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Hiver 2024 > Compétences de base (examen 1) > Flashcards

Compétences de base (examen 1) Flashcards

1
Q

Qu’est-ce qu’une relation d’aide

A

-relation dans laquelle une personne en aide un autre à explorer ses pensées, émotions et comportements
-pour comprendre son expérience interne
-dans le but d’effectuer des changement

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2
Q

vrai ou faux une relation d’aide peut être autant professionnelle que personnelle

A

vrai

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3
Q

deux caractéristiques de la relation collaborative d’une relation d’aide

A
  • aidant guide l’aidé mais de manière bidirectionnelle
  • aidé choisit ce qu’il veut changer, comment et quand
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4
Q

qu’est-ce qu’une psychothérapie

A

vise à amener des changements significatifs dans le fonctionnement de la personne

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5
Q

qu’est-ce (4) différencie la psychothérapie de la relation d’aide

A
  • basé sur des fonctionnements théoriques du domaine de la psychologie
  • nécessite une formation doctorale ou psychothérapeute
  • implique une recherche d’aide
  • plan de traitement adapté aux besoins de la personne
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6
Q

quelles sont les 3 étapes du modèle à 3 étapes

A

1 = expression = qu’est-ce que je vis présentement (pensée, comportement, émotion)
2 = compréhension = qu’est-ce que cela me dit sur moi
3 = recherche de solution (pas tous atteigne) = qu’est-ce que je fais avec cela

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7
Q

que vise-t-on qui est commun au trois étapes

A

diminuer la détresse émotionnelle
avoir des émotions plus adaptées

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8
Q

l’étape 1 d’expression apporte quoi pour l’aidé versus l’aidant

A

AIDÉ
- ventiler
- soulagement en diminuant intensité émotionnelle
- incite à l’implication

AIDANT
- création alliance
- mieux comprendre l’aidé en explorant ses pensées, émotions, comportements et sensations physiques (somatisation)

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9
Q

que doit éviter de faire l’aidant durant l’expression

A

éviter de s’imposer et ou de déduire = préférable de poser davantage de questions concrètes

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10
Q

l’étape 2 compréhension apporte quoi pour l’aidé versus l’aidant

A

AIDÉ
- questionner sur ce que je vis
- pourquoi je réagis ainsi
- soulagement
- introspection

AIDANT
- formuler compréhension situation
- explorer sources manifestées et cachées
- pas justifier la situation mais comprendre comment la personne compose avec la situation
- aider l’introspection

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11
Q

l’étape 3 recherche de solutions apporte quoi pour l’aidé versus l’aidant

A

AIDÉ
- comprendre différentes avenues de résolution
- passer à l’action
- évaluer les changements

AIDANT
- explorer avenues solutions
- encourager la personne à choisir les options les mieux pour elle
- faciliter développement habiletés relier à l’action
- assister dans les essais de changements et faire un retour (les évaluer)

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12
Q

pourquoi important d’avoir un modèle

A
  • permet d’avoir une approche globale mais qui s’adapte aux différentes situations (durée)
  • vue d’ensemble
  • cadre conceptuel
  • permet orienter les interventions
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13
Q

de quelle manière peut-on orienter l’intervention

A

ciblant le besoin dominant = expression, compréhension, action? OU en observant la saturation d’une étape

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14
Q

limites (2) du modèle à 3 étapes

A
  • n’indique pas les outils à employer
  • n’indique pas les intervention à faire à chaque étape
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15
Q

vrai ou faux, une personne peut être au niveau trois et revenir au niveau 1

A

vrai

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16
Q

qu’est-ce que la communication non-verbale

A

processus par lequel un individu crée un sens dans l’esprit d’un autre par l’usage des comportements non verbaux

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17
Q

vrai ou faux
- la communication non-verbale est seulement inconsciente
- la communication non-verbale à seulement un canal

A
  • faux = consciente et inconsciente
  • faux = plusieurs
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18
Q

expliquer les différents canaux de communication non-verbale suivant:
- kinésique
- expressions faciales
- mouvements des yeux
- haptique
- paralinguistique
- apparence physique
- proxémique
- chronémique
- olfaction

A
  • kinésique = mouvements corps = geste, posture, orientation
  • expressions faciales
  • mouvements des yeux = contact visuel
  • haptique = comportement du toucher = mordre ongles, toucher autrui, câlin
  • paralinguistique = ton, débit, intensité voix
  • apparence physique = vêtement, coiffure
  • proxémique = utilisation espace physique = besoin espace perso, dispo objet dans espace
  • chronémique = orientation dans le temps = long silence pour dynamique pouvoir
  • olfaction
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19
Q

4 moyens de communiquer de manière non-verbale nos émotions

A
  • simulation = montrer des émotions qui ne sont pas réelle = sourire dans une photo
  • intensification = montrer des émotions plus intenses que réalité = recevoir cadeau
  • désintensification = minimiser émotions = normes masculines
  • masquer = montrer des émotions différentes que celle ressentie = être en conflit mais recevoir de la visite
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20
Q

quel type de moyen de communiquer de manière non-verbale ses émotions utilise l’aidant

