cours 5 Flashcards

1
Q

l’entrevue motivationelle est-elle efficace

A
  • Surpasse conseil dans 80% parce que pas toujours mieux que la réponse vienne de la personne
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2
Q

Comment déterminer le stade de changement du client/patient

A
  • en observant la personne (verbal et non verbal)
  • en s’observant
  • en demandant à la personne
  • En utilisant questionnaire
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3
Q

Les méthodes alternatives?

A
  • Télé-thérapie (skype/facetime)

- Traitement autoadministré/bibliothérapie

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4
Q

Stades de changement

A
  1. précontemplation = pas de problème
  2. contemplation = ambivalence/n’est pas convaincu d’avoir un problème, n’effectue pas de d’action pour avoir un changement
  3. préparation/détermination = sait qu’il a un problème, se prépare à changer, mais pas d’actions concrètes
  4. Action = effectue des changements/applique le traitement
  5. maintien/consolidation
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5
Q

Psychothérapie de type TCC

A
  1. intervention (Stratégie)
  2. planification de la fin du traitement
  3. rencontre de maintien (boosters)
    * pensées et comportements*
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6
Q

Psychothérapie de type “psychodynamique brève”

A
  1. relation transfert positive / thèmes importants
  2. Analyser relation de transfert, explorer thèmes via clarification/confrontation
  3. Terminer thérapie, deuil thérapeutique, anticiper défis potentiels
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7
Q

Si les programmes de préventions sont habituellement efficaces, pourquoi pensez-vous qu’ils ne sont pas plus utilisés?

A
  • Coût $$
  • Difficile de mesurer
  • Priorise l’aide des gens
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8
Q

Exemple de prévention qui n’est pas efficace

A
  • Stratégie de debriefing: raconter évènement traumatique en détail
    mais. ..
  • Peut être nocif
  • Cela ne veut pas dire que la personne va développer un TSPT. Ex: deuil enfant chez parent et femmes ayant été abusées sexuellement
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9
Q

Exemples de choses que veut prévenir la psychologie

A
  • Développement d’une psychopathologie
  • Intimidation
  • Problème de consommation
  • Problème de comportement
  • La violence/la négligence parentale
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10
Q

Les étapes pour élaborer un programme de prévention sont?

A
  1. Identifier le problème cible (on prévient quoi?)
  2. Déterminer à quel point le problème est serieux (incidence et prévalence)
  3. Revue de la littérature (existe-t-il une intervention de prévention et est-elle efficace?)
  4. Identifier les personnes à risque
  5. Élaborer le programme de prévention
  6. Élaborer l’étude (comment savoir si c’est efficace?)
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11
Q

Nomme les facteurs associés au développement possible d’une psychopathologie

A
  • Pauvreté
  • Isolement
  • Intimidation
  • Monoparentalité
  • Psychopathologie d’un parent
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12
Q

Facteurs de risques vs. facteurs de protection

A
  • De risque: rend une personne plus vulnérable au développement d’un problème/trouble ou associer symptômes sévères
  • De protection: rend moins vulnérable au développement
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13
Q

Types de programmes de prévention

A
  • Primaire: promotion santé, basé sur modèles comportementaux et non sur le concept de maladie
  • Secondaire: cible groupe identifié à risque de développer un problème / trouble (prévention sélective et indiquée)
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14
Q

Quels sont les types de prévention?

A
  • Universelle: toute la population. Ex: alcool volant
  • Sélective: individu qui présentent un risque + élevés de développer problème/trouble
  • Indiquée: cible individus à risque (trouble sous clinique)
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15
Q

Quelques faits sur la psychopathologie

A
  • Entre 5 et 13 séances (10 en moyenne)
  • Les clients/patients voyent + de bénéfices
  • Femmes consultent + que les hommes (2/1)
  • 30 et 50 ans
  • Efficacité
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16
Q

Le coaching parental

A
  • Entrainement aux habiletés parentales
  • Gestion des comportements
  • Psychopathologie infantile
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17
Q

Psychothérapie de type expérientielle

A
  • Développer relation thérapeutique
  • Faciliter travail thérapeutique
  • Modes de réponses expérientielles
  • Tâches thérapeutiques
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18
Q

