétitive du stimulus neutre et du stimulus inconditionnel, qui est involontaire. À l’époque on appelait ça le comportement réflexe.

Le comportement opérant : Aussi connu sous le nom de conditionnement opérant.

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9
Q

Décris le conditionnement opérant (modèle SRC = stimulus, réponse, conséquence)

A

(Le comportement est moins changé par ce qui précède que par ce qui le suit.
Il est principalement fonction de ses conséquences.
Il y a donc un nouveau modèle)

Dans le conditionnement opérant
- L’individu peut anticiper les conséquences de notre comportement
- Le comportement peut aussi être modifié puisque les conséquences peuvent être anticipées (On peut modifier le comportement pour soit adapter ou éviter les conséquences)
- Selon le conditionnement opérant, une boucle de rétroaction se fait, consciente ou non. Donc les conséquences de l’environnement deviennent un stimulus, qui provoque une réponse, qui modifie l’environnement, qui provoque une réponse, qui modifie un stimulus, blablabla.
- Le conditionnement opérant est à la base de l’apprentissage
Ex : l’expérience du chat de Thorndike

Stimuli ⇒ Comportement / Réponse ⇒ Conséquence

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10
Q

Décris les 4 types de conséquences (qd on donne vs qd on enlève)

A

Conséquence
Présence, non occurrence ou disparition d’un stimulus positif ou négatif
sont classées selon leurs effets sur la fréquence d’apparition du comportement

  1. Renforcement positif : le chat ds la cage, qd il appuie sur le levier, il obtient sa nourriture. (Donc il obtient qqlch, ça va alors augmenter son comportement)
  2. Punition positive : le chat ds la cage, qd il appuie sur le levier, il a un choc électrique. (Il obtient qqlch, mais ça diminue le comportement)
  3. Punition négative : le chat est ds sa cage et il a de la nourriture, qd il appuie sur le levier, la nourriture disparaît. (On enlève qqlch, donc ça diminue le comportement)
  4. Renforcement négatif : le chat est ds sa cage, il reçoit des chocs électriques en permanence, qd il appuie sur le levier : ya plus de chocs. (On enlève qqlch de mauvais donc ça augmente le comportement)

Une conséquence
Est un renforcement si elle augmente la probabilité d’occurrence du comportement
Est une punition si elle diminue la probabilité d’occurrence du comportement.

On peut aussi classer les conséquences selon leur valence (soit positive ou négative) selon s’il y a ajout ou retrait d’un événement de l’environnement.

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11
Q

Quels sont les 2 types de renforçateur ds le conditionnement opérant?

A

Les renforçateurs primaires : Répondent directement à un besoin essentiel (nourriture, eau, sécurité)

Les renforçateurs secondaires : Renforçateur par un certain apprentissage fait au préalable ou par sensibilisation (argent en forêt ne vaut rien)

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12
Q

Quelles sont les 3 hypothèses sur les pensées et les émotions selon Skinner

A
  1. Les pensées et les sentiments sont des comportements (mm chose pr lui)
  2. L’événement qui a lieu sous la peau d’un organisme se distingue d’un événement public uniquement par son inaccessibilité (tt cki est à l’intérieur, ckon ne peut pas voir ou accéder, c la mm chose que cki est à l’extérieur).
  3. L’événement privé (cki est à l’intérieur, nos pensées) est influencé par les mêmes types de variables que les événements publics.
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13
Q

Pk Skinner est important?

A

Pk Skinner est si important? Enft Watson & Pavlov n’ont jamais tirés d’applications concrètes sur l’enseignement, on a jamais pu vrm utiliser leurs théories. Skinner, lui :
A trouvé une application des principes du béhaviorisme a des domaines plus complexes comme l’éducation et la psychothérapie
Il a établi liens directs entre le behaviorisme et la pédagogie

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14
Q

Quelles sont les approches découlant du conditionnement opérant classique?