A

masquer

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21
Q

comment la communication non verbale et verbale peuvent-être combinées

A
  • compléter = non verbale aide à illustrer les idées prononcées
  • accentuer = non verbale met accent sur des paroles (clin d’oeil)
  • substituer = non verbale substitue verbale = faire oui de la tête
  • contredire = incohérence entre verbal et non verbale
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22
Q

qu’est-ce que l’empathie

A

si moi j’étais autrui comment je me sentirais = prendre la perspective d’autrui pour comprendre ce qu’il vit

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23
Q

quelles sont les 2 composantes indispensables de l’empathie

A
  • cognitive = comprendre comment l’autre voit le monde
  • affective = ressentir ce que l’autre ressent (celui qui manque le plus souvent)
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24
Q

3 composantes générale de l’empathie

A
  • vibrer spontanément au vécu autrui
  • se mettre à la place de l’autre
  • garder une distance émotive et demeurer centré sur l’aidé
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25
Q

qu’est-ce que la sympathie

A

partager les sentiments éprouvés par autrui

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26
Q

quelles sont les 4 composantes de la sympathie

A
  • comprendre les sentiments d’autrui
  • réagir au vécu d’autrui
  • éprouver un sentiments semblable à autrui
  • réciprocité (création d’une affinité = ce qui m’affecte affecte l’autre)
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27
Q

vrai ou faux l’empathie et la sympathie sont complètement distinct

A

faux ils se chevauchent, il n’y a pas d’empathie possible sans sympathie

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28
Q

pourquoi il faut éviter la sympathie

A

car porte à oublier les besoins de l’autre

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29
Q

2 différences et 2 similarités entre empathie et sympathie

A

DIFFÉRENCES
- garder une distance émotive vs réagir au vécu autrui
- demeurer centrer sur l’aidé vs évoluer vers réciprocité

SIMILARITÉS
- vibre spontanément au vécu autrui ou éprouver un sentiment semblable
- se mettre à sa place ou comprendre vécu autrui

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30
Q

métaphore entre empathie et sympathie

A

empathie = phare = je sens que tu es triste et je comprends pourquoi
sympathie = bouée = je vis ta tristesse avec toi

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31
Q

bénéfices empathie pour l’aidant versus l’aidé

A

AIDÉ
augmente
- profondeur du lien, confiance, ouverture
- connaissance soi et acceptation
- estime soi, prise décision perso

AIDANT
- surmonter ses préjugés et se sentir connecté

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32
Q

défis de l’empathie

A
  • obstacles personnels = préjugés, positions, phénomène attraction, contre-transfert
  • détresse empathique = émotion lié au soi (je suis mauvaise intervenante), sentiment désagréable (stress), épuisement, retrait social
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33
Q

comment surmonter les défis de l’empathie

A
  • considération positive = acceptation inconditionnelle autrui comme un égal
  • être à l’affût de son contre-transfert
  • prendre soin de soi
  • se demander ce que l’autre vous nous transmettre par son verbal et non verbal
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34
Q

qu’est-ce que le concept de désappropriation et réappropriation de Pearls

A

la thérapie permet de renouer contact avec les émotions et les pensées dont l’aidé s’est coupé, car elles lui font peur ou mal
“je ne peux pas changer grand-chose”
“je suis faites de même”

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35
Q

défi majeur de l’empathie

A

considération positive

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36
Q

qu’est-ce que la focalisation

A

inviter l’aidé à regarder de plus près un point précis de son problème ou vécu

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37
Q

pourquoi la focalisation est utile

A

permet de prendre conscience du moment présent

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38
Q

expliquer les 4 méthodes de focalisation
- focalisation non verbale
- question ouverte
- focalisation par répétition
- focalisation à l’aide adverbe ou conjoncture

A
  • focalisation non verbale = manifester notre attention (contact visuel)
  • question ouverte
  • focalisation par répétition = répéter un mot précis engage à détailler
  • focalisation à l’aide adverbe ou conjoncture = depuis quand, mais…, jamais?
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39
Q

6 principales fonctions de la focalisation

A
  • permettre à l’aidé de se centrer sur son vécu (ici maintenant)
  • arrêter le flot de paroles non productives
  • cerner émotion sous-jacente
  • aider à comprendre son émotion (sa cible et sa raison)
  • inviter l’aidé à résumer
  • faciliter élaboration de scénarios de solutions = il est claire pour moi que tu dois changer d’emploi, as-tu une idée comment t’y prendre
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40
Q

différence entre
- reflet
- reformulation
- reflet-reformulation
- focalisation

A
  • reflet = l’aidant communique en ses mots le sentiments/émotions qu’il croit que l’aidé vie
  • reformulation = l’aidant résume dans ses propres mots les propos de l’aidé (événement, idée, raisonnement, intention)
  • reflet-reformulation = l’aidant met dans ses mots le sentiment/émotion + la situation
  • focalisation = invite aidé à nommer lui-même ce qu’il ressent présentement
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41
Q

4 usages de la questions fermée

A
  • favoriser l’expression ou la compréhension = venir demander des détails pouvant aider à poursuivre l’échange (avez-vous des enfants, conjoint = c’est comment à la maison)
  • vérifier la compréhension de l’aidé (faire une reformulation en demandant ai-je bien compris)
  • stimuler la recherche de solution = quelle échéance vous donnez vous
  • gérer une situation de crise = pensez-vous au suicide
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42
Q

