Cours 10 Flashcards
Prévalence fréquente entre quel concept et les addictions?
Les problèmes de santé mental
4 modèles qui expliques la comorbidités élevée entre troubles mentaux et addiction
- Les modèles de troubles psychiatriques secondaires (addiction présente et ensuite troubles)
- Les modèle de troubles liés à la consommation de substances secondaires (troubles présents et addiction vient après)
- Les modèles de facteurs communs (certains facteurs communs causent les 2)
- Les modèles bidirectionnels (interaction entre addiction et santé mentale)
- Les modèles de troubles psychiatriques secondaires
- Les grandes lignes
- Principalement concentré sur stimulants, hallucinogènes et cannabis en raison de leurs effets psychotomimétiques (imitent effets psychoses)
- Existe pas association cohérente entre types spécifiques de substances et diagnostique trouble mental grave
- Polyconsommation est modèle le plus fréquent
- Les modèles de troubles psychiatriques secondaires
- Le cannabis comme précipitant de la psychose –» première étude
Conso cannabis au moment de l’enrôlement –» diagnostique ultérieur (après) de schizophrénie
- Les modèles de troubles psychiatriques secondaires
- Le cannabis comme précipitant de la psychose
Association entre schizophrénie et autres substances
Aucune,
Seule lien entre cannabis et développement schizophrénie (personnes doivent avoir vulnérabilité génétique)
- Les modèles de troubles psychiatriques secondaires
- Marqueurs génétiques
La relation entre schizo et cannabis dépend de…
- La dose
- Lien plus fort en cas de conso précoce de cannabis
- Pas modifié par conso d’autres substances
- Les modèles de troubles psychiatriques secondaires
- Marqueurs génétiques
Chez quelles personnes la conso de cannabis à l’adolescence augmente le risque de développer trouble schizophréniformes ultérieurement?
Chez personnes ayant marqueur génétique de risque de schizophrénie
- Les modèles de troubles psychiatriques secondaires
- Questions que les gens se posent:
- Si usage de cannabis provoque schizo chez certaines personnes vulnérables, autrement, n’auraient pas développé le trouble?
- Si usage de cannabis précipite l’apparition de la schizo à un âge plus précoce chez personnes qui l’auraient développé à un âge plus avancé?
- Les modèles de troubles psychiatriques secondaires
- Le cannabis pourrait influencer début psychose:
hypothèse exogène
- Drogue cause troubles (modifie le système)
- Apparition ou exacerbation des symptômes associés à la schizophrénie
- Les modèles de troubles psychiatriques secondaires
- Le cannabis pourrait influencer début psychose:
hypothèse endogène
- Individus ont déjà schizophrénie et cannabis vient accentuer
- Les modèles de troubles liés à la conso de substances secondaires
- Définition
- Modèle qui postulent que maladies mentales graves augmentent la vulnérabilité individus de développer trouble lié à conso substance active
- Les modèles de troubles liés à la conso de substances secondaires
- Les 3 modèles
A. L’atténuation des symptômes/la dysphorie
B. L’hypersensibilité
C. Le dysfonctionnement du circuit de la récompense du cerveau
- Les modèles de troubles liés à la conso de substances secondaires
A. l’atténuation des symptômes/la dysphorie
- Personnes ayant troubles mentaux tendance à conso substances en réponse à détresse (théorie automédic) –» soulagement sensation désagréables
- Peu preuves de sélection substances spécifiques en fonction diagnostiques
- Personnes ayant troubles mentaux consomment même substances que reste pop, mais à taux plus élevés
- Les modèles de troubles liés à la conso de substances secondaires
- B. hypersensibilité
Élaboration modèle stress-vulnérabilité
- Vulnérabilité = sensibilité bio au stress qui pourrait aussi s’appliquer aux effets substances–» personnes ayant troubles mentaux sont plus susceptibles de subir conséquences négatives suite à usage, même si ptite qt
- Personnes ayant troubles en même temps tendent à conso qt plus faible que celles
- Les modèles de troubles liés à la conso de substances secondaires
- B. hypersensibilité
- Qui entre les personnes ayant des addiction en même temps (concomittantes) et addiction avant troubles (addiction primaire) consomme le moins?
