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Psychologie différentielle L2S4 > CM1 diff L2S4 > Flashcards

CM1 diff L2S4 Flashcards

1
Q

Quelle est la question fondamentale posée par la psychologie différentielle ?

A

C’est “En quoi sommes-nous différents les uns des autres ?”

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2
Q

Comment est étudié le “moi” dans la psychologie cognitive ?

A

La psychologie cognitive étudie la “méta-cognition”, désignant l’ensemble des croyances qu’une personne a sur son propre fonctionnement

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3
Q

Comment est étudié le “moi” dans la psychologie sociale ?

A

La psychologie sociale étudie la “désirabilité sociale”, qui renvoie à la tendance d’une personne à se comporter comme elle pense que les autres voudraient qu’elle se comporte, action reposant à la fois sur la représentation que cette personne a d’elle-même et de ce que les autres attendent d’elle

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4
Q

Comment est étudié le “moi” dans la psychologie du développement ?

A

La psychologie du développement étudie les “théories de l’esprit” telles qu’elles se développent chez l’enfant, c’est-à-dire les représentation qu’il est possible d’avoir sur le fonctionnement d’autrui

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5
Q

Comment est étudié le “moi” dans la psychologie clinique ?

A

La psychologie clinique étudie surtout les cas où une personne souffre d’un manque de conscience pathologique, comme la difficulté à prendre conscience de ses émotions et de celles des autres, rencontrées dans l’autisme et l’alexithymie

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6
Q

Comment s’appelle la notion dans laquelle on étudie les différences entre individus dans leur comportement avec autrui ?

A

Le monitorage de soi

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7
Q

Est-ce que la psychologie différentielle s’intéresse qu’aux extrêmes des notions ?

A

NON
La psychologie différentielle s’intéresse à tout le continuum possible

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8
Q

Quand deux points de vue différents sont juste des points de vue partiels, et qu’ils se complètent l’un l’autre, ils sont dits quoi ?

A

Ces points de vue sont dits “complémentaires”

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9
Q

Les points de vue complémentaires sont des points de vue …?

A

Les points de vue complémentaires sont des points de vue différents, et partiels

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10
Q

Donnez un exemple dans lequel nous pouvons voir la complimentarités des points de vue.

A

Dans le point de vue qu’il est possible d’adopter sur le sentiment amoureux, ou plus exactement ses déterminants (ses causes) = des personnes répondront différemment à les mêmes items

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11
Q

Quelles sont les 3 grandes catégories de raisons qui peuvent expliquer les différences qu’on observe entre les individus ?

A
  • la situation
  • le moment
  • la personne
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12
Q

Explicitez la notion de “situation”, en tant que l’une des 3 grandes catégories de raisons qui peuvent expliquer les différences qu’on observe entre les individus.

A

Selon la psychologie cognitive et la psychologie sociale, la situation actuelle de l’individu détermine le fonctionnement psychologique de l’individu

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13
Q

Explicitez la notion de “moment”, en tant que l’une des 3 grandes catégories de raisons qui peuvent expliquer les différences qu’on observe entre les individus.

A

Le moment/le temps peut correspondre à plusieurs valeurs = moment de la journée, l’âge…
Selon la psychologie du développement, le moment/temps détermine le fonctionnement psychologique de l’individu

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14
Q

Explicitez la notion de “personne”, en tant que l’une des 3 grandes catégories de raisons qui peuvent expliquer les différences qu’on observe entre les individus.

A

Selon la psychologie différentielle, les facteurs intrinsèques à l’individu déterminent le fonctionnement de l’individu

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15
Q

Laquelle des 3 grandes catégories de raisons qui peuvent expliquer les différences qu’on observe entre les individus est adoptée par la psychologie différentielle ?

A

La personne

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16
Q

Laquelle des 3 grandes catégories de raisons qui peuvent expliquer les différences qu’on observe entre les individus est adoptée par la psychologie du développement ?

A

Le moment/le temps

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17
Q

Laquelle des 3 grandes catégories de raisons qui peuvent expliquer les différences qu’on observe entre les individus est adoptée par la psychologie cognitive et la psychologie sociale ?

A

La situation

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18
Q

Quelles sont les 3 sources d’influence sur les observations en psychologie (ou les 3 grandes raisons qui expliquent les différences entre individus) ?

