Chapitre 10 : Quels sont vos rêves ? et Chapitre 14 : Rien ne veut un réseau de soutien Flashcards
contreproductive ! On ne doit surtout pas nourrir le fatalisme ou le désespoir, mais plutôt les contrer Comment ?
En cherchant à faire vivre des succès ou événements positifs à nos clientèles ne peut que les aider, leur donner de l’espoir, susciter leur résilience.
permettre de vivre quoi ?.. est donc primordial.
des expériences positives
Bien sûr, le passé nous conditionne. On ne peut l’effacer. Mais … ?
si lourd qu’il soit, il ne nous enchaîne pas. P.104
Quelles attitudes sont à privilégier pour soutenir la résilience et l’empowerment plutôt que le fatalisme et le sentiment d’impuissance. P.105 ?
Anticiper l’avenir de façon constructive, mettre l’accent sur les projets et valoriser ce qui va bien,
Plusieurs approches dites humanistes valorisent le potentiel et les forces des individus. Quel model axé sur les forces à le mieux systématisé cette perspective ?
C’est sans doute le modèle axé sur les forces, développé des professeurs de l’École de service social de l’université du Kansas, qui a le mieux systématisé cette perspective
L’approche axé sur les forces soutient quoi ?
cette approche met l’accent sur ce qui fonctionne bien chez la personne. Les concepteurs du modèle axé sur les forces insistent sur le fait que tout individu possède la faculté d’apprendre, de changer et d’agir sur sa propre vie. Pour ce faire, il doit puiser dans ses propres ressources et dans celles de son entourage.
Une des meilleures façons de contrer le sentiment d’isolement et de dévalorisation qu’amène la marginalisation ou la stigmatisation sociale est de … ?
se regrouper. La devise « l’union fait la force » n’est pas
Il existe plusieurs types de groupes. Si on les situe sur un continuum visant d’une part le changement individuel et d’autre part le changement social, ces groupes pourraient être distribués en cinq catégories, qui sont les suivantes:
- Les groupes de types thérapeutiques et les groupes de parole et de soutien ont pour objectif commun l’instauration d’un soutien mutuel à partir du partage des expériences de vie des participants. P. 139
- Les groupes de socialisation sont axés sur le développement d’habiletés sociales dans un contexte de solidarité. P.140
- Les groupes de services sont, quant à eux, orientés vers la dispensation des services concrets pour et par les participants, afin de pallier un manque constaté dans les services publiques. P.141
- Les groupes de sensibilisation ou de conscientisation vont plus loin car ils comportent une volonté de changement social. P.141
- Les groupes de défense de droits sont ouvertement militants, axés sur une revendication publique et politique. P.142
La (2 mots) du changement est souvent essentielle, quoique trop souvent négligée ou sous-estimée par ceux qu’on appelle les «cliniciens» Intervention personnelle et familiale). La plupart des problèmes ont … quoi ?
dimension collective
une dimension collective, voire politique.
- L’empowerment individuel va généralement de pair avec un un quoi ??
empowerment collectif : on arrive à être plus fort parce que le groupe auquel on appartient obtient plus de respect, des services plus appropriés, et la reconnaissance de ses droits. P.144
Par exemple, l’approche écologique (aussi appelée écosystémique), souvent utilisée en travail social et en éducation, étudie la relation qui s’établit non seulement entre l’individu et son environnement social mais aussi entre les ???
multiples systèmes qui composent ce dernier (la famille, le milieu d’étude ou de travail, le quartier, etc.). De ce
qu’est-ce qu’apport un apport extérieur à l’intervention ?
- Un apport extérieur est souvent requis pour compléter et réussir une relation d’aide individuelle. La personne a tout à gagner à se sentir soutenue dans son milieu de vie et à y participer activement. P. 148
L’approche structurelle, quant à elle, se veut d’emblée politique dans sa compréhension des problèmes psychosociaux et dans leur résolution. Ce modèle repose sur deux postulats.
Le premier est qu’il existe toujours des liens étroits, quoique le plus souvent camouflés ou sous-estimés, entre les problèmes individuels et les contextes sociaux dans lesquels ils surviennent. Le second est que toute intervention sociale est vouée à l’échec si elle ne vise pas un changement sur le plan collectif, en particulier en ce qui concerne les mentalités et les structures opprimantes.
Selon l’approche structurelle, il faut miser sur quoi ? (2 éléments)
en misant sur l’empowerment
et la revendication des droits des populations et des groupes opprimés,
l
Les intervenants srtucturaux se posent demblée comme des (2mots) promoteurs de (2mots)
Mot d’ordre = ??
acteurs sociaux promoteurs
de changement social.
Leur mot d’ordre est la solidarité.