4 limites des questions fermées

A
  • enfermer l’aidé dans une séquence questions-réponses
  • mettre l’aidé dans un rôle passif
  • concentre sur infos objectives et non subjectives
  • peut être intrusif
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43
Q

donnez exemple des différents types de questions fermée suivante
- question fermée pure
- question fermée objective
- question mixte
- question orientée

A
  • question fermée pure = réponse oui ou non = avez-vous des enfants
  • question fermée objective = donné un délais précis = depuis quand sans emploi
  • question mixte = question ouverte = malgré ses infidélités l’aimez-vous encore
  • question orientée = es-tu satisfait de notre entretient
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44
Q

vrai ou faux l’écoute active se fait de manière passive

A

faux, il s’agit d’un aspect très actif

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45
Q

qu’est-ce que l’écoute et il faut tenir compte de quoi (3)

A
  • recevoir et assembler des indices verbaux et non-verbaux pour comprendre ce que l’autre tente de communiquer
  • tenir compte de chaque niveau de communication
  • tenir compte du contexte
  • écouter son contre-transfert
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46
Q

qu’est-ce que le contre-transfert

A

ressentie conscient ou inconscient de l’autre pouvant être autant positif que négatif

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47
Q

quelles sont les deux parties de l’écoute active

A
  • présence = présent physique, attentif et démontrer un intérêt
  • compréhension = capter et comprendre les messages que l’autre nous communique
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48
Q

pourquoi l’écoute a deux parties

A

car il ne suffit pas d’envoyer (présence) mais aussi de recevoir (compréhension) pour ainsi avoir une situation bidirectionnelle

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49
Q

quelles sont les 5 manières de démontrer une écoute active

A
  • regard engagé avec modération
  • attention en assimilant les informations et éviter d’être distrait
  • posture = droite, ouverte, face à autrui
  • mouvements non-verbaux avec modération
  • expression faciales actives et équilibrées
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50
Q

dans quelle zone doit-on être lors d’intervention: intime, personnelle, sociale ou publique

A

sociale

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51
Q

quelles sont 6 particularités de l’écoute active virtuelle

A
  • distance avec la caméra pour montrer la tête + épaules + torse = permet de voir le non-verbal
  • ordinateur sur un appui stable
  • pièce éclairée
  • regard engagé
  • faire des mouvements non-verbaux visibles
  • expressions faciales actives
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52
Q

quels sont 4 signes d’encouragement à la conversation

A
  • hochements de tête
  • accentuation du regard
  • silences
  • sons
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53
Q

quelles sont les 2 aspects importants des signes d’encouragement

A
  • permet soutenir, encourager à poursuivre et rythmer la conversation sans interrompre
  • à faire avec équilibre et timing
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54
Q

quels sont 4 aspects autres à prendre à considérer dans notre paraître

A
  • voix = ton, débit, niveau langage adapté à autrui
  • gestes inconscients = gestes fébrilité ou manies
  • interruptions (coûts bénéfices)
  • prise de notes = proposer un enregistrement ou signaler la prise de note
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55
Q

quelle est la meilleure manière pour développer des compétences d’écoute active

A

par la pratique

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56
Q

quelles sont 4 compétences d’écoute active à pratiquer

A
  • adapter nos stratégies d’écoute selon nos observations sur autrui
  • augmenter conscience de soi
  • tenir compte différences individuelles de l’aidé
  • ne pas de dénigrer = tourner le négatif en apprentissage
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57
Q

5 difficultés potentielles de l’écoute active

A
  • filtrer deux fois l’info = biais de l’aidé et de l’aidant
  • distractions internes (écouter et analyser en même temps) et externes (environnement)
  • s’intéresser qu’aux faits
  • ne pas assez considérer le non-verbal
  • manque d’empathie pour créer lien
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58
Q

est-ce qu’une question fermée se répond simplement par oui et non

A

Non, elle peut aussi se répondre par des courtes réponses

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59
Q

quelles sont les deux formes de questions ouvertes

A
  • question = qu’est-ce …
  • demande = j’aimerais que…
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60
Q

pourquoi poser questions ouvertes (4 objectifs)

A
  • encourager aidé à aborder plus profondément certaines expériences/diffcultés
  • explorer différents aspects
  • structurer la réflexion de l’aidé
  • relancer la réflexion
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61
Q

quels sont les 3 types de questions ouvertes

A
  • clarification
  • explorer
  • recherche d’exemple
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62
Q

9 cibles d’exploration avec les questions ouvertes

A
  • affectifs
  • comportemental
  • cognitifs
  • contextuels
  • temporels
  • relationnels
  • historique problème
  • tentatives antérieures
  • combinaison
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63
Q

4 principes directeurs des questions ouvertes

A
  • formuler phrases courtes et claires
  • mentionné une idée à la fois
  • choisir un aspect du problème
  • demeurer centrée sur l’aidé
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64
Q

les faux pas possible avec les questions ouvertes (5)

A
  • répétition des formulations et cibles d’exploration
  • poser deux questions en même temps
  • poser une question fermée après une question ouverte = comment te sens-tu, triste?
  • débuter une question par pourquoi
  • négliger les autres interventions
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65
Q

raison d’éviter les questions débutant par pourquoi (2)

