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Santé mentale et enjeux de l'évaluation > Cours 3 - Troubles de l'enfance > Flashcards

Cours 3 - Troubles de l'enfance Flashcards

1
Q

Quels sont les troubles neuro-développementaux que nous avons vue dans les troubles de l’enfance?

3 troubles

A
  1. Trouble du déficit de l’attention/hyperactivité (TDAH)
  2. Trouble du développement intellectuel
  3. Trouble du spectre de l’autisme
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2
Q

Quelles sont les caractéristiques essentielles du TDAH?

A
  1. Présent dans la plupart des cultures
  2. Mode persistant d’inattention et/ou d’hyperactivité/ impulsivité qui interfère avec le fonctionnement ou le développement.
  3. Trouble qui débute à l’enfance, soit avant 12 ans.
  4. Les manifestation du trouble doivent être présente dans plus d’un contexte.
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3
Q

Comment se caractérise l’inattention dans le TDAH?

4 aspects

A
  • Distractibilité
  • Manque de persévérance
  • Mal à soutenir son attention
  • Le fait d’être désorganiser

C’est la composante cognitive du trouble.

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4
Q

Comment se présente l’hyperactivité chez une personne atteinte d’un TDAH?

A

Activité motrice excessive dans des situations où cela est inapproprié, ou excès de «bougeotte», de tappotements des doits ou de bavardage. C’est une composante comportemental du trouble.

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5
Q

Comment se caractérise l’impulsivité chez une personne atteinte d’un TDAH? Donnez en un exemple.

A

Actions précipitées survenant dans l’instant sans réflexion sur leurs possibles conséquences et avec un grand risque de causer du tord au sujet. C’est une composante comportemental du trouble.
Par exemple : un enfant qui se précipite dans la rue sans regarder.

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6
Q

Nommez 3 comorbidités du TDAH avec d’autres troubles psychiatriques.

A
  1. Trouble oppositionnel avec provocation
  2. Troubles de conduites
  3. Trouble de la personnalité antisocial
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7
Q

Vrai ou faux

Le TDAH est à caractère héréditaire et certains facteurs environnementaux, tel qu’une mère qui fume la cigarette durant la grosses, augmente le risque que l’enfant développe un TDAH.

A

Vrai

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8
Q

Vrai ou faux

Il n’y a pas de lien à faire entre le trouble de personnalité antisocial et les symptômes de TDAH chez les personne délinquante.

A

Faux

Personne délinquante + TDAH = 10x plus de chance d’avoir une personnalité antisocial

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9
Q

Quelle est la dimension sous-jacente commune entre la faible maitrise de soi et le TDAH?

A

l’impulsivité

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10
Q

Expliquez comment la théorie du self-control de Gottfredson et Hirschi peut être appliquée au personne avec un TDAH pour comprendre le comportement criminel.

A

La théorie du self-control propose que les individus ayant un faible autocontrôle et une incapacité à inhiber les impulsions, sont plus susceptibles d’adopter des comportements criminels. Le TDAH, avec son symptôme d’impulsivité, partage cette caractéristique de faible maîtrise de soi, ce qui peut augmenter le risque de comportement criminel.

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11
Q

Comment se caractérise les liens entre toxicomanie et TDAH?

A

Les liens entre toxicomanie et TDAH sont complexe. Certains trouvent des liens entre les deux et d’autres non. Parmis eux, certains disent que le TDAH augmente le risque d’avoir des troubles de dépendance.

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12
Q

Quels sont les résultat de l’étude Profil et résultats des délinquants souffrant de TDAH, faite en 2010, par Usher et al..?

4 résultats

A
  1. Plus susceptibles d’avoir des problèmes de toxicomanies et autres problèmes de santé mentale.
  2. Plus susceptibles d’être réincarcérés après 6 mois et 1 an
  3. Plus forte probabilité d’infractions disciplinaires en détention
  4. Plus susceptibles d’être incarcérés pour vol qualifié, mais moins susceptibles d’être incarcérés pour trafic de substance.
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13
Q

Pour quelle raison les personnes au prise avec un TDAH sont plus susceptible d’être incarcérés pour vol qualifié, mais moins susceptible d’être incarcérés pour trafic de substances?