Les personnes ayant troubles concomittants consomme qté plus faible
- Les modèles de troubles liés à la conso de substances secondaires
- B. hypersensibilité
- Qui entre les personnes ayant des addiction en même temps que leur trouble (concomitantes) et addiction avant troubles (addiction primaire) ont le plus de chance de développer dépendance physique?
personnes ayant troubles concomitants
- C. Le dysfonctionnement du circuit de récompense du cerveau
- Explication
Chevauchement dans circuits neuronaux supposément impliqués à la fois dans addictions et schizo = vulnérabilité bio des addictions a lien direct avec neurobio de la schizo
- C. Le dysfonctionnement du circuit de récompense du cerveau
- Qu’est-ce que cause une dérégulation du circuit de la récompense chez les personnes schizophrènes?
Des réponses émoussées aux stimulais récompensants (plus de difficulté à ressentir émotions positives)
- C. Le dysfonctionnement du circuit de récompense du cerveau
- Pourquoi est-ce que personnes schizophrènes sont plus vulnérables aux addictions?
- Susbtances stimulent directement stimuli de la récompense
-» réponse de récompense plus forte
-» Répétition compulsive du cpt d’usage problématique
- Modèle de facteurs communs
- Définition
Le taux élevé de comorbidité résultent de vulnérabilité partagées entre les 2 troubles
- Modèle de facteurs communs
- 2 facteurs de risques étudiés en détail
a. Génétique
b. Trouble de la personnalité antisociale
*D’autres facteurs ont été identifiés mais moins approfondis
- Modèle de facteurs communs
a. la génétique
Facteurs génétiques contribuent au développement de la schizo et des addictions
*Causes génétiques uniques et communes restent inconnues
- Modèle de facteurs communs
a. la génétique
- Qui est plus susceptible d’avoir parents atteints d’un trouble de l’usage de substances entre les personnes ayant troubles comorbides et personnes ayant seulement un trouble?
Personnes ayant troubles comorbides
- Vulnérabilité génétique aux addictions joue un rôle dans le développement de certains cas de comorbidité
*Certains facteurs génétiques sont propres aux deux, et certains à un des deux.
- Modèle de facteurs communs
a. la génétique
modèles interactions gènes environnement def proposé
Modèles génétiques plus complexes expliquant la relation entre la schizo concomitante avec les addictions
- Modèle de facteurs communs
- Le trouble de la perso antisociale
Lien avec addictions
- Vulnérabilité accrue aux addictions et les troubles mentaux et à leur évolution plus sévère
- symptôme d’impulsivité
- Modèle de facteurs communs
- Le trouble de la perso antisociale
Personnes ayant trouble mental + trouble conduite/trouble antisocial sont plus susceptible de…
D’avoir des addictions comorbides que personnes avec troubles mentaux sans trouble perso antisociale
Facteur commun qui contribue à l’augmentation du taux d’addiction dans un groupe de personnes ayant troubles mentaux graves
Personnalité antisociale
- Les modèles bidirectionnels
- Définition
Interactions constantes entre troubles mentaux graves et addictions sont à l’origine de l’augmentation des taux de comorbidité
- Les modèles bidirectionnels
- Qu’est-ce qui est à l’origine de l’augmentation des taux de comorbidité?
Cette interaction constante entre troubles mentaux graves et addictions.
- Les modèles bidirectionnels
- Mécanisme
Conso substances peut déclencher trouble mental grave chez individus biologiquement vulnérables
Maintenu par la poursuite de conso de substances en raison de facteurs cognitifs socialement appris
Addiction aggrave évolution trouble mental
Aggravation des symptômes est liée à plus grande conso substances
Taux des troubles mentaux au cours de la vie
46% des personnes vivent des troubles mentaux au cours de leur vie
Le trouble le plus fréquent (l’année dernière)
Le tabac avec 22%
*Tabac pas tj inclus dans études car peu d’altération du fonctionnement et pas illégal. C’est aussi plus facile d’accès
Exemple de troubles de l’humeur
Troubles dépressifs:
- Troubles dépressifs caractérisé
Troubles bipolaires et apparentés:
- Trouble bipolaire de type 1
- Trouble bipolaire de type 2
Lien entre trouble de l’humeur et consommation de substances
- Envie de s’automédicamenter avec substances psychoactive pour diminuer affect négatif
Prévalence de la comorbidité entre les troubles mentaux et l’usage de substances (3 proportion)
- 1/4 des personnes ayant troubles mentaux en ont plus d’un
Les adultes avec troubles mentaux sont..
