Cours 4 : Mémoire et TNC Flashcards
Vrai ou Faux
La mémoire sémantique a trait aux souvenirs contextualisés tandis que la mémoire épisodique a trait aux souvenirs décontextualisés
Faux !
C’est l’inverse.
Quels souvenirs suivants sont des exemples de mémoire épisodique :
A) Jimmy se souvient de son 4ème anniversaire où il est allé au parc d’attraction.
B) Pauline se souvient de la date d’anniversaire de sa boss
C) Louis essaye de se souvenir ce qu’il faisait quand il a perdu ses airpods
D) Ophélia se souviendra toute sa vie du jour où son chum l’a amené au concert de son groupe favoris.
E) Kilian s’est souvenu juste à temps de l’anniversaire de mariage de son partenaire !
F) Marie apprends par coeur le nom des premiers ministrres québecois.
Les réponses A, C et D
Quels souvenirs suivants sont des exemples de mémoire sémantique :
A) Jimmy se souvient de son 4ème anniversaire où il est allé au parc d’attraction.
B) Pauline se souvient de la date d’anniversaire de sa boss
C) Louis essaye de se souvenir ce qu’il faisait quand il a perdu ses airpods
D) Ophélia se souviendra toute sa vie du jour où son chum l’a amené au concert de son groupe favoris.
E) Kilian s’est souvenu juste à temps de l’anniversaire de mariage de son partenaire !
F) Marie apprends par coeur le nom des premiers ministrres québecois.
Les réponses B, E et F
Vrai ou Faux
Des déficits d’attention vont sûrement causer des déficits mnésiques
Vrai !
Quelles sont les 3 étapes du processus de mémoire ?
L’encodage
La consolidation de la trace mnésique
La récupération de l’info de la M Long T
Une personne souffrant d’amnésie antérograde :
A) N’arrive pas à accéder aux souvenirs avant sa blessure ou sa maladie
B) N’arrive pas à créer des nouveaux souvenirs après da blessure ou sa maladie
C) Un diagnostic d’Alzheimer non-avancé
D) A et C
E) Aucunes de ces réponses
La réponse A !
Pas toutes les personnes qui ont une amnésie antérograde ont forcément l’Alzheimer.
Mais les gens qui ont l’Alzheimer commencent tous par une amnésie antérograde.
À travers les années et les études, le rôle de l’hippocampe dans la mémoire a été controversé. De nos jours, ont associe l’hippocampe a :
A) La mémoire de travail
B) La mémoire épisodique
C) La consolidation de la trace mnésique
D) La mémoire sémantique
E) A et C
F) B et C
G) C et D
La réponse F !
On dit de la mémoire qu’elle est :
A) Modulable
B) Essentielle à l’identité
C) Reconstructive
D) Additive
Les réponses B et C
Vrai ou Faux
Lorsqu’on évalue des troubles neurocognitifs, on s’intéresse à ce que la personne ne savait pas faire et au fonctionnement antérieur.
Faux !
On s’intérèsse seulement au fonctionnement antérieur par rapport au fonctionnement actuel
Vrai ou Faux
Pour avoir un trouble neurocognitif majeur ou léger, il faut qu’il y ait une plainte du patient lui-même ou de son entourage même si la perturbation n’est pas documentée.
Faux !
Il faut que la perturbation soit documentée par des tests neuropsychologiques ou d’autres tests cliniques qui permettent de quantifier les perturbations.
Jocelynne remplit les critères d’un trouble neurocognitif majeur et elle dit avoir du mal à s’habiller et à se nourrir. Quel est son degré de sévérité ?
A) Léger, elle a du mal avec les activités instrumentales
B) Modéré, elle a du mal avec les activités instrumentales
C) Sévère, elle a du mal avec les activités de bases
D) Modéré, elle a du mal avec les activités de bases
E) Léger, ces déficits n’affectent pas de façon grave son quotidien
La réponse D !
Puisqu’elle a du mal avec les activités de base comme se vêtir et manger, elle a un trouble neurocognitif majeur à sévérité modéré.
Laurianne remplit les critères d’un trouble neurocognitif léger et elle dit avoir du mal à faire ses tâches ménagères comme d’habitude alors elle s’y prend différement. Quel est son degré de sévérité ?
A) Léger, elle a du mal avec les activités instrumentales
B) Sévère, elle a du mal avec les activités de bases
C) Rien, ces déficits n’affectent pas de façon grave son quotidien.
D) Modéré, elle a du mal avec les activités de bases
E) Léger, ces déficits n’affectent pas de façon grave son quotidien
La réponse C !
Le trouble neurocognitif léger n’a pas de degrés de sévérité. Les déficits de Laurianne n’affectent pas de façon grave son quotidien et elle utilise des stratégies compensatoires.
Gérard remplit les critères d’un trouble neurocognitif. Noël dernier, il avait du mal à parler mais c’était relativement correcte. Mais maintenant, il n’a presque aucune capacité langagière. Un IRM a montré qu’il avait de graves atteintes dans son lobe frontal et dans son lobe temporal. Quel serait son diagnostique ?
Trouble neurocognitif fronto-temporal avec Variant langagier !
Si on veut aller plus loin, on peut même dire que c’est une appelation probable.
Quels sont les critères pour avoir une appelation probable à une démence de type Alzheimer, choisir ceux qui s’applique :
A) Désinhibition du comportement
B) Preuve de déclin dans mémoire
C) Évidences génétiques
D) Déclin insidieux de la matière blanche sans plateau
E) Preuve de déclin dans un domaine autre que mémoire
F) Déclin progressive du langage sans plateau
G) Déclin continu sans plateau
H) Pas d’autres maladies qui pourrait expliquer déclin.
Les réponses : B, C, E, G et H
Vrai ou Faux
Le trouble du sommeil paradoxal a une forte valeur prédictive pour le trouble neurocognitif de la maladie de Parkinson
Faux !
Le trouble du sommeil paradoxal a une forte valeur prédictive pour le trouble neurocognitif à Corps de Lewy
Hélène remplit les critères d’un trouble neurocognitif. Depuis quelques mois, elle s’imagine voir des choses et se trouve souvent distraite. Elle perd un peu le fil et ce derniers jours, elle a du mal à contrôler ses muscles et n’arrête pas de tomber. Quel serait son diagnostique ?
Un trouble neurocognitif à corps de Lewy !
Si on veut aller plus loin, on dirait que c’est à appelation probable car elle présente 2 carac. centrales (hallucinations, fluctuations attentionnelles) et 1 carac. évocatrice (problème de contrôle moteur)