Contre L’argument Flashcards
Contre l’argument de l’égalité juridique
Pour Marx, dans l’idéologie allemande, l’argument de l’égalité juridique est un sophisme, c’est-à-dire un raisonnement faux, accompagné d’une apparence, de vérité, effet dans l’intention délibérée de tromper. L’égalité juridique est une égalité purement formelle pour ceux qui n’ont pas les moyens eco et sociaux de jouir de leur leur droit. Les hommes dans le libéralisme sont égaux en droit mais ils ne sont pas égaux en libertés réelles. C’est un argument idéologique qui cherche justifier les ingurgiter éco et social, elles-mêmes injustes. L’État doit intervenir pour établir l’égalité des chances réelles, il serait plus juste d’être équitable pour avoir une égalité des chances réelles.
Contre l’idée de la récompense aux mérites
Pour Marx, cet argument entretient une illusion volontariste selon laquelle il y aurait, chez l’homme, une toute puissance de la volonté. Cette thèse est très discutable, on peut perdre jusqu’à la volonté de s’en sortir.
Les mérites sont incommensurables. Ou bien on juge les personnes sur l’idée que l’on se fait de leur mérite. Et dans ce cas on ne peut pas éviter l’arbitraire c’est-à-dire l’injustice. Ou bien pour éviter l’arbitraire, on instaure un État qui surveille chaque individu au plus près de sa vie personnel, ce qui cette fois-ci, elle est sens même d’un régime tyrannique.
Contre l’argument «naturaliste»
Contre l’argument de la souveraineté du peuple
S’il est vrai qu’un peuple affirme sa propre liberté, quand il obéit aux lois qu’il s’aime librement prescrit, alors l’argument peut aisément se retourner contre lui-même, car la volonté du peuple n’est pas et ne peut pas être une anime sur toutes les questions qui traverse l’organisation d’une société. Il n’y a que dans les régimes totalitaires que c’est unanimité existe parce qu’elle est forcé.
La majorité qui se dégage sur telle ou telle question est fondée à se dire, elle-même, libre, puisqu’en obéissant en loi, elle obéit à sa propre volonté. Mais, la majorité dans un peuple n’est pas le peuple lui-même, et donc les minorités perdante serait quant à elle fondé à conclure que leur liberté n’est parce qu’elles sont contraintes par l’État à obéir à des lois qui ne correspond pas à leur propre volonté.