A
  • la situation (étudié par la psychologie cognitive et le psychologie sociale)
  • le moment/le temps (étudié par la psychologie du développement)
  • l’individu (étudié par la psychologie différentielle)
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19
Q

Est-ce que toute observation psychologique est singulière ?

A

OUI
Toute observation psychologique est singulière, unique. On ne peut observer qu’une seule fois un individu particulier dans une situation donnée à un moment précis

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20
Q

Une observation en psychologie renvoie à la description d’un comportement à travers quoi ?

A

À travers des mesures

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21
Q

Donnez des exemples de mesures (du comportement).

A
  • temps de réaction
  • nombre de mots rappelés
  • description verbale…
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22
Q

Explicitez ce qu’est le Cube de Cattell.

A

C’est une représentation graphique avec 3 axes (qui forment donc un cube), où nous retrouvons les 3 raisons qui peuvent expliquer les différences d’observations entres les individus (la situation, le moment, et la personne)

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23
Q

La situation, le moment, et la personne, correspondent à quelle notion ?

A

Ce sont les 3 grandes raisons qui peuvent expliquer les différences d’observations entre les individus (=les 3 sources d’influence)

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24
Q

Donnez un synonyme de “les 3 grandes raisons qui peuvent expliquer les différences d’observations entre les individus”.

A

Les 3 sources d’influence

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25
Q

Il est possible de construire des connaissances en se basant sur les 3 sources d’influence.

A

FAUX
Il serait impossible de construire des connaissances en considérant les 3 sources d’influence à la fois (c’est pour ça qu’on ne le retrouve pas dans les enseignements de psychologie, et dans les travaux des chercheurs)

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26
Q

Comment est une observation en psychologie (si on considère la situation, le temps, et l’individu) ?

A

Elle serait unique, non-reproductible

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27
Q

Est-il possible d’observer autrement qu’une seule fois un individu particulier dans une situation donnée à un moment précis ?

A

Si le comportement observé est fin, il est possible que nous n’obtenions jamais à l’identique la même observation

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28
Q

Pourquoi est-il possible de ne jamais obtenir à l’identique la même observation (en prenant en compte les 3 sources d’influence) ?

A

Car le même individu peut utiliser des procédures différentes selon le temps, et/ou selon la situation

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29
Q

Que peut-on faire avec une étude d’une observation unique ?

A

On peut étudié une observation unique, mais aucune connaissance ne peut en être tirée (ce qui rend cette étude inutile)

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30
Q

Que faut-il penser pour construire des connaissances (grâce à des observation) ?

A

Il faut penser que ce que j’ai observé chez une personne à un âge donné dans une situation donné, cela se reproduira chez d’autres personnes dans cette même situation, ou chez toutes les personnes qui ont le même âge

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31
Q

Quelle est la solution pour construire des connaissance ?

A

Il faut regrouper des observations qui se ressemblent entre elles, et qui se différencient d’autres observations ou d’autres regroupements d’observations

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32
Q

Comment pouvons-nous regrouper les observations ?

A
  • regrouper les observations qui ont été faites dans une même situation
  • regrouper les observations qui ont été faites auprès de personnes du même âge
  • regrouper les observations qui ont été faites sur le même individu
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33
Q

Avec quoi pouvons-nous comparer des observations faites dans une situation donnée ?

A

Avec des observations faites dans une autre situtation

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34
Q

Avec quoi pouvons-nous comparer des observations faites avec des individus du même âge ?

A

Avec des observations faites sur des individus d’un autre âge

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35
Q

Avec quoi pouvons-nous comparer des observations faites sur un même individu ?

A

Avec des observations faites sur un autre individu

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36
Q

Comment sont appelés les critères de regroupement (situation, temps, individu) ?

A

Ils sont appelés “invariants”

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37
Q

Que sont les “invariants” ?

A

Ce sont les critères de regroupement (situation, temps, individu)

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38
Q

Nous pouvons choisir d’associer les observations en fonction de quoi ?

A
  • des situations
  • des sujets
  • du temps
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39
Q

Si nous considérons l’invariant de la situation, nous pouvons constater qu’une des situations est plus difficile qu’une autre ?

