Cours 1 Flashcards
Quest-ce que la psychologie légale?
Ce sont les services psychologiques qui sont fournis à des personnes qui sont impliquées dans le système de justice.
Est-ce-que la psychologie légale est une sous division de la psychologie clinique?
Oui.
Quels sont les intérêts de la psychologie légale?
Souvent, attaché à la psychologie légale, on voit la psychologie médico légale et la psychologie forensique.
Quest-ce que la psychologie forensique?
On se concentre sur la personne qui a commis le crime, sur pourquoi elle l’a commis, comment on évalue sa santé mentale/son comportment, etc.
À quels concepts pouvons-nous nous intéresser en psychologie légale?
Aux droits civils (Ex: dossiers de garde d’enfant, des personnes hospitalisées contre leur gré, etc) et a la victimisation (on s’intéresse à la victime, si on peut l’aider dans le processes judiciaire/ de réhabilitation.
Quelles périodes historiques voyons-nous dans le cadre du cours?
Les éthiques d’Aristote, La chine, l’Angleterre, le XVIIIe siecle, le XIXe siecle, les effets des médias sur la prise de décision du jury, profilage criminel et Hugo Munsterberg.
Quest-ce que les éthiques d’Aristote? Comment le code moral était-il rédigé?
Il s’intéresse au raisonnement moral de la personne, quest-ce qui fait que la personne commettait un crime. Le code moral à cette époque était redigé ainsi → Si une personne essayait d’être morale, elle ne commettait pas de crime et vice-versa. Avant de punir la personne, il fallait voir cetait quoi le choix de la personne avant de commettre un crime (est-ce qu’elle était consciente de ses choix/actions ou avait-elle une pression?). Aristote disait que si elle n’est pas consciente, ce n’est pas juste de la punir.
Que se passait-il en Chine par rappport à la psychologie légale?
Le premier livre médico légal par Song Ci.
Que se passait-il en Angleterre par rapport à la psychologie légale?
Devient de plus en plus moderne. On commence à penser davantage à l’implication de la santé mentale dans le système. Si la personne n’est pas dans un esprit sain, est-elle vraiment responsable des actes qu’elle a commis? On peut commencer à voir des personnes qui disent qu’ils ont des troubles, qu’ils ne sont pas responsables.
Que se passe-t-il au XVIIIe siècle par rapport à la psychologie légale?
L’époque des Wild beast tests. Si quelqu’un avait commis un crime, il pouvait dire qu’il était non coupable s’il n’était pas capable de comprendre ce qu’il a fait au même niveau qu’un enfant, qu’une brute ou qu’une bête sauvage. De nos jours, conceptualiser quelque chose comme ça c’est assez péjoratif. Ça réduit la personne donc on n’utilise plus ces termes.
Que ses passe-t-il au XIXe siècle par rapport à la psychologie légale?
L’époque du MNaughten Rule. C’était un homme qui avait tué le secrétaire du premier ministre de façon violente et il a plaidé non coupable parce qu’il était en psychose. Il y a des gens qui étaient inquiets de ces résultats et ils ont instauré ce critère qui est de dire Une personne est considérée non coupable si ils sont inconscients (déconnection réalité) ou si ils savent ce qu’ils sont en train de faire mais ils ne savent pas que c’est mauvais (ex; entendre des voix qui me disent de commettre l’acte et à cause de la perte de contact j’agis).
Qu’est-ce que l’article 16?
De nos jours, le cas MNaughten Rule est réglementé par cet article. L’individu est non criminellement responsable en raison de trouble mental. Donc, on voit que ce n’est pas un article de non culpabilité mais de non responsabilité.
Quels sont les effets des médias sur la prise de décision du jury en psychologie légale?
C’est en 2005 où il y a un procès où on voit que les témoins ne sont pas capables de différencier ce qu’ils ont vu dans les journaux et ce qui s’est passé. Loftus voit que les gens ont bcp de difficulté à séparer les informations. On voit que si le témoin a vu l’évènement et se fait dire une mauvaise information, cela va affecter sa mémoire et ils intègrent la mauvaise information.
Que se passe-t-il par rapport au profilage criminel en psychologie légale?
Le tout premier cas était en 1888 avec le cas de Jack the ripper. Thomas Bond, un médecin qui travaillait pour la police, avait analysé le corps des victimes mutilées pour informer un profil des patrons comportementaux. Un profil comme ça c’est le premier qui peut être dit comme étant un profilage criminel. De nos jours, on ne fait plus vraiment ça comme ça, puisque ça a peu d’appui empirique.
Qui est Hugo Munsterberg?
Dans la même période de temps, il y avait un psychologue qui faisait des études sur les témoignages oculaires. Il avait bcp étudié les faux aveux (même dans les années 1800 on voyait des faux aveux). Il aborde une expertise médico légale et avance que quelqu’un de non coupable peut avouer quelque chose sous pression psychologique.