Chapitre 5 Flashcards

1
Q

Qu’est-ce qu’un neurone?

A

Le cerveau se développe à un rythme extraordinaire au début de la vie
* Poussée de croissance cérébrale : la période entre le 7e mois prénatal et l’âge de 2 ans où plus de la
moitié du poids éventuel du cerveau de l’enfant est ajouté.
* Neurone : cellule de base du système nerveux dont le rôle est de transmettre les impulsions nerveuses.
* Cellules gliales : procurent aux neurones leur nourriture, les supportent et les protègent.
* Axone : prolongement du neurone qui transmet l’information à d’autres neurones par l’arborisation
terminale.
* Dendrite : prolongement du neurone dont les ramifications captent l’information provenant d’autres
neurones.
* Synapse : zone de rencontre entre deux neurones par laquelle l’information passe de l’un à l’autre.

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2
Q

Maturation cérébrale en profondeur:

A

25% du poids final à 75% de son poids final à l’âge de 2 ans

Poids ne détermine pas la maturation cérébrale
Croissance rapide est cruciale, commence et fini a 4 ans,
Plusieurs billions de cellule/synapses
Neurone croit entre 25 semaine de gestation et premiers mois de la vie, à la naissance, la pluspart de neurones sont déjà formé, mais pas mature, il n’y a que peu de neurone qui se font au cours de la vie, neurogénèse,
Cellules gliales, gaine isolante en myèline, on en a plus que de neurone et on continue a en faire,
Axone : Envoie l’infoe
Dendrite reçois,
Neurotransmetteurs= message donnés par neurones

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3
Q

En quoi la stimulation des neurones est-elle importante?

A

La stimulation devient vitale pour la survie des neurones.
* Les neurones stimulés par l’environnement continuent de former de nouvelles synapses.
* Un enfant qui grandit dans un environnement riche en stimulations développe un réseau
synaptique plus complexe.
Permet des habilités plus complexes.
Au début, la stimulation entraîne une surabondance massive de synapses, dont beaucoup remplissent des fonctions identiques, garantissant ainsi que l’enfant acquiert les compétences motrices, cognitives et sociales dont notre espèce a besoin pour survivre.
Lorsque des neurones ne sont plus utilisées, elles sont gardés afin d’être utiles aux compétences futures. 50% des synapses sont créées dans cette période.

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4
Q

Qu’est-ce que l’élagage synaptique?

A

Stimulation= création de synapse, plus de neurone qu’on a besoin, fait qu’il y a de la flexibilité pour apprendre,
Doivent être stimulé pendant l’enfance pour se renforcer et survivre,
Plus de myeline= communication plus rapide entre le cerveau et le reste du corps
* Les connexions neuronales qui sont les plus utilisées se renforcent, tandis que celles qui ne
le sont pas s’atrophient.
Les neurones et les synapses sont conservée pour assurer un développement futur mais doivent être stimulée pour qu’elles puissent être utilisée. Les synapses peuvent être réarrangée et renforcée pour qu’elles deviennent plus efficace.

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5
Q

Qu’est-ce qui cause l’augmentation énorme de la taille du cerveau après la naissance si la majorité des neurones sont déjà présents?

A

Ce sont les cellules gliales responsables de la myélination qui forment 50% du volume du cerveau qui sont produites.

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6
Q

Qu’est-ce que le cortex cérébral?

A
  • La plus grande structure cérébrale, contient le plus de
    neurones.
  • Sensible aux influences environnementales pendant
    longtemps car c’est la dernière partie du cerveau à terminer sa croissance.
  • Les régions du cortex cérébral se développent à des rythmes
    différents.
    85% du cerveau,
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7
Q

Qu’est-ce que le cortex préfrontal?

A

La période de développement la plus longue.
* Responsable de la pensée abstraite et complexe.
* Se développe rapidement durant les périodes préscolaires et
scolaires.
Inhibition des impulsions, intégration d’informations, autorégulation de la cognition, des émotions et du comportement,, stratégie de mémoire, de raisonnement, de planification et de résolution de problème.

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8
Q

Quel est le développement du cortex préfrontal?