A

On peut donc distinguer deux grosses approches lorsqu’on veut enseigner quelque chose

  1. Approche positive : Comprend les 2 types de renforcements qui augmentent la probabilité d’occurrence d’un comportement qui est désirable
  2. Approche aversive : Comprend les 2 types de punitions qui diminuent la probabilité d’occurrence d’un comportement. (Frapper ses chiens)
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15
Q

Pk eskon favorise l’approche positive?

A

Approche positive
- Favorise l’occurrence d’un comportement désirable plutôt que la disparition d’un comportement indésirable
- L’approche préférée des athlètes
- Favorise une meilleure cohésion entre les athlètes
- Expérience sportive plus agréable
- Crée moins de frustration, de stress et d’agressivité
Il y a plsrs approches positives et aversives, mais ici on se concentre sur l’approche positive, + précisément la discipline positive.

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16
Q

Quesque la discipline positive?

A

La discipline positive : un modèle d’une approche positive chez un groupe

  • Souvent utilisée dans les écoles et par les parents.
  • Le but est de renforcer les comportements voulu et de diminuer les comportements non voulu sans blesser l’individu physiquement ou psychologiquement.
  • On apprend à l’enfant à réagir de façon plus appropriée tout en restant calme et respectueux. On ne doit pas ignorer les problèmes.
  • On établi des limites raisonnables et on guide le groupe à l’intérieur de ces limites.
  • On leur apprend aussi les bonnes réactions lorsqu’ils dépassent les limites.
  • L’autorité va s’exercer sans soumission en conciliant fermeté et bienveillance.
  • On communique de façon claire nos attentes, de nos règles et de nos limites (ça inclut l’enseignement d’aptitudes)
  • Non-violente et axée sur les solutions.
  • Respectueuse et fondée sur les principes du développement
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17
Q

Quesque les 5C des règles?

A

Les 5 C des règles

  • Claire (on utilise des mots que tout le monde peut comprendre)
  • Concrète (on va nommer le comportement attendu. Ex; au lieu de dire NE COURS PAS, on dit MARCHE)
  • Constante (les règles doivent être appliquées quelque soit notre humeur, notre degré de fatigue ou le contexte)
  • Cohérente (nous devons adopter nous même le comportement désiré)
  • Conséquente (La transgression d’une règle doit avoir des conséquences en lien avec le comportement indésirable. La conséquence devrait aussi créer une réparation du comportement indésirable)
18
Q

Quels sont les problèmes du béhaviorisme?

A

Dans les années 1950, le cognitivisme s’est élaboré contre l’approche béhavioriste.

Le béhaviorisme a en effet plusieurs problèmes :

  • Punitions corporelles étant considérées comme acceptables (en particulier comme l’automutilation : tu essaies de te faire mal alors on va te faire mal)
  • Néglige les activités du cerveau pr prendre en compte slmt les comportements manifestes humain (slmt ce que l’on voit).

Donc dans le cognitivisme, on reconnaît l’existence et la spécificité des états mentaux.
Le soi est une identité subjective

19
Q

Quels sont les postulats du cognitivisme? (2)

A
  1. Le soi comme structure cognitive
    Constitué d’unités d’informations qui sont reliées les unes aux autres par des interconnexions stables.
    phénomène intra individuel
    (Le traitement cognitif des informations sur soi ne diffère pas du traitement cognitif des informations sur les objets)

Dans le cognitivisme, ce n’est pas l’environnement qui crée les pensées et les émotions, c’est la représentation du monde qui crée les pensées. (monde extérieur vs représentation)
Mes pensées sont influencées par d’autres pensées.

  1. Le soi est un objet comme un autre (il n’a pas plus de valeur qu’autre chose, mais il a quand même une valeur)
    Différences spécifiant cet objet
    Permanence et cohérence
    Appréciation
    (Les mm traitements cognitifs qu’on va fr sur un crayon, on peut les appliquer à notre conscience ou notre soi)
    La façon dont un individu va s’appréhender lui-mm cognitivement met en oeuvre des processus qui sont identiques que ceux pr ttes les appréciations cognitives.

Monde extérieur vs représentation :
Ds le cognitivisme, c’est pas le monde extérieur qui est la cause de nos émotions et de notre humeur, mais slmt la représentation qu’on a du monde extérieur et nos pensées qui ns traversent l’esprit. Tte situation extérieure peut être traiter par des cognitions, qui vont elles-mm être influencées par des schémas, des postulats.

