Cours 5 Flashcards

1
Q

LA PERSONNALITÉ

A

Les caractéristiques de la personne qui permettent d’expliquer les patrons de comportements, de pensées et d’affects qui sont persistants, récurrents.
- Voir les tendances à réagir ou agir de façon stable dans le temps
- Ca va se cristalliser dans un moment de notre vie

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2
Q

LES TESTS OBJECTIFS - Types d’items

A
  • Courts, clairs et simples
  • Jalon = test objectif
    Ne pas mettre d’adverbes dans le jalon
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3
Q

LES TESTS OBJECTIFS - Types de réponses

A
  • Réponses fermées
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4
Q

LES TESTS OBJECTIFS -Types d’échelle

A
  • Vrai/Faux
  • Likert
  • Choix forcés
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5
Q

LES TESTS OBJECTIFS - Correction (cotation)

A
  • Rapide
  • Ne nécessite aucun jugement
  • Combien de vrai combien de faux
  • Compiler les résultats a ordi
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6
Q

LES TESTS OBJECTIFS - Exemple Items

A

J’aime la plupart des gens.
Je perds rarement patience.
La plupart des gens travaillent fort.
J’entends des voix.
Je me fâche facilement.
La vie est pleine de problèmes.
Des choses étranges se passent dans ma tête.

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7
Q

LES TESTS OBJECTIFS - Exemple Échelles

A

Vrai – Faux
Vrai – Faux – Incertain
En accord – En désaccord
Très en accord – En accord – En désaccord – Très en désaccord
Choix forcés (Quel énoncé vous décrit le mieux?)

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8
Q

À quoi servent les tests objectifs de personnalité ? (5)

A
  • Évaluation normative de la personnalité. (Voir c’est quoi les tendances de la population moyenne, pas diagnostiquer)
  • Documenter les changements à la suite d’une thérapie (Pré-post/ avant après)
  • Choix de carrière (Aider dans le choix de carrière)
  • Recherche fondamentale: la nature et la structure de la personnalité
  • Facteur explicatif pour d’autres variables (comportementales, rendement scolaire ou au travail, des etudes sur la personnalité et les leaders)
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9
Q

Contexte d’utilisation (tests objectifs de personnalité)

A
  • Thérapie individuelle
  • Thérapie de couple
  • Thérapie familiale
  • Sélection du personnel
  • Coaching
  • Orientation
  • Recherche
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10
Q

2 types de COUVERTURE DES CONSTRUITS

A

Couverture Spécifique et à Large spectre

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11
Q

Couverture Spécifique

A

On va prendre un construit, et on va le mesurer et à la fin de la passation du test, on aura 1 seule score
Mesure 1 construit. Génère un seul score.
Généralement Peu d’items. Environ 10 minutes. Pas beaucoup de temps à mesurer
Cible souvent une population précise et limitée. Les groupes normatifs sont souvent des échantillons de convenance.
Facile à compiler et à interpréter.

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12
Q

Couverture à Large spectre

A

Mesure plusieurs construits.
Génère plusieurs scores.
§ Aucun score global. Ou on fait juste tout additionner et dire voici notre score global
§ Certaines échelles sont courtes (effet négatif sur la fiabilité).
Beaucoup d’items. Environ 45 minutes même au-delà de ça. Ex. 300 items
Plusieurs applications.
Grands groupes normatifs. Émergence de rapports narratifs.

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13
Q

Rapport narratif :

A

description du client par un système ou par un psychologue avec les résultats.

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14
Q

2 types d’ORIENTATION

A

Normale et anormal

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15
Q

Orientation normal

A

« Performance typique »
Principalement utilisés en sélection, coaching, orientation de carrière et en recherche

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16
Q

Orientation normal exemple

A

Échelle d’introversion ou d’extraversion
Ce n’est pas anormal d’être intra ou extravertie
- dans le recrutement de personnel

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17
Q

Orientation anormal

A
  • Caractéristiques anormales
  • chercher des pathologies
  • Problèmes
  • Principalement utilisés dans un contexte clinique et en recherche
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18
Q

Orientation anormal exemple

A

Mesure de la depression ou de l’anxiété care c’est pas normal de se sentir comme ca

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19
Q

DES EXEMPLES DE TESTS OBJECTIFS

A
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20
Q

PRINCIPAUX PROBLÈMES quand on fait passer des test de personnalité

A
  • Acquiescement/ Désapprobation
  • Réponses aléatoires
  • Gestion des impressions
  • Désirabilité sociale
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21
Q

Patrons de réponses

A

Tendance consciente ou inconsciente à répondre d’une certaine manière « en dehors » du but de l’instrument
(c.-à-d. c’est pas comment la personne se sent ou est vraiment).