- 2x plus susceptible de présenter des troubles liés à la conso d’alcool
- 4x plus susceptibles d’avoir des troubles liés à la conso de drogues
La prévalence et la comorbidité entre l’usage de substances et les troubles de l’humeur
- Chez la population en générale
Troubles les plus fréquents chez les personnes ayant troubles de l’humeur:
La consommation alcool, cannabis, amphétamines et de coke (peu conso hallucinogènes car peut empêcher de dormir)
La prévalence et la comorbidité entre l’usage de substances et les troubles de l’humeur
- Chez la population en générale
Prévalence trouble de l’humeur + trouble lié à substances
20%
La prévalence et la comorbidité entre l’usage de substances et les troubles de l’humeur
- Chez la population en générale
Prévalence trouble de l’humeur + conso alcool
20%
La prévalence et la comorbidité entre l’usage de substances et les troubles de l’humeur
- Chez la population en générale
Le trouble de l’humeur avec le taux de comorbidité le plus élevé avec l’usage de substances:
Les troubles bipolaire (60% vont vivre trouble conso de substances au cours de leur vie)
La prévalence et la comorbidité entre l’usage de substances et les troubles de l’humeur
- Chez la population en traitement (pop clinique)
Prévalence de l’addiction chez les personnes traitées pour leur trouble de l’humeur
40%
comorbidité entre l’usage de substances et les troubles de l’humeur
- Chez la population en traitement (pop clinique)
Trouble de l’humeur le plus fréquent chez les personnes traitées pour leur addiction à la coke + prévalence
60% ont des troubles dépressifs
Auto-traitement/automédication chez personnes ayant troubles de l’humeur
- Proportion des personnes ayant consommé pour soulager leurs symptômes
1/4
Auto-traitement/automédication chez personnes ayant troubles de l’humeur
- La prévalence la plus élevé d’automédication a été observée chez personnes ayant quel trouble?
Personnes ayant troubles bipolaires
Auto-traitement/automédication chez personnes ayant troubles de l’humeur
- Qui des hommes ou des femmes est plus susceptible de déclarer un automédication de leur trouble de l’humeur par l’alcool ou d’autres substances
Les hommes sont 2x plus susceptible que les femmes de le faire.
(hommes plus impulsifs, moins support social, tendance à vouloir trouver solutions par eux-même)
Modèle artéfactuel
- Définition
Aucun lien entre le l’addiction et les troubles mentaux car ce serait exactement le même problème
Évolution au fil du temps
- Est-ce la dépression qui déclenche la conso d’alcool ou l’inverse?
Les deux peuvent se produire à différents moments
Évolution au fil du temps
- Résultats cliniques longitudinaux
- Les personnes qui sont passées d’une conso faible à une conso plus élevée semblent boire pour soulager la tension et la détresse
- Personnes qui buvaient bcp à la base semble avoir développé habitudes de conso chronique qui contribuent à leur épisode dépressif (et non l’inverse)
Évolution au fil du temps
- Résultats cliniques longitudinaux
Résumé en ordre
- boire pour soulager humeur négative
- Conso d’alcool peut devenir prob chronique
- Épisodes dépressifs plus sévères
*Grande interaction entre symptômes dépressifs et conso de substances
Impact des troubles comorbides: addiction + troubles de l’humeur
- Pour la personne
- Symptômes cliniques bcp plus graves
- Taux élevés troubles anxieux
- Cpt suicidaires plus marqués
- Hospitalisation plus fréquente
- Antidépresseurs peuvent être mois efficaces
- Évolution clinique/résultats moins bons
- Mortalité de 12 à 34 ans plus tôt
Impact des troubles comorbides: addiction + troubles de l’humeur
- Pour la population
- Risque accrue de criminalité
- Niveaux élevés d’incapacité
- Grand nbre de jours d’inactivité
- Contribution significative à la charge globale de la maladie
*Comorbidité présente un ensemble de difficultés uniques à chaque troubles
Prévalence comorbidité des troubles anxieux et troubles liés à l’utilisation de substances
- Pop générale
- Prévalence des personnes qui font de l’anxiété qui ont une comorbidité avec troubles de conso substances psychoactives
13%
Prévalence comorbidité des troubles anxieux et troubles liés à l’utilisation de substances
Pop générale
Prévalence des personnes qui ont un trouble de substances ayant une comorbidité avec l’anxiété
19%
Prévalence comorbidité des troubles anxieux et troubles liés à l’utilisation de substances
Pop générale
- Susceptibilité des personnes ayant trouble d’alcool de développer troubles anxieux
2x plus susceptible
Prévalence comorbidité des troubles anxieux et troubles liés à l’utilisation de substances
Pop générale
- Combien de personnes atteintes d’un trouble anxieux généralisé présente un trouble comorbide lié à la conso de substances psychoactives?
près de la moitié des personnes ayant trouble anxieux
Prévalence comorbidité des troubles anxieux et troubles liés à l’utilisation de substances
Pop clinique
- Bcp plus élevés que dans pop générale
- Parmis personnes traités pour troubles alcool 2/3 avaient prob avec anxiété
- Parmi personnes traités pour troubles anxieux: 1/3 avait également troubles conso alcool
Auto-traitement/automédication trouble anxieux:
Combien de personnes répondant aux critères d’un trouble anxieux font de l’auto-médic dans pop générale?
