Cours 3 Flashcards

1
Q

Vrai ou faux, le suicide «complet» est 3x moins élevé pour les hommes ?

A
  • Faux, 3x plus élevé.
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Q

Vrai ou faux, les femmes à l’adolescence sont plus suceptibles de se suicider en raison de leur estime de soi, des médias, des troubles internalisés ?

A

Vrai

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3
Q

Vrai ou faux, souvent il y à une augmentation du bien-être chez les 40 à 59 ans.

A

Faux, une baisse car objectifs de vie pas atteints, doivent s’occuper de leurs parents, etc.

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4
Q

Vrai ou faux, les enfants d’un quartier défavorisé sont 2 x moins suceptibles d’avoir des pensées suicidaires et quatre fois moins nombreux à tenter de s’enlever la vie ?

A

Faux, deux fois plus et quatre fois plus.

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5
Q

qui suis-je : Pensées que l’on pourrait se donner la mort, constructions
imaginaires de scénarios, sans passage à l’acte.

A

idéations suicidaires

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6
Q

qui suis-je : Situation dans laquelle une personne a manifesté un
comportement qui met en danger sa vie avec l’intention de
causer sa propre mort ou de faire croire que telle est son
intention (Raymond 1993)

A

tentative de suicide

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7
Q

qui suis-je ? Comportement où la personne prend des risques de mourir
mais sans idée consciente, non volonté de mourir.

A

Conduite à risque

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8
Q

Qui à construit le modèle écologique selon l’éthiologie de la crise suicidaire en 2004 ?

A

White et Jodoin

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9
Q

Continue la phrase du modèle écologique : «Le comportement suicidaire n’est pas une maladie, mais
l’aboutissement de l’interaction complexe

A

entre divers facteurs
neurobiologiques, psychologiques, culturels et sociaux, qui ont
marqué la personne à différents niveaux, mais qui isolément ne
suffisent pas à expliquer le suicide »

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10
Q

Quels sont les facteurs de risques associés au suicide ? (3)

A
  • Prédisposants
  • Contribuants
    -Précipitants:
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11
Q

Quels facteurs de risques suis-je ?

-Faisant partie de l’histoire de vie. Les éléments qui indiquent le degré de vulnérabilité au suicide.

Exemples : décès de ses parents, maladies, perte emploi il y a 4 ans, isolement.

A
  • Facteurs Prédisposants
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12
Q

Quels facteurs de risques suis-je ?

-Les comportements ou les événements qui augmentent les risques déjà existants.

Exemples : Décès des ses frères.

A
  • Contribuants
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13
Q

Quels facteurs de risques suis-je ?

-Les éléments qui vont déclencher la crise.
Exemples : Dispute avec sa sœur

A
  • Précipitants
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14
Q

Selon une vision iceberg, quels facteurs de risques allons nous voir en tant qu’intervenant ?

A
  • Les précipitants
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15
Q

Qui suis-je ? Facteurs qui atténuant
l’impact des facteurs de
risque

A
  • Protection
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16
Q

Donne moi deux exemples de facteurs de protection en crise suicidaire ?

A
  • Soutien du réseau social
  • Un lien affectif qui projette la personne dans l’avenir
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17
Q

Quels modèle cognitifs qui explique que lorsqu’il y à présence de trois raisonnement cognitif, la tentative de suicide ou le suicide est quasi fatal ?

A

Théorie interpersonnelle du suicide de Joiner

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18
Q

Selon la Théorie interpersonnelle du suicide de Joiner, « je suis seul» représente ?

A
  • Sentiment de ne pas être connectés aux autres.
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19
Q

Selon la Théorie interpersonnelle du suicide de Joiner, « je suis un fardeau», représente ?

A
  • Sentiment d’être un poid pour autrui.
20
Q

Selon la Théorie interpersonnelle du suicide de Joiner , « je n’ai pas peur de mourir» , représente ?

