Cours 2 Flashcards

1
Q

Quelles sont les deux grandes approches en évaluation?

A

Dimensionnelle et catégorielle

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2
Q

Pourquoi est-ce que la classification est centrale dans presque toutes les sciences naturelles?

A

Un système de classification est nécessaire pour organiser les aspects centraux d’une discipline scientifique.

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3
Q

Quel est le système de classification le plus utilisé en psychoéducation?

A

Les forces psychologiques.

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4
Q

Qu’est-ce que la classification?

A

Placer des objets dans des catégories distinctes, ou sous-groupes, à partir de certaines règles.

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5
Q

Quelles sont les deux choses que l’on peut classifier en évaluation?(objet, approche et modèle)

A
  1. Objet: Items (ou symptomes, comportements, émotions, etc.)
    Ex. Questions dans un questionnaire
    Approche: Dimensionnelle
    Modèle: Multivariété (ou psychométrique.

2.
Objet: Individus (classer des personnes dans des groupes)
Approche: Catégorielle
Modèle: Médical (ou psychiatique)

Nous présumons qu’il y a des différences qualitatives entre les gens, ce qui est faux.

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6
Q

Qu’est-ce que l’approche dimensionnelle?
Quel type de différence y a-t-il entre les personnes selon cette approche?

A

On classifie des items (cognitions, émotions, sentiments, attitudes, comportements, pratiques parentales, etc.) pour former des dimensions, ou construits latents, ou traits latents.

Selon l’approche dimensionnelle, il y a des différences QUANTITATIVES entre les personnes.

Annexe du DSM-5

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7
Q

Quel type d’analyse utilise-t-on dans l’approche dimensionnelle? En quoi consiste t-elle?

A

On utilise généralement l’analyse factorielle (facteurs = dimensions).

On cherche une structure factorielle qui permet de classifier tous les items qui définissent le, ou les, constuit(s) d’intérets dans des dimensions qu’on veut mutuellement exclusives (non-correlées).
- Mais qui sont néanomoins généralement correlés.

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8
Q

Que veut-on dire par, les dimensions ou les traits sont bipolaires?

A

Nous identifions des différences entre les individus le long d’un continuum. Pros précisemment, nous assumons que tous les individus possèdent le trait, mais à divers degrés.

Ex. Impulsivité: Personne n’a aucune impulsivité; nous sommes tous plus ou moins impulsifs.ves à différents degrés.

Nous identifions donc des différences QUANTITATIVES entre les personnes (différences interindividuelles).

Du pole positif (ou socialement acceptable) au pole négatif (ou socialement inacceptable.

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9
Q

Est-ce qu’il y a tjrs un pole négatif ou positif à un trait?

A

Non, l’interprétation est cruciale. Un niveau élevé d’attention est perçu comme positif, mais un niveau trop extreme serait de l’hypervigilance (donc pas nécessairement bon). Tout est une question de CIRCONSTANCE. Il faut donc savoir interpréter le tout.

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10
Q

Distribution normale d’une dimension: qu’est-ce que ça veut dire si une personne est à un écart type vs deux écarts-types de la moyenne?

A

Si une personne est à un écart type de la moyenne, il est dans la moyenne. Mais, s’il dépasse deux écarts-types, il est dans les extremes du trait (une minorité, peu de personnes ont ce score).

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11
Q

Pourquoi doit-on choisir un critère avec l’approche dimensionnelle?

A

Nous devons choisir un critère pour déterminer si un niveau est normal ou anormal.

À partir de

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12
Q

Qu’est-ce que l’approche catégorielle? Comment les individus sont-ils différents selon cette approche?

A

Elle classifie les individus pour former des types , ou prototypes, ou profils latents ou classes latentes.
- On ne veut pas des regroupements d’items, mais bien de personnes.

Ici, par exemple, les enfants qui manifestent un nombre déterminé de symptomes d’inattention et d’hyperactivité sont classifiés dans les types de TDAH (type mixte ou d’inattention seulement), alors que les enfants qui n’atteignent pas le nombre de symtomes sont classifiés dans le type “sans problème”

Selon cette approche, les individus sont QUALITATIVEMENT différents.