A

OUI
En faisant la moyenne des résultats pour chaque situation et en les comparant

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40
Q

Si nous considérons l’invariant de l’individu, nous pouvons constater qu’une personne est plus lente qu’une autre ?

A

OUI
En faisant la moyenne des résultats pour chaque individu et en les comparant

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41
Q

La comparaison entre situations est typique de quelle(s) discipline(s) de la psychologie ?

A

La comparaison entre situations est typique de la psychologie cognitive et de la psychologie sociale

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42
Q

La comparaison entre individus est typique de quelle discipline de la psychologie ?

A

La comparaison entre individus est typique de la psychologie différentielle

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43
Q

La comparaison entre personnes (ou groupes de personnes) du même âge est typique de quelle discipline de la psychologie ?

A

La comparaison entre temps est typique de la psychologie du développement

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44
Q

Quels sont les 3 types de regroupements (approches) qui permettent de dégager des connaissances utiles en psychologie ?

A
  • l’approche générale/expérimentale
  • l’approche développementale
  • l’approche différentielle
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45
Q

L’approche générale/expérimentale, l’approche développementale, et l’approche différentielle, sont les caractéristiques de quelle notion ?

A

Elles sont les caractéristiques des 3 types de regroupements (approches) permettant de dégager des connaissance utiles en psychologie

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46
Q

Explicitez ce qu’est l’approche générale/expérimentale.

A

Ça correspond à la comparaison de situations

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47
Q

Explicitez ce qu’est l’approche développementale.

A

Ça correspond à la comparaison entre personnes ou groupes de personnes, uniquement sur la base de leur âge

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48
Q

Explicitez ce qu’est l’approche différentielle.

A

Ça correspond à la comparaison entre individus

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49
Q

La comparaison de situations fait partie de quelle approche ?

A

De l’approche générale/expérimentale

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50
Q

La comparaison entre personnes ou groupes de personnes, uniquement sur la base de leur âge, fait partie de quelle approche ?

A

De l’approche développementale

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51
Q

La comparaison entre individus fait partie de quelle approche ?

A

De l’approche différentielle

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52
Q

L’approche générale/expérimentale est en fonction de quoi ?

A

Elle est en fonction des situations

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53
Q

L’approche développementale est en fonction de quoi ?

A

Elle est en fonction du temps

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54
Q

L’approche différentielle est en fonction de quoi ?

A

Elle est en fonction des individus

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55
Q

Dans toutes les approches (regroupements permettant de dégager des connaissances utiles en psychologie), aucune information n’est perdu.

A

FAUX
Dans toutes les approches, une partie de l’information est perdue.
C’est pourquoi ces approches, ces points de vue, sont complémentaires

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56
Q

Les 3 approches (regroupements permettant de dégager des connaissances utiles en psychologie) sont complémentaires.

A

VRAI
Car si on prend chaque approche seule, une partie de l’information est perdue

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57
Q

Définissez la psychologie différentielle.

A

La psychologie différentielle étudie les différences observables dans les conduites d’individus différents, ou de groupes d’individus, placés dans des situations comparables

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58
Q

Quel est l’objectif de la psychologie différentielle ?

A

Elle a pour objectif de constater ces différences, de décrire leur organisation et de les expliquer

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59
Q

Selon Maurice Reuchlin, que sont les conduites ?

A

Selon Maurice Reuchlin, les conduites sont des comportements “finalisés”.
Ils sont sous-tendus par une intention, une motivation = ils sont orientés vers un but = ils ne sont pas de simples réflexes

60
Q

Selon Maurice Reuchlin, pourquoi peut-on qualifier les conduites de comportements “finalisés” ?

A

Car ils sont sous-tendus par une intention, une motivation = ils sont orientés vers un but

61
Q

Donnez un synonyme de “conduites”.

A

Comportements “finalisés”

62
Q

Combien de grandes catégories de conduite y a-t-il (selon la psychologie différentielle) ?

A

Il y en a 2

63
Q

Quelles sont les 2 grandes catégories de conduite (selon la psychologie différentielle) ?

A
  • les conduites cognitives
  • les conduites conatives
64
Q

Explicitez ce que sont les conduites cognitives.

A

Les conduites cognitives renvoient à l’acquisition et au traitement de l’information, par exemple les aptitudes intellectuelles

65
Q

Explicitez ce que sont les conduites conatives.

