Cours 6 - Identité de genre et image corporelle Flashcards

1
Q

Quelle est la définition du “genre”?

A

Composantes psychologiques, sociales et culturelles de féminité de la masculinité

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Q

Qu’est-ce que la ‘‘conformité de genre’’?

A

Adhésion aux rôles sociosexuels et aux normes culturelles établies pour son sexe

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3
Q

Qu’est-ce que la ‘‘dysphonie de genre’’?

A

Non-conformité entre le sexe biologique et le genre qui est marquée une souffrance clinique

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4
Q

Qu’est-ce qu’un trangenre (ou trans)?

A

terme qui englobe la diversité de l’identité qui n’est pas en phase avec le sexe assigné à la naissance

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5
Q

Qu’est-ce qu’un transsexuel?

A

personne qui veut changer son corps afin qu’il corresponde à son identité de genre

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6
Q

Qu’est-ce qu’un queer/altersexualité/allosexualité?

A

Adhésion à une vision non-binaire. Refus des étiquettes

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7
Q

Vrai ou faux. Il y a souvent confusion entre identité de genre et orientation sexuelle.

A

Vrai.

Pourtant, pas pcq une fille est + masculine qu’elle est lesbienne.

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8
Q

Quelle est la théorie de la féminité de la masculinité?

A
  • Les personnes les plus équilibrées (heureuse, meilleure santé mentale) sont celles qui sont androgyne (masculine et féminine)
  • Les rôles sexuels = appris = peut changer ou se modifier
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9
Q

Qu’est-ce que le “Bem Sex Role Inventory” (BSRI)?

A

Traits de personnalités jugés désirables pour un(e) homme/femme. ex: femme: être douce

  • en forme de test ( 60 items/ 20 mascu. 20 fem. 20 genre neutre)

HOMMES:
préoccupations = résolution de problèmes (tâche, solutions)

FEMME:
orientation expressive, préoccupations affectives (caring)

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10
Q

Qu’est-ce qu’un schéma de genre?

A

Représentation organisée des expériences passées qui va avoir une influence sur mon traitement de l’info, mes perceptions/attitudes/comportements genrés.

*produit de la socialisation = + en + d’expériences -> Repères et structures des éléments genrés

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11
Q

Quelles sont les critiques du schéma de genre?

A

1) échelle de la masculinité cerne mieux la complexité des hommes ( que l’inverse)
2) L’androgynie inclut davantage de masculinité que de féminité
* étude menée en 1998 -> 2/60 passés de féminin à androgyne

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12
Q

À quoi est associée l’androgynie?

A
  • Compts plus flexibles et moins rigides
  • meilleure estime de soi
    • de filles se trouvent dans la dimension masculine que de gars dans dimension féminine
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13
Q

Vrai ou faux. Les modèles masculins et androgynes sont associés à une haute estime de soi.

A

Vrai. Autant chez les gars que chez les filles.

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14
Q

Quelles sont les étapes du développement de l’identité de genre?

A

2-3 ANS: peuvent identifier leur sexe

3-5 ANS: notion du genre( fille car robe)

6-7 ANS: constance de genre (gars meme si porte robe)

SOCIALISATION: connaissances en lien avec notion du genre et attentes comportementales/ attitudes associées aux genres (auxquelles il adhère ou pas)

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15
Q

Pour Judith Butler, le genre est une __________?

A

PERFORMANCE

Soit des gestes/attitudes/rôles socialement appris ET consolider au fil de nos répétitions.

  • imitation scénarios normatifs/binaire
  • rien d’essentiel dans le genre
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16
Q

Vrai ou faux. Michel Dorais a réalisé des travaux importants sur la féminité.

A

Faux. Sur la masculinité, particulièrement chez les hommes gais et bisexuels.

*histoire de vie érotique (carrières sexuelles)

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17
Q

Vrai ou faux. La virilité est synonyme de masculinité.

A

Faux.

Modèle exacerbé d’une vision traditionnelle de la masculinité.

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18
Q

Vrai ou faux. Les femmes passent beaucoup de temps à penser aux critères de féminité, qu’elles y adhèrent ou pas.

A

Vrai.

19
Q

Vrai ou faux il existe une hiérarchie de féminité.

A

Vrai.

L’hyperféminité = statut social + élevé et plus populaires auprès de garçons populaires

20
Q

Qu’a étudié Deborah Tolman?

A

Dilemmes sexuels des adolescentes

soit sexy mais n’est pas l’air d’une pute

21
Q

Qu’a étudié Lisa Diamond?

A

Fluidité dans la sexualité des femmes

Féminité pas associée à sexualité. Plus fluide que ça

22
Q

Qu’à étudié Melanie Zimmer-Gembeck?

A

Subjectivité des jeunes femmes

23
Q

Qu’est-ce qu’est l’agentivité sexuelle?

A

Agent de sa sexualité plutôt que objet sexuel. ( régit sa propre sexualité et s’en sent responsable)

  • Faire ses propres choix (choisit plus que subit)
  • notion contrôle et sentiment d’avoir le droit au désir et au plaisir ( sans honte ni culpabilité)
24
Q

Qu’est-ce qu’est la subjectivité sexuelle?

A

Auto-perception sexuelles des femmes et de leurs sentiments à propos de la sexualité.