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13
Q

Quelles sont les trois grandes façons qu’on utilise pour regrouper les personnes (ou types)?
Est-ce qu’on utilise souvent ces façons ou non?

A

1) Sur une base exclusivement théorique
- c’est souvent le cas, ei. typologie Myers-Briggs
2) À partir des connaissances tirées des résultats de la littérature scientifique
- c’est parfois le cas
3) Sur une base empirique (ei. avec analyses statistiques)
- c’est plus rarement le cas

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14
Q

Dans l’approche catégorielle, les catégories sont-elles mutuellement exclusives?

A

Dans cette approche, on cherche une classification, ou une typologie (aussi appelée taxonomie) qui permet de classifier tous les individus dans des CATÉGORIES DISCRÈTES, c’est-à-dire mutuellement exclusives.

  • Implique des différences qualitatives entre les personnes.
  • Certains types sont bien adaptés (la majorité), d’autres sont des individus avec des profils d’inadaptation.
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15
Q

Quels sont les avantages et désavantages de l’approche catégorielle?
- Mentionner les 3 problèmes de la validité des dx du DSM.

A
  • S’agit de systèmes de classification des troubles mentaux qui sont très utilisés
  • Très utile pour la communication entre intervenantes, entre institutions, pour les assureurs, etc.
  • Certains problèmes avec la validité des dx du DSM:
    1) La complexité de l’adaptation humaine fait qu’il est souvent irréaliste de dichotomiser (perd sévérité)
    2) Tous les symptomes pertinents ne sont pas nécessairement présents dans la liste préétablie
    3) Problèmes avec algorithmes de classification (un certain nombre de symptomes est requis pour le dx, mais parfois, meme si n’atteint pas le nombre, les symptomes présents sont plus graves qui si aurait respecté le nombre).
    ex. Trouble des conduites requiert 3 symtomes en 12 mois. Enfant 1 = école bussonière, une fugue, ment souvent. Enfant 2 = cruauté physique envers pairs + cruauté physique envers animaux. Le deuxième a un cas plus grave, mais respecte pas le nombre de symtomes.
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16
Q

Qu’est-ce que l’approche moderne et en quoi est-elle plus bénéfique?

A

Approche moderne = intégration des approches dimensionnelles ET catégorielle

La combinaison des deux approches permet les meilleurs résultats puisqu’elle combine à la fois les différences quantitatives et qualitatives entre les individus. Permet un portrait plus complet de l’état de la personne et de son adaptation.

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17
Q

Qu’est-ce qu’implique l’évaluation réservée? Est-elle aussi importante que les autres actes (ou plus, ou moins)?

A

Selon l’OPPQ: l’évaluation réservée implique le jugement clinique du professionnel, au meme titre que le diagnostic du médecin, ainsi que la communication de ce jugement. (L’évaluation réservée a de bien plus grandes conséquences que le dépistage , la détection et la contribution. Elle implique un grand jugement clinique).
- L’évaluation et ses conclusions ont statut d’autorité sur le plan professionnel.

Il en est tout autres de la détection, du dépistage, de l’appréciation et de la contribution….. qui ne conduisent PAS à statuer sur l’existence de difficultés précises ni sur les répercussions à plus long terme de ces difficultés dans la vie de la personne.

18
Q

Qu’est-ce que la détection, le dépistage, l’appréciation et la contribution? Pas besoin de savoir par coeur.*

A

Détection: Relever des indices de trouble non encore identifié ou de facteurs de risque dans le cadre d’interventions dont les buts sont divers.

Dépistage: Départager les personnes qui sont probablement atteintes d’un trouble non diagnostiqué ou d’un facteur de risque d’un trouble, des personnes qui en sont probablement exemptes.

Appréciation: Prise en considération des indicateurs (symptomes, manifestations cliniques, difficultés ou autres) obtenus à l’aide d’observations cliniques, de tests ou d’instruments.

Contribution: Réfère à l’aide apportée par différents intervenants à l’exécution de l’activité réservée au professionnel.

19
Q

Qu’est-ce que la différence entre l’évaluation et le dépistage?