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22
Q

Principaux problèmes quand on fait passer des test de personnalité

Acquiescement/ Désapprobation

A

Tendance consciente ou inconsciente à répondre principalement
« oui » ou « non ».

Acquiescement : la personne va toujours être d’accord
Désapprobation: la personne va jamais être d’accord

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23
Q

Principaux problèmes quand on fait passer des test de personnalité

Réponses aléatoires

A

Par fatigue, désintérêt, manque de crédibilité du test…
être désintéressé

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24
Q

Principaux problèmes quand on fait passer des test de personnalité

Gestion des impressions

A

Tendance consciente visant à répondre d’une certaine manière.
Gestion favorable des impressions
Gestion défavorable des impressions
- Regarder c’est quoi les intentions de la personne
- Comme si l’a personne vise a une certaines fin spécifique

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25
Q

Gestion favorable des impressions:

A

vouloir paraitre mieux, dans un but précis, pas juste comme désirabilité social que tu veux juste être dans la norme et pas biz

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26
Q

Gestion défavorable des impressions:

A

essayer de faire pire (ex. souhaite avoir un diagnostique pour pas travailler, la personne a fait un crime alors veut avoir un diagnostique)

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27
Q

Principaux problèmes quand on fait passer des test de personnalité

Désirabilité sociale

A

Tendance à répondre ce qui est socialement acceptable.
- On ne veux pas manipuler mais on veux être acceptable, plaire, être dans la norme

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28
Q

Une personne répond à un questionnaire en même temps de regarder sa série préférée, quel problème pourrait se trouver dans ses réponses?

A

réponse aléatoires

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29
Q

Un candidat pour un emploi au Cirque du soleil répond au test de pré-embauche en tentant d’avoir l’air créatif, quel problème cela démontre-t-il?

A

Gestion des impressions (favorables)

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30
Q

Pourquoi c’est pas désirabilité sociale

Un candidat pour un emploi au Cirque du soleil répond au test de pré-embauche en tentant d’avoir l’air créatif, quel problème cela démontre-t-il?

A

car c’est pas hors normes de ne pas être créatif

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31
Q

Pour DÉTECTER LES PROBLÈMES des tests de personnalité, il y a plusieurs techniques (nommes 4)

A

1 Fréquences empiriques extrêmes
2 Constance dans les réponses à des items similaires
3 Équilibre dans la direction des items
4 Contrôle du niveau de désirabilité sociale des items

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32
Q

1 Fréquences empiriques extrêmes

A

§ Établissement d’un taux au-delà duquel certains patrons de réponses sont « anormaux » ou « étranges ».
§ Nécessite un échantillon de participants représentant la population normale. Ces participants n’ont aucune raison de fournir autre chose que des réponses honnêtes.
§ Si personne de l’échantillon ne répond « J’ai des amis dans la plupart des grandes villes canadiennes », on pourrait conclure qu’une personne à qui on administre l’instrument par la suite et qui répond « oui » affiche une tendance à la désirabilité sociale ou à la gestion favorable des impressions.
§ Plusieurs de ces items sont « dissimulés » dans l’instrument.
* « Les journaux ne rapportent qu’un tissu de mensonges »
* « Je cours le 100 mètres en moins de 11 secondes » le record c’est 9 secondes so y’abuse 11 la
* « J’aime tout le monde »

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33
Q

2 Constance dans les réponses à des items similaires

A

§ Si une personne « laisse parler sa personnalité », elle devrait répondre de manière constante à des items similaires.
§ Le manque de constance (souvent déterminé empiriquement) peut être un signe d’un problème.

§ Item 1 : J’aime être avec d’autres personnes.
§ Item 39: J’aime les activités de groupe.
§ Item 129: J’aime être avec d’autres personnes.

  • si totalement d’accord a 1 mais totalement désaccord a 129 ca fait pas de sens, on l’enlève
  • ca pourrait être erreur aléatoire
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34
Q

3 Équilibre dans la direction des items

A

§ Le fait de faire varier systématiquement la direction logique des items et des réponses permet de détecter la tendance à l’acquiescement ou à la désapprobation ou encore, l’effort conscient de répondre au hasard.
items inversé.

