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PSY4182 > Chapitre 1 > Flashcards

Chapitre 1 Flashcards

1
Q

Les techniques de TCCE agissent à trois niveaux différents/trois variables interdépendantes. Quels sont-ils ?

A

1) Les comportements
2) Les cognitions (pensées)
3) Les émotions

Le but est d’agir sur l’une ou plusieurs de ces trois variables qui posent problème pour obtenir un changement bénéfique pour le patient

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Q

Vrai ou faux: Les thérapies TCCE sont des thérapies dont l’efficacité a été largement démontrée pour les troubles anxieux et dépressifs et dont l’intérêt a été montré pour la plupart des troubles psychiatriques (troubles addictifs, de personnalité, psychotiques, etc.) et dans le domaine de la médecine comportementale (stress, insomnie, douleur, alimentation, comportements de santé, etc.)

A

Vrai

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3
Q

Quels sont les principes fondamentaux des TCCE ? (10)

A

1) l’alliance thérapeutique
2) la psychoéducation précoce du patient par le thérapeute
3) basée sur des problèmes actuels
4) conceptualisation du cas; programme thérapeutique personnalisé.
5) séance après séance, le thérapeute intègre les nouveaux problèmes évoqués et modifie sa conceptualisation du cas si nécessaire.
6) On vise l’autonomisation du patient pendant la thérapie
7) la thérapie est limitée dans le temps
8) les séances sont structurées et suivent une organisation précise (bien qu’une souplesse soit parfois nécessaire)
9) elles visent à apprendre au patient à identifier et à réagir de façon adaptée à ses cognitions, comportements et émotions
10) le thérapeute et le patient sont actifs : il s’agit d’un travail d’équipe, d’une collaboration

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4
Q

Principes fondamentaux des TCCE : Que voulons-nous dire par “l’alliance thérapeutique est fondamentale ?”

A

Le thérapeute est authentique, professionnel, bienveillant et valorisant

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Q

Principes fondamentaux des TCCE : Que voulons-nous dire par “le thérapeute et le patient sont actifs” ?

A

il s’agit d’un travail d’équipe, d’une collaboration

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6
Q

Principes fondamentaux des TCCE : Que voulons-nous dire par “on se base sur des problèmes actuels “ ?

A

on définit avec le patient des problèmes concrets à résoudre et des objectifs de thérapie.

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7
Q

Principes fondamentaux des TCCE : Que voulons-nous dire par “conceptualisation de cas” et “programme thérapeutique personnalisé” ?

A

le thérapeute et le patient cherchent à partager une vision d’ensemble commune des différents problèmes : c’est la conceptualisation du cas. Ce qui les conduit à construire ensemble un programme thérapeutique personnalisé.

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8
Q

Principes fondamentaux des TCCE : Que voulons-nous dire par “autonomisation du patient pendant la thérapie” ?

A

le patient doit devenir son propre thérapeute, il apprend à éviter la chronicisation et comment prévenir la rechute de son trouble.

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9
Q

Principes fondamentaux des TCCE : Que voulons-nous dire par “la thérapie est limitée dans le temps” ?

A

En général, 5 à 25 séances hebdomadaires sont nécessaires mais certaines thérapies peuvent durer 1 à 2 ans quand le problème le nécessite.

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10
Q

On distingue en fonction de leur chronologie de survenue trois vagues. Quelles sont-elles ?

A

1) Comportementale
2) Cognitive
3) Émotionnelle

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11
Q

Les théories comportementales sont basées sur quoi ?

A

sur des modèles de l’apprentissage :
- le conditionnement classique (Pavlov)
- le conditionnement opérant (Skinner)
- le modèle de l’apprentissage social (Bandura)

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12
Q

Les théories cognitives sont basées sur quoi ?

A

sur le concept de schéma décrit par Beck et ensuite de schémas précoces inadaptés décrits par Young

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13
Q

Les théories émotionnelles sont basées sur quoi ?

A

sur les concepts d’acceptation et de pleine conscience

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14
Q

Qui est considéré comme l’inventeur du terme et le père du béhaviorisme ?

A

John Broadus Watson (1878-1958)

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15
Q

Watson défend l’idée que la psychologie ne peut devenir un science que si elle s’en tient à l’étude des _________, si elle teste ses hypothèses par des ____________.