A

Le DÉPISTAGE veut PRÉDIRE des problèmes qui ne sont pas encore présents ou qui ne sont pas encore cliniquement graves.

L’ÉVALUATION est demandée lorsqu’un problème est présent ou fortement suspectée et on veut clarifier sa NATURE et sa GRAVITÉ.

20
Q

Quelle est la différence entre le trouble et le diagnostic? Pourquoi distiniguer les deux?

A

Le trouble est la condition clinique d’un patient, alors que le diagnostic est l’étiquette qui représente l’information à propos de cette condition, suite à une évaluation diagnostique.

Trouble = condition, situation, problématqiue RÉELLE de la personne

Diagnostic = étiquette

Pourquoi distinguer les deux? Pcqu’il arrive que le dx émis ne soit pas nécessairement le bon.

21
Q

Quelle est la différence entre le diagnostic et l’hypothèse clinique ou l’hypothèse diagnostique?

A

Diagnostic: Assignation formelle d’un individu dans une catégorie d’un système de classification (ex. DSM-5).

Hypothèse clinique: Hypothèse de travail clinique servant à faire une conceptualisation de cas et à guider l’intervention (peut etre dérivé des memes critères).
- Une hypothèse diagnostique est ouverte: elle peut changer en cours d’intervention suite à l’ajout de nouvelles informations cliniques ou suite à la réaction à l’intervention.

En psychoéd., possible de faire une hypothèse, mais PAS de poser un dx.

22
Q

Quelle est la différence entre le pronostic et l’hypothèse pronostic?

A

Pronostic: jugement porté sur l’évolution, la durée ou la stabilité d’une condition clinique et les conséquences futures dans le cas ou l’intervention ne serait pas effectuée.

À noter que pour établir un pronostic valide et fiable, il faut connaitre:
- Continuité et stabilité de la condition clinique ou trouble
- Facteurs de risque, d’aggravation, de persistance et de récidive ou de rechute
- Facteurs de protection et de désistement

encore une fois, en tant que psychoéd., nous utilisons le terme HYPOTHÈSE PRONOSTIC. On suppose que la personne est à risque d’une trajectoire X selon l’évaluation et l’hypothèse clinique.

23
Q

Quel est le processus complexe en quatre grandes étapes du DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL?

A
  1. Sommes-nous vraiment en présence d’un problème, d’une psychopathologie, ou est-ce un problème contextuel ou réactionnel transitoire?
  2. Considérer explicitement différentes hypothèses diagnostiques plausibles.
  3. Décider quelle est l’hypothèse diagnostique principale à partir du cadre théorique choisi, des données cliniques recueillies et surtout, du niveau d’urgence. (qu’est-ce qui est prioritaire et le plus urgent pour la santé de la personne)
  4. Établir une hypothèse pronostique.

Le dx différentiel est un processus plus complexe puisqu’il nécessite une réflexion plus approfondie, par étape.

24
Q

Qu’est-ce que la comorbidité?

A
  • Terme médical qui signifie la présence simultanée de deux (ou plus) diagnostics chez un individu
  • Pour les tenants de l’approche dimensionnelle, on utilise plus souvent le terme co-occurence

À noter qu’en évaluation clinique ou psychoéducative, on tente d’expliquer le POURQUOI de la comorbidité, autant que celui du dx princiopal.

25
Q

Qu’est-ce que l’évaluation diagnostique ?

A

Évaluation diagnostique: L’objectif est explicitement de poser un diagnostic
- Ne s’intéresse généralement PAS aux causes ni aux processus expliquant le pourquoi du problème.
- Les psychoéducatrices ne peuvent pas légalement poser de diagnostic, mais peuvent tout à fait collaborer à une évaluation diagnostique (appréciation, contribution).

Normalement, les psychoéd. vont mener une évaluation fonctionnelle. L’éval dx est plutot utilisée pour faire l’appréciation de symptomes.

26
Q

Qu’est ce que l’évaluation fonctionnelle?