A

Les conduites conatives renvoient à la motivation, aux émotions, et aux intérêts, par exemple la personnalité

66
Q

Quels chercheurs ont travaillé sur les conduites cognitives ?

A
  • Binet
  • Wechsler
  • Thurstone
67
Q

Quels chercheurs ont travaillé sur les conduites conatives ?

A
  • Eysenck
  • Costa
  • Mc Crae
68
Q

Binet, Wechlser et Thurstone, ont travaillé sur quelle notion ?

A

Ils ont travaillé sur les conduites cognitives

69
Q

Eysenck, Costa et Mc Crae, ont travaillé sur quelle notion ?

A

Ils ont travaillé sur les conduites conatives

70
Q

L’étude des différences entre individus s’accompagne de l’étude de quoi d’autre ?

A

Elle s’accompagne de l’étude des différences entre groupes d’individus

71
Q

Quelles sont les deux différences entre “groupes d’individus” ?

A
  • ils sont définis a priori par un critère non psychologique
  • ils sont définis a posteriori par un critère psychologique
72
Q

Donnez des exemples de critères non psychologiques.

A
  • le genre
  • le niveau socioculturel
  • la génération
  • la position dans la fratrie…
73
Q

Donnez des exemples de critères psychologiques.

A
  • DIC = dépendance indépendance à l’égard du champ visuel
  • gaucher vs. droitier
  • LOC = locus de contrôle interne vs externe…
74
Q

Explicitez ce qu’est un critère non psychologique.

A

Un critère non psychologique est un critère biométrique ou externe, lié au milieu

75
Q

Explicitez ce qu’est un critère psychologique.

A

Un critère psychologique peut être définit comme un type ou un style, si la variable psychologique qui permet de différencier les groupes d’individus es catégorielle

76
Q

Quelle est la différence entre les types et les styles (de critère psychologique) ?

A
  • un type est une variable qui distingue des “paquets” (des groupes) d’individus
  • un style est une variable qui distingue des modes de fonctionnement différents
77
Q

Les individus peuvent utiliser les deux modes de fonctionnement (type et style).

A

VRAI
En général, chaque personne utilise préférentiellement un mode de fonctionnement plutôt qu’un autre.
Mais un individu peut tout à fait, s’il le souhaite, adopter le mode de fonctionnement qui ne lui est pas habituel

78
Q

Quels sont les deux modes de fonctionnement (de critère psychologique) ?

A

Le type et le style

79
Q

Le type et le style font partis de quel notion ?

A

Des (deux) modes de fonctionnement (de critère psychologique)

80
Q

Qu’est-ce qui conduit à la distinction des groupes d’individus ?

A

Le fait que chaque personne utilise préférentiellement un mode de fonctionnement

81
Q

Le fait que chaque personne utilise préférentiellement un mode de fonctionnement entrain quoi ?

A

La distinction des groupes d’individus

82
Q

Les modes de fonctionnement font partis de quel critère de différence entre “groupes d’individus” ?

A

Ils font partis du critère psychologique

83
Q

En psychologie, beaucoup de types ou de styles ont été mis en évidence.

A

FAUX
En psychologie, très peu de types ou de styles ont été mis en évidence.
Le plus souvent , les individus se différencient sur un continuum, sur un gradient

84
Q

Qu’est-ce qu’un continuum ?

A

C’est un gradient

85
Q

Comment est la variable si on parle de continuum ?

A

La variable est numérique ou d’intervalle (mais pas catégorielle)

86
Q

Si on a une variable numérique ou d’intervalle, on parle de …?

A

De continuum (de gradient)

87
Q

Dans le cas d’un continuum, nous ne parlons plus de type ou de style, mais de quoi ?

A

On parle alors de “trait” ou de “dimension”

88
Q

Dans quoi retrouve-t-on un “trait” ou une “dimension” ?

A

On les retrouve dans un continuum

89
Q

Durant le XXe siècle, qu’es-ce que la psychologie différentielle a cherché à identifier ?

A

La psychologie différentielle a cherché à identifier les différentes dimensions sur lesquelles les individus diffèrent les uns des autres (comme les traits de personnalité, les aptitudes intellectuelles…)

90
Q

Définissez la dimension psychologique.

