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Cours 4 : Approche cognitive cpmentale Flashcards

1
Q

Vrai ou faux. L’approche cognitive comportementale est l’approche qui a le plus de soutien empirique.

A

Vrai.

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Q

Décrivez brièvement chacune des vague de la TCC.

A

1ere vague : Thérapies comportements
2e vague : Thérapies cognitives
3e vague : Pleine conscience et thérapies d’acceptation (ACT)

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3
Q

La compréhension de la conceptualisation de la psychopathologie selon les thérapies comportement repose principalement sur quoi ?

Expliquez.

A

Théorie de l’apprentissage.
Les cpts peuvent être appris et désappris selon la manière dont ils sont influencés.

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4
Q

La compréhension des thérapies comportementales de 1ere vague repose sur quoi ?

Expliquez.

A
  1. La théorie de l’apprentissage
  2. Dans le processus d’apprentissage : avoir ou non certains cpts (environnement influence). Ce processus s’applique pour les cpts fonctionnels et dysfonctionnels
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5
Q

Quels sont les deux modèles influents dans la théorie de l’apprentissage ?

A
  1. Conditionnement classique : contrôler le cpt par ses antécédents
  2. Conditionnement opérant : contrôler le cpt par ses conséquences
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6
Q

Comment les thérapies comportementales qualifient un comportement, par exemple, violent ?

A

Inadapté. Il ne sera pas dit “sain ou pathologique”.

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7
Q

Quels sont les critères qualitatifs pour l’altération du fonctionnement d’un individu ?

A
  1. Fréquence
  2. Intensité
  3. Conséquences (les cpts peuvent être exessifs ou déficitaires)
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8
Q

EXAMEN

Quels sont les trois phénomènes liés au conditionnement classique ?

A
  1. Extinction
  2. Généralisation
  3. Discrimination
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9
Q

EXAMEN

À quel phénomène associe-t-on la définition qui suit:
Diminution graduelle d’une RC quand elle n’est plus accomp du SC : arrêt de la réponse.

A

Extinction

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10
Q

À quel phénomène associe-t-on la définition qui suit:
RC générée par SC peut être déclenchée par d’autres stimuli semblables.

P. ex., généraliser tous les sons de métronomes.

A

Généralisation.

Avec d’autres stimulus similaires à celui au SC.

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11
Q

EXAMEN

À quel phénomène associe-t-on la définition qui suit:
Il s’agit de l’inverse de la généralisation. Le SC original occasionne la RC à condition qu’elle soit pairée.

A

Discrimination.

Rester uniquement avec ce qui a été pairé.

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12
Q

Comment pouvons-nous modifier le comportement elon le conditionnement opérant ?

A

RENFORCEMENT (présentation stimulus déplaisant ou plaisant)

PUNITION (positif ou négatif)

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13
Q

Comment détermine-t-on s’il s’agit d’un renforcement ou d’une punition ?

A

Selon l’effet que cela a eu.
Chicaner un enfant peut être un renforcement, s’il estime que cela lui permet d’avoir de l’attention et si cela répond à l’un de ses besoins : l’enfant recommencera pour avoir à nouveau de l’attention.

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14
Q

Expliquez ce qu’est l’apprentissage vicariant.

A

Modification d’un comportement dans le but d’imiter un modèle (c.-à-d., apprentissage par imitation).
- Renforcement ; punition
- Modelage en thérapie
- Interaction entre l’individu et l’environnement : nous choisissons ce que nous regardons, par exemple

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15
Q

Qu’est-ce que le façonnement ?

A

Chaîne de comportements qui se rapprochent de plus en plus du comportement désiré, on renforce chacune des composantes à tour de rôle.
- Renforcement présent au cours des étapes ; graduel

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16
Q

L’apprentissage vicariant et le façonnement correspondent à quelle théorie ?

A

De l’apprentissage social

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17
Q

Comment les thérapies cognitives conceptualise la psychopathologie ?
Indiquez d’abord à quelle vague font référence ces thérapies ; quelle est la source de la psychopatho et nommez qu’elles sont les causes des comportements et des émotions.

A
  1. 2e vague
  2. La source de la psychopathologie repose sur les cognitions inadaptées et croyances erronées qui sont généralement automatiques et bien enracinées.
  3. Causées par les pensées ou la perception.
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18
Q

Selon les thérapeutes qui adhèrent aux thérapies de 2e vague, comment pouvons nous diminuer les émotions / cpts dysfonctionnels et la détresse ?