Faits sur le suicide au Québec

A
  • Chaque jour au Québec, environ trois personnes s’enlèvent la vie et huit sont hospitalisés pour avoir tenté de le faire
  • En 2008, 2,3% de la population québécoise a songé sérieusement au suicide au cours de la dernière année (144 000 personnes)
  • Les hommes de 15 à 24 ans rapportent plus souvent avoir des idées suicidaires sérieuses et le taux de suicide est le plus élevé chez les hommes âgés de 25 à 64 ans
  • En 2008, environ 0,5% des québécois on fait une tentative de suicide au cours des 12 derniers mois (environ 28 000 personnes)
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19
Q

Nomme les facteurs associés au suicide

A
  • Prédisposant familiaux et/ou individuels (augmente la vulnérabilité): violence, abus ,décès d’un proche, isolement, maladie mentale, tentatives de suicides antérieures)
  • Contribuant (augmente le risque): abus de substance, pauvreté du soutien social ou des ressources disponibles, instabilité familiale)
  • Précipitant (peuvent déclencher une crise): rupture, humiliation, rejet, problèmes familiaux, la goute qui fait déborder le vase
  • De protection: soutien social, ressources disponibles habiletés de résolution de problèmes
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20
Q

Quels sont les signes précurseurs du suicide?

A
  • Verbalisation directes et/ou indirectes
  • Comportement (isolement, retrait, intérêt pour les armes ou les médicaments,donner des objets qui lui sont chers, émotions soudaines, désorganisation cognitive et incohérence du langage)
  • Symptômes psychologiques (désorganisation émotive et cognitive)
  • Symptômes biologiques (désordre du sommeil et anxiété/stress.
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21
Q

Décrit le processus suicidaire

A
  1. Détresse
  2. Flash (fantasme de mort) : 1ère pensée et on rentre dans le prcessus
  3. Idéation (fantasme de suicide): vie vs. mort
  4. Rumination: pensée moyenne
  5. Cristallisation (plan précis)
  6. Passage à l’acte
    * En forme de pyramide, car plus le temps avance, moins la personne voit de solution possible
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22
Q

L’évaluation de l’urgence faible =

A

détresse,flash et idéation

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23
Q

L’évaluation de l’urgence moyenne =

A

rumination = COQ > 48 heures

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24
Q

L’évaluation de l’urgence élevée =

A

Cristallisation, tentatives en cours < 48 heures

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25
Q

Comment agir quand on pose des questions pour évaluer le risque de suicide?

A
  • Être emphatique, mais direct
  • Utiliser les bons mots et tenter d’obtenir les informations les plus précises possibles
  • Rester calme
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26
Q

Types de questions à poser pour évaluer le risque de suicide

A
  • Veux-tu mourir?
  • As-tu pensé à quand tu voudrais le faire?
  • Que veux-tu dire par “ j’aimerais aller le rejoindre”?
  • Combien de fois par semaine y pense-tu?
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27
Q

Quels-sont les objectifs de l’intervention de crise

A
  • Assurer la sécurité immédiate de la personne
  • S’assurer que la personne est capable de faire face à la situation ici et maintenant (désamorçage)
  • Favoriser l’émergence de moyens d’adaptation adéquats
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28
Q

Quelle est une des différence entre l’entrevue motivationelle et l’intervention de crise?

A
  • Lors de l’entrevue motivationelle, les idées et décisions doivent venir du client/patient
  • Lors de l’intervention de crise, le psychologue doit donner des consignes intenses et directives et il doit fortement suggérer des idées
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29
Q

Nomme les principes de bases sur l’intervention de crise

A
  • Intervention active: elle doit dépasser l’écoute. Elle doit permettre à la personne de reprendre le contrôle/retour à l’équilibre émotionnel
  • Précise et concrète, car l’intervention se fait avec peu d’information
  • Susciter l’espoir; doute raisonnable qu’un changement est possible
  • Transmettre de l’information
  • Impliquer l’environnement = multiplier le support et les ressources
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30
Q

Nomme des exemples d’interventions

A
  • Évaluer les besoins de la personne
  • l’aider à trouver des solutions
  • L’aider à voir que les choses peuvent changer (semer le doute)
  • Évaluer le support social et les ressources disponibles
  • Éloigner le moyen
  • Faire un contrat de non suicide
  • Utiliser les ressources d’urgence au besoin et de préférence avec la collaboration de l’individu
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31
Q