A

La dimension psychologique est une variable (en générale latente) qui différencie les individus en fonction des caractéristiques psychologiques stables dans le temps et qui s’expriment dans des situations variées

91
Q

Quelles sont les deux caractéristiques des différences individuelles ?

A
  • la dimension psychologique
  • les différences individuelles au niveau d’un processus précis
92
Q

Donnez des exemples de différences individuelles au niveau d’un processus précis.

A
  • la capacité de la mémoire de travail
  • le stress perçu à l’égard d’une maladie
  • le besoin de clôture…
93
Q

Citez les 3 raisons qui caractérisent une dimension (ou un trait) psychologique.

A
  • il s’agit d’un continuum
  • elle est stable dans le temps
  • elle s’exprime dans des situations variées
94
Q

Explicitez les 3 raisons qui caractérisent une dimension (ou un trait) psychologique, en prenant l’exemple de l’extraversion.

A
  • il s’agit d’un continuum = il n’y a pas 2 extrêmes, on peut être plus ou moins introverti ou extraverti
  • elle est stable dans le temps = lorsqu’on est extraverti aujourd’hui, on a de grandes chances de l’être demain
  • elle s’exprime dans des situations variées = une personne extraverti en famille tendra aussi à l’être au travail par exemple
95
Q

Donnez un exemple de caractéristique qui n’est pas une dimension psychologique, et justifiez votre réponse.

A

La fatigue, car elle est variable dans le temps

96
Q

Qu’est-il possible d’étudier en combinant les différences définis par un critère non psychologique et les différences définis par un critère psychologique ?

A

En combinant l’étude des 2 types de différences, il est possible d’étudier les différences inter-individuelles, dans la forme des variations intra-individuelles

97
Q

Pourquoi peut-on étudier les différences inter-individuelles dans la forme des variations intra-individuelles ?

A

Car toutes les personnes ne changent pas de la même manière avec le temps ou en fonction des situations auxquelles elle sont confrontées

98
Q

Les études des différences inter-individuelles dans la forme des variations intra-individuelles commencent à remettre en cause quoi ?

A

Ces études récentes commencent à remettre en cause l’idée que considérer simultanément les 3 sources d’influence de toute observation psychologique (situation, temps, individu) conduit inévitablement à considérer ces observations comme uniques

99
Q

Citez 3 points qui montrent que les différences individuelles peuvent être intra-individuelles.

A
  • le constat de variabilité intra-individuelles
  • les différences entre inter-individuelles dans la forme de la variabilité intra-individuelle
  • vers une approche intégrative
100
Q

Donnez deux exemples de constat de variabilité intra-individuelles (dans “les différences individuelles peuvent être intra-individuelles”).

A
  • le changement de stratégie de résolution au cours des items
  • la variation des affects
101
Q

Donnez un exemple de différences inter-individuelles dans la forme de la variabilité intra-individuelle (dans “les différences individuelles peuvent être intra-individuelles”).

A

Les variations émotionnelles en réponse à des événements extérieurs

102
Q

Explicitez ce qu’on veut dire par “vers une approche intégrative” (dans “les différences individuelles peuvent être intra-individuelles”).

A

On veut aller vers une approche intégrative, qui prend en compte simultanément les trois axes de variations psychologiques

103
Q

Quels sont les 3 objectifs de la psychologie différentielle (dit par la définition) ?

A
  • constater les différences entre individus et groupes d’individus
  • décrire l’organisation de ces différences
  • expliquer ces différences
104
Q

Constater les différences entre individus et groupes d’individus, décrire l’organisation de ces différences, et expliquer ces organisations, sont les objectifs de quoi ?

A

Ce sont les objectifs de la psychologie différentielle

105
Q

Qu’est-ce que les différencialistes développent et utilisent, pour faire en sorte que, face à une même réalité, deux observations différentes aient la même observation ?

A

Pour se faire, les différencialistes développent et utilisent des tests et des questionnaires

106
Q

Dans quel but les différencialistes développent et utilisent des tests et des questionnaires ?

A

Pour faire en sorte que, face à une même réalité, deux observations différentes aient la même observation

107
Q

À cause de quoi, voulons-nous faire en sorte, que face à une même réalité, deux observations différentes aient la même observation, et que les différencialistes développent et utilisent des tests et des questionnaires ?