20
Q

Quelles sont les thérapies cognitivo-comportementales?

A

Mixte entre théorie cognitiviste et les techniques behavioriste
- Le behaviorisme offre beaucoup de techniques et d’outils qui peuvent modifier un comportement problématique.

Ces thérapies se basent essentiellement sur les théories cognitivistes pr avoir les explications, mais utilisent des techniques behavioriste pr avoir l’application. (Psk le behaviorisme ne prend pas en compte la cognition, les pensées, etc.)
Les approches cognitives permettent aux patients d’identifier les croyances, les cognitions problématiques (qui sont svnt irrationnelles), on peut fr une introspection sur notre soi (un objet). Elles ns permettent aussi de définir des cognitions alternatives qui ne sont pas anxiogènes.

21
Q

Quels sont les autres types d’apprentissage?

A
  1. Apprentissage vicariant : monkey see, monkey do
    Processus ou un individu modèle son comportement à l’image du comportement d’autres individus. Pour qu’il se produise, on a besoin de l’attention, de la rétention, le déroulement du processus et la motivation. Même chose que l’apprentissage observatoire. (Fonctionne bcp ak les enfants)
  2. Le Computationnalisme
    Conçoit l’esprit comme un système de traitement de l’information et compare la pensée à un simple calcul (algorithme)
    - c’est une théorie récente qui se développe présentement, principalement en Californie lolipop

Le Mentalisme
Approche qui vise à comprendre le fonctionnement de l’esprit humain et plus particulièrement la conscience en utilisant largement l’introspection.

22
Q

Quelle est la définition de la théorie de l’auto-détermination?

A

Se concentre sur les facteurs sociaux qui influencent les différentes formes de motivation à travers leur influence sur l’autonomie, le sentiment de compétence et d’appartenance

  • Tient pour acquis que l’individu est naturellement porté à être actif, motivé, curieux et qu’il désire vivement réussir (à la base tt le monde veut percer, dès la naissance, notamment psk le succès en soi est gratifiant)
  • Selon cette théorie, ttes les variations de la motivation humaine dépendant de l’environnement socioculturel ds lequel les personnes se trouvent (l’entourage, la culture, etc). Ces conditions influencent nn seulement cke les gens font, mais aussi les sentiments qu’ils ressentent au moment où ils agissent et après avoir agis.
  • Le but est de créer un environnement social qui optimise le développement, la performance et le bien-être des individus
23
Q

Quesque la motivation ds la théorie de l’autodétermination?

A

Motivation :

  • Incite les personnes à agir, à penser et à se développer.
  • Source d’énergie et une direction.
  • Persévérance que les individus éprouvent dans leurs actions et les intentions
  • Influencée par les facteurs sociaux

La recherche en motivation est principalement axée sur les conditions, les processus qui vont favoriser la persistance, le rendement, le développement et le dynamisme, dans les activités que les individus font.

24
Q

Pk la théorie de l’autodétermination? (2 raisons)

A
  1. Permet d’intégrer les effets du contexte sur le développement de la personne
  2. Propose l’existence de différents types de motivations.
25
Q

Définis les types de motivation (intrinsèque et extrinsèque)

A
  • Intrinsèque: Je fais l’activité parce que j’ai tout simplement le goût de la faire (c’est intéressant pr moi, j’y trouve satisfaction et gratification)
  • Extrinsèque: Je fais l’activité parce que je veux obtenir quelque chose (c’est en fonction d’une conséquence de l’extérieur. Ex : un enfant ramasse sa chambre non pas par choix psk c fresh, mais psk il veut pas être puni par ses darons)

Dans la théorie de l’autodétermination, la motivation peut être placée sur un continuum : (le but est vrm de ne pas retourner en arrière ; c une ligne)

26
Q

Quesque l’amotivation?

A

L’amotivation, absence de motivation chez l’individu souvent causée par ce qu’il fait et le manque de résultat par la suite (À quoi ça sert??)