A
  • Compétence suicidaire
21
Q

Quels sont les étapes de la progression vers la crise suicidaire ? (5)

A

1- Recherche active de solutions.
2-Début des pensées suicidaires.
3- Ruminations des pensées suicidaires.
4- Cristallisation des pensées suicidaires.
5- Passage à l’acte.

22
Q

Quelle étape de la progression de la crise suicidaires , suis-je ? La situation de déséquilibre est présente depuis un moment. La personne persévère dans la recherche de solutions

A

1- Recherche active de solutions

23
Q

Quelle étape de la progression de la crise suicidaires , suis-je ? Les solutions s’éliminent ou ne permettent plus de faire baisser la tension

A
  1. Début des pensées suicidaires
24
Q

Quelle étape de la progression de la crise suicidaires , suis-je ? Anxiété et angoisse +++. La personne pense constamment au suicide. Le suicide devient la seule
solution pour cesser de souffrir

A
  1. Rumination des pensées suicidaires.
25
Q

Quelle étape de la progression de la crise suicidaires , suis-je ?
Elle est convaincue d’avoir tout
essayé. Le scénario est souvent développé (C.O.Q). Soudainement, la personne semble aller mieux

A
  1. Cristallisation des pensées suicidaires
26
Q

Quelle étape de la progression de la crise suicidaires , suis-je ?
-il se produit fréquemment à la suite d’un événement déclencheur. La personne est en tentative ou très près du passage à l’acte

A
  1. Passage à l’acte.
27
Q

Comment repérer la personne
vulnérable au suicide, selon ses signes comportementaux ?

A
  • dons d’objets significatifs ou
    mettre de l’ordre dans ses choses
  • don ou euthanasie d’un
    animal de compagnie
    -augmentation de la consommation,
    isolement, rémission spontanée, changements dans les comportements
    -tenue vestimentaire et dans les habitudes d’hygiène
28
Q

Les clientèles les plus vulnérables au suicide ?

A

-tentative de suicide antérieure
-Personnes souffrant d’un trouble de santé mentale
-Personnes souffrant d’un trouble de dépendance
-Hommes en situation de vulnérabilité (notamment s’ils
adhèrent au rôle traditionnel masculin)
-Jeunes en Centre jeunesse

29
Q

Un moment critique est un moment susceptible d’engendrer un
passage à l’acte suicidaire, la «goutte qui fait déborder le vase».
- Quelles Pertes significatives qui touche les raisons de vivre ?

A

 Rupture amoureuse
 Deuil
 Intimidation
 Annonce d’un diagnostic
 Enjeux de médication (ex: premier mois d’antidépresseurs)
 Bris de relation
 Problèmes financiers
 Aggravation d’une problématique de santé mentale
 Rechute

30
Q

Selon les niveaux d’urgence suicidaire, quelles sont les caractéristiques d’une personne avec une Urgence faible ?

A
  • La personne a surtout besoin de
    parler
  • Pense au suicide
    mais n’a pas réfléchi de scénario
  • Projet de vie pour les prochains jours
  • Souffrante mais pas anormalement
    troublée
  • Cherche et entrevoit des solutions
  • Accepte l’aide
31
Q

Quel niveau d’urgence ?
* La personne a surtout besoin de
parler
* Pense au suicide
mais n’a pas réfléchi de scénario
* Projet de vie pour les prochains jours
* Souffrante mais pas anormalement
troublée
* Cherche et entrevoit des solutions
* Accepte l’aide

A

Urgence Faible

32
Q

Selon les niveaux d’urgence suicidaire, quelles sont les caractéristiques d’une personne avec une Urgence moyenne ?

