Cours 2 Flashcards

1
Q
  1. Selon l’approche systémique, comment est représentée la communication?
A

la communication est présentée comme un phénomène interpersonnel ou relationnel.

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2
Q
  1. Explique ce schéma
A

Il y a un emetteur et un recepteur et les deux echangent leur roles. Un envoie un message et l’autre recoit. Il y a des canaux et des retroactions. Il y a le contexte. Il y a le bruit.

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3
Q
  1. Quels sont les 2 axiomes de la communication interpersonnelle? Explique-les
A

1.Il est impossible de ne pas communiquer
Car non verbal ou contexte donne signification.

  1. Les niveaux de la communication
    - contenue
    - relation
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4
Q
  1. Quels sont les 2 niveaux dans un processus de communication interpersonnelle? Et quels sont leur synonyme?
A

Contenu= fond
Maniere de rendre message=forme
Relation

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5
Q
  1. Qu’est-ce qui est le plus important le contenu du message ou le message? Précise aussi leur synonyme.
A

Dans ce cas, on indiquera que la manière de rendre le message (la forme) est souvent autant, sinon plus importante que le contenu du message (le fond). La forme oriente la capacité (volonté ou désir) de réceptivité des individus.

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6
Q
  1. Que veut dire une relation malsaine ou malade?
A

Quand on accorde trop d’importance à la forme et qu’on oublie le fond

Ou vice versa

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7
Q
  1. Que signifie information?
A

donnée signifiante (selon contexte et objectifs)

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8
Q
  1. Quelles sont les 2 conditions de la transformation des données en informations?
A

1-Nouvauté : À quel point l’info est nouvelle

2-Utilité : À quel point cette info peut nous être utile

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9
Q
  1. Quel est le postulat qu’il faut mettre au centre de nos préoccupations, dans la perspective systémique?
A

L’info (à définir en termes de nouveauté contenue dans les messages) qui circule au sein du système n’est utile que si elle a une signification pour le récepteur.

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10
Q
  1. Les travaux de Gregory Bateson sont fondateurs de quoi?
A

travaux sur l’approche systémique en communication
-Il cherchait à construire une théorie de la culture et de la communication en s’inspirant de la cybernétique. Selon lui, la communication constituerait une matrice dans laquelle sont incluses toutes les activités humaines.

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11
Q
  1. Au début, Bateson s’inspirait de quoi pour construire une théorie de la culture et de la communication?
A

-Il emprunte le concept de rétroaction (feedback) à la cybernétique et utilise les notions de rétroaction positive et négative

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12
Q
  1. Qu’est-ce que la communication verbale?
A

Forme de communication qui utilise un système de symboles qui permet la transmission d’une signification

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13
Q
  1. Quelles sont les barrières sémantiques? (Indice : il y en a 4). Explique-les.
A

• Les sens dénotatif et connotatif des mots
-Sens dénotatif :
Définition objective ou descriptive d’un mot
Ex : Façon dont il est écrit dans un dictionnaire

-Sens connotatif :
Définition subjective ou personnelle d’un mot
Difficulté : décoder ce que les autres veulent réellement dire

• Le caractère concret ou abstrait des mots
-Échelle d’abstraction : degrés de précision dans la description, du général au particulier.
Ne pas tenir pour acquis que l’autre a un même niveau de précision que moi dans une définition d’un mot ou concept

• Déviation sémantique
-Malentendu qui surgit quand deux locuteurs ont l’impression erronée de se comprendre mutuellement

• Le langage politiquement correct
-Attitude visant à éviter les gestes et les paroles risquant d’offenser un membre d’un groupe social en particulier

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14
Q
  1. Quels sont les 2 concepts qui auraient aussi une fonction cognitive? Explique, en quoi ils ont cette fonction?
A
  • Le langage verbal ne serait pas seulement un instrument de communication mais serait aussi un instrument de construction la pensée.
  • Dans ce contexte, certains vont jusqu’à se demander si les limites des vocabulaires ou des grammaires n’influenceraient pas les limites de la pensée? (Il s’agit d’une hypothèse très controversée)
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15
Q
  1. Sur quoi oriente Chomsky le débat? Plutôt quoi?
A

-Chomsky, pour sa part, oriente le débat vers les structures profondes du langage plutôt que vers ce qu’il appelle les variations culturelles de surface.