A

À partir de 2 mois le cortex préfrontal fonctionne plus efficacement. Sa myélinisation son élagage et la formation des synapse se fait particulièrement rapidment lors de la période scolaire et préscolaire. Ensuite bon développement lors de l’adolescence jusqu’à ce qu’il atteigne un niveau mature de synapses.

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9
Q

Qu’est-ce que la plasticité cérébrale?

A
  • À la petite enfance, le cerveau est caractérisé par une grande plasticité et ne le sera plus jamais
    autant.
  • Elle permet l’apprentissage et la maîtrise de compétences essentielles pour la survie des
    enfants.
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10
Q

À quoi sert la plasticité du cerveau?

A

Peut réorganiser des zones du cerveau qu’un adulte ne peut pas faire, surabondance que synaptique favorise la plasticité du cerveau

S’il y a blessure lors de la jeunesse, le cerveau peu réorganisé les tâches, mais cela encombre les autres régions du cerveau qui sont surchargés. Moins de précision. Les capacités mentales complexes de toute sorte vont en souffrir, une tâche difficile nécessite la coopération des différentes parties du cerveau. Parfois pas apparent lors de la petite enfance, Change l’effet de la lésion selon l’âge qu’il a lors de la blessure.

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11
Q

Qu’est-ce que la latéralisation du cerveau?

A

C’est la capacité des différents hémisphère du cerveau à se spécialiser dans certaines tâches. Lorsque celle-ci est terminée, la plasticité du cerveau est moindre. Lorsqu’elle est en cours, le cerveau peut s’ajuster et donner certaines fonction d’un hémisphère endommagé à un hémisphère en santé. Évidence= avoir une bonne main et une mauvaise main. latéralité.

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12
Q

Que sont les lésions cérébrales?

A

Elles peuvent générer des déficits cognitifs durables.
* L’effet d’encombrement : plusieurs tâches doivent être effectuées par un volume de tissu cérébral
plus petit que d’habitude.
* Le moment de la lésion se combine avec plusieurs autres facteurs qui affectent la plasticité.

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13
Q

Quelles sont les différences entre l’hémisphère droit et l’hémisphère gauche?

A

Hémisphère gauche: Traite les informations de manière séquentielle et analytique. Communication, informations verbales et émotions
Hémisphère droit: Traite les informations de manière holistique et intégrative, idéal pour donner un sens à l’information spatiale et réguler les émotions négatives.

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14
Q

Quels sont les périodes sensibles pour le développement du cerveau?

A
  • Une privation sensorielle précoce et extrême entraîne des lésions cérébrales
    permanentes et une perte des fonctions essentielles.
  • Enfants placés en orphelinats extrêmement démunis :
  • Adoptés avant l’âge de 6 mois : rattrapage impressionnant.
  • Adoptés après l’âge de 6 mois : présence de déficits intellectuels graves et au moins trois problèmes
    de santé mentale graves. Difficulté à gérer le stress.
    L’impact est dans les liens neuraux entre le cortex préfrontal et les structures impliquées
    dans la régulation émotionnelle.
    quantité de cortisol élevée ou faible
    Oxytocin faible dans l’urine (hormone qui rend calme et contentement en présence d’une personne familière)
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15
Q

Qu’est-ce qu’une stimulation environnementale appropriée?

A
  • La parentalité protège le cerveau des jeunes enfants des effets potentiellement néfastes
    d’une exposition excessive et inadéquate aux hormones de stress.
  • Les familles d’accueil semblent avoir un effet généralement positif.
  • Un environnement trop stimulant et/ou demandant peut nuire au développement du
    cerveau.
  • Une stimulation précoce appropriée produit :
  • Développement cérébral « attendu de l’expérience » : dépend des expériences ordinaires.
  • Développement cérébral « dépendant de l’expérience » : une croissance additionnelle à la suite
    d’apprentissages spécifiques.
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16
Q

L’effet d’une mère aimante sur un bébé dans une situation pauvre.

A

Malgré le fait qu’un bébé ait un environnement pauvre et avec trop peu de stimulations, l’affection et les soins affectifs de la mère peut protéger et limiter les dégâts de ce genre d’environnement sur un bébé. Cela normalise la production de cortisol.

