CM3 diff L2S4 Flashcards

1
Q

Citez un grand nom de la psychologie différentielle.

A

Maurice Reuchlin

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2
Q

Quel est le conseil de Maurice Reuchlin pour étudier quelque chose ?

A

“Si vous voulez étudier quelque chose, commencez par vous poser la question de savoir à quoi cela sert”

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3
Q

À quoi sert l’intelligence, selon Alfred Binet ?

A

“Elle n’existe que parce qu’elle sert à quelque chose ; elle sert à nous adapter mieux au milieu physique de la nature et au milieu moral de nos semblables”

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4
Q

Selon Alfred Binet, l’intelligence nous sert à nous adapter à quoi ? (2 réponses)

A

L’intelligence nous sert à nous adapter :
- au milieu physique de la nature
- au milieu moral de nos semblables

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5
Q

Qui a définit à quoi sert l’intelligence comme ceci : “elle n’existe que parce qu’elle sert à quelque chose ; elle sert à nous adapter mieux au milieu physique de la nature et au milieu moral de nos semblables” ?

A

Alfred Binet

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6
Q

La fonction de l’intelligence est de permettre quoi ?

A

La fonction de l’intelligence est de permettre l’adaptation de l’individu à son environnement physique et social

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7
Q

Qu’est-ce qui permet l’adaptation de l’individu à son environnement physique et social ?

A

La fonction de l’intelligence

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8
Q

Que permet l’intelligence ?

A

L’intelligence permet un ajustement comportemental de l’individu à son environnement

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9
Q

Qu’est-ce qui permet un meilleur ajustement comportemental de l’individu à son environnement ?

A

L’intelligence

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10
Q

L’intelligence permet à l’individu de comprendre quoi ?

A

L’intelligence permet à l’individu de comprendre son environnement physique et social, et oriente ses actions au sein de cet environnement

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11
Q

Qu’est-ce qui permet à l’individu de comprendre son environnement physique et social, et orient ses actions au sein de cet environnement” ?

A

L’intelligence

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12
Q

Combien de type d’adaptation y a-t-il ?

A

Il y en a 2

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13
Q

Quelles sont les 2 types d’adaptation ?

A
  • l’adaptation comportemental
  • l’adaptation phylogénétique
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14
Q

Explicitez ce qu’est l’adaptation phylogénétique.

A

C’est quand une espèce s’est adaptée physiquement, physiologiquement

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15
Q

Explicitez ce qu’est l’adaptation comportementale.

A

Une espèce s’adapte en dépit de modifications physiologiques, avec une solution “innovante” (possiblement associée à l’utilisation d’un outil), parce qu’elle possède un cortex.
C’est une forme d’adaptation permise par l’intelligence

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16
Q

Donnez un exemple d’adaptation phylogénétique.

A

Le tamanoir possède un long museau qu’il peut introduire au fond de la fourmilière/termitière, d’où il peut sortir une langue sur laquelle vont se coller ses proies

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17
Q

Donnez un exemple d’adaptation comportementale.

A

Le singe bonobo fait entrer un bâton dans la termitière (pour l’utiliser comme une “cuillère” pour ramasser et manger les termites)

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18
Q

Quelle fonction a l’intelligence ?

A

L’intelligence a une fonction adaptative

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19
Q

Qu’est-ce qui facilite l’adaptation, grâce à l’intelligence ?

A

La compréhension de son environnement (grâce à l’intelligence) permet de l’anticiper, ce qui facilite l’adaptation

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20
Q

Les élément existant sans avoir de fonction sont observés chez tout les êtres vivants, males ou femelles.

A

FAUX
Seulement chez les males

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21
Q

Certains chercheurs pensent que l’intelligence n’a pas de fonction.

A

VRAI
C’est une idée très peu défendue, mais certains auteurs pensent que l’intelligence existe sans avoir de fonction

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22
Q

Pourquoi l’idée que l’intelligence n’a pas de fonction est peu défendue ?

A

Car les éléments existant dans la nature sans avoir de fonction évidente ne s’observent que chez les mâles, contrairement à l’intelligence qu’on retrouve aussi chez les femelles

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23
Q

Sous combien d’angles les phénomènes psychologiques peuvent-ils être abordés ?