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16
Q
  1. Comment on peut voir la culture? Afin de répondre à quoi?
A

Quoi qu’il en soit, il devient possible de voir la culture comme un système de symboles partagés qui émerge au fil de l’évolution afin de répondre au besoin des groupes humains de définir et de valider des visions consensuelles de la réalité.

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17
Q
  1. Qu’est-ce que la communication non verbale?
A

Toute forme de communication utilisant un autre instrument que la parole (mots)

18
Q
  1. VRAI OU FAUX : La capacité d’interpréter la communication non verbale est universelle. Si c’est vrai explique la seule contrainte
A

Vrai. Capacité d’interpréter la communication non verbale est universelle mais il existerait des différences individuelles importantes dans la capacité d’interpréter correctement ces signaux.

19
Q
  1. Quelles sont les différentes caractéristiques de la communication non verbale? (Indice : il y en a 6) et explique-les.
A
  • La communication non verbale est un processus continu
  • La communication non verbale est souvent non consciente (automatique)
  • La communication non verbale est souvent ambiguë
  • La communication non verbale est contextuelle (doit être interprétée en tenant compte du contexte)
  • La communication non verbale est culturelle (doit être interprétée en tenant compte de la culture) Variable d’une culture à une autre.
  • La communication non verbale fournit généralement des informations quant à la dimension affective du message -» État émotionnel de la personne qui porte le message
20
Q
  1. Quels sont les 4 principaux types de communication non verbale? Explique-les.
A

1) Les expressions du visage

Les 6 émotions primaires exprimées par le visage :

1) La joie
2) La surprise
3) La tristesse
4) Le dégoût
5) La haine
6) La peur

  • On note une amélioration de la perception (interprétation) avec l’âge
    2) Le regard

Fonctions :

  • Communiquer l’info (Ex : marquer l’approbation ou la désaprob)
  • Régler (synchroniser) les interactions (Ex : regarder qqun pour lui signifier que c’est à lui de parler)
  • Exercer le contrôle (Ex : un comportement de domination visuelle pour qu’il agisse comme on veut qu’il fasse)

3) Le toucher

Caractéristique souvent associée au degré d’extraversion.
Différences selon les sexes :
- Les femmes seraient plus portées à toucher pour exprimer leur affection
-Les hommes exprimeraient ainsi plutôt le pouvoir et le contrôle

4) Le langage du corps

  • Birdwhistell
  • Les deux principales dimensions étudiées : -les postures
  • les mouvements

Hypothèse (très critiquée): la posture constituerait un langage autonome et indépendant du langage verbal (à la base de différentes approches comme la synergologie ou encore la programmation neurolinguistique)

21
Q
  1. Qu’est-ce que les bons menteurs ont?
A

Certaines études affirment que les bons menteurs ont une apparence physique et un comportement qui projettent une impression d’honnêteté.

Sur le plan de la personnalité, les bons menteurs seraient plutôt extravertis, chaleureux et enthousiastes. Ils auraient aussi tendance à contrôler leurs comportements de près.

22
Q
  1. Comment détecter la tromperie?
A

Seuil du hasard

23
Q
  1. Quel est le principal handicap pour la détection de la tromperie?
A

pour différentes raisons, il semble que le biais cognitif contrôlant a priori l’interaction veut que la tromperie en soi absente.
C’est pourquoi, relativement à la détection de la tromperie, il se peut fort bien que notre handicap le plus important soit notre volonté de croire le trompeur.

24
Q
  1. Pourquoi la communication ne renvoie jamais à une relation objective ou neutre?
A

Non seulement parce que la réception du message est éminemment subjective, mais aussi parce qu’à la source d’émission, le codage de ce même message ne saurait éviter de connoter (donner une orientation affective à…) son objet.

25
Q
  1. Qu’est-ce que la notion de communication persuasive?
A

renvoie à une volonté humaine d’établir des relations sociales dont un des objectifs est de provoquer un changement dans la manière de penser ou dans le comportement d’autrui.

26
Q
  1. Peut-on éviter toute influence? Si non, que peut-on faire?
A

Dans un tel cadre de pensée, il devient absurde de se demander comment éviter toute influence.
Il convient plutôt d’accepter la responsabilité inéluctable de décider de quelle manière cette loi fondamentale de la communication peut être suivie le plus honnêtement et le plus efficacement possible.

