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AUD-6001 Psychoacoustique > Cours 3 > Flashcards

Cours 3 Flashcards

1
Q

Qu’est-ce que le dé-masquage?

A

Capacité à isoler un élément dans un ensemble de stimuli. Débruiter l’information.
Phénomènes centraux et périphériques.

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2
Q

Qu’est-ce que l’effet cocktail party?

A

Capacité à se concentrer sur une conversation dans un environnement bruyant. Filtrer les bruits de fond pour se focaliser sur une voix spécifique.
Plusieurs sons sont en compétition.

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3
Q

Sans masque, le vibreur osseux permet une détection par …

A

la meilleure cochlée

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4
Q

Le masquage permet …

A

la réduction de la perception d’un signal en présence d’un bruit.
Le masquage permet d’élever le seuil.

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5
Q

Qu’est-ce que le seuil de détection?

A

Le seuil de détection (d’audibilité ou de perception) forme la frontière entre les niveaux infraliminaires et supraliminaires de l’audition.
C’est le niveau minimum de pression sonore nécessaire pour que l’oreille puisse détecter un signal.

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6
Q

Qu’est-ce que la plage dynamique?

A

Champ auditif, étendue dynamique ou plage dynamique: Surface délimitée par les courbes définies par le domaine de la sonie (perception de l’intensité).
C’est la zone entre le seuil de détection et le seuil de douleur.

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7
Q

Qu’est-ce qui détermine le seuil d’audibilité?

A

Le seuil d’audibilité est déterminé par les capacités
physiologiques, le bruit de l’environnement, les bruits
physiologiques et les fonctions de transfert.

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8
Q

Quelles sont les limites de la plage dynamique?

A

Limite inférieure = seuil de perception
L’étendue dynamique est plus petite pour les très basses fréquences et les très hautes fréquences, comparativement aux fréquences moyennes

Limite supérieure = seuil d’inconfort
La limite supérieure est imprécise (seuil de douleur)

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9
Q

Qu’est-ce que le masquage partiel?

A

Le signal masqué reste audible en ayant diminué d’intensité apparente.

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10
Q

Qu’est-ce que le masquage complet?

A

Le signal masqué n’est plus détectable.

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11
Q

Masque et signal dans l’oreille ipsilatérale
Dans quelle condition le masquage est maximal? (masque antérieur, postérieur, simultané?)

A

Le masquage est toujours maximum lorsque les 2 sons
sont présentés simultanément.

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12
Q

Masquage périphérique: ipsilatéral.
Pourquoi il peut être efficace de mettre le masque avant le signal?

A

Récupération de la cochlée : les cellules ciliées bougent encore même après le bruit. Le masque peut être présenté un peu avant le signal car la cochlée sera en récupération.

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13
Q

Masquage périphérique: ipsilatéral.
Un bruit masquant peut élever le seuil de détection même si ..

A

le masque précède le signal (masque antérieur) ou si il suit le signal (masque postérieur).

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14
Q

Masquage périphérique: ipsilatéral.
Le masquage antérieur est efficace avec un intervalle de combien de temps entre le bruit masquant et le signal?

A

Jusqu’à 200 ms.

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15
Q

Masquage périphérique : ipsilatéral.
Le masquage postérieur est efficace avec un intervalle de combien de temps entre le signal et le bruit masquant?

A

Jusqu’à 20-30 ms après la fin du signal.
Le masquage postérieur est moins efficace que le masquage antérieur.

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16
Q

Masquage périphérique: ipsilatéral.
Quelles sont les hypothèses expliquant l’efficacité des masques antérieurs et postérieurs?

A

Chevauchement des vibrations cochléaires :
-Suite à une stimulation auditive, la membrane continue de vibrer un certain temps (200ms)
-L’amortissement de la membrane basilaire n’est donc pas instantané, le son pur stimule une cochlée qui n’est pas encore au repos.

Chevauchement dans le traitement de l’information au niveau central :
-Réduction temporaire en termes de sensibilité des unités stimulées

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17
Q

Masquage périphérique: ipsilatéral.
En présence de bruit, qu’est-ce qui fait varier les seuils d’audibilité?

A

En présence de bruit, les seuils d’audibilité changent en fonction des caractéristiques spectrales du bruit. On retrouve une élévation des seuils en fonction du niveau de bruit.