§ Item 1: J’aime être avec d’autres personnes.
§ Item 39 : J’aime les activités de groupe.
§ Item 129: Je n’aime pas être avec d’autres personnes.
§ Item 4422: Je n’ai pas de plaisir lors des activités de groupe.

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35
Q

4 Contrôle du niveau de désirabilité sociale des items

A

Dans le cas des tests à choix forcés exclusivement:
§ Des experts agissent comme juges et déterminent le niveau de désirabilité sociale de chacun des items.
les deux items sont aussi desirable que l’autre alors ca nous force a choisir notre personnalité
aucun de items sont plus tentant.
§ Les items égaux au niveau de la désirabilité sociale sont ensuite placés en paires.
§ Il en résulte qu’aucun des items n’est plus tentant du point de vue de la désirabilité sociale.
§ Seule la personnalité devrait être la « cause » de la réponse choisie.

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36
Q

Exemple Contrôle du niveau de désirabilité sociale des items

A

Je préfère me faire cracher au visage ou de m’oublier pour toujours
- un représente l’humilité et l’autre l’altruisme
autre exemple : luté pour les causes sociales ou être présent pour ses proches

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37
Q

INTERPRÉTER ET RÉSOUDRE LES PROBLÈMES de tests de personnalité

A

Les indices de « validité » de réponses des participants
- Est-ce qu’on est en train de mesurer ce qu’on veut mesurer
§Les scores évaluant ces problématiques sont des indices de validité
- Est-ce qu’on peut se fier sur les résultats de participants
§Ils ne parlent pas du test, mais des réponses d’un participant
§Du degré de confiance envers les résultats obtenus de CE participant
- Des fois ce n’est pas le test le problème mais le participant en particulier
§Si un problème est détecté, cela peut nécessiter des ajustements au score ou mener à l’invalidation des résultats de ce participant
- Comment on ramène le participant a qu’est-ce ce qui devrait vraiment rep ou on fais juste l’enlever complétement, ex. si le participant exagère sur tout ses réponses, on va juste diminuer tout ses reps pour avoir des résultats plus normal, mais si ya vraiment pas de pattern, on va juste l’enlever

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38
Q

Vrai ou faux : Les indices de “validité” de réponses de participants sont a ne pas confondre avec la vrai validité du test, ce n’est pas des vrais indices de validité

A

Vrai, ca indique juste si les reps d’un seul participants est valide ou pas

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39
Q

Méthodes de DÉVELOPPEMENT DES TESTS OBJECTIFS (5)

A

1 MÉTHODE PAR LE CONTENU
2 MÉTHODE PAR CRITÈRE EMPIRIQUE
3 ANALYSE FACTORIELLE
4 APPROCHE THÉORIQUE
5 APPROCHE COMBINÉE

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40
Q
  1. MÉTHODE PAR LE CONTENU
A

Il s’agit d’une approche logique, rationnelle où la construction des items se fait en fonction de la compréhension de ce qu’on cherche à mesurer
On va bien définir notre construit, on va bien définir ce qu’on cherche à mesurer, car c’est ca qui va nous servir a l’étape 3, l’élaoration de nos items

Exemple : MMPI-2 / i02 : Je mange avec appétit (Dépression-faux)

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41
Q

Avantages et inconvénients

  1. MÉTHODE PAR LE CONTENU
A

Avantages
l Simple
l Facile, particulièrement lorsqu’on comprend le construit
l Bonne validité d’apparence
Inconvénients
l Très dépendant de la compréhension du construit
- Ex le test de l’invulnérabilité, je définis c’est quoi l’invulnérabilité et après je fais des items point. Si un epersonnage a une perception différente du construit ça va fuck up les résultat
l Sensible à la désirabilité sociale et aux patrons de réponses
- Parce que tu sais exactement ce que ça mesure

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42
Q

2 MÉTHODE PAR CRITÈRE EMPIRIQUE

A

Choix d’items qui distinguent les personnes « normales » de celles faisant partie d’un groupe spécifique.

