Chap 3 Flashcards
Expliquer la capacité du cerveau à percevoir précisément un stimulus en fonction du diamètre du champ de détection d’un récepteur
Les récepteurs ont des champs de détection
- si le champ est de petite taille, le cerveau est capable de localiser précisément la provenance du stimulus.
- si le champ de de grande taille, le cerveau moins capable de localiser la provenance du stimulus.
Distinguer un récepteur tonique d’un récepteur phasique. Donner un exemple où on pourrait retrouver chacun d’eux
Récepteur tonique : réagissent à une stimulation constante sans s’adapter avec le temps
(ex: équilibre posture)
Récepteur phasique : perçoivent rapidement de nouveaux stimuli ou une variation du stimulus existant. Ils s’adaptent avec le temps si le stimulus est continu
(Ex: odeur, pression sur la peau par les vêtements, chaleur de l’eau de la douche)
Connaître le récepteur suivant et déterminer le type de stimulus qu’il perçoit : propriorécepteur
Décèlent les stimulus provenant des muscles squelettiques
Connaître le récepteur suivant et déterminer le type de stimulus qu’il perçoit : chimiorécepteur
Décèlent les substances chimiques en solution
Connaître le récepteur suivant et déterminer le type de stimulus qu’il perçoit : thermorécepteur
Décèlent les variations de température
Connaître le récepteur suivant et déterminer le type de stimulus qu’il perçoit : Photorécepteur
Décèlent les variations d’intensité lumineuse
Connaître le récepteur suivant et déterminer le type de stimulus qu’il perçoit : mécanorécepteur
Décèlent les déformations physique
Connaître le récepteur suivant et déterminer le type de stimulus qu’il perçoit : barorécepteur
Décèlent les changements de pression
Connaître le récepteur suivant et déterminer le type de stimulus qu’il perçoit : nociocepteur
Récepteur de la douleur
Donner une explication au mécanisme de douleur projetée
Les douleurs aux organes internes peuvent être ressenties à différentes régions sur le corps. Ceci est dû aux différentes voies sensitives qui peuvent suivre un même chemin vers l’encéphale.
L’INTENSITÉ D’UN STIMULUS SE DISTINGUE PAR LA FRÉQUENCE DES POTENTIELS D’ACTION
voir section 2
Décrire le fonctionnement de l’appareil lacrymal
1- les sécrétions lacrymales (larmes) sont produites dans la glande lacrymale
2- les sécrétions lacrymales sont reparties sur toute la surface de l’œil à chaque clignement
3- les sécrétions lacrymales qui entrent dans les points lacrymaux sont drainées dans les canalicules lacrymaux, puis recueillies dans le sac lacrymal
4- les sécrétions lacrymales présentes dans le sac lacrymal s’écoulent dans le conduit lacrymonasal
5- les sécrétions lacrymales passent dans la cavité nasale
VOIR SECTION 3.2
Connaître l’anatomie interne de l’œil
Voir section 3.3
Connaître la fonction de chacune des structures de l’œil interne :
Sclère, cornée, choroïde, corps ciliaire, iris, partie pigmentaire et partie nerveuse
Sclère : façonne l’œil (forme de l’œil)
Cornée : protéger la surface antérieure de l’œil et réfracte (dévie) la lumière entrante
Choroïde : fournit des nutriments à la rétine et absorbe la lumière parasite
Corps ciliaire : retient les ligaments suspenseurs, ajuste la forme du cristallin et sécrète l’humeur aqueuse (liquide)
Iris : régit le diamètre de la pupille
Partie pigmentaire : absorbe la lumière parasite
Partie nerveuse : perçoit les rayons entrants (les rayons lumineux sont convertis en influx nerveux, puis transmis à l’encéphale)
Décrire le fonctionnement des muscles de l’iris dans le passage des rayons lumineux
Lumière vive : constriction pupillaire (parasympathique)
Lumière faible : dilatation pupillaire (sympathique)
Décrire le mécanisme de sécrétions et de réabsorption de l’humeur aqueuse
1- l’humeur aqueuse est sécrétée par les procès ciliaires dans la chambre postérieure
2- elle passe de la chambre postérieure à la chambre antérieure en traversant la pupille
3- l’humeur aqueuse excédentaire est réabsorbée par le sinus veineux de la sclère.