A

À cause du fait qu’on veut faire dépendre aussi peu que possible les observations de la subjectivité des observateurs

108
Q

Lequel de ces deux choix pose problème dans le constat des différences entre individus : “la subjectivité de l’observateur” ou “la subjectivité de l’observé” ?

A

La subjectivité de l’observateur

109
Q

Lequel de ces deux choix ne pose pas problème dans le constat des différences entre individus : “la subjectivité de l’observateur” ou “la subjectivité de l’observé” ?

A

La subjectivité de l’observé

110
Q

Les mesures subjectives (demandez au participant) peuvent être différents des mesures objectives (mesures physiologiques) ? Donnez un exemple.

A

OUI
Par exemple, le lien entre le stress et la réponse à une thérapie peut être plus élevé quand le stress est évalué subjectivement (“à quel point vous vous sentez stressé(e) ?”) que quand il est évalué objectivement (avec des mesures physiologiques)

111
Q

Quel est le second problème dans le constat des différences entre individus ?

A

C’est l’“inférence” (ou la “géréralisabilité”)

112
Q

Donnez un synonyme d’“inférence”.

A

La “généralisabilité”

113
Q

Donnez un synonyme de la “généralisabilité”.

A

L’“inférence”

114
Q

Quel est l’outil qui permet de déterminer si des observations faites sur un échantillon d’individus peuvent être généralisées à toute la population qu’ils sont censés représenter ?

A

Cet outil est la statistique

115
Q

À quoi sert la statistique (en psychologie différentielle) ?

A

À déterminer si des observations faites sur un échantillon d’individus peuvent être généralisées à toute la population qu’ils sont censés représenter

116
Q

Qu’est-ce que l’“inférence” (ou la “généralisabilité”) selon vous ?

A

C’est la tendance à généraliser une/des observation(s) à toute la population (sans l’aide de la statistique)

117
Q

Qu’est-ce qui peut souvent éloigner nos constats quotidiens de la réalité des faits ?

A

Les biais de jugement

118
Q

Donnez un exemple de biais bien connu.

A

Un biais bien connu est la tendance des personnes à penser que les autres fonctionnent comme elles

119
Q

Donnez un exemple du biais de la tendance des personnes à penser que les autres fonctionnent comme elles.

A

Dans des études, on a demandé leur avis a des personnes sur la question “si Burger King vous proposait de vous payer 50€ par jour pour porter un T-shirt à son effigie, le feriez vous ?”, puis on leur a demandé “à votre avis, quelle est la proportion des personnes qui répondraient la même chose que vous ?”.
Résultats = 80% des personnes pensent que 80% des autres répondraient la même chose qu’elles (donc, ils pensent que 80% répondraient “oui” et que 80% répondraient “non”, ce qui est statistiquement impossible)

120
Q

Quels sont les 2 points à aborder pour “constater des différences individuelles” ?

A
  • des observations objectives
  • un problème d’inférence
121
Q

Explicitez à quoi correspond l’observation objective.

A

L’observation objective correspond à fait que les observations doivent dépendre le moins possible de la subjectivité de l’observateur.
Pour se faire, la psychologie différentielle développe et utilise des outils d’observation : les tests psychologiques

122
Q

Explicitez à quoi correspond le problème de l’inférence.

A

Le problème de l’inférence correspond à l’évaluation du risque pris lors de la généralisation d’effets observés sur des échantillons d’individus aux populations dont ces individus sont issus

123
Q

Comment pouvons-nous déterminer des grandes dimensions, quant aux différences entre individus ?

A

En réalisant plusieurs observations/questionnaires sur plusieurs items, par exemple

124
Q

En réalisant plusieurs observations/questionnaires sur plusieurs items, nous pouvons déterminer quoi ?

A

Nous pouvons alors déterminer des grandes dimensions (quant aux différences entre individus)

125
Q

Quelles sont les 3 grandes dimensions, des différences entre individus, dans le sentiment amoureux ?

A
  • l’engagement (la volonté que sa relation dure longtemps)
  • le désir
  • la proximité émotionnelle (l’inclination à partager beaucoup de choses avec son partenaire sur le plan émotionnel)
126
Q

Pourquoi étudier la relation entre les différences entres individus sur leurs dimensions et les différences entre individus sur d’autres variables ?