A

Comportements observables ; expériences réplicables

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16
Q

Le béhaviorisme se définit comme une science du comportement basé sur _________, c’est-à-dire la preuve scientifique par l’expérimentation

A

l’empirisme

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17
Q

Vrai ou faux : Watson s’oppose à la méthode de l’introspection psychologique et au courant psychanalytique de Freud

A

Vrai

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18
Q

Pourquoi Watson s’oppose-t-il à la méthode de l’introspection psychologique et au courant psychanalytique de Freud ?

A

Parce que les phénomènes inconscients ne sont pas observables et les démonstrations reposent sur des cas au singulier et non pas sur des expérimentations reproductibles.

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19
Q

Watson émet que tous les comportements seraient appris par ____________ et qu’on pourrait les désapprendre

A

conditionnement

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20
Q

À qui doit-on le premier cas d’application réussie d’un traitement par “contre-conditionnement” d’une phobie des objets blancs chez un enfant de 3 ans (le petit Peter) ?

A

Mary Cover Jones (1896-1987)
- exposition et imitation

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21
Q

Qui sont les figures du courant béhavioriste américain ?

A
  • Clark Leonard Hull
  • Edward Lee Thorndike (loi de l’effet)
  • Burrhus Frederic Skinner (conditionnement opérant)
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22
Q

Vrai ou faux : B.F Skinner rejette l’approche de Thorndike (loi de l’effet)

A

Vrai

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23
Q

Vrai ou faux : Skinner avance que le principe du conditionnement opérant explique des habitudes du quotidien jusqu’à des comportements très élaborés comme le langage

A

Vrai

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24
Q

Le conditionnement répondant/classique/pavlovien repose sur quel principe ?

A

le **principe d’association. **
selon ce principe, un stimulus qui initialement ne provoque pas de réponse physiologique particulière, s’il est présenté simultanément à un stimulus qui provoque une réaction physiologique précise, peut à son tour déclencher cette même réaction physiologique, à la suite d’un processus de conditionnement classique.

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25
Q

Qu’est-ce qu’un stimulus ?

A

une stimulation sensorielle provenant de l’environnement

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26
Q

Qu’est-ce qu’un stimulus inconditionnel ?

A

un stimulus qui déclenche automatiquement une réponse physiologique précise.

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27
Q

Que suis-je ?
“ce stimulus déclenche automatiquement la réaction physiologique, sans nécessiter de conditionnement préalable”

A

Stimulus inconditionnel

ex: la nourriture est un stimulus qui provoquera de façon inconditionnelle une réponse de salivation chez le chien affamé.

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28
Q

Qu’est-ce qu’un stimulus conditionnel ?

A

Un stimulus qui n’engendre pas de réaction physiologique initialement (en tout cas, pas de réponse physiologique en lien avec celle déclenchée par le stimulus inconditionnel)

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29
Q

Que suis-je ?
Ce n’est qu’après association avec un stimulus inconditionnel que le ______________ pourra provoquer la même réaction physiologique.

A

stimulus inconditionnel.

ex : à la base, le bruit d’une cloche n’est pas supposé provoquer de réponse de salivation chez le chien. Si on présente simultanément la nourriture et le bruit de la cloche un certain nb de fois, ce bruit peut éventuellement engendrer une réponse de salivation du chien même en l’absence de nourriture.

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30
Q

Qu’est-ce qu’une réponse inconditionnelle ?

A

c’est la réaction observée à la présentation du stimulus inconditionnel ; c’est une réaction physiologique, automatique.

ex : c’est la réponse de salivation quand on présente la nourriture au chien.

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31
Q

Qu’est-ce qu’une réponse conditionnelle ?

A

c’est la réponse obtenue par présentation d’un stimulus conditionnel, suite à un processus de conditionnement classique.

ex : c’est la réponse de salivation quand la cloche résonne.

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32
Q

Pavlov a décrit 3 lois du conditionnement classique. Quelles sont-elles ?

A

1) l’extinction
2) la généralisation
3) la discrimination

33
Q

Lois du conditionnement classique : Qu’est-ce que l’extinction ?

A

Si on présente un stimulus conditionnel (SC) un certain nombre de fois sans l’associer au stimulus inconditionnel (SI), la réponse conditionnelle (RC) diminue puis disparaît en présence du SC seul.

34
Q

Lois du conditionnement classique : Qu’est-ce que la généralisation ?

A

si on présente un stimulus suffisamment ressemblant au SC, la RC peut également apparaître.