A
  • communique un blâme/désapprobation
  • met la personne cliente au défi
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66
Q

différence entre question fermée et reflet/reformulation

A

différence est dans la formulation
- fermée = est-ce que vous vous êtes sentie triste
- reflet/reformulation = j’ai l’impression que la situation vous a humiliée

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67
Q

que facilite les questions ouvertes et fermées pour l’étape d’expression

A
  • ouvertes = facilite exploration
  • fermées = faciliter dévoilement lors création alliance
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68
Q

qu’apporte des questions ouvertes et fermées pour l’étape de compréhension

A
  • ouvertes = formuler compréhension et explorer les sources cachées
  • fermées = éclaircir et valider compréhension
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69
Q

questions ouvertes et fermées pour l’étape solutions

A
  • ouvertes = explorer avenues solutions + lors suivi progression
  • fermées = préciser les ressources + amener l’aidé à se positionner
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70
Q

exemples de formulation de questions ouvertes

A
  • Décrivez-moi… Parlez-moi davantage de…
    Racontez-moi…
  • À quoi est-ce que ça ressemble quand…
  • Que voulez-vous dire par…
  • À quoi pensez-vous quand…
  • Comment vous sentez-vous lorsque…
  • Pouvez-vous me donner un exemple de…
  • Pouvez-vous me raconter la dernière fois que…
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71
Q

quel est un des principal rôle des émotions

A

elles sont le véhiculent de messages

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72
Q

quelles sont les 4 étapes d’une émotion

A
  • ressentir ses émotions
  • identifier ses émotions
  • gérer ses émotions
  • exprimer ses émotions
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73
Q

3 aspects importants des reflets d’émotion

A
  • provient de l’aidant
  • claire et bref
  • touche la ou les émotions que l’aidant croit avoir perçu chez l’aidé (sans assumer)
74
Q

quels sont les 2 objectifs des reflets d’émotion

A
  • clarifier = permet avoir une vision réaliste
  • valider = permet d’en apprendre plus sur l’autre
75
Q

vrai ou faux, le non verbal est moins important dans les reflets d’émotion

A

faux, il est important d’observer comment la personne réagit à notre reflet cela en dit beaucoup

76
Q

7 fonctions des reflets d’émotion

A
  • libérer pression
  • bâtir alliance (l’aidant me comprend je peux me confier)
  • clarifier le vécu affectif et son contexte
  • valider/normaliser vécu
  • centrer sur une émotion sous-jacente
  • provoquer prise de conscience
  • modéliser l’expression des émotions
77
Q

5 moments pour faire un reflet

A
  • émotion ressentie par l’aidé semble intense
  • surtout durant étape de l’expression et compréhension
  • relation thérapeutique établie
  • évitement des émotions
  • traiter expériences traumatiques = valider l’émotion fait du bien
78
Q

deux formes de reflet

A
  • reflet émotion dominante
  • reflet émotion sous-jacente = permet accès champ expérientiel (iceberg)
79
Q

quel image représente bien l’utilité des reflets

A

la personne est comme un oignon que nous enlevons couche par couche (reflet après reflet)

80
Q

5 réactions possibles de l’aidé au reflet

A
  • impatience (aidé nomme et aidant renomme)
  • sentiment incompris
  • sentiment compris
  • sentiments d’être mieux compris que par soi
  • sentiment d’être précédé dans sa compréhension = aidé prend un moment de recul
81
Q

quoi faire si l’aidé nomme d’elle même son émotion

A

question ouverte sur ce qui fait ressortir cette émotion

82
Q

exemples de formulations de reflet

A
  • vous vous sentez
  • je me demande si vous vous sentez
  • vous semblez être
  • on dirait que vous êtes
83
Q

dans les reflets d’émotion, faut-il nommer l’émotion

A
  • idéalement oui ou du moins faire des tentatives
  • utiliser des métaphores pour les clients dans le concret
84
Q

4 difficultés potentielles des reflets d’émotion

A
  • inconfort autant aidé que aidant
  • ne pas refléter la bonne émotion
  • porter attention aux proches plutôt qu’à l’aidé
  • utilisation de termes définitifs (certainement, toujours, forcément)
85
Q

quoi faire si l’aidé pleure 3

A
  • ne pas désamorcer ou changer de sujet = laisser aidé pleurer, rester en silence, proposer mouchoir
  • valider émotion = reflet
  • encourager exploration
86
Q

quoi faire si l’aidé parle d’autrui et non d’elle

A

recentrer sur elle

87
Q

quand éviter reflet 4

A
  • expression explicite de l’émotions par l’aidé
  • surcharge émotionnelle et résistance
  • manque de temps
  • l’aidant n’est pas prêt à contenir sa charge affective ou celle de aidé
88
Q

3 aspect principaux reformulation

A
  • clair
  • bref
  • porte sur le contenu et non émotion
89
Q

exemples formulation et reformulation

A
  • vous dites que
  • je comprends que
  • en d’autres mots
90
Q

qu’est-ce que le silence productif

A

type de silence qui survient lorsque l’aidant s’abstient d’intervenir afin de permettre à l’aidé de cheminer à son rythme dans l’exploration

91
Q

qu’est-ce qui devrait être plus fréquent les silences ou les reformulations/ reflets/ questions ouvertes fermées