A

Parce que pour commettre un vol qualifié, la personne à besoin d’une moins grande planification, tandis que le trafic de substance à besoin d’une plus grane planification. Le vol qualifié est plus relié à l’impulsivité et la faible maitrise de soi.

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14
Q

Choix de réponse

Identifiez de quel trouble il s’agit.

Les caractéristiques principales sont un déficit général des capacités mentales et un trouble du fonctionnement adaptatif quotidien, par rapport à des sujets comparables en âge, genre et niveau socioculturel.

a) Trouble du déficite d’attntion/hyperactivité
b) Trouble du spectre de l’autisme
c) Trouble neuro-développementaux
d) Handicap intellectuel
e) Trouble du retard intellectuel

A

d) Handicap intellectuel

Aussi appelé : Trouble du développement intellectuel

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15
Q

Vrai ou faux

Les différents niveaux de sévérité de l’handicap intellectuel sont défénis sur la note au QI.

A

Faux

Les différents niveaux de sévérité sont définis sur la base du fonctionnement adaptatif et non plus sur la note au QI, parce que c’est le fonctionnement adaptatif qui détermine le niveau d’assistance requis

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16
Q

À quel moment apparait le trouble du développement intellectuel et à quel moment peut-il être identifié.

A
  1. Le retard apparait durant les 2 premières années de vie.
  2. Le retard peut être identifié pendant les 2 premières années chez les sujets porteurs du handicap mental le plus sévère,
  3. Des handicaps plus légers peuvent ne pas être identifiés avant l’âge scolaire (primaire), quand les difficultés d’apprentissage deviennent apparentes
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17
Q

Nommez 3 comorbidités de l’handicap intellectuel avec d’autres troubles psychiatriques.

A
  1. TDAH
  2. Troubles dépressif
  3. Troubles bipolaires
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18
Q

À l’exception des troubles psyciatriques, nommez une comorbidité de l’handicap intellectuel avec une autre condition.

A

Mouvement stéréotypés (avec ou sans automutilations)

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19
Q

Quelles sont les caractéristiques essentielles du trouble du spectre de l’autisme (TSA).

2 aspects

A
  1. Des déficits persistants de la communication sociale réciproque et des interactions sociales
  2. Le mode restreint et répétitif des comportements, des intérêts et des activités.
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20
Q

Que signifie avoir des déficites persistants de la communication sociale réciproque, chez une personne TSA?

A

La personne a des atteinte dans sa capacité de délivrer le message à l’autre et qu’il le comprenne, mais aussi que l’autre lui communique de l’information qu’il comprenne.
La personne a de la difficulté à décoder les signaux de l’autre
Aussi possible écholalie : trouble du langage faisant en sorte qu’il vont répéter la fin des phrases de l’autre.

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21
Q

Que signifie le mode restreint et répétitif chez une personne TSA?

A

La personne TSA peut être très routinière. Un simple petit changement dans sa routine peut venir grandement l’affecter. La personne TSA est générallement très rigide aux changements.

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22
Q

Les manifestations du troubles du spectre de l’autisme varient de manière importante en fonction de quatres apsects. Quels sont-ils?

A
  1. Le degré de sévérité du trouble
  2. Le niveau de développement
  3. L’âge chronologique
  4. Le terme de spectre
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23
Q

Chez les adultes TSA, n’ayant ni déficit intellectuel ni retard de langage, les déficits de la réciprocité socio-émotionnelle peuvent se traduire par quoi?

Nommez également le syndrôme associer.

A
  1. Des difficultés à analyser et répondre à des situations sociales complexe.
  2. Asperger :

Les personne asperger vont quand même garder une difficulté sociale: Communication plus difficile.
Le décodage va rendre les choses moins fluides (ex : fronce les sourcils = est fâché)

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24
Q

Nommez une observation comportementale et une observation des intéractions qui est possible d’observer par rapports au stade de développement d’un enfant TSA.

A
  1. Comportemental : ne va pas pointer du doigt
  2. Sociale : Difficulté à partager ses jouets
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25
Q

Nommez trois comorbidité entre le TSA et d’autres troubles psychiatriques.

A
  1. Déficit intellectuel
  2. Troubles structurels du langage
  3. Trouble de l’apprentissage
26
Q

À l’exception des troubles psychiatriques, nommez une comorbidité possible entre le TSA et d’autre conditons.

