Cours 1 Flashcards
Étapes du processus de la perception (7)
- Environnement stimulus
- Light is reflected and transformed
- Receptor processes
- Neural processing
- Perception
- Recognition
- Action
Stimulus environnemental (étape 1 et 2)
Tout objet dans l’environnemental qui peut donner lieu à une perception par un observateur (qui choisit ou non de prêter attention)
La perception
Représentation interne de la stimulation des divers récepteurs du corps que cause le stimulus environnemental; Correspond essentiellement à l'expérience de prise de conscience du stimulus
Stimulus proximal
image de l’objet sur la rétine
La transduction (étape 3)
se produit quand l’énergie
environnementale est transformée en
impulsions nerveuses
Exemples de récepteurs sensoriels
dans les cônes et bâtonnets, les
pigments visuels sont photosensibles et
réagissent à la lumière
Le traitement nerveux
L’ensemble
des changements qui se produisent lors de la
transmission des impulsions nerveux au
travers des structures du SNC
Principales régions sensorielles du SNC
Le lobe occipital (vision)
Le lobe temporal (audition)
Le lobe pariétal (sensations de la peau)
Les réponses comportementales (étape 5-7)
Perception (prise de conscience du stimulus)
La reconnaissance se produit lorsqu’un objet
perçu est placé dans une catégorie et
acquière ainsi une signification (sémantique)
Action (comportement moteur en réponse à la reconnaissance)
Traitement ascendant
Basé exclusivement
sur l’information sensorielle reçue (résultant de
la transduction);
Aussi appelé traitement dirigé par les données
Traitement descendant
Basé principalement
sur les connaissances préalables de
l’observateur;
Aussi appelé traitement dirigé par les concepts
La psycho-physique
La relation entre le
stimulus environnemental et la
perception qui en résulte
La physiologie
La relation entre le
stimulus environnemental et les
processus physiologiques
Visual form agnosia
An inability to recognize objects
Le test de l’aiguille unique (Weber)
Weber touche légèrement un sujet humain,
préalablement aveuglé par une cagoule, avec une
aiguille en variant l’intensité de la pression exercée
par l’aiguille sur la peau du sujet;
Weber demande alors au sujet s’il a senti ou non
l’aiguille le toucher
Notions qu’adresse l’expérience du test de l’aiguille unique
Seuil absolu, c-a-d la quantité d’un stimulus requis
pour en détecter la présence
La méthode des limites
Des stimuli de diverses intensités sont présentés en ordre ascendant et descendant par le chercheur
Le sujet indique s’il détecte ou non les stimuli;
L’intensité à laquelle il change de réponse (de oui à non OU de non à oui) est le seuil absolu
La méthode de l’ajustement
L’intensité de stimulus est graduellement, mais de façon continue, augmentée (ou
diminuée) par le sujet jusqu’à ce qu’il indique au chercheur qu’il détecte (ou ne
détecte plus) le stimulus;
Divers essais sont faits et la moyenne obtenue est le seuil absolu
La méthode des stimuli constants
Entre cinq à neuf stimuli des différentes intensités sont présentés dans un ordre
aléatoire
Des essais sont faits
Le seuil est l’intensité qui résulte en une détection dans 50% des cas (ou le pourcentage le plus proche)
Le test des deux aiguilles
Weber touche légèrement un sujet humain, préalablement aveuglé par une cagoule, soit avec une aiguille ou soit avec deux aiguilles;
Weber demande alors au sujet combien d’aiguilles il
avait senties
Notions qu’adresse le test des deux aiguilles
Seuil différentiel, c-a-d la quantité minimale de
changement ou de différence requise pour détecter
qu’un changement s’est produit dans la stimulation
(ie deux aiguilles plutôt qu’une)
La différence minimale détectable ou le seuil différentiel
Weber découvre éventuellement qu’il y a donc une
certaine distance entre deux pointes à laquelle les
sujets pouvaient détecter la présence de deux
pointes, mais que lorsque plus proche que cette
dite distance, les deux pointes étaient « senties »
comme une seule;
La loi de Weber
La loi de Weber (I = K * I ou I / I = K)
I est la différence de magnitude minimale, ou
« seuil différentiel »
I est la magnitude des stimuli
K est une constance, appelée « la fraction de
Weber »
Quand I augmente, I augmente
proportionnellement à K
La psychophysique
l’étude du rapport entre la force d’un stimulus
et la force de la sensation ressentie dans
l’esprit de la personne
Quatre questions fondamentales de la psychophysique
Le problème de la détection
Le problème de l’identification
Le problème de la discrimination
Le problème de la gradation
Le problème de la détection
Savoir comment on mesure qu’une personne détecte ou non la présence d’un stimulus d’une magnitude (intensité)
donnée
Le problème de l’identification
Savoir comment on détermine la capacité d’une personne de dire ce qu’est le stimulus
Le problème de la discrimination
Savoir comment on mesure la capacité d’une personne à
distinguer différents stimuli les uns des autres
Le problème de la gradation
Savoir comment
on détermine quelle quantité du stimulus est
détectée
Les observations de Fechner
Fechner pense que l’après-image que l’on « voit »
après avoir regarder le soleil est « la perception » ou
« représentation psychologique » du soleil.
Ainsi, le soleil serait la chose physique, et l’après image
serait la forme spirituelle ou psychologique ou
perceptuelle de ce dernier.
La loi de Fechner
S = K * log(R) / RO;
S représente la perception, ou l’impression psychologique
(ce que l’on voit)
K est une constante dont la valeur est différent pour chacun
des sens
R représente l’intensité physique du stimulus
RO est le seuil absolu
Ce que démontre la loi de Fechner
Une découverte énorme qui montre le rapport
fonctionnel entre le corps et l’esprit, entre le physique et le psychologique, et va mener à l’analyse objective des
expériences subjectives
Stanley Stevens
Méthode de l’échelonnage;
Propose de demander à des personnes d’assigner un nombre à l’intensité d’un stimulus donné;
Pas conforme avec la formule de Fechner
La loi de la puissance de Stevens
S = k I
S est la sensation perçue
I est l’intensité de la stimulation
K est une constante qui dépend du système
sensorielle
est « l’exposant de Stevens » et dépend du
type de stimulation
Studying the perceptual process
Relationship A : stimulus-perception relationship
Relationship B : stimulus-physiological relationship
Relationship C : physiology-perception relationship