A

silence

92
Q

quel est la règle des silences

A

4/5 silences pour chaque intervention = rester en silence pendant 4/5 phrases de l’aidé

93
Q

comment préparer son aidé à nos silences

A
  • vous allez me parler de ce qui vous préoccupe et moi je vais vous écouter
  • je vais intervenir à l’occasion pour vous aider à mieux comprendre et cheminer à votre rythme
94
Q

3 exceptions à la règle du silence

A
  • en faire moins car aidé anxieux
  • en faire moins car aidé hésite à se confier
  • en faire plus pour mettre un peu de pression sur l’aidé
95
Q

5 usages du silence

A
  • accueillir vécu de l’aidé
  • faciliter à l’aidé l’exploration de son problème
  • permettre à l’aidé d’absorber ce qui vient de se passer (retrouver son équilibre après l’expression des sentiments)
  • permettre à l’aidé de surmonter une résistance (une prise de conscience)
  • laisser à l’aidé la responsabilité de son problème = pas trop intervenir comme si le problème était mauvais ou ne pas intervenir et montrer un désintérêt
96
Q

aspect primordial à ne pas oublier durant les silences

A

continuer les réactions non verbale

97
Q

quoi faire quand une personne se mure dans le silence

A

utiliser la focalisation = à quoi pensez-vous, qu’est-ce qui se passe présentement, que ressentez vous

98
Q

comment faire une bonne reformulation à un aidé mentionnant beaucoup d’aspects

A

essayer de saisir le points communs entre les différents aspects et mentionné ce dernier = toutes des réussite, toutes stressants, etc.

99
Q

7 objectifs de la reformulation
CISCVBD

A
  • clarifier les idées de l’aidé
  • identifier le narratif internes
  • supporter et encourager l’élaboration
  • valider notre compréhension
  • démontrer écoute active
  • bâtir relation thérapeutique
  • clore ou débuter interaction
100
Q

4 difficultés possibles avec la reformulation

A
  • tout reformuler
  • faire des formulations répétitives
  • s’intéresser aux proches plus qu’à l’aidé
  • se sentir inefficace ou impuissant
101
Q

vrai ou faux, interrompre et écouter sont des extrêmes

A

faux, ils sont sur le même continuum, car interrompre peut aider à la compréhension

102
Q

6 fonctions de l’interruption
PORRDD

A
  • préciser des éléments verbaux ou non-verbaux
  • s’orienter dans le discours de l’aidé
  • recadrer le discours de l’aidé
  • rythmer l’échange
  • débuter ou mettre fin à une séance
  • démontrer du respect (car on interrompt pour des raisons)
103
Q

3 composantes pour interrompre efficacement

A
  • mandat = quelle est notre mandat envers cette personne
  • formulation = juste milieu entre respect et confiant sans se faire prendre par notre contre-transfert
  • pertinence = avant de faire une interruption je dois me demander si c’est le bon moment ou la bonne intervention
104
Q

quelles sont les deux parties de l’interruption ainsi que des exemple de formulations

A
  • introduction de l’interruption = non-verbal, je suis désolé je vous interromps, je vous arrête ça va un peu vite pour moi, etc.
  • but de l’interruption = je tiens à m’assurer de comprendre, vous avez nommé XYZ parlez-moi en davantage, etc.
105
Q

est-ce qu’il est mieux d’interrompre de manière précoce ou tardive

A
  • tardive = permet à la personne de s’exprimer + vision d’ensemble de la thématique de la situation
106
Q

le silence permet de créer un X et un X

A
  • un accueil
  • un espace calme d’exploration, réflexion, présence et acceptation
107
Q

vrai ou faux, le silence est aussi utile pour l’aidé que l’aidant

A

vrai

108
Q

quels sont les bienfaits du silence pour l’aidant

A

offre du temps pour
- analyser le non-verbal
- introspection
- analyse du contre-transfert
- analyser ce qui vient de se passer

109
Q

3 situations de silence improductifs

A
  • aidé refuse de parler ou évite le problème
  • aidé est coincé dans l’exploration de son champ expérientiel
  • aidé est confus quant à son vécu
110
Q

comment intervenir en situation de silence improductifs

A
  • questions ouvertes = à quoi pensez-vous
  • reformulation = vous avez l’impression d’avoir fait le tour de cet aspect
  • reflet d’émotion = ça semble vous inquiéter
111
Q

quoi faire lorsque l’aidé voit le silence comme une reproche

A
  • nommer notre observation
  • explorer l’inconfort
112
Q

quoi faire en tant qu’aidant inconfortable avec le silence

A
  • rester centré sur l’aidé
  • se demander comment l’aidé se sent
  • explorer les raisons de notre inconfort
  • se rappeler les bénéfices du silence et qu’il s’agit d’une intervention
113
Q

les deux étapes par lesquelles passe l’aidant pour montrer sa crédibilité à l’aidé pour créer l’alliance thérapeutique

A
  • premier contact
  • interventions
114
Q

qu’est-ce que le soutient

A
  • types d’interventions brèves verbales ou non
  • visant à permettre à l’aidé de retrouver son équilibre dans des moments plus difficiles et entretenir son espoir
115
Q

pourquoi le soutien est parfois controversé

A
  • soutien risque de refermer la brèche ouverte durant la relation d’aide
  • mais offrir du soutien permet de réduire l’anxiété de l’aidé et lui permettre de se laisser aller
  • question de dosage
116
Q

qu’est-ce que l’alliance thérapeutique

A
  • lien de confiance mutuelle
  • aidant susciter et accroître par son accueil, empathie et écoute
  • faire collaborer l’aidé par son implication
117
Q