A

Épilepsie

27
Q

Choix de réponses

Parmis les différents troubles de l’enfance, lesquels sont des troubles disruptifs?

a) Trouble des conduites
b) Trouble oppositionnel avec provocation
c) Pyromanie
d) Trouble explosif intermittent
e) Kleptomanie

A

b) Trouble oppositionnel avec provocation
et
d) Trouble explosif intermittent

28
Q

Choix de réponses

Parmis les différents troubles de l’enfance, lesquels sont des troubles du contrôle des impulsions?

a) Trouble des conduites
b) Trouble oppositionnel avec provocation
c) Pyromanie
d) Trouble explosif intermittent
e) Kleptomanie

A

c) Pyromanie
et
e) Kleptomanie

29
Q

Comment se caractérise, de manière générale, les troubles disruptifs, du contrôle des impulsions et des conduites?

3 aspects

A
  1. Difficultés au niveau de l’autocontrôle des émotions et des comportements
  2. Ces difficultés se traduisent par des comportements qui nuisent aux droits d’autrui et/ou qui exposent la personne à des conflits importants avec les normes sociales ou les personnes en positions d’autorité.
  3. Troubles qui ont tendance à débuté dans l’enfance ou l’adolescence
30
Q

Qu’est-ce qui est crucial de considérer lorsqu’il est question des troubles disruptifs, du contrôle des impulsions et des conduites?

4 aspects

A
  1. La fréquence dans les situations
  2. La présence dans les situations
  3. L’omniprésence dans les situations
  4. L’altération associée aux comportements indicatif du diagnostic

Le tout en relation avec les normes pour l’âge, le genre et la culture pour une personne donnée

31
Q

À quel trouble l’énoncé suivant fait-il référence?

Ensemble fréquent et persistant d’une humeur colérique/ irritable, d’un comportement querelleur/ provocateur ou d’un esprit vindicatif.

a) Trouble des conduites
b) Trouble oppositionnel avec provocation
c) Pyromanie
d) Trouble explosif intermittent
e) Kleptomanie

A

b) Trouble oppositionnel avec provocation

32
Q

Vrai ou faux

Les symptômes du troubles oppositionnel avec provocation (TOP) se manifestent impérativement dans plusieurs contexte.

A

Faux

Les symptômes du trouble peuvent être confinés à un seul contexte, le plus fréquemment le domicile. Lorsque sévère, plusieurs contextes possible.

33
Q

Le trouble oppositionnel avec provocation apparaît généralement à quelle âge?

A

Apparaît généralement à l’âge préscolaire et rarement après le début de l’adolescence

34
Q

Vrai ou faux

Le TOP est uniquement héréditaire et l’environnement ne peut jouer un rôle dans le développement de celui-ci chez un enfant.

A

Faux

Le trouble peut effectivement être héréditaire, mais l’environnement joue également un grand rôle.
P. ex : Souvent, des parents qui ont certains problèmes, tels que de consommation, cela met plus à risque les enfants de développer ce trouble.
P. ex : Lorsqu’il a un enfant dans la fraterie qui a le trouble, il y a un risque que les autre l’aille aussi.

35
Q

Choix de réponses

Parmis les énoncés suivants, lequels ne peut être directement associé au TOP :

a) Rigidité
b) Colère
c) Projection
d) Interprétation négative des émotions chez l’autre
e) Esprit vindicatif
f) Timidité
g) Toutes ces réponses
h) aucune de ces réponses

A

f) Timidité

36
Q

Nommez deux comorbidités du TOP avec d’autres troubles psychiatriques.

A
  1. TDAH
  2. Précède souvent le trouble des conduites

  1. TDAH : puisque vue comme le perturbateur du groupe, cela peut donc apporter ce trouble de l’opposition
  2. Souvent ce trouble de l’opposition est vu comme une forme moins sévère du trouble des conduites
37
Q

Nommez une comorbidité possible avec le TOP et d’autres conditions.

A

Problèmes dans les relations

38
Q

À l’exception du trouble des conduites, quel trouble de santé mental chez les jeunes est associé à un plus hauts risques de délinquance comparativement aux autres troubles de santé mentale.

A

Trouble oppositionnel avec provocation

39
Q

Quel type d’influence le trouble oppositionnel avec provocation (TOP) exerce-t-il sur le comportement criminel et la récidive chez les jeunes ?