Parle-moi du contrat de non-suicide

A
  • La personne doit être capable de s’engager
  • Se fait parmi d’autres intervention et la relation de confiance doit être présente
  • Utilisé rarement, dans des cas d’urgence élevé
  • Plus on l’utilise moins cela devient efficace
  • Limité dans le temps; moins la personne collabore, plus la durée sera courte. Prévoir un retour avec la personne
  • Implique des actions à poser pendant la durée du contrat + quoi faire si elle n’est plus capable de le respecter
  • Respect du contrat par l’intervention
32
Q

Attitude à adopter avec une personne suicidaire

A
  • Empathie
  • Calme/contrôle
  • Directivité = entre le laisser faire et autorité
  • Organisée/ structurée
  • Concret
33
Q

Qu’est-ce qui fait le bonheur des gens

A
  • Sport
  • Relation de couple saine et sociabilité
  • Argent fait le bonheur pour ceux qui ne sont pas capable de répondre à leurs besoins de bases
  • Apparence, dans la mesure que quand on se trouve beau on est plus heureux
  • Être positif
  • Méditation
34
Q

Pourquoi faire du sport

A
  • Diminue le stress, tristesse, hyperactivité
  • Diminue les problèmes gastro-intestinaux
  • Augmente bonheur, estime de soi, concentration et attention
  • Augmente la perception visuo-spariale
  • Améliore la forme physique et le sommeil
35
Q

Qu’est-ce que la prévention?

A
  • Prévenir un trouble/problème

- Empêcher l’apparition, l’aggravation ou l’extension des maladies, ou leurs conséquences à long terme

36
Q

Donne-moi un exemple de facteur de risque et protection pour chacune des catégories

A
  • Dans la catégorie ‘‘individuel’’: Risque=déficience intellectuelle ou difficultés d’apprentissage. Protection=Intelligence ou performance scolaire dans la moyenne
  • Dans la catégorie ‘‘familial/scolaire”: Risque=Exposition à de la violence familiale ou communautaire. Protection= harmonie au sein de la famille.
  • Dans la catégorie “liés au contexte scolaire”: Risque=rejet par les pairs. Protection=valorisation de la responsabilisation et de l’entraide.
  • Dans la catégorie ‘‘situations et événements de vie”: Risque=Immigration. Protection= conditions de logement adéquates
  • Dans la catégories ‘‘culturel/communautaire”: Risque=Isolement au sein de la communauté. Protection= Attachement à des réseaux au sein de la communauté.
37
Q

Parle-moi du programme de prévention de l’anxiété “fun FRIENDS”

A
  • Pour les enfants âgés de 4 à 7 ans
  • TCC, avec participation parentale
  • 10 séances en petit groupe et offertes par un enseignent formé
  • Objectifs: diminuer les symptômes anxieux et l’inhibition comportementale, augmenter la compétence socio-émotionnelle, augmenter la résilience.
38
Q

Quels-sont les types de psychothérapie pour chacune des approches théoriques?

A
  • Psychodynamique = psychothérapie de type “psychodynamique brève”
  • Cognitivo-comportementale - Thérapie de type tcc
  • Humaniste = psychothérapie de type expérientielle
39
Q

Qui consulte le plus?

A
  • Femme
  • Individus âgés entre 30 et 50 ans
  • Personne avec un plus haut niveau d’éducation (université)
40
Q

Parle-moi des différentes modalités de traitement et de leur efficacité

A
  • Thérapie individuelle
  • Thérapie de couple
  • Thérapie de groupe: soutien social, stigmatisation cassée, coefficacité, peut-être difficile de “matcher” des gens qui souffrent des même problèmes, peut parfois être difficile de s’adapter à tous les patients
  • Thérapie familiale: ne fonctionne pas dans tous les cas.
  • Le coaching parentale
  • Méthodes alternative (télé-thérapie et traitements autoadministrés): télé-thérapie fonctionne très bien, mais il faut penser à la confidentialité. les traitements auto-admnistrés doivent être bien appliqué pour fonctionner, moins efficace.
  • Thérapie avec réalité virtuelle: fonctionne bien pour traiter les phobies créer un environnement et pouvoir le contrôler
  • Interventions par paliers
41
Q

Qu’est-ce que l’entrevue motivationnelle?