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18
Q

Masquage périphérique: ipsilatéral.
Qu’est-ce que la courbe de l’effet de masque?

A

On retrouve l’élévation du seuil dans la zone de fréquence où
se situe le spectre du signal masquant
– Pour chaque type de signal masquant, on obtient une courbe d’effet de masque spécifique
1. Bruit à spectre étroit
2. Bruit à large spectre (bruit blanc)
3. Son pur

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19
Q

Masquage périphérique: ipsilatéral.
Pourquoi le seuil de détection est réduit lors du masquage?

A

Lorsque le signal et le masque sont présentés à la même oreille simultanément, le seuil minimal de perception est élevé. L’oreille est occupée avec le masque et cela l’empêche de percevoir des signaux normalement perçu sans masque. L’audition est réduite.

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20
Q

Qu’est-ce qu’un bruit à spectre étroit?

A

Signal acoustique s’étendant sur un intervalle plus ou moins précis de fréquences audibles.

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21
Q

Masquage périphérique: ipsilatéral.
Qu’est-ce qui caractérise le masquage par bruit à spectre étroit?

A

Lors d’un masquage à l’aide d’un bruit à spectre étroit, les seuils de détection sont décalés.
Le bruit affecte la détection sur un intervalle de fréquences plus ou moins précis en marge du spectre du bruit.
La courbe d’effet de masque n’est pas symétrique par rapport à la fréquence centrale du bruit

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22
Q

Masquage périphérique: ipsilatéral.
Vrai ou faux? En masquage par bruit à spectre étroit, la courbe d’effet de masque est symétrique par rapport à la fréquence centrale du bruit.

A

Faux. La courbe d’effet de masque n’est pas symétrique par rapport à la fréquence centrale du bruit.
Masquage au niveau des fréquences avoisinantes (débordement).
Influencer par la fréquence et l’intensité du bruit

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23
Q

Masquage périphérique: ipsilatéral.
Vrai ou faux? En masquage par bruit à spectre étroit, plus l’intensité est grande, plus le débordement en hautes fréquences est grand.

A

Vrai.
-L’élévation du seuil commence à une fréquence inférieure à la première composante la plus grave du bruit
-L’élévation du seuil se produit au niveau des fréquences hautes bien au-delà de la
composante la plus haute du bruit
-Autrement dit, un bruit de spectre donné masque non seulement les signaux qui entrent dans son spectre, mais ceux de fréquence qui vont plus loin de part et d’autre que son spectre

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24
Q

Masquage périphérique: ipsilatéral / Masquage par bruit à spectre étroit.
Qu’est-ce que l’effet de débordement de masque?

A

On observe une dissymétrie du masquage qui s’accentue lorsque le niveau du masque augmente (plus de débordement dans les hautes fréquences)
Le seuil de détection augmente en rapport direct avec le niveau de bruit.
La dissymétrie varie aussi avec la fréquence du bruit ou du son masquant.

25
Q

Masquage périphérique: ipsilatéral / Masquage par bruit à spectre étroit.
Qu’est-ce qui différencie le masquage par une gamme de hautes fréquences versus basses fréquences?

A

Les masques de hautes fréquences ne sont efficaces que
sur une gamme de fréquences relativement étroite autour de la fréquence du masque, tandis que les basses fréquences tendent à être des masques efficaces sur une gamme de fréquences beaucoup plus large. Cela s’explique par le débordement plus grand dans les hautes fréquences.

26
Q

Masquage périphérique ipsilatéral
Le masquage par bruit à spectre étroit met en évidence le concept de …

A

bandes critiques.

27
Q

Qu’est-ce qu’une bande critique?

A

C’est une zone fréquentielle (ou un filtre auditif) dans laquelle le bruit à un effet masquant.

À l’extérieur de cette zone, de ce filtre, l’effet masquant est inexistant

28
Q

Masquage périphérique ipsilatéral:
Dans quelle condition le masque par bruit à spectre étroit est plus efficace?

A

Si le bruit est dans la même bande critique que le signal:
il est + effectif.
Si le bruit n’est pas dans la même bande critique:
le signal est + facile à détecter.

29
Q

Vrai ou faux? La perception auditive est linéaire.