5 traits importants chez l’aidé favorisant l’alliance thérapeutique

A
  • empathique
  • authentique
  • vigilant
  • chaleureux
  • flexible
118
Q

comment l’alliance en vient à être thérapeutique

A
  • offre un lieu sécuritaire dans lequel l’aidé peut explorer divers aspects
  • ci qui aurait été difficile en l’absence de compagnon le soutenant
119
Q

dans quelle situation il est plus facile entre aidé et aidant de surmonter des difficultés provoqué par l’un ou l’autre

A

lorsqu’il y a un lien entre les deux = lorsque l’alliance est présente

120
Q

6 pratiques pour soutenir/donner de l’espoir à l’aidé

A
  • valider les ressources de l’aidé = tu es capable d’exprimer tes émotions
  • mentionner les ressources extérieures utiles = proches, religion, groupe aide
  • remettre en question les idées empêchant de passer à l’action
  • encourager élaboration nouveaux objectifs
  • souligner progrès
  • laisser entrevoir des résultats +
121
Q

qu’est-ce que le soutien court-circuit

A
  • mentionner des phrases du type tu n’est pas le seul, le temps aide, etc.
  • peut causer chez autrui un sentiment que son problème est sans ampleur
122
Q

qu’est-ce que le soutien solution temporaire

A
  • offrir une solution mais qui couvre seulement un aspect du problème
  • la personne la met en oeuvre mais cesse de travailler sur le problème car il a été résolu en partie
123
Q

qu’est-ce que le soutien scénario optimiste

A
  • offrir une vision exagérément optimiste sans connaître vraiment la situation en cause
124
Q

à quel type d’aidé faut-il faire attention en situation de soutien

A

celui qui abuse du soutien en y cherchant une figure paternelle ou maternelle pour les soutenir

125
Q

qu’est-ce que la surimplication

A
  • l’aidant s’identifier de manière excessive au vécu de son aidé
126
Q

deux formes d’implication excessive

A
  • implication hors propos = aidant parle d’aspects sur lui ayant aucun lien avec ce que l’aidé mentionnait
  • surimplication affective = aidant vit un excès de sympathie
127
Q

4 conséquences de la surimplication

A
  • création dépendance affectif chez aidé
  • perte énergie de l’aidant pour d’autres aidés
  • épuisement professionnel
  • compétition entre aidant et proches de l’aidé
128
Q

3 manières éviter surimplication

A
  • évité le fantasme d’être celui qui sera meilleur que les autres
  • demander une supervision pour prendre un recul critique
  • se tourner vers un confident avisé et capable de nous écouter
129
Q

expliquer les 5 problématiques particulières avec implication dans ses situations suivantes
- aider un proche
- sous-implication
- l’aidé nous demande notre avis
- refus s’impliquer
- utilisation mode érotique

A
  • difficulté d’aider car peut avoir des répercussions sur notre vie, manquer recul, excès sympathie
  • l’aidé nous confronte sur certains aspects nous menant à nous retirer
  • accueillir, donner assez éléments pour motiver la poursuite question, explorer raison de sa question
  • acceptable, mais le faire avec respect
  • à éviter, il faut demeurer conscient de ses sentiments et remplir ses derniers outre par que par son travail
130
Q

quelles sont les 7 méthodes d’exploration

A
  • écoute active
  • questions ouvertes et fermées
  • reformulation
  • reflet d’émotion
  • silence
  • approbation et réassurance
  • dévoilement soi
131
Q

l’approbation et la réassurance facilite l’exploration par l’entremise de trois aspects lesquels

A
  • soutien = valider expérience subjective de l’aidé
  • encouragement = encourage aidé à explorer une situation difficile
  • renforcement = renforcer les efforts, tentatives, comportements
132
Q

5 objectifs de la réassurance

A
  • supporter
  • doucement mené à l’espoir
  • faciliter le changement
  • faciliter l’expression émotionnelle profonde (enlever les couches de l’oignon vers l’émotion que nous on voit mais pas elle)
  • encourager l’exploration = but ultime
133
Q

4 habiletés à avoir pour la réassurance

A
  • intervenir de manière sincère aux moments appropriés
  • cerner avec précision la cible de l’approbation = quelle est l’émotion derrière ce besoin
  • se questionner sur la fonction de l’intervention
  • intervention réaliste et positive
134
Q

à quoi ressemble la réassurance d’un trouble dépressif

A
  • il est pertinent d’y faire de la réassurance
  • mais il faut venir explorer comment la personne peut le faire par elle-même
  • car la personne est incapable de se réassuré elle-même donc elle demande aux autres de la réassurance/approbation
  • on veut l’amené à diminué la demande externe et augmenté la capacité interne de réassurance
135
Q