A

Une méthode permettant d’augmenter le degré de motivation d’un c/p, afin de changer une habitude, compliance au traitement et gérer les comportements à risques

42
Q

Comment aider l’intervention

A
  • Précontemplation: développer la relation de confiance, exprimer nos inquiétudes, semer le doute.
  • Contemplation: avantages et inconvénient de changer et de ne pas changer, refléter le discours associé au changement
  • Préparation /détermination: aider au changement (donner de l’information, discuter des objectifs, diminuer/contourner les obstacles)
  • Action: aider au changement, nommer les succès et renforcer les comportements et efforts associés au changement.
  • Maintien: prévenir la rechute, normaliser et encourager lors de rechute.
43
Q

Comment aider l’intervention

A
  • Précontemplation: développer la relation de confiance, exprimer nos inquiétudes, semer le doute.
  • Contemplation: avantages et inconvénient de changer et de ne pas changer, refléter le discours associé au changement
  • Préparation /détermination: aider au changement (donner de l’information, discuter des objectifs, diminuer/contourner les obstacles)
  • Action: aider au changement, nommer les succès et renforcer les comportements et efforts associés au changement.
  • Maintien: prévenir la rechute, normaliser et encourager lors de rechute.
44
Q

Parle-moi de jonathan weiss

A
  • Ph.D en psychologie du développement de York university.
  • Ses recherches porte sur la prévention et les traitements de la santé mental et des problèmes de comportements chez les personnes qui ont des difficultées développementales
  • balancer le temps entre la recherche et la clinique est sa plus grande difficulté
  • il étudie comment le sport les aide à se sentir mieux. après meilleur concept de soi et de comportement à adopter envers leurs difficultés
  • comment leur bien être est relié au bien être de leur famille et de leur accès à des services sociaux et médicaux
  • Peu de psychologues offrent leurs services ou sont spécialisé dans les handicaps
  • son expérience en clinique et en recherche informe l’une et l’autre
  • un changement qu’il a hâte de voir est le besoin critique d’utiliser les résultats de recherches lors de prises de décisions, plus inclure la recherche
45
Q

Parle-moi de Karen Dyck

A
  • Ph.D en clinique à l’université de Dakota
  • emphase sur les gens qui vive en ville et en région rurale
  • elle a choisit de faire ses études là dessus, parce qu’il y a de nombreux avantages. multidisciplinaire, beaucoup de responsabilités
  • La plus grande difficulté est qu’il n’y a pas beaucoup de données sur les milieu rural, les ressources sont limitées,beaucoup de demande et peu de ressources, sentiment d’isolement
  • Toutes ses activités en tant que psychologue lui permettent d’intégrer la clinique et la recherche; activité, séminaire, projet d’évaluation et cas en court.
  • de plus en plus de psychologues s’y intéresse et avec les technologies ça aide les psychologues dans les milieux plus éloignés
46
Q

Nommes-moi les 3 mots qui décrivent la psychothérapie

A

relation professionnelle, client et un thérapeute, réduction de souffrance

47
Q

Quel est le nombre de psychothérapies qui existent?

A
  • ce n’est pas connu, puisque ca dépent de la manière que les gens les regroupes
  • Certains disent 400, d’autre quand ils les regroupe disent qu’il y en a 12
48
Q

À quoi peut mener la manière dont on véhicule l’information sur la psychologie dans les médias

A

Le public a une vision erronée de ce qu’est réellement la psychologie et cela peut même les convaincre de ne pas consulter

49
Q

Qu’est-ce qui, dans la plupart des cas, amène une personne à consulter?

A

La personne n’est plus capable de fonctionner dans la vie de tous les jours et elle ne peut plus gérer,contrôler ou améliorer sa situation avec l’aide des personnes autour d’elle

50
Q

Quels sont les désordres les plus populaires?

A

anxiété, trouble de l’humeur, problème de contrôle d’impulsion ou problème de compulsion

51
Q

à quel âge commence habituellement le désordres?

A

14 ans

52
Q

Qu’est-ce qui aide au bon fonctionnement de la thérapie?

A
  • la motivation du client
  • coopération vs. résistance
  • ouverture vs. défense
  • le niveau de détresse
  • le style d’adaptation
  • l’autonomie ( la personne choisit son traitement)
53
Q

Qu’est-ce qui peut affecter la motivation du client?