Environ 20%
Auto-traitement/automédication trouble anxieux:
- Qui des hommes ou des femmes font plus d’automédoc avec alcool?
Même taux d’automédoc avec alcool
*homme font plus d’automédoc avec autres substances
Association entre troubles anxieux et addiction?
- Est-ce que ce sont les troubles anxieux qui cause troubles conso alcool ou vice-versa?
Les deux peuvent survenir
Auto-traitement/automédication trouble anxieux
- Association entre troubles anxieux et addiction?
- Modèle du feed-foward définition
Automédication anxiété avec conso susbtances, tout de suite après la survenue des symptômes.
Cela peut exacerber les prob de conso substances + augmenter symptômes de l’anxiété.
Auto-traitement/automédication trouble anxieux
- Automédication anxiété avec conso susbtances, tout de suite après la survenue des symptômes.
- Mécanisme derrière le modèle du feed-foward
- Bien que conso soit immédiatement anxiolitique, conso peut devenir anxiogène sur longues périodes de temps
- Conso empêche l’expérience de l,anxiété de se produire = empêche d’apprendre qu’expérience est moins effrayante qu’on l’imagine
- Symptôme sevrage peuvent imiter symptômes anxiété –» nouveaux cas automédoc
Comment alcool affecte-t-il anxiété:
- Résultats études expérimentales
- Résultats ambigus sur si alcool diminue réellement anxiété
Comment alcool affecte-t-il anxiété:
- Conso alcool peut temporairement réduire anxiété (éthanol) mais…
N’implique pas que conso alcool n’augmente pas également anxiété (modèle feed-foward)
Comment alcool affecte-t-il anxiété:
- Importance des médiateurs et modérateurs (exemple)
- Alcool lorsqu’on est concentré sur anxiété: exacerbe attention sur anxiété (ex: conso avant exam)
- Alcool lorsqu’on est heureux: focus attention sur émotion positive (ex: conso pendant une fête)
Impacts des troubles comorbides: addiction + troubles anxieux
- Utilise davantage service de santé mentale
- Présente symptomatologie + incapacité + grave
- Durée trouble + longue
- Qualité de vie plus faible
- Risque accrue idée/tentative suicide
Pourquoi est-ce important d’évaluer la comorbidité?
- 3 raisons
- Présence de 2 troubles ou += moins bons résultats de traitement et + utilisation services santé
- personnes présente de troubles, + impact sur son fonctionnement est important
- Prob de maintenir une personne en traitement pendant période optimale dépend de la prise en compte des troubles cooccurrents –» approche de traitement intégrée est nécessaire
Identification des liens entre les troubles
- Qu’est-ce qui doit être attentivement évalué lorsqu’une personne présente une ensemble de symptômes qui pourraient être liés à une substance et également influencé par présence d’un autre trouble?
- L’évolution dans le temps
- Les symptômes associés des troubles coexistant
- Différencier les symptômes du trouble de l’humeur de ceux du sevrage
Identification des liens entre les troubles
- Les différentes possibilités (5):
- Les symptômes sont-ils causés par le sevrage ou par l’intoxication?
- La conso de substances est-elle à l’origine des troubles mentaux ou des symptômes cooccurrents?
- Conso de substances se produit elle uniquement lorsque les symptômes de santé mentale sont présents?
- Les symptômes concomitants de conso substances et prob santé mentale ont-ils des effets synergiques (multiplié en étant mis ensemble) mutuels?
- Plusieurs troubles peuvent être présents sans relation de cause à effets
Identification des liens entre les troubles
1. Les symptômes sont-ils causés par le sevrage ou par l’intoxication?
- Si c’est les symptômes sont causés par l’un ou l’autre, il n’y a pas de comorbidité avec les autres troubles
- Si symptômes reliés à une substance, ils devraient disparaitre rapidement après le sevrage/intoxication
Identification des liens entre les troubles
2. La conso de substances est-elle à l’origine des troubles mentaux ou des symptômes cooccurrents?
- Si conso cause trouble mentaux, ceux-ci sont appelés troubles induits par conso de substances
- Les symptômes du trouble concomitant disparait généralement quelques semaines après l’arrêt de la conso de substances
Identification des liens entre les troubles
3. Conso de substances se produit elle uniquement lorsque les symptômes de santé mentale sont présents?
Ex: personne anxieuse vie anxiété car elle va sans évènement social et consomme donc de l’alcool.