A

Faux.
Une non-linéarité caractéristique de la perception auditive se manifeste par le fait qu’en présence d’un son, un autre
son peut dans certaines conditions devenir inaudible : c’est le masquage.

30
Q

Quelles sont les hypothèses de la non-linéarité de la perception auditive?

A

Le traitement cochléaire des sons introduit une distorsion de la forme des ondes acoustiques.

Ces distorsions d’ondes sont suffisamment amples pour que les sons supplémentaires qu’elles engendrent, absents du message acoustique initial, soient audibles (ÉOA). (Erreurs de la cochlée mesurées par les émissions oto-acoustiques).

31
Q

De quelle largeur sont les bandes critiques?

A

La largeur des bandes critiques est relativement constante jusqu’à 500Hz puis elle augmente proportionnellement avec la fréquence.

32
Q

Masquage périphérique ipsilatéral : Masquage par bruit à spectre étroit.
Vrai ou faux? Le bruit n’a une influence que s’il se trouve dans la bande critique du signal

A

Vrai.

33
Q

Masquage périphérique ipsilatéral : Masquage par bruit à spectre étroit.
Vrai ou faux? L’effet masquant est proportionnel à l’étendue du bruit dans la bande critique

A

Vrai.

34
Q

Masquage périphérique ipsilatéral : Masquage par bruit à spectre étroit.
Qu’est-ce qui se produit si le bruit masquant est plus large que la bande critique?

A

Le dépassement de la bande critique n’affecte pas l’efficacité du masque. Le niveau de masque est identique à un masque de même largeur que la bande critique. Autrement dit, il n’y a pas d’avantage à dépasser la bande critique, l’effet du masque demeure le même.

35
Q

Masquage périphérique ipsilatéral : Masquage par bruit à spectre étroit.
Qu’est-ce qui se produit si le masque a une largeur moindre que la bande critique?

A

Le masque est moins efficace, on peut se retrouver en sous-masque.

36
Q

Qu’est-ce qu’un bruit blanc?

A

Signal acoustique à densité spectrale constante s’étendant sur tout l’intervalle de fréquences audibles.
Son couvrant tout le spectre audible. 20 à 20 000 Hz.

36
Q

Masquage périphérique ipsilatéral : Masquage par bruit à spectre étroit.
Quelle est la largeur fréquentielle idéale pour un bruit de masque?

A

La même largeur que la bande critique du son présenté.
Signal au milieu de la bande critique et masque de la même largeur que la bande.

37
Q

Masquage périphérique ipsilatéral
Quel est l’impact de l’utilisation d’un masque par bruit blanc sur les seuils?

A

Les seuils se retrouvent tous décalés vers le haut, de façon inégale. Il restent constants jusqu’à 500 Hz, puis ils augmentent de façon continue à raison de 10dB lorsque la fréquence est multipliée par 10. Augmentation de 3dB par octave.
L’effet masquant n’est pas uniforme sur toute l’étendue des fréquences.

38
Q

Qu’est-ce qu’un octave?

A

Un octave correspond doubler la fréquence fondamentale.

39
Q

Masquage périphérique ipsilatéral
Vrai ou faux? L’effet du bruit blanc est proportionnel à l’étendue des bandes critiques.

A

Vrai. Les bandes critiques sont relativement constantes jusqu’à 500Hz puis elles augmentent proportionnellement avec la fréquence.

40
Q

Masquage périphérique ipsilatéral : Masquage par bruit blanc
Qu’est-ce que la théorie du bruit uniformément masquant?

A

Bruit blanc contenant toutes les fréquences audibles dont on diminue l’intensité à partir de 500Hz. Ce modèle de la détection par bandes critiques permet de déduire les caractéristiques d’un bruit uniformément masquant.
-Il devra avoir une densité constante de 500Hz,
puis une densité constamment décroissante,
proportionnellement à la fréquence, au-delà de
500Hz
– Baisse de 3 dB par octave

41
Q

Masquage périphérique ipsilatéral
Qu’est-ce qui caractérise le masquage par des sons purs?

A

Phénomène de battement
Lorsque la fréquence du signal est similaire à celle du son masquant, impression d’un son pulsé. Les sons purs peuvent interagir pour créer la perception d’autre sons.
La sensation de battement est présente lorsque le son masquant est à une distance inférieure à 5Hz. Le phénomène se répète aux multiples de la fréquence du signal testé (harmoniques).