A

les attentes et les croyances

54
Q

vrai ou faux. il est plus souvent important de savoir quel type de client à quel désordre, plutôt que quel type de désordre a le client

A

vrai

55
Q

Les caractéristiques du thérapeute qui peuvent aider au bon fonctionnement de la thérapie

A
  • sexe
  • âge
  • ethnicité
  • savoir reconnaitre les différentes intensités des émotions du patient
  • avoir un répertoire de vocabulaire pour aider les clients à mettre un mot sur ce qu’ils ressentent
  • compétence d’auto surveillance
56
Q

Comment chaque approche voit le développement de la compétence d’auto-surveillance?

A
  • psychodynamique: doit subir une analyse
  • cognitive ou béhaviorale: approche plus empirique pour déterminer quel de leurs problèmes personnels peuvent interférer avec la thérapie de leur client
57
Q

Quelles sont les trois compétences les plus importantes pour un psychologue?

A
  • empathie
  • communication
  • capacité de bâtir une relation
58
Q

vrai ou faux. plus fréquemment important de se demander quel type de thérapeute offre le traitement, que quel type de traitement offre le thérapeute

A

vrai

59
Q

Quels peuvent être les challenges auquel les psychologues font face?

A
  • compétence
  • personnalité
  • difficulté de la situation
60
Q

Comment contrer les challenges auxquels font face les psychologues?

A
  • en augmentant ses connaissances sur certains sujets en assistant à des séminaire etc.
  • avoir soit même subit une thérapie (psychodynamique) (pas prouvé)
61
Q

Qui est le troisième participant de la thérapie?

A

la relation entre le thérapeute et le client

62
Q

Que permet l’alliance thérapeutique?

A
  • être lié émotivement
  • confiance
  • compréhension partagé de ce qui doit être fait et des défis
  • Rogers dit que la relation est plus importante que les mots entre le thérapeute et le client
63
Q

Quand l’alliance risque de mieux fonctionner?

A
  • investissement de rôle

- résonance empathique (même longueur d’onde) et affirmation mutuelle

64
Q

Truc pendant la thérapie

A
  • favoriser la perspicaité
  • amener de nouvelles informations (éducation): lecture, conseils, travailler les réactions faciales
  • donner des devoirs: pour augmenter le changement dans la vraie vie, pour que le client n’oublie pas ce qu’il a acquis au courant de la thérapie, surtout béhavioral et cognitif
  • Développer des croyances, de l’espoir: nommer des réusites
65
Q

Parle-moi des aspects les plus importants du code d’éthique de l’APA

A
  1. bénéfice et non malfaisance
  2. fidélité et responsabilité
  3. intégrité
  4. justice
  5. respect
66
Q

Combien y-a-t-il de standards éthique?

A

10

67
Q

Combien y-a-t-il de règle?

A

151

68
Q

Quelles sont les quatre règles les plus importantes?

A
  • confidentialité
  • compétence
  • consentement informé
  • conflit d’intérêt
69
Q

Qu’est-ce que la confidentialité?

A

sauf en cas de situation spécifique, aider est la seule chose, qu’est-ce qui est le mieux pour mon client/patient

70
Q

Qu’est-ce que la compétence?

A
  • pratiquer seulement sa spécialité, être très bien informé scientifiquement. –combinaison d’éducation/d’expérience, d’entrainement et d’accréditation
  • protège le client contre une mauvaise pratique et motive le professionnel à s’informer et rester à l’affut
71
Q

Qu’est-ce que le consentement informé?

A

dire les limites de la confidentialité, dire tout ce qui est à savoir sur la thérapie

72
Q

Qu’est-ce que le conflit d’interêt?

A

quand les intérêts du professionnel entre en compétition avec les intérêts du c/p

73
Q

Combien de temps dure environ une rencontre de thérapie seule vs. en groupe

A

45-55 min vs. 90-120 min

74
Q

Qu’est-ce que doit garder le psychologue (documentation)

A
  • les informations de base du client
  • les dates
  • les factures
  • les types de services
  • les résultats d’évaluation
  • les plans de traitements et les consultations avec les autres au sujet d’un client
75
Q

Pourquoi les informations que conserve le psychologue doivent être claires ?

A

En cas où un autre psychologue reprendrait le cas, il doit être en mesure de reprendre la thérapie sans qu’il y ait de changement

76
Q

Parle-moi de la divulgation des informations personnelles selon les approches

A
  • psychanalyse: disent que jamais on ne devrait dire quoi que ce soit et que ce doit être entièrement basé sur le client
  • psychanalystes modernes et comportemental: divulger un peu
  • humaniste: important de divulger beaucoup, afin de rester authentique