A
  • Laisse transparaître
    un équilibre émotif
    fragile
  • Envisage clairement le suicide, mais en a reporté l’exécution
  • Ne voit pas d’autres moyens que le
    suicide pour cesser de souffrir
  • Besoin d’aide et exprime directement ou indirectement son
    désarroi
  • Peut nier son besoin d’aide
33
Q

Quel niveau d’urgence ?
* Laisse transparaître
un équilibre émotif fragile
* Envisage clairement le suicide, mais en a reporté l’exécution
* Ne voit pas d’autres moyens que le suicide pour cesser de souffrir
* Besoin d’aide et exprime directement ou indirectement son désarroi
* Peut nier son besoin d’aide

A
  • Urgence moyenne
34
Q

Quel niveau d’urgence ? :
* Décider de passer à l’acte dans les 48h
* Fait abstraction des ses émotions:
rationnalise ses émotions ou est très émotive
* Se sent complètement
immobilisée par la dépression
* Manifeste sans cesse
de la souffrance ou cherche constamment à la réprimer
* Persuadée d’avoir tout fait
* Peut ne pas vouloir de l’aide

A

Urgence élevé

35
Q

Selon les niveaux d’urgence suicidaire, quelles sont les caractéristiques d’une personne avec une Urgence élevé ?

A
  • Décider de passer à l’acte dans les 48h
  • Fait abstraction des ses émotions:
    rationnalise ses émotions ou est très émotive
  • Se sent complètement
    immobilisée par la dépression
  • Manifeste sans cesse
    de la souffrance ou cherche constamment à la réprimer
  • Persuadée d’avoir tout fait
  • Peut ne pas vouloir de l’aide
36
Q

Au Centre de crise de Québec, à quel hébergement réfère l’énoncé suivant ? : autoréférence, de un à sept jours, dans un cadre
ouvert et «normalisant»

A

Hébergement de crise

37
Q

Quel hébergement à comme Objectifs :
encadrement pour refaire rythmes de base, décompresser,
accompagnement dans la recherche de solutions à la situation de crise,
concertation avec partenaires, références et orientation vers services appropriés

A

Hébergement de crise

38
Q

Au Centre de crise de Québec, à quel hébergement réfère l’énoncé suivant ? : référence d’un professionnel ou interne, jusqu’à
30 jours.

A
  • Hébergement thérapeutique
39
Q

Quel hébergement à comme Objectifs : Offrir un lieu de vie sécurisant et soutenant à des personnes vivant
un déséquilibre ou une désorganisation temporaire pour les aider à traverser cet
épisode de vie et à retrouver leur autonomie.

A
  • Hébergement thérapeutique
40
Q

SPI (Safety Planning Intervention) vise à ?

A

fournir un ensemble de stratégies d’adaptation et de soutien priorisées à utiliser si émergence d’idéations suicidaires

41
Q

Qui à développer le SPI (Safety planning intervention ) et en quelle année ?

A

par Stanley & Brown en 2006

42
Q

Qui suis-je ?
- Intervention brève (20-45 min.) dans l’entretien clinique

A

SPI (Safety planning intervention )

43
Q

Instructions pour remplir le SPI :

A
  1. Identifier des signes avant-coureurs d’une crise suicidaire (événements, pensées,
    humeurs, images mentales, etc.)
  2. Stratégies d’adaptation (activités personnelles)Identifier des activités à faire pour se sentir mieux
  3. Stratégies de socialisation (activités sociales)
     Identifier des personnes (amis, famille)
     Identifier des lieux pour les rencontrer
  4. Réseau social pour diminuer la crise suicidaire
     Identifier les personnes qui pourraient apporter du soutien et aide
     Avec qui il/elle pourrait partager ses idées de suicide
  5. Professionnels à rejoindre
     Noms et coordonnées
     Organismes communautaires (ex.: Suicide Action, Tel-jeunes)
     Réseau (CIUSS,hôpital)
  6. Limiter l’accès aux moyens
     Limiter accès potentiel à des moyens possibles dans l’environnement immédiat
    (ex.: médicaments, arme à feu)
44
Q

L’équipe mobile du Centre de prévention du suicide tente de prévenir quoi ?

A

la p-38

45
Q

qui est autorisé à appliquer un p-38 ?

A

Les policiers à la demande d’un intervenant d’un service d’aide en situation de crise