35
Q

Loi du conditionnement classique : Qu’est-ce que la discrimination ?

A

on peut apprendre à discriminer différents stimuli proches du SC. Ainsi, après cet apprentissage, certains stimuli n’engendreront pas la RC, alors que d’autres, si.

36
Q

Le conditionnement opérant a été décrit par _______ dès _____

A

Skinner ; 1938

37
Q

Qui, en 1938, a découvert que le comportement d’un individu est influencé par ses propres conséquences ?

A

Skinner.

Ex: si on enferme une souris dans une boîte expérimentale et qu’elle découvre par hasard qu’en actionnant un levier elle obtient de la nourriture, elle aura tendance à répéter cette action quand elle aura faim.

38
Q

Pour décrire les situations expérimentales dans lesquelles on souhaite observer les conditionnement opérant, on doit définir pour chaque situation différentes variables, appelées “______________”

A

contingences de renforcement.

39
Q

Conditionnement opérant : les contingences de renforcement sont désignées par quel acronyme ?

A

SORC (stimulus discriminatif, organisme, réponse, conséquences)

40
Q

À quoi l’acronymes SORC fait-il référence ?

A

Aux contingences de renforcement (conditionnement opérant)
- stimulus discrimintif
- organisme
- réponse
- conséquences

41
Q

Conditionnement opérant : contingences de renforcement (SORC).
Que voulons-nous dire par stimulus discriminant (S) ?

A

il s’agit de toute situation qui va engendrer une réaction de l’organisme. le stimulus peut être interne (cognitions, images, souvenirs, affects, comportements, etc.) ou externes (événements, comportements d’autres individus, etc.)

ex: une patiente recroise son agresseur dans la rue

42
Q

Conditionnement opérant : contingences de renforcement (SORC).
Que voulons-nous dire par organisme (O) ?

A

représente les cognitions, émotions et réactions physiologiques de l’organisme, suite à la présentation du stimulus discriminant.

ex : la patiente qui décroise son agresseur ressent des signes aigus d’anxiété : tremblements, sueurs, palpitations, etc. Elle pense “il ne faut surtout pas qu’il croise mon regard, il faut que je me protège”

43
Q

Conditionnement opérant : contingences de renforcement (SORC). Que voulons-nous dire par réponse (R) ?

A

Le comportement de l’individu. Il peut s’agir de pensées (comme dans le cas des rituels mentaux dans le trouble obsessionnel compulsif), ou bien d’un comportement extérieur, ouvert

ex: la patiente se cache derrière un groupe de passants et change de rue juste après, puis elle se rend là où elle voulait aller d’un pas soutenu ; elle cherche à maîtriser ses émotions et ses pensées pour être discrète afin de ne pas se faire remarquer dans la rue.

44
Q

Conditionnement opérant : contingences de renforcement (SORC). Que voulons-nous dire par conséquences (C) ?

A

Quels sont les effets du comportement ? Si ils sont agréables, il y aura renforcement du comportement. Si ils sont désagréables, il y aura renforcement aversif (punition).

ex : la patiente ressent un intense soulagement une fois arrivée à destination, loin de son agresseur.

45
Q

Que suis-je ? Processus dans lequel un comportement à l’origine de l’apparition ou de l’augmentation d’émotions et/ou de ressentis agréables (joie, plaisir, etc.) voir sa fréquence augmenter.

A

renforcement positif. (conditionnement opérant)

46
Q

Que suis-je ? Processus dans lequel un comportement à l’origine d’une diminution ou d’une disparition d’une émotion et/ou d’une sensation désagréable (douleur, honte, anxiété, etc.) voit sa fréquence augmenter.

A

renforcement négatif. (conditionnement opérant)

47
Q

Si un comportement a pour conséquence la douleur ou la frustration (ou toute autre conséquence désagréable ou pénible), il tend à devenir moins fréquent. On parle alors de ______ ou de _______

A

punition ; renforcement aversif. (conditionnement opérant)

48
Q

Conditionnement opérant : L’absence de renforcement ou de punition suite à un comportement va entraîner sa disparition progressive. On appelle cela _______

A

l’extinction

49
Q

Quelle est un reproche fait aux premiers “béhavioristes” ?

A

Il est parfois reproché aux premiers béhavioristes de considérer que les êtres humains subissent ces conditionnements, comme s’ils n’étaient pas douées de libre arbitre et que tous leurs choix étaient déterminés en fonction de leurs conséquences sur l’environnement.