A
  1. L’individu doit prendre conscience de ses pensées irréalistes et doit les changer (c.-à-d. de penser de manière plus adaptative et rationnelle)
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19
Q

Vrai ou faux. Les comportements et les émotions sont causés par les événements pour les thérapeutes de 2e vague.

A

Faux. Causés par les pensées ou la perception.

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20
Q

Complétez le modèle ABC et fournissez un exemple.

En quoi ce modèle est pertinent en intervention ?

A

Voir diapo 11 pour le modèle complet.
A : Événement activateur (Aspects pertinents de la situation)
B : Croyances (pensées, perceptions, hypothèses face à A)
C : Conséquences (réponse émotionnelle ou comportementale)

EXEMPLE :
A : Conjoint ne répond plus.
B : Je perçois qu’il fait exprès et que cela est intentionnel.
C : J’exprime de la colère, je monte le ton, etc.

PERTINENCE EN INTERVENTION :
Montrer que nous n’avons pas de contrôle sur tout, mais sur son interprétation et sur nos réponses émotionnelles/comportementales.

21
Q

Qui est à l’origine du modèle cognitif ?

A

Beck

22
Q

Quelles sont les 4 notions principales du modèle cognitif ?

A
  1. Schémas et croyances fondamentales
  2. Croyances intermédiaires
  3. Processus cognitifs
  4. Événements cognitifs
23
Q

Dans les schémas et les croyances fondamentales du modèle cognitif :
1. De quoi découlent les schémas
2. Si un schéma est dysfonctionnel, quelle est la conséquence
3. À quoi fait référence les croyances fondamentales
4. À quoi fait référence les croyances irréalistes majeures ; donnez un exemple.

A

1. De quoi découlent les schémas : des influences de la bio (tempérament) et de l’environnement (parent et société)
**2. Si un schéma est dysfonctionnel, quelle est la conséquence ? : **le schéma déforme la réalité et déclenche des réactions innapropriées.
3. À quoi fait référence les croyances fondamentales : croyances absolues au sujet de soi, des autres et du monde.
4. À quoi fait référence les croyances irréalistes majeures ; donnez des exemples : croyances chez l’individu qui peuvent être regroupées dans un thème commun, comme l’acception ou le sentiment de manque de contrôle

24
Q

Indiquez la croyance irréaliste majeure associée à l’énoncé qui suit.

Lorsque les personnes se conduisent mal ou sont injustes, il est justifié de les considérer comme des personnes méchantes et mauvaises, et elles doivent être sévèrement blâmées et punies pour leur méchanceté.

A

Penser que les gens sont fondamentalement mauvais.

25
Q

Indiquez la croyance irréaliste majeure associée à l’énoncé qui suit.

Il est plus facile de fuir les difficultés de la vie et d’échapper à ses responsabilités que d’y faire face.

A

Évitement.

26
Q

Indiquez la croyance irréaliste majeure associée à l’énoncé qui suit.

Je dois être aimé, approuvé et admiré par presque toutes les personnes importantes de ma vie, et si je ne le suis pas, c’est terrible et inacceptable.

A

Acceptation.

27
Q

Quelles sont les trois facettes des croyances intermédiaires ?

A
  1. Présomptions
  2. Règles
  3. Attitudes
28
Q

À quel concept fait référence l’énoncé qui suit ?

Instructions plus ou moins impératives qui dictent le comportement à adopter à la personne, à son entourage ou au monde en général (« Je dois… », « On doit… »)
Les individus avec un même pathologie ont généralement un ensemble de règles assez similaires

A

Règles.

29
Q

À quel concept fait référence l’énoncé qui suit ?

Hypothèses ou conditions découlant directement d’une croyance fondamentale et impliquent des conséquences implicites (« Si…, alors… »)
Le client les perçoit généralement comme une certitude plutôt que comme une hypothèse

A

Présomption

30
Q

À quel concept fait référence l’énoncé qui suit ?

Façons plus ou moins identiques ou stéréotypés de réagir à certaines situations ou à certains événements de la vie courante ayant activé des croyances fondamentales (se manifeste généralement par des émotions dramatiques; p. ex. ce serait horrible, catastrophique, épouvantable, etc.)

A

Attitudes.

31
Q

Dans le modèle cognitifs, quels sont les éléments les plus ancrés ?