Décrire la structure et l’organisation de la rétine
Photorécepteur - neurones bipolaires - cellules ganglionnaires
VOIR FIGURE 16.13
Connaître les caractéristiques des bâtonnets et des cônes
Bâtonnets :
Plus nombreux
Permet la vision lorsque la lumière est faible
Ne permet pas de distinguer les couleurs
Seuil d’activation très bas
Cônes :
Beaucoup moins nombreux
Activés lorsque la lumière est vive
Permet de distinguer les couleurs
Seuil d’activation très haut
Trois types de cônes (bleu, vert, rouge) permettent de capter différentes longueurs d’onde
Connaître la composition d’un photo pigment et son mécanisme de décoloration et de régénération
Formé d’une protéine, l’opsine et d’une molécule photosensible dérivée de la vitamine A, le rétinal
La rhodopsine est le photopigment dans les bâtonnets et la photopsine dans les cônes
Lorsque décoloré, le pigment est inactif
Décoloration et régénération:
1. La rhodopsine (opsine + cis-rétinal absorbe les rayons lumineux
2. Le cis rétinal se transforme en trans rétinal
3. Le trans rétinal se dissocie de l’opsine lorsque cette dernière est activée (décoloration)
4. Le trans rétinal est reconverti en cis-rétinal dans l’épithélium pigmentaire grâce à l’ATP
5. Le cis rétinal s’unit à l’opsine pour former de la nouvelle rhodopsine
Décrire le mécanisme de phototransduction
Clarté
1. La stimulation lumineuse entraîne une décoloration donc à la dégradation du GMPc. Donc, il n’y a la d’ouverture du canal Na+ GMPc dépendant .
2. Les canaux voltage dépendant à Ca2+ se ferment, le glutamate n’est pas libéré
3. Le neurone bipolaire n’est plus inhibé, il subit alors une dépolarisation
4. Les neurones bipolaire sécrète un neurotransmetteur (le glutamate)
5. Le glutamate se lie aux récepteurs de la cellule ganglionnaire générant ainsi un influe nerveux qui se dirige vers l’encéphale
Obscurité
1. Le courant de obscurité (attribuable l’entrée d’ions Na+ et Ca2+) entraîne de la dépolarisation du photos récepteurs à -40mV. Le potentiel gradué est transmis le long de la cellule
2. Les canaux à Ca2+ et le neurotransmetteur glutamate est libéré du photorécepteurs en direction du neurone bipolaire
3. La fixation du glutamate déclenche l’hyper polarisation du neurone bipolaire entraînant son inhibition
4. Dans le neurone bipolaire les canaux Ca2+ sont fermés le neurone bipolaire ne libère pas de glutamate
5. Aucun influx nerveux de généré par les cellules ganglionnaires
P.14 du chapitre 3
Connaître le nerf et l’aire corticale qui s’occupe de communiquer et de traiter l’information visuelle
Nerf optique et aires visuelles primaires
Décrire L’implication de la forme du cristallin dans la vision éloignée et rapprochée
-Pour Focaliser l’image d’un objet éloigné sur la rétine les muscles ciliaires se trouvant à l’intérieur du corps ciliaire se relâchent ce qui a pour effet de tendre les ligaments suspenseurs et d’aplatir le cristallin
- l’accommodation permet de focaliser l’image d’un objet rapproché sur la rétine les muscles ciliaires se contractent entraînant le relâchement des ligaments suspenseurs et l’épaississement du cristallin (plus bombé, sphérique)
Conjonctivite
Inflammation de la conjonctive de l’œil causée par des virus, des bactéries ou tout simplement des agents irritant (exemple lentilles de contact laisser trop longtemps)
Dégénérescence Maculaire
Détérioration Physique de la macula lutea au niveau de la fossette centrale, il n’existe pas de traitement pour cette maladie (perte de la vision)
Le glaucome
-Augmentation de la pression oculaire dû à un mauvais drainage de l’humeur aqueuse, la pression peut amener la mort des cellules de la rétine donc la perte de la vision.
-peut causer des cataractes