*l’oeuvre d’Albert Bandura va apporter de précieux éclaircissements à ces questions grâce à sa théorie de l’apprentissage social

50
Q

Qui est à l’origine de la théorie de l’apprentissage social ?

A

Albert Bandura

51
Q

Dans sa théorie de l’apprentissage social, renommée plus tard “théorie socio-cognitive”, Bandura développe la notion centrale de causalité triadique réciproque. En quoi est-ce que cela consiste ?

A
  • Le fonctionnement psychologique s’explique par les interactions existant entre trois facteurs, chaque facteur influence les deux autres et réciproquement.
  • Il y a réciprocité entre les trois facteurs, qui s’influencent chacun deux à deux.
52
Q

Quels sont les trois facteurs de la notion de causalité triadique réciproque de Bandura ?

A

1) la personne (P)
2) le comportement (C)
3) l’environnement (E)

53
Q

Quels sont les trois concepts fondamentaux développés par Bandura utiles en pratique psychothérapeutique ?

A

1) l’apprentissage vicariant
2) l’autodirection
3) l’autoefficacité

54
Q

Concepts développés par Bandura qui sont utiles en pratique psychothérapeutique : Qu’est-ce que l’apprentissages vicariant (modelage, modeling) ?

A

C’est un apprentissage par observation active ou par imitation. Cet apprentissage va au-delà de la simple imitation : nous observons d’autres personnes directement (collègues, familles, amis, etc.) ou indirectement (télévision, journaux, etc.), nous en faisons notre propre interprétation et nous produisons un comportement s’en inspirant, mais bel et bien différent.

55
Q

Concepts développés par Bandura qui sont utiles en pratique psychothérapeutique : Qu’est-ce que l’autodirection ?

A

le sujet est conçu comme un être capable d’autorégulation, de réflexion sur soi, capable d’initiative personnelle (de proactivité) et non pas uniquement comme gouverné par les éléments externes. Il peut établir un contrôle sur lui-même : son action, sa pensée, sa motivation, etc. Cependant, il n’est pas tout-puissant ou totalement autonome : il est le produit de l’interaction complexe entre sa personne, son environnement et son comportement.

56
Q

Concepts développés par Bandura qui sont utiles en pratique psychothérapeutique : Qu’est-ce que l’autoefficacité (ou efficacité personnelle) ?

A

Correspond à la croyance que la personne (ou le groupe) a dans sa capacité à agir pour influer sur certains événements qui la concernent, dans certains domaines précis.

57
Q

Concepts développés par Bandura qui sont utiles en pratique psychothérapeutique : L’autoefficacité.
Il existe quatre sources du sentiment d’efficacité personnelle. Quelles sont-elles ?

A

1) l’expérience active de maîtrise personnelle
2) l’expérience vicariante
3) la persuasion verbale
4) l’état émotionnel ou physiologique

58
Q

Concepts développés par Bandura qui sont utiles en pratique psychothérapeutique : L’autoefficacité.
Il existe quatre sources du sentiment d’efficacité personnelle.
Qu’est-ce que l’expérience active de la maîtrise personnelle ?

A

il s’agit du vécu de réussite dans une action entreprise, pour peu qu’elle ne soit pas trop facile. C’est la source principale du sentiment d’autoefficacité. À l’inverse, les échecs affaiblissent ce dernier.

59
Q

Quelle est la source principale du sentiment d’autoefficacité ?

A

la maîtrise personnelle

60
Q

Concepts développés par Bandura qui sont utiles en pratique psychothérapeutique : L’autoefficacité.
Il existe quatre sources du sentiment d’efficacité personnelle.
Qu’est-ce que l’expérience vicariante ?

A

l’observation d’autres sujets va influer le sentiment d’efficacité personnelle dans des situations similaires, selon qu’ils réussissent ou qu’ils échouent. Les personnes le plus similaires (âge, sexe, culture, etc.) vont être celles qui influeront le plus ce sentiment

ex: si qqn de mon âge et aussi intelligent que moi peut le faire, pourquoi pas moi ?

61
Q

Concepts développés par Bandura qui sont utiles en pratique psychothérapeutique : L’autoefficacité.
Il existe quatre sources du sentiment d’efficacité personnelle.
Qu’est-ce que la persuasion verbale ?

A

si d’autres personnes importantes de l’entourage expriment leur croyance dans la capacité de la personnes à effectuer une tâche.