à quoi ressemble la réassurance des troubles anxieux

A
  • important de faire de la réassurance car mène à une diminution de l’anxiété
  • mais la personne en demandant toujours à autrui de la réassurance ne s’habitue pas à son anxiété
  • ainsi continué à la réassuré même à renforcer la recherche de réassurance
  • il faut aidé la personne à par elle-même s’exposé à son anxiété
136
Q

quand savoir avec les troubles anxieux que la réassurance est devenue excessive

A
  • la réassurance se fait de manière répétitive
  • la réassurance porte sur des informations anciennes dont la personne a déjà reçue
137
Q

quelle est la motivation sous-jacente de la réassurance pour les troubles anxieux suivants
- phobie sociale
- TAG
- trouble panique
- TOC

A
  • PS = ce que les autres pensent sur elle
  • TAG = doutes sur ses compétences et ses relations
  • TP = qu’est-ce qui se passe dans mon corps
  • TOC = la compulsion est ma réassurance + mettre responsabilité chez autrui (barre voiture)
138
Q

4 difficultés potentielles de la réassurance

A
  • utilisation excessive, non sincère ou prématurée dans l’intervention
  • exprimer de la pitié pour l’aidé
  • intervenir dans le but de diminuer la tension émotionnelle et éviter inconfort = ça va bien aller
  • formuler une opinion ou laisser transparaître nos valeurs
139
Q

qu’est-ce que le dévoilement de soi

A

verbalisation ou comportement qui révèle une information personnelle de l’aidant à l’aidé

140
Q

comment assuré que notre dévoilement de soi est bénéfique à la personne

A
  • lorsque l’on partage quelques chose du passé qui n’est plus chargé d’émotion
141
Q

expliquer les 4 types de dévoilement de soi: délibéré, accidentel, inéluctable, involontaire

A
  • délibéré = dévoilement émis volontairement
  • accidentel = divulguer une informations en laissant comprendre une autre ou rencontre hors contexte thérapie (épicerie)
  • inéluctable = dévoilement ne pouvant pas être évité = grossesse
  • involontaire = fait de manière inconsciente dans les réponses ou non-verbal
142
Q

4 fonctions du dévoilement de soi

A
  • favoriser la confiance, compréhension et connexion entre aidant et aidé
  • contribuer à réduire le sentiment de honte
  • normaliser l’expérience de l’aidé
  • modéliser et enseigner des habiletés de communication
143
Q

4 critères de choix pour choisir quoi partager en dévoilement de soi

A
  • pertinence
  • authenticité
  • utilisé pour aidé
  • confort de aidé et aidant
144
Q

comment ramener l’attention sur l’aidé après un dévoilement

A
  • mentionner raison derrière dévoilement
  • demandé si cela résonne avec expérience de l’aidé
145
Q

6 difficultés potentielles du dévoilement de soi

A
  • fait au mauvais moment
  • intervention trop longue
  • vulnérabilité ou inconfort aidant
  • outrepasser cadre de relation d’aide ou trop dévoiler
  • faire dévoilement pour répondre à ses propres besoins
  • dévoilement sans être suivi d’une redirection vers aidé
146
Q

quoi faire lorsqu’une personne demande des solutions

A
  • il faut explorer pourquoi la personne veut autant des solution
  • pourquoi cet aspect l’habite autant
147
Q

quoi faire lorsqu’une personne mentionne plusieurs situations durant la relation d’aide

A

laissé l’aidé visé la situation qu’il préfère abordé, à moins qu’il s’agisse d’un suicide, par exemple, la on privilégie cet aspect

148
Q

quoi faire si une personne se présente sans sujet de discussion et que cela la stress

A
  • explorer pourquoi elle se met autant de pression pour avoir un sujet
149
Q

qu’est-ce que l’insight et pourquoi est-ce important

A
  • moment de prise de conscience = faire des liens entre des idées pour comprendre l’émergence et le maintien de ses propres difficultés
  • aide à faire une bonne compréhension
150
Q

3 méthodes pour la phase de compréhension

A
  • interprétation
  • immédiateté
  • confrontation
151
Q

quels sont les 4 objectifs de la phase d’insight

A
  • augmenter conscience de soi
  • trouver sens à l’expérience vécue
  • favoriser compréhension des difficultés et ses facteurs
  • améliorer les relations interpersonnelles
152
Q

qu’est-ce que l’interprétation

A
  • présenter une nouvelle signification ou explication aux aspects de l’aidé qui va au-delà de ce qu’il reconnaît
  • proposer une autre perspective que celle de l’aidé
153
Q

l’interprétation se fait davantage en relation d’aide ou psychothérapie

A

psychothérapie

154
Q

5 objectifs de l’interprétation

A
  • favoriser la compréhension de soi
  • mettre en lien des événements isolés
  • faire ressortir des thèmes récurrents
  • expliquer les défenses et transferts
  • révéler les écarts de perception
155
Q

à quoi ressemble l’attitude de l’aidant durant l’interprétation

A
  • prévenance et humilité = curiosité bienveillante
  • collaboration = ouverte + accompagné l’autre dans l’interprétation
156
Q

5 bases importantes de l’interprétation

A
  • alliance thérapeutique établie
  • sonder la perspective de l’aidé
  • formulation hypothétique directe ou indirecte
  • formulation brève et concrète en prenant compte du vocabulaire du patient
  • respecter les limites de l’aidé
157
Q

est-ce qu’une interprétation est une méthode rapide ou longue

A

longue = il faut prendre le temps avec l’aidé d’évaluer l’interprétation

158
Q

4 moteurs de l’interprétation

A
  • observation = elle se base sur nos observations
  • recadrage = proposer un regard nouveau = sortir la personne de son cadre
  • connaissance = s’aidé avec nos connaissance pour des pistes interprétation
  • implication = bref partage venant de l’aidant
159
Q