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17
Q

L’effet de la surstimulation des bébés

A

Trop c’est comme pas assez. Dans les pays industrialisés ou les tablettes et les outils sont facilement accessible, certain parents tente d’utiliser ces outils pour commencer l’enseignement des mathématiques et autres matières scolaires trop tôt dans l’enfance. Les effets positifs n’ont pas été prouvé, mais un effet négatif pourrait se produire et causer un désintérêt de l’enfant à l’éducation.

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18
Q

Qu’est-ce que le développement cérébral attendu de l’expérience?

A

Le développement du cerveau en bas-âge relié aux jouets et aux stimulus agréables. Cela se produit naturellement et à un jeune âge. (shared meal, peekaboo, bath before bed, picture book to talk about, songs to sing.) Ces choses prépare les fondations du développement cérébral dépendant de l’expérience.

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19
Q

Qu’est-ce que le développement cérébral dépendant de l’expérience?

A

Le développement des capacités plus mathématiques et autres. Qui n’est pas naturel et ne doit pas se produire à un âge trop jeune sous risque que l’enfant perde intérêt en ces matières.

20
Q

Quels rôles joue l’hérédité dans la croissance physique?

A
  • Lorsque la nutrition et la santé sont adéquates, la
    taille et le taux de croissance physique sont
    largement déterminés par l’hérédité.
  • Chez les enfants et les adolescents qui ont déjà
    connu des environnements négatifs, leur croissance
    se rattrape une fois que les conditions s’améliorent.
  • La constitution génétique affecte également le
    poids corporel.
    Preuve: les jumeaux identiques sont de taille beaucoup plus semblable que les jumeaux dizygotes.
21
Q

Quels sont les effets de la nutrition sur la croissance physique?

A
  • La nutrition est particulièrement cruciale pour le développement au cours des deux
    premières années de vie (période sensible ou le cerveau et le corps se développe rapidement).
  • L’Organisation mondiale de la Santé (WHO) recommande d’allaiter jusqu’à 2 ans.
    Besoins énergétique livre/livre sont doubles de ceux d’un adulte.
    25% de l’apport calorique est dédié à la croissance. Encore plus de calorie pour les bébés qui doivent rapidement développer des organes en santé.
22
Q

Quels sont les avantages du lait maternel dans la croissance physique?

A
  • Fournit le bon équilibre entre les graisses et les protéines.
  • Assure un apport nutritionnel complet.
  • Aide à assurer une croissance physique saine.
  • Protège contre de nombreuses maladies.
  • Protège contre la carie dentaire et un mauvais développement de la mâchoire.
  • Assure la digestibilité.
  • Facilite la transition vers les aliments solides.
    Protège contre les infections respiratoire et intestinales,
    Pourrait apporter un avantage cognitif.
  • Allaitement maternel
  • est parfaitement adapté aux besoins des nouveau-nés.
  • aide à augmenter l’espacement entre la fratrie.
  • est devenu plus courant dans les pays industrialisés, mais plusieurs
    arrêtent à 6 mois.
  • Dans les pays industrialisés, les mères peuvent ressentir une
    difficulté à jongler l’allaitement et leur carrière.
  • Il n’existe pas de différence au niveau du développement
    psychologique entre les bébés nourris au sein et ceux nourris
    au biberon.
23
Q

Quels sont les liens entre la nutrition d’un bébé et l’obésité plus tard dans la vie?

A
  • Des études récentes renforcent le lien entre la prise de poids rapide à la peCte enfance
    et l’obésité plus tard.
  • Pour aider à réduire le risque d’obésité, les parents peuvent :
  • allaiter pendant les six premiers mois.
  • éviter de donner aux bébés des aliments malsains.
    Garder un journal de ce qu’on donne à manger au bébé
  • offrir aux enfants d’âge préscolaire des occasions de jouer.
  • limiter le temps passé devant la télévision. plus d’exercice physique, de jeux
  • Les politiques publiques destinées aux familles à faible revenu sont vitales pour
    promouvoir la santé des enfants. (fournir nourriture saine pour bébé, informer de l’importance de l’allaitement,
24
Q

Quels sont les effets de la malnutrition sur la croissance physique?