A

Sous 3 angles

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24
Q

Quels sont les 3 angles sous lesquelles nous pouvons aborder les phénomènes psychologiques ?

A
  • la situation
  • le temps
  • l’individu
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25
Q

Quelle est l’approche qui correspond à l’angle “situation” des phénomènes psychologiques ?

A

L’approche situationnelle

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26
Q

Dans quelles situations se manifeste l’intelligence ?

A

L’intelligence se manifeste dans des situations de résolution de problème

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27
Q

Comment l’approche situationnelle perçoit l’intelligence ?

A

L’approche situationnelle perçoit l’intelligence comme la capacité à résoudre des problèmes nouveaux (donc des situations de résolution de problème)

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28
Q

À quoi s’est intéressé l’approche situationnelle ?

A

L’approche situationnelle s’est intéressée aux différent processus par lesquels les individus résolvent des problèmes

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29
Q

Quelle approche s’est intéressée aux différents processus par lesquels les individus résolvent des problèmes ?

A

C’est l’approche situationnelle qui s’est intéressée à cela

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30
Q

Qu’a permis d’identifier l’approche situationnelle ?

A

L’approche situationnelle a permis d’identifier différents processus associés au fonctionnement “intelligent”

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31
Q

Quelle approche a permis d’identifier différents processus associés au fonctionnement “intelligent” ?

A

C’est l’approche situationnelle qui a permis cette identification

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32
Q

Citez un des processus associé au fonctionnement “intelligent” identifié par l’approche situationnelle.

A

L’un des processus associé au fonctionnement “intelligent” identifié par l’approche situationnelle est “la représentation de l’espace problème”

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33
Q

Expliquez ce qu’est “la représentation de l’espace problème”.

A

Résoudre un problème nécessite en effet de bien se représenter notre champ d’actions possible, l’espace dans lequel nous pouvons envisager de mettre en oeuvre des solutions

34
Q

Donnez un exemple d’épreuve où “la représentation de l’espace problème” est utlisée.

A

L’épreuve dite “épreuve des 9 points” (relier les 9 points disposés en carré à l’aide de 4 droites jointes)

35
Q

Donnez un synonyme de “représentation de l’espace problème”.

A

Représentation de l’espace de résolution du problème

36
Q

Quels sont les 2 points que permet l’approche situationnelle ?

A

L’approche situationnelle permet :
- l’intelligence permet la résolution de problèmes nouveaux
- l’identification de problèmes difficiles et des processus engagés

37
Q

L’épreuve dite “épreuve des 9 points” illustre quelle approche ?

A

Cette épreuve illustre l’approche situationnelle

38
Q

Quelle approche a identifié le processus de l’identification des caractéristiques pertinentes du problème ?

A

L’approche situationnelle

39
Q

Explicitez ce qu’est l’expérience d’identification des caractéristiques pertinentes du problème (Richard, 2005).

A

On était comparé des êtres-humains et des rats, dans leur capacité à résoudre des problèmes.

On leur présenter une succession de 2 objets/figures (des rectangles par exemple), et ils devaient en choisir 1.
On leur envoyait ensuite un signal indiquant s’ils avaient fait le bon choix ou non.

Leur tâche était de deviner la règle pour faire le plus de bon choix

40
Q

Qui a réalisé l’expérience sur l’identification des caractéristiques pertinentes du problème ?

A

Richard (2005)

41
Q

Sur quoi portait l’expérience de Richard (2005) ?

A

Elle portait sur l’identification des caractéristiques pertinentes du problème

42
Q

Quels sont les résultats de l’expérience sur l’identification des caractéristiques pertinentes du problème (Richard, 2005) ?

A

Après le changement de la réponse correcte (du grand objet, à l’objet le plus petit ou l’objet rouge), les résultats sont différents pour les êtres-humains et les rats.

Les êtres-humaines mettent moins de temps (que les rats) à deviner la nouvelle règle quand c’est celle où il faut choisir l’objet le plus petit.