A

L’objectif de l’évaluation fonctionnelle est de collecter des données afin d’aider à comprendre les PROCESSUS EXPLICATIFS (ei facteurs de risque, de protection, méchanismes de développement, trajectoire) et les fonctions d’un problème d’adaptation.
- En raison de son objectif, est aussi appelé “analyse de résolution de problème”

Attention: Il faut faire la distinction avec l’analyse fonctionnelle dans le cadre d’une intervention cognitivo-comportementale.

27
Q

Quelle est l’importance du motif de référence selon le modèle compréhensif d’évaluation?

A
  • Le motif de référence doit tjrs etre le point de départ
  • Parfois, le motif est trop spécifique et il faut aller au-dela, ou encore il est trop général et il faut spécifier
  • Mais il faut TJRS y répondre et l’évaluer!

(Bien qu’il n’est pas tjrs possible de suivre toutes les étapes du modèle compréhensif d’évaluation à la lettre (ex. restriction au niveau du mandat), il faut tenter de le faire).

28
Q

Quels sont les objectifs de l’évaluation en psychoéd.?

A

PAS d’évaluer pour évaluer ou de diagnostiquer.

Les objectifs:
- Appréciation de la nature et sévérité des problèmes d’adaptation et des facteurs et processus explicatifs
- Estimer le potentiel adaptatif (PAD)
- Proposer un plan d’intervention

On fait l’évaluation pour répondre à un besoin criant.

29
Q

Selon le modèle compréhensif d’évaluation (MCÉ), qu’est-ce que doit etre l’évaluation d’un point de vue conceptuel?

A

Conceptuellement, l’évaluation doit etre:

  • Multidimensionnelle: multiples dimensions de l’adaptation de la personne doivent etre évaluées
  • Multi-contextuelle (ou multiniveau): multiples contextes dans lesquels l’individu évolue doivent etre évalués.
  • Dynamique (ou développementale): Ce sont les processus de développement qui s’oppérationalisent par les interactions entre les dimensions et les contextes qui sont importantes.
30
Q

Quelles sont les multiples dimensions que l’on évalue pour déterminer l’adaptation de la personne?

A
  • Biologie
  • Fonction exécutive (attention) et habiletés cognitives
  • Cognitions (attitudes, valeurs, distorsions)
  • Stratégies de coping, de gestion des émotions
  • Traits tempéramentaux ou de personnalité
  • Nature et qualité des relations d’attachement
  • Environnement familial et pratiques parentales

En somme, il faut une approche HOLISTIQUE de l’évaluation.

31
Q

Quels sont les différents contextes associés à l’évaluation multiniveaux? L’environnemnt est-elle importante en psychoéducation?

A

(Les différents contextes qui ont une incidence sur l’adaptation.)

La psyhcoéducation met l’emphase sur l’importance de l’environnement.

Contextes distaux: statut socioéconomique, communauté ou quartier, culture (valeurs générales, croyances partagées).

Contextes proximaux: Structure familiale, pratiques parentales, relations avec les pairs, relations avec les enseignants, activités routinières, etc.
- En évaluation psychoéducative, on se concentre surtout sur les contextes PROXIMAUX, plus propices au changement (plus influençables et propices au changement).

En somme, il faut une approche ÉCOSYSTÉMIQUE de l’évaluation (doit considérer toutes les environnements de la personne)

32
Q

Qu’est-ce que l’évaluation dynamique? Quelle section du rapport d’évaluation concorde avec cette forme d’évaluation? Quelles sont les sections clés du rapport?

A

Ce n’est pas tant les niveaux sur les dimensions individuelles ou contextuelles évaluées qui sont importantes, mais plutot les INTÉRACTIONS entre tous ces éléments pour un INDIVIDU PARTICULIER… et à travers le temps (perspective développementale).

Dans un rapport d’évaluation, l’anamnèse est de nature développementale.

Les sections clés: la synthèse clinique (de la chaine prédictive) et le jugement clinique (hypothèse pronostique) sont aussi développementales (permet d’expliquer comment les symptomes sont apparus par exemple).

33
Q

Quels sont les différents modèles qui aident à conceptualiser les interactions et transactions entre différents facteurs à travers le temps?