Exemple : MMPI-2 / i01 : J’aime lire les revues de mécanique (Répression-faux)

43
Q

Avantages et inconvénients

2 MÉTHODE PAR CRITÈRE EMPIRIQUE

A

Avantages
l Directe et simple
ex. faire des items ou une personne avec tdah répondrait d’une facon et une personne non tdah reponderait d’une autre facon complétement
Ex. j’aime lire des revues mécanique
l Met l’accent sur ce qui compte sur le plan pratique
Inconvénients
l Approche essentiellement athéorique qui limite les instruments à la détection
l Nécessite de très bien identifier les participants du groupe spécifique
l Sensible au problème de chevauchement des distributions
- - Pt qu’il y a des gens qui aime le rouge qui est pas psychopathe et vice versa

44
Q

3 ANALYSE FACTORIELLE et exemple

A

À partir d’une grande banque d’items, cette méthode statistique permet d’identifier les dimensions sous-jacentes aux items, selon les réponses fournies.

  • Tu donnes à R ou a SPSS toute ton data set et ensuite tu vas coder tes variables, tout tes variables va représenter et un item de sous items, passion harmonieuse 1 2 3 4 passion obsessive 1 2 3 4
  • Après tu regardes lesquels sont plus reliés les unes aux autres
  • Si ça ne marche pas tu reviens a la base et tu regardes pourquoi litem 2 de la passion obsessive était plus relié a un des sous items de la passion obsessive et après tu réarrange
    • si l’item est vraiment pas relié tu peux l’enlever
45
Q

Avantages et inconvénients

3 ANALYSE FACTORIELLE

A

Avantages
l Regroupe les items
l Il est possible de trouver ou de confirmer les dimensions
Inconvénients
l Les résultats dépendent de la qualité et de la quantité des items
l Méthodologie complexe nécessitant beaucoup d’interprétation et de jugement ; souvent l’objet de débats d’experts
l Donne l’impression que les résultats sont définitifs, mais ce n’est pas le cas

46
Q

4 APPROCHE THÉORIQUE

A

Les items sont générés selon une ou des théories existantes.

47
Q

Avantages et inconvénients

4 APPROCHE THÉORIQUE

A

Avantages
l Permet une définition opérationnelle des items, des dimensions et des construits en général
l Facilite l’avancement des connaissances
Inconvénients
l L’instrument est bon et utile si la théorie est vraie
l Il est fort complexe de faire un instrument qui couvre 100 % de la théorie
- Il va toujours y avoir une partie non couverte

48
Q

5 APPROCHE COMBINÉE

A
  • approche qui nous aide a prendre un peu les avantages et éviter les inconvénients de chaque approches
    Dans la réalité:
  • Pour dresser la première liste d’items, généralement approche par contenu.
  • La compréhension de la personnalité est influencée par les théories.
  • L’approche par critère empirique est souvent utilisée.
  • Des analyses factorielles sont toujours effectuées.
49
Q

Passation des test TESTS PAR ORDINATEUR : avantages et inconvénients

A

Avantages
* Réponses + honnêtes dans certains cas
* Une réaction + positive
* Moins de papier! moins décourageant
* Moins de risques de se tromper en comptabilisant les scores que sur papier
* Peut générer un rapport narratif (descriptif (décrit la personne) ou « consultatif »(rapport que tu peux aller consulter, tu viens mieux comprendre ton fonctionnement)

Inconvénients
* Doit aussi être validé?
* La qualité du test est sujette au « biais du programme » comment ca la été codée
* Impression de précision scientifique

50
Q

RAPPORT NARRATIF AUTOMATIQUE

A

Un programme informatisé interprète les résultats d’un test et rédige un rapport automatisé.
Exemple de rapport narratif automatique:
Score à l’une des compétences du Rapport sur les compétences du SuccessFinder

51
Q

VALIDATION DES RAPPORTS NARRATIFS : 2 méthodes

A

Méthode 1 et 2

52
Q

Méthode 1 de validation des rapports narratifs

A

§Comparer les similitudes des rapports « automatisés » à des rapports faits par des cliniciens/experts
§Méthode limitée par la « validité » d’interprétation du clinicien et des critères d’évaluations
- Ca fait penser a la méthode de fiabilité inter-juges (ordinateur comme un juges et cliniciens comme un autre juge)
- On regarde si ça va ensemble
- Limité par le jugement du clinicien
- Pour faire cette méthode la il faudrait soit prendre le meilleur clinicien ou plusieurs bons