- Au fil du temps, conso devient plus importante (exacerbation prob santé lié à l’alcool)
*Si symptôme d’addiction disparait après thérapie troubles anxieux, ce n’était pas une vrai addiciton.
Identification des liens entre les troubles
4. Les symptômes concomitants de conso substances et prob santé mentale ont-ils des effets synergiques (multiplié en étant mis ensemble) mutuels?
Les symptômes concomitants de conso substances et de santé mental peuvent se produire indépendamment de la relation causale initiale.
Cela veut dire qu’un premier épisode peut être causé par une substances, et les autres symptômes ultérieurs vont être causés indépendamment de la substances..
Identification des liens entre les troubles
5. Plusieurs troubles peuvent être présents sans relation de cause à effets (ex)
Personnes ayant problème d’alcool toute sa vie vit évènement traumatisant et développe PTSD. Deux troubles sont indépendants.
- Le premiers peut cependant exacerber le deuxième.
Dépistage des troubles mentaux chez les personnes ayant une addiction.
- À quoi servent les instruments de dépistage
À signaler l’existence d’autres problèmes important qui pourrait nécessiter:
- Une évaluation plus approfondie
- l’inclusion dans un plan de traitement.
Dépistage des troubles mentaux chez les personnes ayant une addiction.
- Qualité des instruments de dépistages
- Brefs
- Facile à administrer
- Notés et développer pour être utilisés dans différents contextes
Fonctionnement du dépistage pour le trouble addictif chez les personnes ayant des troubles mentaux
- Identifier les domaines à traiter pour évaluation plus approfondie et traitement.
- Plusieurs catégories d’instruments d’évaluation pour identifier les troubles addictifs.
Les 5 différentes catégories d’instruments d’évaluation pour troubles addictifs:
- Instrument de dépistage
- Habitudes de consommation
- Mesures de niveau de l’addiction et les symptômes
- Mesures des problèmes liés à la consommation de substances
- Tests médicaux.
**Plupart des mesures auto-évalués par client
L’entrevue clinique
- Pour quelles raisons sont-elles fortement recommandé?
Pour différencier les addictions des autres troubles mentaux
L’entrevue clinique
- Qualité
Précis et grande fiabilité
L’entrevue clinique
Désavantage
- Prennent bcp + de temps qu’autres instruments
- Pas d’indice de gravité des symptômes
- Nécessite formation à l’administration et à la notation de l’entretien clinique.
Le diagnostique de comorbidité
- utilité
Planifier un traitement
Le diagnostique de comorbidité
- Quand peut-on dire qu’un trouble mental est diagnostiqué?
Quand un ensemble de critère clairement spécifiés pour la présence d’un trouble ont été remplis
Le diagnostique de comorbidité
- Pourquoi est-ce que le diagnostique d’addiction et des autres troubles mentaux sont difficiles à établir?
- Car symptômes se chevauchent souvent
*Évaluation diagnostique devrait idéalement avoir lieue après période d’abstinence
Certains problèmes dans le diagnostique de comorbidité
- Ont empêchés notre compréhension et notre capacité à quoi?
Notre compréhension de l’étiologie (origine) des troubles comorbides et notre capacité à les traiter efficacement
Certains problèmes dans le diagnostique de comorbidité
- Les diagnostiques cliniques peuvent ne pas être fiable en fonction de 5 sources d’erreurs:
- Variance du sujet:
- Variance d’occasion:
- Variance d’observation
- Variance d’information
- Variance de critère
- Variance du sujet
individus ont diagnostiques différentes à moment différents de leur vie (personnes peut avoir trouble anxieux pendant enfance et trouble addiction plus tard)
- Variance d’occasion:
les individus peuvent se trouver à différents stades d’un même trouble à différents moments (personnes bipolaire se trouve dans sa phase dépressive)
- Variance d’observation
cliniciens remarquent choses différentes à propos du même client (regard clinicien est subjectif)
- Variance d’information
Les cliniciens ont des sources d’informations différentes
- Variance de critère
Les critères diagnostiques peuvent varier selon les manuels utilisés par les cliniciens