2 indices d’une bonne interprétation

A
  • déclic chez l’aidé
  • confirmation de l’interprétation
160
Q

différence entre reflet-reformulation et interprétation

A
  • interprétation = utilise des information que l’aidé n’a pas ou n’a pas mentionné
  • reflet-reformulation = remâcher les informations que l’aidé a donné
161
Q

si le but de l’interprétation est de bousculer l’aidé, est-ce quelle reste une interprétation

A
  • non elle devient une confrontation
162
Q

5 difficultés potentielles de l’interprétation

A
  • crainte d’être intrusif de la part de l’aidant
  • difficulté interprétation
  • défi intellectuel avec l’aidé, soit vouloir lui prouver notre point
  • interprétation prématurée
  • interprétations trop fréquentes
163
Q

qu’est-ce que l’immédiateté

A
  • métacommunication
  • lorsque l’aidant divulgue ce qu’il ressent par rapport à l’aidé ou la relation d’aide dans le moment présent
164
Q

donné des exemples d’immédiateté pour les concepts suivants
- relation thérapeutique générale
- événement spécifique
- réactions actuelles
-changement dans la relation

A
  • générale = j’ai l’impression que vous ne me faites pas confiance
  • spécifique = j’ai l’impression que vous venez à reculons à nos rencontres ce qui explique les retard
  • actuelles = je pense vous avoir choqué en posant cette question
  • changement = nous parlons plus librement de ce sujet depuis quelques temps
165
Q

bien fait de la relation d’aide rationnel

A

le fait de travailler la relation thérapeutique permet d’en venir à travailler les relations externes de la personne

166
Q

5 objectifs de l’immédiateté

A
  • identifier les patterns
  • résoudre les tensions
  • ajustement dans la relation
  • interaction plus directe
  • responsabiliser l’aidé
167
Q

attitude de l’aidant en immédiateté

A
  • humilité
  • non-jugement
  • compréhension de soi
  • éviter défensif
168
Q

pourquoi l’immédiateté est importante

A
  • permet rapidement de mettre les différents de côté = différences culturelles par exemple ou encore différences de dynamique familiale
169
Q

4 aspects importants dans la formulation de l’immédiateté

A
  • parler au je
  • ne pas utiliser devrait ou faudrait
  • pas intervention impulsive
  • recueillir la perception de l’aidé = qu’en pensez-vous
170
Q

exemple de formulation des 4 types d’immédiateté suivantes
- question ouverte
- déclaration des réactions
- révéler ce qui est caché
- établir des parallèles

A
  • ouverte = comment vous sentez vous par rapport à …
  • déclaration = j’ai l’impression que vous êtes …
  • révéler = à chaque fois qu’on parle de ça vous agissez comme ça, ce sujet vous dérange?
  • parallèles = vous me dites que …, avez vous l’impression que je fais cela
171
Q

3 difficultés de l’immédiateté

A
  • perçu comme intrusion
  • douter de nos sentiments et observations
  • utilisation inappropriée
172
Q

qu’est-ce que la confrontation

A
  • remettre une question en pensée de manière directe
  • mettre en déséquilibre de manière délicate et respectueuse
173
Q

3 aspects pour une bonne confrontation

A
  • empathie et authentique
  • réappropriation du pouvoir par l’aidé
  • élément de surprise
174
Q

4 fonctions de la confrontation

A
  • favoriser une prise de conscience
  • ébranler les croyances
  • soulever l’incohérence
  • vaincre les résistances = donné une petite poussée à l’aidé (exemple pour prendre un rdv)
175
Q

comment bien faire une confrontation (2)

A
  • gardé l’aidé au milieu en prenant compte de sa fragilité, réceptivité, lien et personnalité
  • utiliser les bons mots
176
Q

4 difficultés potentielles de la confrontation

A
  • l’aidant par sa formulation blâme aidé
  • rejet ou justification de la confrontation par l’aidé = si l’aidé a raison admettre son erreur
  • explorer les différences de perceptions avec d’autres interventions
  • prendre un pas de recul = oublions ce que j’ai et reprenons où nous en étions
177
Q

la question de dosage de la confrontation

A
  • confrontation ponctuelle = en faire une de temps en temps est suffisant
  • confrontation constante = être dans une pression constante pour amené l’aidé à se laissé touché par son problème
178
Q

qu’est-ce que la formulation du problème

A
  • l’aidant tente de saisir mentalement le coeur du problème de son aidée et il se guide sur cette formulation pour ses interventions
  • elle peut se modifiée = tout est hypothétique
179
Q

qu’est-ce qu’influence la formulation du problème

A
  • avoir des interventions pertinentes et efficaces
  • favorise empathie
180
Q

4 habiletés pour avoir une bonne formulation du problème

A
  • organiser information
  • dégager le problème réel = source première des difficultés
  • donner pouvoir à l’aidé = formuler le problème comme un défi surmontable
  • précis et concis = 1 phrase courte

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