53
Q

Méthode 2 de validation des rapports narratifs

A

§Les patients comparent leur rapport à un « faux » rapport et disent dans lequel ils se reconnaissent
§Problème au niveau de l’effet Barnum
- Si c’est trop général et que tout le monde peut s’identifier, ça va pas marcher
- Un autre problème est les patients qui manque d’introspection et qui ont une version d’eux-mêmes distordue

54
Q

EFFET BARNUM

A
  • Processus qui fait qu’un individu se reconnaît dans ce qu’il croit être la description globale ou générale de lui-même.
  • Un énoncé Barnum est un énoncé spécifique au sujet de la personnalité d’un individu, tellement général que la majorité des individus se reconnait dans celui-ci.
  • L’effet Barnum apparaît surtout lorsque les descriptions sont flatteuses ou positives.
55
Q

EFFET BARNUM Aussi appelé

A

« effet de validation subjective » ou « biais de validation personnelle »

56
Q

EFFET BARNUM exemple

A

ex. quand on lis notre horoscope et on se reconnait vraiment mais quand on lis aussi les autres horoscope on va se reconnaitre aussi vraiment

57
Q

LES RAPPORTS NARRATIFS

A
  • L’information au sujet de la validation de rapport narratif est relativement rare.
  • Les quelques études de validation démontrent que les rapports automatisés sont adéquats soit de manière globale OU pour la plupart de leurs parties
  • Toutefois, l’effet Barnum pose problème et vient modérer cette conclusion.
  • Habituellement, un psychologue doit signer ses rapports d’évaluation.
  • Dans le cas d’un rapport automatisé, ce n’est pas clair qui est responsable de l’interprétation ou de ses conséquences..
58
Q

L’AVENIR DES TESTS OBJECTIFS

A
  • Temps de réponse, on veux que ce soit rapides
  • Passation, correction et rapports « automatisés »
  • Temps d’utilisation du psychologue
59
Q

EXERCICE DE PROJECTION
Que voyez-vous sur cette image?

A
60
Q

EXERCICE DE PROJECTION
Que voyez-vous sur cette image?

A
61
Q

TECHNIQUES PROJECTIVES

Caractéristiques principales

A

§ Stimuli au sens ambigu, le sens n’est pas clair
§ Réponse construite
§ Cotation : longue et nécessite beaucoup le jugement
§ La plupart des tests projectifs ne requièrent pas d’habiletés de lecture
§ Les tests projectifs sont moins sensibles à la gestion des impressions

62
Q

TECHNIQUES PROJECTIVES Fondées sur …

A

L’hypothèse projective
« Si le stimulus d’un item est ambigu, la réponse du sujet sera déterminée par la dynamique de la personnalité »
NB. Connexion historique (mais pas nécessairement) avec l’approche psychanalytique

63
Q

À QUOI SERVENT LES TESTS PROJECTIFS ? Clinique vs Recherche

A

Clinique
Évaluation dans un contexte clinique et scolaire
Source d’information pour les hypothèses cliniques
Beaucoup de sondages confirment l’usage fréquent de ces tests
Recherche
Nombreuses recherches sur leurs caractéristiques psychométriques
Les tests projectifs servent souvent de critère dans des études sur des dimensions de la personnalité et du fonctionnement intellectuel

64
Q

Exemples TECHNIQUES PROJECTIVES

A

Rorschach Inkblot Test
Thematic Apperception Test (TAT)
Rotter Incomplete Sentence Blank (RISB)

65
Q

RORSCHACH But, Acteurs-clés et Conditions d’administration

A

But
* Évaluer le fonctionnement psychique d’une personne, le degré d’intégration de son identité, ses mécanismes de défense et sa tolérance au stress

Acteurs-clés
* Administrateur - exige une formation très approfondie car sinon il va dire des mauvaise conclusion
* Utilisateur – exige une formation très approfondie
* Concepteur – Hermann Rorschach était un psychiatre suisse

Conditions d’administration
* Durée généralement entre 45 et 90 minutes

66
Q

RORSCHACH Définition, Théorie, Critères choisis

A
  • Le fonctionnement psychique d’une personne inclut 7 dimensions
    Théorie
  • Influences psychanalytiques
    Critères choisis
  • Autres tests de personnalité
67
Q
  • Le fonctionnement psychique d’une personne inclut 7 dimensions :
A
  1. Perception interpersonnelle
  2. Perception de soi
  3. Capacité de contrôle et de tolérance au stress
  4. Affects
  5. Traitement de l’information
  6. Médiation cognitive
  7. Idéations
68
Q