27
Q

Quesque la motivation extrinsèque régulation externe?

A

L’individu est motivé par des récompenses externes comme du matériel (jvx avoir des bonnes notes en kin pr pvr switch et faire du cob + tard par exmple, ou un jeune qui joue au hockey live psk + tard il va percer et fr des millions)

28
Q

Quesque la motivation extrinsèque régulation introjecté?

A

L’individu commence à intérioriser ce qui influence ses comportements et ses actions Ici, l’individu va svnt se sentir coupable ou sentir une certaine pression s’il ne fait pas une certaine action.
(Ex : un étudiant qui est bien à l’uni, qui est en med, mais qu’au fond de lui préférerait être en kin, lol. Il reste quand même en med.)

29
Q

Quesque la motivation extrinsèque régulation identifiée?

A

L’individu commence à prendre conscience de l’intérêt qu’il porte pour l’activité. Il fait le comportement et trouve qu’il est important de le faire.
(Le jeune qui joue au hockey voit des avantages à long terme, et en plus il y trouve du plaisir)

30
Q

Quesque la motivation extrinsèque régulation intégrée?

A

En plus d’avoir des sources de motivations externes, il arrive à avoir des sources de motivation internes.
(Mr hockey veut devenir riche. Il pourrait le devenir en jouant au baseball. Mais nn, il a choisi le hockey psk il kiff)

31
Q

Quesque la motivation intrinsèque?

A

Individu va pratiquer l’activité parce qu’il en retire du plaisir et de la satisfaction.
Il s’agit du + haut niveau de motivation que peut atteindre un individu. (Mr hockey qui joue en hiver sur la patinoire le fait juste par motivation, psk il aime ça)

32
Q

Selon la théorie de l’autodétermination, on a 3 besoins psychologiques à la base de notre motivation. Qd les 3 sont satisfaits, l’individu devrait avoir une sensation de bien-être et devrait être motivé.
Quels sont-ils?

A

La théorie des besoins psychologiques de base :

  1. Autonomie
    Nécessité pour l’individu de se sentir comme étant celui à la base de ses choix au moment d’initier un comportement.
    Le besoin d’autonomie est plus fondamental que les 2 autres besoins dans l’explication du comportement
  2. Compétence
    Se sentir efficace et capable d’effectuer des tâches de différentes difficultés. On a une gratification de ckon fait.
  3. Appartenance
    Besoin de se sentir connecté et supporté par d’autres personnes. Aussi appartenir à des communautés de personnes. Déconnecté de l’obtention de certains bénéfices. (Pas juste être connecté à ses amis, mais aussi à la communauté : on est à Mtl, au Qc, au Canada…)
    *Le besoin de se sentir en relation ak les autres personnes est déconnecté de l’obtention de certains bénéfices (sexuels, bénéfices de statuts, etc). L’idée est juste de partager avec d’autres membres un sentiment d’unité.
33
Q

Déf de l’autonomie pr les coach et différences entre un coach contrôlant et qui soutient?

A

Autonomie

  • Contribue grandement à la motivation.
  • Influencé par le contexte social d’une personne (en particulier les relations d’une personne)

Contrôler vs soutenir
Le coach peut soit contrôler soit soutenir l’autonomie d’un groupe.

Coach contrôlant
- réduit le besoin d’autonomie du groupe ce qui peut donner au groupe l’impression qu’ils ne sont pas capables de prendre des décisions par eux-mêmes.

Un coach qui soutient

  • l’autonomie permet d’offrir au groupe le choix de la meilleure approche.
  • coach fait confiance à son groupe et communique beaucoup avec son groupe.
  • Soutien l’autonomie ce qui va favoriser la motivation.
34
Q

Quels sont les 7 comportements supportant l’autonomie

A

Créer un environnement qui supporte l’autonomie

7 comportements spécifiques

  1. Fournir des choix selon certaines règles et limites spécifiques
  2. Fournir une justification pour les tâches et les règles
  3. Reconnaître la perspective et les sentiments des athlètes
  4. Fournir aux athlètes des possibilités d’initiative et de travail indépendant
  5. Donner des rétroactions dont le but n’est pas de contrôler
  6. Éviter les comportements de contrôle
  7. Prévenir l’implication de l’égo des athlètes
35
Q

Quesqui peut faciliter le processus de prise de décision?

