Conséquences du divorce sur l'adulte Flashcards
Conséquences du divorce sur l’adulte
- Le divorce est fréquemment suivi d’un remariage. Ce mariage de “deuxième ordre” a une probabilité plus grande de terminer en divorce qu’un mariage de premier ordre –> le divorce appelle le divorce
- Perturbations psychologiques (dépression p. ex.) et problèmes de santé somatique, surtout chez les hommes
- Isolement social : moindre réseau social, vie sexuelle moins satisfaisante
- Difficultés économiques (surtout les femmes), qui à leur tour expliquent des perturbations psychologiques
- Difficultés à élever les enfants, avec un parentale perturbé (p. ex. au niveau de la discipline)
Biais de la littérature sur le divorce
A la recherche de conséquences négatives. Quelques études montrent des conséquences positives : autonomie, croissance personnelle, bonheur, etc. Surtout chez le conjoint qui “quitte” par rapport à celui qui “est quitté”
–> dans certains cas, le divorce est une charge chronique (chronic strain) avec des conséquences sur le long terme; dans d’autres, il est une crise transitoire qui permet une réorganisation avec disparition des conséquences négatives.
Facteurs protecteurs
> Intra-personnels : estime de soi, self-efficacy, capacités d’ajustement (copine), culture du mariage et du divorce (tragédie personnelle, opportunité pour un nouveau départ)
Inter-personnels : support social (soutien du réseau familial, d’amis), emploi
2 modèles (chez l’enfant)
- Modèle causal ====> 2. Modèle “séléctif”
divorce Au niveau de la population, les études longitudinales parlent très largement en faveur du premier modèle (augmentation de la détresse au cours du temps et spécifiquement après le divorce)
> Très peu d’évidence pour le second modèle, si ce n’est que les problèmes de l’enfant commencent souvent plusieurs années avant le divorce (cf. comportements antisociaux), ce qui reflète simplement la détérioration progressive des relations maritales
2 modèles (chez l’adulte)
- Modèle causal ====> 2. Modèle “séléctif”
divorce Au niveau de la population, les études longitudinales parlent en faveur du premier modèle (augmentation de la détresse au cours du temps et spécifiquement après le divorce)
> Au niveau individuel, des troubles préexistants (alcool, dépression, personnalité antisociale) peuvent expliquer le divorce