Les rats mettent moins de temps (que les êtres-humains) à deviner la nouvelle règle quand c’est celle où il faut choisir l’objet rouge

43
Q

Dans l’expérience de Richard (2005), les rats mettaient moins de temps (que les êtres-humains) pour quelle règle ?

A

Les rats mettaient moins de temps quand on est passé de la règle “l’objet grand” à la règle “l’objet rouge”

44
Q

Dans l’expérience de Richard (2005), les êtres-humains mettaient moins de temps (que les rats) pour quelle règle ?

A

Les êtres-humains mettaient moins de temps quand on est passé de la règle “l’objet grand” à la règle “l’objet petit”

45
Q

Dans l’expérience de Richard (2005), pourquoi les résultats entre les êtres-humains et les rats étaient différents ?

A

Car pour les êtres-humains, “petit” est le contraire de “grand”.

L’être-humain possède en mémoire le concept de “taille” (ou tout du moins la connaissance de ce phénomène), qui intègre les concepts plus particuliers de “petit” et de “grand” et le lien entre eux.
Donc, l’être-humain arrive très facilement à basculer de la règle relative à la grandeur à la règle relative à la petitesse.

Le rat vraisemblablement ne dispose pas d’une telle connaissance, d’un tel concept en mémoire

46
Q

Qu’est-ce qui permet la construction des concepts et de les retenir ?

A

Le langage, les mots

47
Q

Expliquez pourquoi les êtres-humains possèdent des concepts, mais pas les rats.

A

Pour avoir des concepts, il faut avoir des mots.
Le mot “taille” permet de retenir et de communiquer tous les phénomènes relatifs à la grandeur et à la petitesse.
Le langage est ce qui permet donc aux êtres-humains de se construire des concepts et de les retenir.
Et les concepts, les connaissances, sont très importants dans le fonctionnement intellectuel, car ils permettent de résoudre des problèmes

48
Q

Qu’est-ce qui est important dans le fonctionnement intellectuel, notamment car il permet de résoudre des problèmes ?

A

Les concepts, les connaissances

49
Q

Citez un processus identifié par l’approche situationnelle, qu’on retrouve dans “la tour de Hanoï”.

A

La planification

50
Q

Quelle approche a identifié le processus de planification ?

A

C’est l’approche situationnelle qui a identifié le processus de planification

51
Q

Dans quelle tâche se révèle notamment le processus de planification ?

A

La planification se révèle notamment dans la tâche de résolution de la tour de Hanoï

52
Q

Quel processus est révélé dans la tâche de résolution de la tour de Hanoï ?

A

Le processus de planification

53
Q

Citez 3 processus identifié par l’approche situationnelle.

A
  • la représentation de l’espace de résolution du problème
  • l’identification des caractéristiques pertinentes du problème
  • la planification
54
Q

En quoi consiste la tâche de résolution de la tour de Hanoï ?

A

On a trois petits poteaux en bois, avec des disques en bois de différentes tailles.
Elle consiste à déplacer des disques pour passer de l’état initial (M-G-P) à l’état final (G-M-P), et d’y parvenir avec le moins de déplacements (et sans mettre un plus grand disque sur un plus petit disque)

55
Q

Quelle tâche consiste à déplacer des disques pour passer de l’état initial à l’état final, et d’y parvenir avec le moins grand nombre de déplacements ?

A

C’est la tâche de résolution de la tour de Hanoï

56
Q

Quelle est la difficulté de la tâche de résolution de la tour de Hanoï ?

A

La difficulté de cette tâche est que l’on n’a pas envie de bouger le petit disque, car il est déjà à la bonne place

57
Q

Expliquez pourquoi la tâche de résolution de la tour de Hanoï présente une difficulté, et comment la planification aide à sa résolution.

A

On ne veut pas bouger le petit disque, vu qu’il est déjà à la bonne place.
Pourtant, il doit être bougé (ce qui consiste en un éloignement initial du but final), pour mieux s’en rapprocher ensuite.
Or, pour accepter de s’éloigner temporairement d’un but, il faut se construire des sous-buts dans l’esprit = c’est précisément ce que nous appelons la planification.
(Cette tâche fait également appelle à la mémoire de travail)

58
Q

Explicitez comment peut-on utiliser la planification (dans une tâche de résolution) ?