RORSCHACH Type de test, Type d’items

A

Type de test
* Performance
* Individuel
* Normé
Type d’items
* 10 planches de carton rigide (15cm par 22cm)
* Taches d’encres bilatéralement symétriques
* Numérotées de I à X (10), les administrer dans l’ordre
* 5 achromatiques, 2 en noir, gris et rouge et 3 en couleurs

69
Q

RORSCHACH Administration 2 stades

A

Deux stades:
1. Stade des réponses :
« Qu’est-ce que ça pourrait être? »
« Faites comme vous voulez. »
« La plupart des gens voient plus d’une chose. »
2. Stade d’enquête :
« Montrez-moi où vous avez vu _______ »
* L’administrateur et le répondant sont assis côte à côte
* L’administrateur note tout le verbatim à la main
* L’administrateur note à la main toutes les réactions du répondant
(intonations, sens de la carte, soupirs, réactions particulières, temps de réponses)
* Matériel : Feuilles blanches, plusieurs crayons et feuilles de localisation

70
Q

RORSCHACH

Exemple fictif de planche

A
  1. « Je vais vous montrer des cartes sur lesquelles il y a des taches d’encre et je vous demande de me dire qu’e st-ce que ça pourrait être »
  2. « Maintenant que nous avons terminé la première partie du test, je veux être certain.e de bien voir ce que vous m’avez nommé, comme vous les voyez. Donc je vais relire chacune de vos réponses et vous allez pouvoir me dire qu’est- ce qui fait que ça ressemble à ça. »
71
Q

RORSCHACH

Cotation

A

§ Cinq systèmes différents créés entre 1937 et 1946: Beck, Klopfer, Hertz, Rapaport et Piotrowski
§ Chaque système a ses propres procédures d’administration et de cotation
* Certains systèmes sont contradictoires, d’autres parallèles
* § Ces procédures ne sont plus utilisées aujourd’hui, mais ont permis de créer le système intégré Exner, en 2003.
* John Exner a incorporé les caractéristiques les plus défendables et les plus fructueuses des cinq systèmes précédents

72
Q

RORSCHACH

Cotation Exner

A

Approche normative et standardisée
* N’est donc pas « projective » à proprement parler, car permet d’inférer des informations sur la personnalité du client grâce aux tendances retrouvées dans la population
Addition, pourcentages et ratios de réponses codées
* Normalisés à partir d’échantillons cliniques et non-cliniques
À la main ou à l’ordinateur
* (Bonne chance pour faire la cotation à la main!)
Nombre de réponses
* Protocole court : Au moins 14 réponses pour être interprétable
* Protocole long : 5 réponses par planche

73
Q

Cotation Exner :
Plusieurs éléments à coter

PAS BESOIN DE LA SAVOIR JUSTE LIS LE ET BYE

A

Localisation
* Toute la tache (W) ou une seule partie (D/Dd/S)?
* D = Très populaire, Dd = moins populaire, S = Blanc
Qualité développementale
* Objets de formes prédéfinies et en relation? (+, v/+, v, o)
Déterminants
* 9 catégories et 24 sous-catégories
* Forme, couleur, mouvement humain (M), mouvement animal (FM), mouvement d’objet inanimé (m), profondeur, reflet, impression tactile, etc.
Qualité formelle
* À quel point la forme est claire, congruente avec la tache (+, o, u, -)
Paires
Contenu
Popularité de la réponse

Niveau d’organisation, de complexité de la réponse (Z) Scores spéciaux
* Indice de trouble de pensée : Mort (MOR), Agressivité (Ag), Coopération (COP), etc. lorsqu’inhabituels

74
Q

Lis sur RORSCHACH

A
  1. Perception interpersonnelle
    * Comment la personne s’identifie aux autres
    * Niveau d’interactions avec les autres
    * Niveau d’intimité et de sécurité
    * Collaboration VS compétition
  2. Perception de soi
    * Estime personnelle
    * Attention sur soi
  3. Capacité de contrôle et de tolérance au stress
    * Ressources et habilités pour gérer son anxiété
  4. Affects
    * Comment la personne gère les expériences émotionnelles
  5. Traitement de l’information
    * Comment les personnes
    « focussent » leur attention
    * Organisation des perceptions
    * Ouverture à l’expérience
  6. Médiation cognitive
    * Perception de soi et du monde de manière réaliste
  7. Idéations
    * Comment les personnes pensent à leurs expériences
    * Logique? Cohérente? Flexible?
    * Stratégies de « coping »
75
Q

