COUR 8 Flashcards
Dans quelle mesure, pour nos ancêtres, l’attachement mutuel permit la survie du groupe ?
- Coopération et bonnes relations = Adaptation
- Travail et organisation (équipe et ressources)
- Normes
VRAI ou FAUX : L’amour et le support entre deux parents n’augmente pas la chance de survie des enfants
FAUX.
VRAI ou FAUX : Les bonnes relations interpersonnelles sont cruciales à la santé humaine
VRAI. C’est un prédicteur trèèèèèès important pour la santé (plus que le prestige, l’argent ou l’accomplissement)
Nomme deux types de valeurs selon Kasser, 2002. Lequel prédit le mieux le bien-être ?
Valeurs matérialistes vs valeurs communautaires.
Les valeurs communautaires sont de meilleures prédicteurs au bien-être.
VRAI ou FAUX. Les connections sociales représentent un prédicteur de la santé aussi grand que le fait de ne pas fumer, de faire de l’exercice, etc.
VRAI. En plus des bonnes habitudes de vie, ces connections sont aussi très importantes
Nomme 4 “raisons” que donne Ed Diener pour expliquer l’importance des relations interpersonnelles dans le bonheur
- Besoin de l’apprentissage, connaissances, hobbies (non-attaché au succès)
- Importance d’avoir des buts qui sont plus grand que soi (lié à la société)
- Rôle de l’environnement physique
- Se sentir connecter à des choses qui sont plus grandes que soi
Qu’est-ce que le besoin d’appartenance ? (Baumeister & Leary, 1995; Leary & Guadagno, 2011)
Le besoin de former et de maintenir une quantité minimale de relations interpersonnelles significatives, durables, positives
- Qualité et stabilité (pas nombre)
- Continues et positives
Qu’est-ce que le modèle du sociomètre ?
L’exclusion sociale peut diminuer L’ES, donc effet néfaste sur la santé et le b-ê
Explique le rôle de l’incertitude dans le besoin de l’appartenance, selon l’étude de Schachter (1959)
But : “Effets physiologiques des chocs électriques”
- Invite les gens 1 à 1
- Moitié sont informés qu’ils recevraient des chocs avec douleur, l’autre moitié sans douleur
- VI : Avec ou sans douleur
- VD : Choix de la situation d’attente (seul ou avec quelqu’un)
Résultat : 33% cond. sans douleur attendent avec quelqu’un, 63 % des gens cond. douleur allait dans la salle ou il y avait quelqu’un
–> Le fait de s’attendre à quelque chose qui peut être douloureux, nous pousse à aller chercher la présence des autres (INCERTAIN - PEU DE CONTRÔLE)
Explique l’effet du stéréotype “Ce qui est beau est bon” sur les relations interpersonnelles
On attribue des choses/caractéristiques plus positives à quelqu’un de beau
- Sont jugés plus confiants, plus affirmatifs, ayant de meilleures habiletés sociales, ayant une plus grande moralité
Nomme les 5 indicateurs de beauté
- Visage moyen (“moyenne” - Rassurant/familier)
- Structure du visage
- Ratio tour de taille/hanche
- Ratio longueur des jambes/grandeur (toutes cultures confondues)
- Beauté virtuelle
VRAI ou FAUX. C’est la beauté objective qui prédit le bien-être psychologique, pas la satisfaction corporelle.
FAUX. La satisfaction corporelle (PERCEPTION) prédit le bien-être psychologique.
Explique l’étude de Newcomb, 1961, sur les étudiants de résidence et la proximité
- 1 : Ou se trouve la chambre de votre meilleur ami de résidence ? (même bâtiment)
- 2 : Ou dans le bâtiment ? (Réponse la plus donné = Chambre à côté)
–> On se lit d’amitié avec les gens qui sont proche de nous
Pourquoi les interactions fréquentes (proximité) augmentent l’attirance ?
- Effet de simple exposition : Augmente la familiarité, qui prédit une attitude positive
- Effet de dissonance cognitive : Voir quelqu’un souvent est en soi un comportement, donc on modifie notre attitude en conséquence (concordance cognitive)
Qu’est-ce que le “phubbing”
L’utilisation du cellulaire dans les interactions sociales
Explique l’étude sur le phubbing
- Regarder une courte vidéo d’une interaction et l’évaluer
- 3 conditions : L’autre regarde son cell la majorité du temps, la moitié du temps, ne regarde jamais son cell
- Plus le phubbing est grand, moins les gens se sentent bien dans l’interaction et moins ils rapportent une bonne qualité de l’interaction
–> Impact réel dans la relation
Explique les concepts de similarité et de complémentarité dans les relations
Complémentarité : les contraires s’attirent
Similarité : Ceux qui se ressemble s’assemblent
On aime être pareille sur nos valeurs, mais différents dans nos habileté (pratique + diminue la compétition)
Explique le paradigme de Donn Byrne et ses collègues
- Questionnaire de manière individuelle, puis on apporte un autre questionnaire (très différent ou très similaire) et on demande si la personne aimerait participer à l’étude avec cette autre personne.
–> Les différences mènes à moins d’attirance - Savoir si la personne fait partie du même groupes ? (base des stéréotypes)