Donnez un exemple.

A

L’influence du TOP serait sexe-spécifique. Les garçons auraient tendance à avoir des comportements plus agressifs, tandis que les filles tendent vers des comportements moins violents.
Garçon = plus de conflits physiques
Fille = fugue, comportements sexuels à risques.

40
Q

Vrai ou faux

Le TOP aurait tendance à devenir plus sévère avec le temps et évolue généralement vers un trouble des conduites dans la plupart des cas.

A

Faux

Le TOP aurait tendance à devenir moins sévère avec le temps, mais peut dans certains cas évoluer vers un trouble des conduites

41
Q

Quel est un des facteurs importants afin d’éviter la trajectoire criminelle d’un jeune présentant un trouble oppositionnel avec provocation et quelles sont les cibles d’intervention qui peuvent significativement améliorer le pronostic?

A
  1. Un facteur important serait la prise en charge précoce
  2. Les interventions au niveau familiale comme les habiletés parentales et les habiletés de résolutions de problème de l’enfant (approche systémique)
42
Q

Quelle est la différence entre le trouble oppositionnel avec provocation et le trouble des conduites?

A

La différence majeure entre le TOP et le trouble des conduites est que le trouble des conduites affecte pas mal toute les contexte et que contrairement au TOP, le trouble des conduites fait toujours des liens avec une trajectoire criminelle.

43
Q

Quelles sont les caractéristiques essentielles du trouble des conduites ?

6 aspect

A
  1. Ensemble de conduites répétitives et persistanes, dans lesquels sont bafoués les droits fondamentaux d’autrui ou les normes et règles sociales correspondant à l’âge du sujet.
  2. Tendance à interpréter à tort les intentions d’autrui comme hostiles et menaçantes, et à considérer leur réaction agressive comme justifiée
  3. Lorsque développement à l’enfance = généralement des garçons
  4. Violence physique qui peut aller jusqu’au viol, aux coups et blessures et, dans de rares cas, jusqu’à l’homicide
  5. Comportements surviennent habituellement dans des contextes variés
  6. Tendance à minimiser leur problèmes.
44
Q

Que peut-on dire sur le développement du trouble des conduites à l’enfance, qui est généralement chez les garçons?

3 aspects

A
  1. Plus il survient tot, plus c’est facteur de mauvais pronostic
  2. Souvent agressifs physiquement et mauvaises relations avc leurs pairs
  3. probabilité plus élevé de persistance du trouble à l’âge adulte et d’évolution vers une trajectoire criminelle
45
Q

Nommez deux comorbidités du trouble des conduites, à l’enfance, avec d’autres troubles psychiatriques.

A
  1. Trouble oppositionnel avec provocation
  2. TDAH
46
Q

Parmis les comorbidité possible avec le trouble des conduites, nommez un facteur de risque un trouble à l’âge adulte.

A

Trouble de la personnalité antisociale

47
Q

Parmis les troubles vue de l’enfance, lequel est le meilleur prédicteur du trouble de personnalité antisociale à l’âge adulte?

A

Le trouble des conduites

48
Q

Quelle est la caractéristique centrale du trouble explosif intermittent?

A

La caractéristique centrale est l’échec du contrôle des comportements agressifs impulsifs en réponse à une provocation subjective qui n’aboutirait pas typiquement à un épisode explosif agressif.

49
Q

À quel trouble de l’enfance la situation suivante s’apparente :

Alex est une personne très irritable qui réagit de manière excessive aux contrariétés mineures, comme une remarque anodine d’un collègue. Lorsqu’il se sent légèrement agacé, il peut passer rapidement à l’agressivité verbale, lançant des insultes, ou même devenir physiquement menaçant, sans raison apparente ni but derrière son excès de colère. Ses accès de rage, qui semblent disproportionnés par rapport à la situation, inquiètent ses amis et sa famille.

A

Trouble explosif interminttent

50
Q

Comment se présentent les accès agressifs impulsifs dans le trouble explosif intermittent?

3 aspects

A
  1. Les accès agressif impulsifs (ou de colère) surviennent rapidement et, spécifiquement. Il y a après peu ou pas de période prodomique (pas de signe précurseur avant le Sx)
  2. Les accès durent typiquement moins de 30 minutes
  3. Les accès surviennent en réponse à une provocation mineur par une personne proche ou intime
51
Q

À quelle moment se développe généralement le trouble explosif intermittent ?