27
Q
  1. Qu’est-ce qui sera impossible de séparer, selon des auteurs?
A

il serait impossible, selon certains auteurs, de séparer nettement les genres.

28
Q
  1. Peut-on distinguer les moyens de persuader qui sont plus rationnels des plus affectifs?
A

Oui

29
Q
  1. VRAI OU FAUX : Il est mieux d’éviter de dissocier l’être des croyances et de sentiments de l’être d’intelligence et de raison.
A

Vrai

30
Q
  1. En quoi l’essence du discours persuasif (rhétorique) devient?
A

Ici, l’essence du discours persuasif (rhétorique) devient l’articulation des arguments et du style dans une même réalité, là où les trois fonctions de plaire, d’instruire et d’émouvoir sont présentes ensemble.

31
Q
  1. Quelles sont les 3 fonctions?
A

Plaire : par son apparence, l’impression qu’on peut donner de compétence. Façon de se positionner pour être le plus convaincant.
Instruire : arguments logiques
Émouvoir : toucher les émotions des gens. Utiliser des arguments émotionnels.

32
Q
  1. Quelle est la condition la plus importante pour toute argumentation?
A

Toute argumentation (la transmission d’une opinion mise en forme) ne peut s’effectuer que dans le cadre d’une relation liant minimalement l’orateur à son auditoire.

33
Q
  1. Comment l’échange sera défini?
A

C’est donc bien souvent à un niveau non conscient, très rarement verbal et non explicité par les communicants, que l’échange finira par se définir.

34
Q
  1. Qu’est-ce que l’effet pervers stipule?
A

L’effet pervers d’une telle régulation est que, moins la relation est prise en compte (notamment lorsque l’on cherche à la faire passer au second plan, pour se concentrer sur le contenu) et plus elle sera agissante ou prégnante parce qu’inaperçue (ou peu ou mal perçue), et donc non-maîtrisée.

35
Q
  1. VRAI OU FAUX : la rhétorique est un mélange inextricable d’affectif et de rationnel. Si vrai, pourquoi?
A

Vrai. Dans ces conditions, l’on ne peut manquer d’estimer que, raisonnement et émotion étant étroitement reliés, toute conviction (ou toute démarche visant à convaincre, c’est-à-dire à modifier ou à structurer chez soi-même ou chez autrui une certaine image du monde) comprend quasi obligatoirement une composante cruciale liée à l’esthétique, à l’émotion, à la sensation, à l’affect, bref à la forme et à la relation.

36
Q
  1. Qu’est-ce que l’être humain rationnel?
A

Pense avant dagir

37
Q
  1. Quelle est la méthode de persuasion que l’on peut utiliser pour persuader un individu rationnel?
A
  • Avec ce premier type de stratégies, il s’agit de travailler au niveau idéologique (c’est-à-dire au niveau des cognitions : savoirs, croyances, valeurs ou opinions) (tout ce qu’on a en tête qui influence nos attitudes et nos comportement) par l’action directe du langage.
  • L’hypothèse implicite (de base) étant qu’une modification des attitudes aura comme conséquence l’apparition de nouvelles conduites.
38
Q
  1. Qu’est-ce que l’être humain rationalisant?
A

-Celui qui agit et qui pense ensuite

39
Q
  1. Quelle est la méthode de persuasion que l’on peut utiliser pour persuader un individu rationalisant?
A

Persuasion s’obtient avec ensemble de techniques comportementales, pas question d’utiliser seulement le langage verbal (rhétorique) pour argumenter et séduire afin de modifier l’attitude, mais d’obtenir certains actes ou décisions (comportements extorqués) qui vont engager celui qui les émet, rendant ainsi plus probable la réalisation du ou des comportements souhaités (comportements-cibles)

40
Q

Quesce qui menace les amitie?

A

Événements de la vie qui réduisent les contacts

 - Découverte de divergences importantes
 - Absence de réciprocité et d’équité
 - Conflits
41
Q

Principales cause de rupture amitie

A

Avoir divulgué des secrets à d’autres

 - Avoir été critiqué ou ne pas avoir été soutenu en public par cet ami
 - Ne pas avoir reçu d’aide en cas de détresse
 - Avoir exprimé de la jalousie ou avoir critiqué les autres amis
 - Ne pas avoir eu confiance en nous