Cotation qualitative RORSCHACH

A

Une cotation « qualitative » est également possible (score z, des chiffres, etc = quantitatives)
* 4 grandes approches qualitatives
* Basées sur des éléments tels que le symbolisme, les types de personnages, d’animaux, d’objets, la rotation de la carte, la manipulation de la carte, les commentaires, le langage utilisé, la projection, la séquence, etc.
* Moins longue et donc largement utilisée en évaluation clinique
* Utilisation des thématiques selon les cartes
* Planche(s) associée(s) à l’agressivité
* Planche(s) associée(s) à la sexualité
* Planche(s) associée(s) à la féminité/maternité
* Planche(s) associée(s) à la dépression
* Il faut différencier entre :
* Ce qui est sollicité par la carte
* Ce qui est projeté par le sujet

76
Q

sur quoi on se base pour coté dans les tests de RORSCHACH

A

symbolisme, les types de personnages, d’animaux, d’objets, la rotation de la carte, la manipulation de la carte, les commentaires, le langage utilisé, la projection, la séquence, etc.

77
Q

Fiabilité et Validité RORSCHACH cotation EXNER

A
  • Controverses: des preuves de fiabilité et de validité allant dans tous les sens
  • Semblerait montrer de bons résultats lorsqu’utilisé avec le système d’EXNER
  • On essaye de rester critique mais on jete pas le bébé avec l’eau du bain
  • Est-ce que ca vaut vraiment la peine de faire ce test pour faire parler mon patient
78
Q

Utilité cotation EXNER

A
  • La cotation EXNER est très complexe, prend énormément de temps et requière de longues formations
  • L’administration standardisée est peu utilisée.
79
Q

Vrai ou Faux: Rorchach très populaire mais methode de exner moins

A

Vrai

80
Q

TAT : THEMATIC APPERCEPTION TEST (un autre test)

A

On va demander a la personne de raconter un histoire, pas juste ques ce qui voit

81
Q

TAT : THEMATIC APPERCEPTION TEST

But

A
  • Cerner les besoins
  • Mieux comprendre, à travers la création d’histoires, comment une personne se perçoit et perçoit les autres.
  • Comprendre la représentation des figures significatives, les liens familiaux et l’intégration de la personnalité.
82
Q

TAT : THEMATIC APPERCEPTION TEST

Acteurs-clés

A
  • Administrateur - exige une formation très approfondie
  • Utilisateur – exige une formation très approfondie
  • Bénéficiaire : 10 ans et +
  • Une version existe pour les enfants : Children Apperception Test (CAT)
  • Personnages humains remplacés par des animaux (car plus facile de se projeter dans des naimaux que dans des humains)
83
Q

TAT : THEMATIC APPERCEPTION TEST

Définition Apperception

A

Apperception = Interprétation que le sujet donne de sa perception en fonction de son vécu personnel
Besoins : reconnaissance, affiliation, accomplissement, autonomie, domination/soumission, compréhension/intellection, exhibition, agression, acquisition, ordre, jeu

84
Q

TAT : THEMATIC APPERCEPTION TEST

Théorie

A
  • Racines dans la théorie des besoins de Murray et al. (1938)
  • Par exemple, le besoin d’affiliation
  • Encore plus psychanalytique que le Rorschach
85
Q

TAT : THEMATIC APPERCEPTION TEST

Critères choisis

A
  • Autres tests de personnalité
86
Q

TAT : THEMATIC APPERCEPTION TEST

Administration

A
  • 30 planches
  • 29 avec une image ambiguë et 1 sans image
  • On y retrouve des personnages d’âges et de sexes différents dans des situations ambiguës
  • Planches pour des sous-groupes (par sexe et âge)
  • En général, on en choisit 12 à 16
  • Pas de planche obligatoire, mais certaines traditionnellement plus utilisées
  • Choix selon les enjeux que le thérapeute veut approfondir
  • Il y a des thématiques spécifiques pour chaque carte/image (p. ex. agressivité, besoin maternel). Ces thématiques ont été déterminées par des recherches cliniques
87
Q