A

Répandue dans les pays en développement et dans les zones
déchirées par la guerre avec des ressources alimentaires
limitées.
* Contribue à près de la moitié des décès des jeunes enfants
dans le monde.
* Marasme : alimentation pauvre en tous les nutriments essentiels.
* Kwashiorkor : alimentation déséquilibrée très pauvre en protéines.
* Anémie ferriprive : touche jusqu’à la moitié des enfants de moins
de 5 ans dans le monde.
* Au Québec, en 2012, environ 5 % des enfants de moins de cinq
ans vivaient dans une situation d’insécurité alimentaire.

25
Q

Qu’es-ce que le marasme?

A

Nutrition faible de tous les éléments nutritifs essentiels. Se produit dans la première année, lorsque la mère elle-même est mal nourrie et ne peut produire assez de lait maternel de bonne qualité. Le bébé devient très maigre et risque la mort.

26
Q

Qu’est-ce que le Kwashiorkor?

A

Maladie reliée à une nutrition mal balancée qui est faible en protéines. Arrive entre 1 et 3 ans de vie. Se produit lorsqu’un enfant reçoit assez de calories mais trop peu de protéines. Donc nutrition plus vide d’éléments et qui remplissent. L’enfant va donc commencer à utiliser ses propres protéines. Cause une perte de cheveux, de la peau avec des éruptions cutanées, un gonflement de l’abdomen, des chevilles et des pieds du a la rétention d’eau. Comportement irritable et apathique. À long terme, les enfants qui survivent vont tendre à être plus petits, il vont avoir des dommages au cerveau, au coeur, au foie, au pancréas et à d’autres organes. Ils vont tendre aussi à l’obésité car le corps voudra accumuler les nutriments en réaction de protection et de peur que la malnutrition se reproduise.

27
Q

Qu’est-ce que l’anémie ferriprive?

A

Anémie ferriprive, manque de fer, apathique, retarde leur toute croissance, faible développement intelectuel/ test qi,
Zinc manque=ralentis la croissance

28
Q

Quels sont les effets du bien-être émotionnel sur la croissance physique?

A

Retard de croissance chez les nouveau-nés et les jeunes
enfants :
* Le poids est nettement inférieur aux normes de croissance
liées à l’âge. L’enfant est apathique et en retrait.
* Causé par un apport calorique insuffisant et des facteurs
contributifs, comme une relation parent-enfant perturbée.
* Le bébé est irritable et présente des comportements
alimentaires anormaux.
* Peut entraîner des difficultés cognitives et émotionnelles
durables.

Moitié des cas, relations parents enfants peu harmonieuse, stress parentaux, relation des parents non saine,
Mauvaise succion, vomissements, prise de poids, parents impuissants anxieux, ce qui stress l’enfant d’avantage

29
Q

Qu’est-ce que le conditionnement classique?

A

Possible grâce aux réflexes
* Nécessite un stimulus inconditionnel (SI) pour produire
systématiquement une réaction inconditionnelle (RI).
* Le stimulus neutre (SN) est présenté juste avant ou en même
temps que le stimulus inconditionnel (SI).
* S’il y a apprentissage, le stimulus neutre (SN) seul - maintenant
un stimulus conditionné (SC) - produira une réponse similaire à
la réponse réflexive, maintenant une réponse conditionnée
(RC).
* Extinction : Si le SC est présenté seul plusieurs fois la réponse
conditionnée (RC) ne se produira plus.
Doit y avoir une valeur de survie.
SI=lait
RI=succion
SN=caresse
SC=caresse qui fait faire succion à l’enfant
Succion suite a caresse=RC
Extinction= arrêter de faire les deux en même temps il arrête de faire la RC

Contre-conditionnement, associer une phobie a un stimulus positif pour faire disparaître la phobie,

Fonctionne avec réflexe de survie, besoin de beaucoup de temps pour faire le lien, entre les stimulus
Très jeune bébé comprennent que certains évènement se produisent en même temps, certaines personnes=source de réconfort et chaleur

30
Q

Qu’est-ce que le conditionnement opérant?