A

Car en procédant ainsi, nous pourrions déterminer quelle dimension prédit le plus une autre variable

127
Q

En quoi est-ce important de déterminer quelle dimension prédit le plus une autre variable ?

A

Pour que les psychologues (notamment) sachent sur quelle point être attentif pour mieux aider leur(s) patient(s)

128
Q

Quels sont les 3 points à aborder pour “décrire l’organisation des différences individuelles” ?

A
  • le domaine conatif
  • le domaine cognitif
  • les relations entre les variables
129
Q

Quelles questions peut-on se poser quant au domaine conatif, pour décrire l’organisation des différences individuelles ?

A
  • traits ou types ?
  • nombre de traits/types ?
  • existence de traits/types généraux ?
130
Q

Quelles questions peut-on se poser quant au domaine cognitif, pour décrire l’organisation des différences individuelles ?

A
  • quelles sont les principales aptitudes intellectuelles ?
  • existe-t-il une intelligence générale ?
131
Q

Explicitez ce que sont les relations avec d’autres variables, pour décrire l’organisation des différences individuelles.

A

Les relations avec d’autres variables correspondent au caractère prédictif et explicatif des différences individuelles dans d’autres domaines psychologiques ou de la vie courante

132
Q

Qu’est-ce qui correspond au “caractère prédictif et explicatif des différences individuelles dans d’autres domaines psychologiques ou de la vie courante” ?

A

C’est les relations avec d’autres variables qui correspondent

133
Q

Le domaine conatif, le domaine cognitif, et les relations avec d’autres variables, correspondent à quel objectif de la psychologie différentielle ?

A

Ils correspondent à “décrire l’organisation des différences individuelles”

134
Q

Quelles sont les 2 catégories de raison les plus fréquemment évoquées pour expliquer l’origine des différences entre individus ?

A

Ce sont l’inné et l’acquis

135
Q

Pourquoi est-il quasiment impossible de déterminer qu’est-ce qui est inné ou acquis, et qu’est-ce qui explique telle ou telle différence entre individus ?

A

Car l’un des éléments innés chez l’être humaine, c’est sa capacité à acquérir

136
Q

Les tentatives d’explication plus fécondes font appel à quoi ?

A

Les tentatives d’explication plus fécondes font appel aux processus psychologiques précis potentiellement impliqués dans les différences entre individus

137
Q

Dans l’optique d’expliquer les différences entre individus par des processus psychologiques, comment explique-t-on l’introversion et l’extraversion ?

A
  • introversion = sensibilité aux stimulations sociales, quand elles sont trop fréquentes ou trop fortes
  • extraversion = recherche des stimulations intenses, car plus difficile à stimuler
138
Q

Quels sont les 3 points à aborder pour “expliquer les origines des différences individuelles” ?

A
  • les origines liées au milieu (l’acquis)
  • les origines génétiques (l’inné)
  • l’explication en terme de processus psychologiques
139
Q

Explicitez ce que sont les origines liées au milieu (l’acquis).

A

Les origines liées au milieu correspondent à la période de développement très longue chez l’espèce humaine (l’acquis)

140
Q

Explicitez ce que sont les origines génétiques (l’inné).

A

Les origines génétiques correspondent à la théorie de l’évolution des espèces par le biais de la sélection naturelle (l’inné)

141
Q

À quel type d’origines correspond “la théorie de l’évolution des espèces par le biais de la sélection naturelle” (pour expliquer les origines des différences individuelles) ?

A

Aux origines génétiques (l’inné)

142
Q

À quel type d’origines correspond “la période de développement très longue chez l’espèce humaine (l’acquis)” (pour expliquer les origines des différences individuelles) ?

A

Aux origines liées au milieu (l’acquis)

143
Q

Les origines liées au milieu, les origines génétiques, et l’explication en terme de processus psychologiques, correspondent à quel objectif de la psychologie différentielle ?

A

Elles correspondent à “expliquer les origines des différences individuelles”

144
Q

Donnez un synonyme des “origines liées au milieu”.

A

L’acquis

145
Q

Donnez un synonyme de l’acquis.

A

Les origines liées au milieu

146
Q

Donnez un synonyme des “origines génétiques”.

A

L’inné

147
Q

Donnez un synonyme de l’inné.

A

Les origines génétiques

Psychologie différentielle L2S4 (12 decks)

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