A

En déterminant des buts et des sous-buts

59
Q

L’identification des caractéristiques pertinentes du problème fait surtout appel à quoi ?

A

Elle fait surtout appel aux connaissances stockées en mémoire à long terme

60
Q

Quel processus, identifié par l’approche situationnelle, fait surtout appel à la mémoire de travail ?

A

La planification

61
Q

Quel processus, identifié par l’approche situationnelle, fait surtout appel aux connaissances stockées en mémoire à long terme ?

A

L’identification des caractéristiques pertinentes du problème

62
Q

Quelles sont les 2 grandes familles de processus cognitif (focntions) qui sont engagées dans la résolution de problèmes (ou l’activité intellectuelle) ?

A

Les fonctions mnésiques et les fonctions exécutives

63
Q

Citez les 2 éléments des fonctions mnésiques (mises en évidence par l’approche situationnelle).

A
  • la mémoire de travail
  • la mémoire à long terme (concepts)
64
Q

Citez les 4 éléments des fonctions exécutives (mises en évidence par l’approche situationnelle).

A
  • la planification
  • la flexibilité
  • le contrôle attentionnel
  • l’inhibition
65
Q

La mémoire de travail et la mémoire à long terme (concepts) font parties de quelle fonction mise en évidence par l’approche situationnelle ?

A

Elles font parties des fonctions mnésiques

66
Q

La planification, la flexibilité, le contrôle attentionnel, et l’inhibition font partis de quelle fonction mise en évidence par l’approche situationnelle ?

A

Ils font partis des fonctions exécutives

67
Q

Quelle approche (de l’intelligence) correspond à l’angle du temps ?

A

L’approche temporelle

68
Q

Que met en avant l’approche temporelle ?

A

L’approche temporelle de l’intelligence met en avant l’apprentissage

69
Q

Quelle approche (de l’intelligence) met en avant l’apprentissage ?

A

C’est l’approche temporelle qui met en avant l’apprentissage

70
Q

Dans quelle situation l’intelligence change, se développe ?

A

Dès lors qu’elle est mobilisée

71
Q

Expliquez l’apprentissage.

A

Après avoir résolu un problème pour la première fois, nous savon comment faire pour le résoudre, ce qui rend sa résolution ultérieur plus facile.
L’intelligence change, se développe, dès lors qu’elle est mobilisée

72
Q

Qu’est-ce qui rend la résolution ultérieur d’un problème plus facile ?

A

Après avoir résolu un problème pour la première fois, nous savons comment faire pour le résoudre, ce qui rend sa résolution ultérieur plus facile

73
Q

Combien de formes d’apprentissage existe-il ?

A

Il existe 3 différentes formes d’apprentissage

74
Q

Citez les 3 différentes formes d’apprentissage qu’il existe.

A
  • l’apprentissage associatif
  • l’apprentissage par observation
  • l’apprentissage par sérendipité
75
Q

Explicitez ce qu’est l’apprentissage associatif.

A

C’est l’apprentissage qui fait intervenir la simple association stimulus-réponse

76
Q

Quel est l’apprentissage qui “fait intervenir la simple association stimulus-réponse” ?

A

C’est l’apprentissage associatif

77
Q

Donnez un exemple (chez l’animal) d’apprentissage associatif.

A

L’oiseau qui recevait de la nourriture (réponse) quand il tapait une cible précise (stimulus)

78
Q

L’oiseau qui recevait de la nourriture (répons) quand il tapait une cible précise (stimulus), est un exemple de quel apprentissage ?

A

C’est un exemple d’apprentissage associatif

79
Q

Donnez un exemple, chez les êtres-humains, d’apprentissage associatif.

A

La conduite automobile, qui demande de grands efforts au départ, s’acquiert en faisant des essais et en observant quels mouvements s’accompagnent des meilleurs résultats, avant de devenir automatiques

80
Q

Que faut-il pour apprendre un comportement automatique ?

A

La conjonction répétée et systématique du stimulus et de la réponse suffit pour apprendre un comportement qui devient progressivement un automatisme

81
Q
A