A
  • Dans le conditionnement opérant, les nouveau-nés agissent
    (ou opèrent) sur l’environnement :
  • Les stimuli qui viennent après le comportement modifient la
    probabilité qu’il soit reproduit.
  • Joue un rôle essentiel dans la formation des relations sociales
    (attachement).
  • Renforçateur : stimulus qui augmente la manifestaCon
    d’une réponse.
  • Punition : supprimer un stimulus souhaitable ou présenter
    un stimulus désagréable pour diminuer la manifestation
    d’une réponse
31
Q

Qu’est-ce que l’habituation?

A
  • L’habituation : une fois habitué à un stimulus, l’enfant réagit
    de manière moins intense ou cesse complètement de réagir.
  • La récupération : retour à un haut niveau de réactivité
    lorsqu’un nouveau stimulus est introduit.
  • Préférence pour la nouveauté :
  • Regard vers le nouveau stimulus.
  • Évalue la mémoire à court terme.
    Préférence pour la familiarité :
  • Regard vers le stimulus familier
  • Évalue la mémoire à long terme.
32
Q

Qu’est-ce que l’apprentissage statistique?

A
  • Capacité à détecter la structure fondamentale d’un flot
    complexe d’informations en extrayant automatiquement
    des motifs fréquents.
  • Capacité innée et fonctionnelle à la naissance.
  • Se produit dans plusieurs modalités sensorielles.
  • Principalement étudié avec la parole :
  • (Pa-bi-ku et go-la-tu) VS (ku-go-la)
  • Doit être limité, sinon les bébés seraient submergés par
    tous les motifs statistiques de leur environnement.
33
Q

Qu’est-ce que l’imitation?

A

L’apprentissage se fait en imitant le comportement des autres.
* Observé même chez les primates nouveau-nés, y compris les
chimpanzés.
* Certains chercheurs pensent que les nouveau-nés imitent autant que
les enfants plus âgés et les adultes.
* Pour d’autres, les comportements imitatifs sont des réponses
automatiques aux stimuli et ils diminuent avec l’âge.
Neurones miroirs : cellules spécialisées dans les aires motrices du
cortex cérébral chez les primates qui appuient les capacités
d’imitation. utiles pour comprendre et imiter dans sa tête, empathie
diminue avec l’âge comme les reflexes, plus facile enfant 2-3mois

34
Q

Qu’est-ce que la motricité globale?

A

mouvements qui nécessitent la
participation de tout le corps ou de parties importantes du
corps (marcher, courir, danser).

35
Q

Effets de la motricité en général:

A

Marche= augmente interactions sociales.
Motricité fine et globale sont interdépendante

36
Q

Qu’est-ce que la motricité fine?

A

mouvements qui demandent la participation
des doigts et des mains (saisir, insérer, dessiner).

37
Q

Qu’elles sont les grandes différences individuelles dans la motricité?

A

le moment précis où chaque
enfant acquiert les habiletés de base varie.
* On parle plutôt de jalons du développement de la motricité.

38
Q

Qu’est-ce que la motricité globale?

A

La théorie des systèmes dynamiques du développement moteur : la maîtrise des habiletés
motrices implique l’acquisition de systèmes d’action de plus en plus complexes.
* Chaque nouvelle compétence est un résultat conjoint de ces facteurs :
* le développement du système nerveux central
* les habiletés motrices actuelles
* les objectifs que l’enfant a en tête
* les capacités perceptives et cognitives de l’enfant
* les soutiens environnementaux
* L’environnement physique a une influence sur le développement d’habiletés motrices.
* Quand une compétence est acquise pour la première fois, elle doit être peaufinée.