42
Q

Masquage central
Qu’est-ce que l’écoute diotique?

A

Écoute binaurale avec signaux identiques aux deux oreilles. Un même signal présenté aux deux oreilles.

43
Q

Masquage central
Qu’est-ce que l’écoute dichotique?

A

Signal dans une oreille et masque dans l’autre oreille. Les présentations aux deux oreilles sont différentes.

44
Q

Quels sont les trois traits principaux dont dépend le masquage central?

A

-Caractéristiques temporelles (le signal et le masque doivent être pulsés et simultanés pour un effet masquant plus grand)
-Fréquence: Le masquage est plus important sur les hautes fréquences. Le masquage est maximum lorsqu’il couvre l’entièreté de la bande critique.
-Niveau de masque

45
Q

Le masquage central peut atteindre 15 dB si …

A
  1. Si le bruit masquant est assez fort.
  2. Si le son et le masque sont pulsés et présentés simultanément.
  3. Si le son et le masque sont centrés sur la même fréquence.
46
Q

Le masquage central est normalement de … dB

A

de 5 dB jusqu’à 15 dB selon les conditions.

47
Q

Vrai ou faux? Le masquage périphérique est moindre que le masquage central.

A

Faux. C’est l’inverse.
Le masquage central est moindre que le masquage périphérique.

48
Q

La réduction du masquage peut se produire dans quelles conditions?

A

Lorsque les signaux à détecter et des bruits masquant proviennent de directions différentes ou lorsqu’ils ont des phases différentes, la perception d’un signal peut alors être amélioré.
La distinction entre le signal et le masque rend la détection du signal plus facile. Réduire le masque facilite le démasquage.

49
Q

Réduction de masquage par déphasage, que signifie les symbols suivants;
N, S, m, o, π

A

N : Bruit
S : Signal
m : présentation monaurale
o : présentation binaurale identique
π : présentation binaurale non identique (déphasé)

50
Q

En condition SmNm, comment est la détection?

A

On présente un signal monaural et un bruit monaural dans une même oreille.
Les deux oreilles ont des présentations différentes, l’oreille testée a un signal et un bruit, l’oreille controlatérale n’a rien.
La détection est difficile. (le masque nuit à la détection du signal)

51
Q

En condition SmNo, comment est la détection?

A

On présente un signal monaural et un bruit binaural identique.
Les deux oreilles ont des présentations différentes, l’oreille testée a un signal et un bruit tandis que l’oreille controlatérale n’a qu’un bruit.
La détection est facilitée, présentations différentes.
C’est le bruit masquant sur l’oreille controlatérale qui facilite la détection.

52
Q

En condition SoNo, comment est la détection?

A

On présente un signal binaural et un bruit binaural identiques aux deux oreilles.
Les deux oreilles ont la même présentation.
La détection est difficile, il n’y a pas de différence entre les deux oreilles.

53
Q

En condition SπNo, comment est la détection?

A

On présente un signal binaural déphasé et un bruit binaural identique.
Les deux oreilles n’ont pas la même présentation.
La détection est facilitée.
C’est l’inversion de phase qui facilite la détection en rendant le signal audible.

54
Q

Dans quelles conditions l’effet de masque est réduit?
SmNm, SmNo, SoNo, SπNo?

A

L’effet de masque est réduit (démasquage) dans les conditions SmNo et SπNo car les deux oreilles ont des présentations différentes, ce qui facilite la détection, rend le signal audible.

55
Q

Quelle condition permet d’obtenir un démasque de 15 dB en basses fréquences?

A

SπNo
Il s’agit de la condition d’écoute permettant le plus haut niveau de démasquage.

56
Q

Dans quel contexte de la vie courante le masquage intervient-il?

A

Le démasquage intervient dans la localisation ou la perception de la parole dans le bruit, effet cocktail party.

57
Q

Lorsqu’on présente un masque et un signal à la même oreille, il s’agit de masquage périphérique ou de masquage central?

A

Périphérique

58
Q

Quelle est la principale distinction entre le masquage central et le masquage périphérique?

A

Périphérique : présentation du signal et du masque à la même oreille
Central : présentation du signal à l’oreille testée et présentation du masque à l’oreille controlatérale.

AUD-6001 Psychoacoustique (8 decks)

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