A

Offrir un choix :
Un truc pour faciliter tout le processus de prise de décision, c’est de faire soi-même une liste des choix possibles, puis de laisser le groupe prendre une décision

  1. Quand on arrive devant un trop grand nombre de choix, le premier réflexe est de retarder la décision
  2. On arrive donc dans une procrastination qui est néfaste
  3. On a une certaine impuissance devant l’embarras du choix, ce qui implique une mauvaise prise de décision (la personne est mad = elle achètera plus)
36
Q

Quesque la compétence?

A

Compétence :
La compétence réfère à un sentiment d’efficacité sur son environnement (Deci, 1975 ; White, 1959), ce qui stimule la curiosité, le goût d’explorer et de relever des défis.
Svnt, la compétence est liée à une confirmation des autres (ils vont ns faire savoir qu’on est compétents, sans mm qu’on en ait conscience).
À elle seule, l’efficacité ne suffit pas à donner un sentiment d’être compétent. Il faut aussi voir le sentiment de la prise en charge personnel de l’effet à produire.
(C pas psk on est efficaces qu’on se sent compétent, on doit aussi avoir le sentiment que c’est ns qui avons fait la tâche)

37
Q

Quesque le support du sentiment d’appartenance?

A

Le support du sentiment d’appartenance
Le besoin d’être en relation à autrui implique la perception de l’affiliation et le sentiment d’être relié à des personnes qui sont importantes pour soi
Se sentir connecter et supporter par d’autres personnes est un besoin d’appartenance commun à tous et augmente la motivation d’un individu.
Sentiment d’appartenance se construit peu à peu.

38
Q

Quesque la théorie de l’évaluation cognitive?

A

La Théorie de l’Évaluation Cognitive (TEC), une des sous-théories de la TAD, permet d’expliquer les variations motivationnelles au regard des événements extérieurs. Ces événements vont modifier les sentiments de compétence et d’autodétermination, ce qui va faire modifier les variations motivationnelles.

Soutient que les événements sociaux-contextuels qui conduisent vers un sentiment de compétence durant l’action peuvent diminuer ou améliorer la motivation intrinsèque.
- La motivation de la personne va varier en fonction des changements au niveau de la perception qu’elle a de sa compétence, et par conséquent de son autodétermination.
- Le fait de recevoir quelque chose amène à modifier la perception quant à la raison de faire cette activité.
Ex : ginette ak la spca, ou les enfants qui lancent des roches

39
Q

Les récompenses ds le sport mènent à quoi?

A

Les récompenses dans le sport
Bien que motiver les athlètes avec des incitations financières, des jouets ou même une activité spéciale puisse être très efficace, certains experts estiment que cela empêche les gens de développer leur propre sens des responsabilités.
Plusieurs dangers à l’utilisation des récompenses :

  • Empêcher les athlètes de développer le sentiment de faire la bonne chose
  • Conduire aux disputes ou au harcèlement

Si les récompenses externes sont perçues par les athlètes comme :
- Fournissant des informations sur la compétence et comme n’étant pas des tentatives de contrôle (ex : les compliments) (si c’est le cas il y aura des conséquences positives, voir en-bas)

Conséquences

  • Amélioration du sentiment de compétence
  • Influence positive sur le comportement
40
Q

Les compliments dirigés vers les habiletés ou l’effort

A

Les compliments dirigés vers les habiletés ou l’effort
Avant : les parents ne donnaient pas vrm de compliments aux enfants. Il y a plusieurs années, les psychologues ont commencés à dire que c’était une bonne idée de complimenter les enfants. En fait, ils disaient quasiment que les enfants avaient besoin de compliments pour accéder au succès.

Certains compliments peuvent se retourner contre nous-mêmes!
Les compliments sont à utiliser par précaution. (Faire des compliments sur les efforts peut être plus pertinent que complimenter les aspects physiques de la personne).