*manière de conceptualiser et de mesurer cognitions/attitudes/émotions qui définissent sexualité

25
Q

Quelles sont les composantes de la subjectivité sexuelle?

A

1) ESTIME de soi CORPORELLE
2) Perception d’avoir le DROIT au plaisir procuré par SOI
3) Perception d’avoir le DROIT au plaisir procuré par un PARTENAIRE
4) Sentiment d’EFFICACITÉ personnelle sexuelle
5) AUTORÉFLEXION sexuelle

26
Q

Vrai ou faux. De + en + d’hommes souffrent de troubles alimentaires.

A

Vrai.

  • préoccupations musculaires:
  • > 30% veulent prendre du poids
  • >
    • de 40% prennent ou ont déjà pris des suppléments

MAIS:
gars + satisfaits que filles au plan corporel

27
Q

Vrai ou faux. Les idéaux physiques masculins reposent sur la stature et la musculature.

A

Vrai.

Masculinité et satisfaction liée à l’image corporelle = souvent associé au pouvoir et à la force

28
Q

Vrai ou faux. L’orientation sexuelle n’a pas d’effets sur l’image corporelle.

A

Faux.
Modifie le développement et l’expression des préoccupations corporelles des garçons.

->Troubles anorexiques/boulimiques sont plus prévalent chez les adolescents homo ou bi.

-> Hétéro = gagner poids
Homo = Tonus et définition musculaire

29
Q

Vrai ou faux. 60% des jeunes. de 13 à 16 ans sont insatisfaits de leur corps.

A

Vrai.
La concordance entre l’apparence d’un jeune et les normes sociales de beauté est centrale dans le développement de l’autoévaluation corporelle.

*Femmes: insatisfaction à partir de puberté

30
Q

Vrai ou faux. 70% des adolescentes font des efforts pour contrôler leur poids ou en perdre.

A

Vrai.

*changements physiques à la puberté entrainent souvent une distorsion de l’image corporelle

31
Q

Vrai ou faux. Environ 50% des adolescentes ont déjà sauté un ou des repas dans le but de maigrir.

A

Vrai.

32
Q

Vrai ou faux. 1/3 des filles de 9 ans ont déjà tenté de maigrir.

A

Vrai.

* Adolescence = plus grande tendance à se comparer et intérioriser les normes de beauté.

33
Q

Vrai ou faux. 8 à 10% des jeunes québécois ( surtout des filles) commencent è fumer dans l’espoir de contrôler leur poids ou maigrir.

A

Vrai.

34
Q

Vrai ou faux. La satisfaction corporelle est encore moins grande à l’âge de l’AÉ que l’adolescence.

A

Faux. Moins grande à l’ado qu’à AÉ.

  • L’engagement dans de nouveaux rôles sociaux favorise une meilleure image corporelle (devient plus critique des modèles)
35
Q

Vrai ou faux. Les premiers signes de vieillesse et crise de la trentaine sont perçus négativement par les deux sexes.

A

Faux.
Hommes: Positifs
Femmes : Négatifs

36
Q

Nommez des indices d’une image corporelle négative.

A

1) Préoccupation excessive liée au poids
2) Perception fausse de la forme et de la taille de son corps
3) Croyances que seuls les autres sont séduisants
4) Honte ou gêne face à l’apparence
5) Malaise de son corps

37
Q

Nommez des facteurs de risque au développement d’un trouble de l’image corporelle

A

1) Être une fille
2) Être très féminine et adopter des valeurs stéréotypés
3) Avoir été victime d’abus physiques ou sexuels
4) Avoir un parent qui se préoccupe de son poids
5) Avoir été taquinée/victimisée/harcelée à l’école ou dans la famille en raison de son apparence

38
Q

Nommez des facteurs de protection

A

1) Estime de soi positive
2) Investissement des compétences autres que physiques
3) Diversification du champ d’intérêt
4) Valorisation d’une image corporelle positive dans la famille
5) Évaluation de soi reposant sur d’autres facteurs

39
Q

Quelle est la relation entre les facteurs de risque et de protection

A
Débalancement entre facteurs de risque et de protection 
= 
Difficulté image corporelle 
=
 Détresse psychologique/ Dépression
40
Q

Comment l’image corporelle influence-t’elle le fonctionnement sexuel (3) ?

A

1) Évaluation de son niveau d’attirance physique
2) Niveau de distraction lors des rapports sexuels
3) Comportements d’évitement sexuel

41
Q

Quelle est la relation entre obésité et sexualité?

A

1) problèmes physiologiques pouvant rendre les relations sexuelles plus difficiles
2) Répertoires sexuels moins diversifiés (honte, gêne) -> Évitement
3) Rapport au corps souvent complexe
4) Difficultés possibles au niveau de l’intimité et du rapport à l’autre

42
Q

Vrai ou faux. Les adolescent obèses sont davantage victimes d’exclusion et de rejet.

A

Vrai.

* Moins d’opportunité

43
Q

Vrai ou faux. Chez les filles, pour chaque point de plus à l’IMC, la probabilité d’être en relation amoureuse diminue de 6% à 7%.

A

Vrai.

Relation IMC et relation de couple :(

44
Q

Vrai ou faux. L’exposition aux influences des publicités alimentaires érotisent une image corporelle irréelle.

A

Vrai. Messages biaisés sur l’image corporelle.