A

Relations additives: Principe de risque cumulatif ou de protection cumulative. (Plus nous ajoutons des facteurs de risque, plus la personne est à risque…)

Relations interactives (modération): met en relation différents éléments de l’adaptation personnelle et contextuelle (ex. difficultés de régulation + vite un contexte très conflictuel).

Relations indirectes (médiatisation): Un facteur de risque influence un autre facteur et c’est ce dernier qui vient créer l’inadaptation.

Modèle de cascade: équivalent d’une longue chaine de médiation entre différents facteurs (chaine prédictive de la manière dont le comportement a débuté et évolué).

Modèle transactionnel: un facteur x a une influence sur y et plus tard, y a une influence sur x (problème empire à travers une interinfluence avec le temps)

34
Q

Quelle est la différence entre multifinalité et équifinalité? Pourquoi sont-ils importants?

A

Multifinalité: Un meme facteur de risque peut mener à des profils d’inadaptation différents.

Équifinalité: Des facteurs de risque différents peuvent mener à un meme profil d’inadaptation.

Concepts importants puisqu’ils influencent les hypothèses clinique et pronostique, et ultimement, l’intervention privilégiée.

35
Q

Comment est-ce que la trajectoire développementale peut-elle changer?

A

En raison de facteurs de protection ou de désistement.
- Facteurs qui réduisent les risques de dév un problème, malgré la présence de facteurs de risque (si facteurs de risques pas présents, nous les appelons facteurs compensatoires).

36
Q

Quels sont les deux aspects métghodologiques de l’évaluation?

A

Méthodologiquement, l’évaluation doit etre:

Multi-informateurs
- Tous les informateurs procurent une part d’information valide, mais sont aussi en partie influencés par des biais.
- L’individu en difficulté, parents, enseignant, l’intervenant, conjoint, amis. (la personne qu’on sélectionne dépend du contexte et de la situation, mais il doit bien connaitre la personne depuis un certain temps.

Multi-méthodes:
- Échelles d’évaluation ou questionnaires, entrevue structurée ou semi-structurées, observation systématique, taches expérimentales, etc. (méthodes dépendent encore du contexte et du problème, mais doit tjrs en avoir plusieurs pcq chaque méthode a un apport différent et chaque méthode à des biais différents - on veut assurer la validité).

37
Q

Les types d’instruments de mesure:
Qu’est-ce qui caractérise les échelles d’évaluation et les questionnaires? Quels sont ses problèmes.

A
  • Rating scales (choix multiples) VS checklist (présence ou non du symptome, vrai ou faux)
  • Les outils les plus utilisés (faciles et rapides à employer).
  • Facilitent le recours à différents informateurs
  • Facilitent la mesure systématique du fonctionnement dans différents contextes

Problèmes avec les échelles d’évaluation et questionnaires: Intentions et motivations, compréhension, style de réponse, indulgence ou sévérité, etc.

38
Q

Qu’est-ce qui caractérise l’entrevue?

A
  • Non-structurées, semi-structurées et structurées
  • La plus commune est semi-structurée; très utile pour l’évaluation fonctionnelle (demande de l’expérience)
  • Structurées généralement associées à de systèmes de classification, évaluation dx. (dsm-5)
39
Q

Ou est-ce que l’observation systématique a lieu?

A

En milieu d’intervention ou en milieu naturel

40
Q

Qu’est-ce que les méthodes projectives?

A

Postulat: réponse à des stimuli ambigus peut révéler des choses inconscientes importantes (motivations, tensions et conflits inconscients non résolus)
- Cotation et interprétation hautement subjective.
- Taches d’encre

41
Q

Qu’est-ce qui caractérise la méthode de triage (q-sort)?

A
  • Sert à tenir compte de la subjectivité des personnes évaluées
  • Plutot que de demander au client d’estimer la fréquence de différents symptomes d’un trouble, on lui demandera de les mettre en ordre du plus envahissant au moins, pour ensuite évaluer la fréquence (on analyse ;a perception de la personne concernant ce qui est le plus dysfonctionnel et envahissant, puis APRÈS on demande des questions sur la fréqence).

On veut prioriser ce que la personne trouve plus débillitant.