TAT : THEMATIC APPERCEPTION TEST

Exemple de planche

A

« Je vais vous demander de me raconter une histoire. Je veux savoir ce qui se passe, ce que les gens font, pensent et ressentent. Comment c’est arrivé et comment ça va se terminer »

  • Verbatim des réponses
  • Encourager au début (mais pas tout le long)
  • Non-verbal du client ou de la cliente est également important
88
Q

TAT : THEMATIC APPERCEPTION TEST

Cotation : Grille de Morval en deux étapes

A

Grille de Morval en deux étapes
* Analyse horizontale
* 8 rubriques
* Chaque planche est composée d’un contenu latent et d’un contenu manifeste

* Analyse verticale
* Pour faciliter la synthèse générale qui suivra
* On dégage ce qui est redondant pour chaque rubrique dans l’analyse horizontale

* Synthèse générale
* On fait un résumé de ce qu’on a compris de la personne
* On essaie de comprendre les perceptions de la personne
* Important de tenir compte des spécificités du client et de son vécu.

89
Q

TAT : THEMATIC APPERCEPTION TEST

Apprendre c’est quoi les 8 rubriques de cotation

A
90
Q

TAT : THEMATIC APPERCEPTION TEST

Fiabilité

A
  • Gros problème: manque de consensus sur l’administration et le « scoring » du système
  • Laisse beaucoup de place à la subjectivité
91
Q

TAT : THEMATIC APPERCEPTION TEST

Validité

A
  • Quelques résultats positifs avec des construits bien définis
  • Par ex.: affiliation, agression, désir de réussir
  • Plusieurs évaluations négatives
92
Q

TAT : THEMATIC APPERCEPTION TEST

Utilité

A
  • Très utilisé, deuxième après le Rorschach
  • Déclin les dernières années
  • A déjà été plus utilisé que le Rorschach
93
Q

Vrai ou Faux: Ce serait faux de croire que l’ambiguïté porte automatiquement atteinte à la standardisation, la fiabilité et la validité.

A

Vrai

94
Q

Il n’y a pas de réelle ambiguïté…dans la tâche

A
  • On peut simplement dire que certaines tâches apparaissent habituelles alors que d’autres sont peu habituelles.
95
Q

Il n’y a pas de réelle ambiguïté…… dans les stimuli

A
  • On devrait dire des tests objectifs qu’ils ont des stimuli concrets alors qu’ils tendent à être plus abstraits dans les tests projectifs.
96
Q

Il n’y a pas de réelle ambiguïté…dans la forme des réponses :

A
  • Les tests objectifs imposent plutôt de fortes contraintes sur le format des réponses alors que les tests projectifs n’imposent que de faibles contraintes.
97
Q

Il n’y a pas de réelle ambiguïté…dans la manière de faire la cotation :

A
  • La cotation est soit standardisée ou peu standardisée et cette standardisation est appliquée adéquatement ou mal appliquée.
98
Q

Administration et cotation (« scoring ») Continuum des pratiques

A
99
Q

Vrai ou faux : Tous les tests comportent de l’erreur de mesure, principalement ceux dont l’administration et la cotation ne sont pas standardisés

A

Vrai

100
Q

Vrai ou faux: Lorsque des tests ne génèrent pas de scores clairs, la fiabilité est nécessairement facile à évaluer

A

Faux, Lorsque des tests ne génèrent pas de scores clairs, la fiabilité est nécessairement affaiblie et difficile à évaluer

101
Q

Sur le plan de la validité, il faut se demander :

A

Les inférences cliniques sont-elles effectuées à partir d’études de validité fondées sur la méthode « critère empirique » où les réponses données par des personnes « normales » sont comparées à d’autres provenant de populations « cliniques » ?

Dans les milieux publics principalement, peu de temps pour faire la cotation complète des tests projectifs. Souvent on va seulement en tirer les grandes lignes de manière qualitative.
* Ces tests ont une grande utilité clinique et donnent beaucoup d’informations au sujet des clients

102
Q

Pour être « objectif » face aux tests objectifs et projectifs

A
103
Q

L’AVENIR DES TESTS PROJECTIFS

A

§ Les tests projectifs sont enseignés dans la plupart des programmes et sont donc populaires
§ Il faut insister sur la rigueur nécessaire à l’application des principes de la Théorie classique (fiabilité et validité)
§ Déplacement important des « impressions holistiques » et des administrations informelles vers l’administration objective, et une cotation stricte