A

Shémas et croyances fondamentales.

32
Q

Comment appelons-nous les processus cognitifs biaisés ?

A

Distorsions cognitives ou erreurs de logique.

33
Q

Quels sont les deux types de processus cognitifs ?

A
  1. Déductions sans preuve
  2. Généralisations
34
Q

Expliquez ce qu’est un raisonnement émotif.

A
  1. C’est un processus cognitifs (modèle cognitif)
  2. C’est le fait de s’appuyer sur des émotions comme preuves pour en arriver à une conclusion
35
Q

Expliquez ce qu’est une personnalisation.

A
  1. C’est un processus cognitif (modèle cognitif)
  2. C’est d’avoir un sentiment impliqué, à tort, dans une situation ou un événement. C’est de ramener les choses à soi dans une situation qui n’est pas vers soi (p.ex., entendre des gens chuchoter dans un corridor et penser qu’ils parlent de soi)
36
Q

Expliquez ce qu’est la lecture des pensées d’autrui.

A
  1. C’est un processus cognitif (modèle cognitif)
  2. C’est d’attribuer à autrui des pensées, opinions et intentions sans raisons suffisantes et sans vérifier la justesse
37
Q

Expliquez ce qu’est une dramatisation.

A
  1. C’est un processus cognitif (modèle cognitif)
  2. C’est de voir l’ensemble d’une situation sous un angle exagérément pessimiste, inquiétant ou même catastrophique. (p.ex., couler un examen et penser que cela nous empêchera d’avoir un emploi)
38
Q

Expliquez ce qu’est la disqualification du positif.

A
  1. C’est un processus cognitif (modèle cognitif)
  2. C’est de sous estimer son rôle dans un événement positif ou de minimiser l’importance de l’événement.
39
Q

Qu’est-ce que la pensée tout ou rien ?

A
  1. Processus cognitif
  2. Pensée en terme de tout ou rien, de noir ou blanc, sans nuance
40
Q

Quel est le processus cognitif :
Évaluer sa propre personne ou autrui sur la base de comportements isolés ou caractéristiques partielles.

A

Jugement global sur la valeur personnelle.
=> Mettre étiquette sur qql après un événement

41
Q

Quelles sont les deux catégories de pensées ?

A
  1. Pensées contrôlées : discours interne - ce dont on a accès. Rfléchir consciemment à un problème.
  2. Pensées automatiques : pensées qui émergent sur le coup ; inconsciemment : on ne veut pas y penser nécesssairement.
42
Q

Décrivez ce que sont des événements cognitifs.

A

Ce sont des structures cognitives supervificielles qui se présentent sous la forme de pensées ou d’imagines mentales provenant du traitement de l’information.

43
Q

Modèle cognitif appliqué à une situation clinique : la dépression majeure

A

Voir diapo 19.

44
Q

sur quoi se concentrent les thérapies de 3e vague ?

A

Sur la fonction contextuelle de la cognition et d’autres phénom, comme les sentiments, les couvenirs et les sensations corporelles, par rapport au contenu et la fréquence de ces phénomènes.

45
Q

Qu’est-ce qui est important pour les thérapies de 3e vague ?

A

Contexte et fonctions des phénom. psychologiques.

46
Q

Par quoi la psychopatho est caractérisée pour les thérapies de 3e vague ?

A

Nature restrictive, rigide et déséquilibrée des répertoires comportementaux.

Ces répertoires sont caractérisés par
* Déficits comportementaux
* Excès des répertoires comportementaux (évitement expérientiel, dysrégulation émotionnelle et rumination)

Ce qui est de la psychopatho : rigidité dans les stratégies.

47
Q

Quels sont les styles de réponse associés à une meilleure santé psychologique (TCC de 3e vague) ?

A
  1. Centrés : se centrer sur ce qui se passe dans le moment présent et prendre des choix conscients
  2. Ouverts : accepter les pensées et les émotions en les accueillant.
  3. Engagés : est-ce que cela est congruent avec moi ?
48
Q

Quels sont les répertoires comportementaux associés à la psychopatho (TCC 3e vague) ?

A
  1. Évitement expérientiel : ne pas accepter les pensées et les mettre de côté
  2. Dysrégulation émotionnelle : amplifications des émotions
  3. Rumination : être dans le passé ou le futur ; pas axé dans le moment présent
49
Q

Quelles sont les modalités d’évaluation ?

A

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