A

Souvent à la fin de l’enfance ou au début de l’adolescence

52
Q

Comment peut-on caractérister l’évolution du trouble explosif intermittent?

A
  1. Présente une évolution chronique et persistante sur de nombreuse années.
  2. La phase la plus sévère est 30-35 ans.
  3. Après 50 ans, diminue.
53
Q

En ce qui concerne les comorbidité en lien avec le trouble explosif intermittent, nommer un aspect pour chacune des catégories suivantes :

a) D’autres troubles psychiatriques
b) Rententissement sur les sphères
c) Semble indépendant des troubles tels que..

A

a) Troubles dépressifs
b) Impact sur toutes les sphères (sociales, financière, etc.)
c) TDAH : il est possible d’avoir les deux, mais il n’y a pas de lien statistique entre eux.

54
Q

Quelles sont les caractéristiques essentielles de la pyromanie?

5 aspects

A
  1. Le fait de mettre plusieurs fois le feu de manière délibérée et réfléchie
  2. Il y a une fascination, un intérêt, une curiosité ou une attiruance pour le feu et pour tout ce qui s’y rapporte
  3. Ces personnes éprouvent une tension ou une excitation émotionnelle avant l’acte, et ressentent du plaisir, de la gratification ou du soulagement en allumant des incendies, en les contemplant ou en participant aux événements qui en résultent.
  4. Le feu n’est pas allumé pour un bénéfice quelconque ou pour nuire à autrui.
  5. L’allumaque des incendies est épisodique.
  6. Plus présent chez les personnes de sexe masculin.
55
Q

Vrai ou faux

Une personne pyromane peut allumer un incendie pour se venger de son ex-petite amie, et il en ressentira de l’excitation, du plaisir et une forte gratification lorsqu’il allumera le feu et le contemplera.

A

Faux

Bien qu’une personne pyromane ressente effectivement de l’excitation, du plaisir et une gratification lorsqu’il allume un feu ou le contemple, celui-ci n’allume pas de feu pour exprimer de la vengance. Il n’y a aucun bénéfice associer à l’allumage d’un feu.

56
Q

Nommez deux comorbidité de la pyromanie.

A
  1. Trouble de l’usage d’une substance
  2. Jeu d’argent pathologique
57
Q

Quelle est la caractéristique essentielle de la kleptomanie?

A

La caractéristique essentielle de la kleptomanie est l’impossibilité répétée de résister à l’impulsion de voler des objets qui ne sont dérobés ni pour l’usage personnel ni pour leur valeur commerciale.

58
Q

Qu’est-ce que ressent une personne kleptomane avant de passer à l’acte et au moment de passer à l’acte ?

A
  1. Avant de commettre le vol, la personne éprouve une sensation croissante de tension
  2. Au moment de passer à l’acte, la personne éprouve du plaisir, de la gratification ou du soulagement
59
Q

Vrai ou faux

Le risque de se faire prendre pour une personne atteinte de kleptomanie n’aura pas d’impact sur son choix de passer à l’acte ou non. L’envie est plus forte que les conséquences.

A

Faux

Ces personne ne vont généralement pas voler quand elle risquent de se faire prendre et d’être arrêtées sur le champ.

60
Q

Qu’est-ce qu’un kleptomane fait généralement avec les objets, après le vol ?

3 aspects

A
  1. Ils sont souvent donnés ou abandonnés
  2. Le sujet thésaurie parfois les objets (les accumule comme des trésors)
  3. Les remette parfois à leur place en cachette
61
Q

Comment est vécu l’impulsion de voler chez les sujets kleptomanes.

A

Les sujets klelptomanes ressentent l’impulsion de voler comme non syntone avec le moi et son conscient qu’il s’agit d’un acte inutile et répréhensible.
En d’autres mots, Ils ne sont pas bien avec cela puisque ce n’est pas en accord avec leur valeurs et ils sont conscients que le vol est mal, mais c’est plus fort qu’eux. Cela leur crée donc de la détresse.

62
Q

Nommez trois comorbidités de la kleptomanie.

A
  1. Achats impulsifs
  2. Troubles dépressifs
  3. Troubles anxieux

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