62
Q

Concepts développés par Bandura qui sont utiles en pratique psychothérapeutique : L’autoefficacité.
Il existe quatre sources du sentiment d’efficacité personnelle.
Qu’est-ce que l’état émotionnel ou physiologique ?

A
63
Q

Qu’est-ce que le renforcement externe ?

A

Le comportement est régulé directement par des facteurs externes.

*Cette notion se rapproche des notions de renforcement et de punition/aversion décrites dans le conditionnement classique et le conditionnement opérant

64
Q

Qu’est-ce que le renforcement vicariant ?

A

par observation de comportements punis ou renforcés chez d’autres personnes, le sujet va soit les reproduire, soit les éviter.

65
Q

Qu’est-ce que l’auto-renforcement ?

A

le sujet anticipe certaines récompenses. Il va donc focaliser son attention sur la recherche de modèles à imiter pour y parvenir.

66
Q

Qui est considéré par certains comme étant le premier qui appliqua le modèle béhavioriste d’apprentissage à la thérapie chez l’être humain ?

A

Andrew Salter (1914-1996)

67
Q

Qui est le concepteur de la conditioned reflex therapy (1949), qui cible les comportements d’assertivité communément appelée “affirmation de soi” ?

A

Andrew Salter

68
Q

Andrew Salter propose six types de comportements permettant de dépasser les inhibitions. Quels sont-ils ?

A

1) verbalisation des sentiments (exprimer librement les émotions ressenties)
2) expression faciale (traduction d’une émotion sur le visage et dans les gestes)
3) contradiction et attaque (quand on est en désaccord avec qqn, ne pas faire semblant d’approuver, mais le contredire)
4) utilisation du “je” (utilisation du pronom “je” le plus souvent possible de façon à s’engager personnellement dans les déclarations faites)
5) acceptation des éloges (ne pas refuser les éloges mais les accepter honnêtement, ne pas hésiter à faire son propre éloge quand il y a lieu)
6) improvisation (essayer de réagir de façon spontanée aux stimulations directes).

69
Q

Selon Salter, les troubles de l’assertivité résulteraient de _____________

A

processus d’inhibition trop forts

70
Q

Que suis-je ?
C’est un comportement qui permet à une personne d’agir au mieux dans son intérêt, de défendre son point de vue sans anxiété exagérée, d’exprimer avec sincérité et aisance ses sentiments et d’exercer ses droits sans dénier celui des autres.

A

Affirmation de soi. (Alberti et Emmons, 1974)

71
Q

Plusieurs hypothèses comportementales ont été formulées pour expliquer le déficit en assertivité :
1) Pour _______, le comportement adapté d’aptitude social est absent parce qu’il n’a jamais été appris.
2) Pour _______, les aptitudes sociales existeraient dans le répertoire de l’individu, mais seraient inhibées par l’anxiété. Lors de la confrontation à des situations à caractère social, l’anxiété interfèrerait avec le comportement social adapté.

A

1) McFall (1976)
2) Wolpe (1975)

72
Q

L’affirmation de soi peut se mesurer à partir de quelle échelle ?

A

L’échelle de Rathus (1973)

73
Q

______ est considéré comme le premier thérapeute comportementalisme par la rigueur de son travail expérimental sur la technique de désensibilisation systématique des phobies.

A

Wolpe

74
Q

Wolpe appliqua chez l’être humain le procédé d’________________ qui consiste à induire une réponse antagoniste à la peur et l’anxiété en utilisant non pas la nourriture, mais la relaxation.

A

inhibition réciproque.

75
Q

Les _________ sont conceptualisés dans une approche comportementale comme la résultante de facteurs de l’environnement, d’expériences, d’apprentissages, de conditionnement influencé par des facteurs héréditaires

A

troubles névrotiques

76
Q

Pour vaincre les habitudes inadaptées des névroses, la thérapie comportementale propose 3 principes de base. Quels sont-ils ?

A

1) Le contre conditionnement
2) Le conditionnement positif
3) L’extinction

77
Q

____________ est la figure emblématique de la thérapie comportementale au Royaume-Uni

A

Hans Eysenck. Il est une des grandes figures du courant béhavioriste.

78
Q

Qui sont les premiers à proposer l’exposition dans le traitement des phobies spécifiques puis de l’agoraphobie ?

A

Michel Gelder et Isaac Marks.

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