39
Q

La motricité fine en étapes:

A
  • Prereaching : mouvements mal coordonnés des nouveau-nés vers des objets.
  • À 3–4 mois : mouvements délibérés des bras vers l’avant.
  • À 5–6 mois : atteindre des objets dans une pièce sombre.
  • La prise d’objet est largement contrôlée par la proprioception.
  • Préhension ulnaire : mouvement maladroit dans lequel les doigts se referment contre la
    paume.
  • Assis, les enfants explorent et transfèrent un objet d’une main à l’autre.
  • Préhension en pince : mode de préhension qui utilise l’opposition du pouce et de l’index.
40
Q

La perception de la parole:

A

La perception : processus actif dans lequel on organise et interprète ce qu’on reçoit de nos
sens.
La perception de la parole :
* La discrimination des sons active à la fois les zones auditives et motrices du cortex cérébral.
* Autour de 5 mois, les nouveau-nés deviennent sensibles aux schémas d’accentuation des syllabes
dans leur propre langue.
* Entre 6 et 8 mois, ils commencent à « filtrer » les sons non utilisés dans leur langue maternelle.
* Entre 7 et 8 mois, ils divisent le flux de parole en unités semblables à des mots et peuvent détecter
les accents réguliers des syllabes.
* Le style de communication des adultes avec les bébés facilite l’analyse de la structure de la parole

41
Q

La perception au niveau de la vue:

A
  • Le développement visuel est soutenu par une maturation rapide
    de l’œil et des centres visuels du cortex cérébral.
  • Vers 2 mois, capacité de se concentrer aussi bien sur des objets que les
    adultes.
  • Vers 4 mois, la perception des couleurs atteint celle d’un adulte.
  • L’acuité visuelle augmente régulièrement jusqu’à l’âge de 4 ans.
  • La perception de la profondeur : la capacité de juger de la
    distance des objets les uns par rapport aux autres et par rapport à
    nous-mêmes.
  • La falaise visuelle
    Ceux qui marchent on plus peur que ceux qui rampent, voit mieux, peuvent bouger leur corps pour s’adapter
42
Q

La perception de la profondeur:

A

L’émergence de la perception de la profondeur
* Le mouvement est le premier indice de profondeur auquel les nouveau-nés
sont sensibles (3-4 semaines)
* Les indices de profondeur binoculaire : émergent à 8 semaines
* Les indices de profondeur picturale : émergent à l’âge de 3-4 mois.
Le mouvement et la perception de la profondeur
* Lors de l’acquisition d’une nouvelle capacité motrice, les bébés ont de la
difficulté à percevoir le danger de la profondeur.
* Une fois acquise (ramper, marcher), ils hésitent de s’aventurer au-delà de la
pente.
* La marche permet aux bébés de s’adapter à des passages hauts et étroits.

43
Q

Perception des motifs:

A
  • Les nouveau-nés préfèrent les stimuli à motifs, et avec l’âge, des motifs plus complexes.
  • Au départ, ils regardent généralement un seul élément très contrastant.
  • À 2 ou 3 mois, ils regardent profondément chaque élément d’un motif.
  • Quand ils peuvent assimiler tous les éléments, ils intègrent les parties en un tout unifié.
  • Vers 4 mois, ils perçoivent des frontières subjectives qui ne sont pas vraiment présentes.
  • À 12 mois, ils détectent des objets familiers représentés par des dessins incomplets.
44
Q

Perception du visage:

A

Les nouveau-nés démontrent une préférence pour les photos et les
dessins qui ressemblent à des visages.
* Ils préfèrent le visage de leur mère à celui d’autres femmes.
* Vers 3 mois, ils font de fines distinctions entre les traits des différents
visages.
* Vers 5 mois, ils discriminent les visages positifs des visages négatifs.
* Dès 3 mois, ils préfèrent les visages qu’ils voient le plus souvent
* L’identification du visage continue de s’améliorer tout au long de
l’enfance.

45
Q

La perception des objets:

A

Constance de taille : constance de la taille, malgré les changements d’images rétiniennes.
* Constance de la forme : stabilité de la forme, malgré les changements projetés sur la rétine.

46
Q

La perception de l’identité des objets:

A
  • Les nouveau-nés lient des éléments séparés d’un motif et perçoivent un objet unifié (p. ex., barre grise).
  • Ils ont de la difficulté à percevoir les frontières entre les objets.
  • Avec le temps, ils s’appuient davantage sur la forme, la couleur et le motif, et moins sur le
    mouvement.
  • De 4 à 11 mois, ils utilisent de plus en plus les caractéristiques d’un objet pour en déterminer l’identité.
  • La perception de l’identité de l’objet est maîtrisée progressivement au cours de la première année.