Ch 4 Flashcards

1
Q

L’ensemble des critères utilisés par une personne pour juger du caractère juste ou injuste, bon ou mauvais des comportements.

A

Pensée morale

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Q

Vrai ou Faux

Le développement cognitif exerce une influence directe sur le jugement moral.

A

Vrai

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3
Q

Ce dernier met en jeu le raisonnement logique de même que la capacité d’intégrer de l’information et de réfléchir sur différentes possibilités.

A

Jugement moral

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4
Q

Vrai ou Faux

La pensée morale se développe parallèlement aux structures cognitives.

A

Vrai

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5
Q

Vrai ou Faux

La pensée morale et la cognition social ont en commun qu’elles présupposent la compréhension du sens des conduites humaines

A

Vrai

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6
Q

A pour objet de comprendre la dynamique des conduites humaines.

A

La cognition sociale

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7
Q

Ajoute à cette lecture sociale un jugement sur la rectitude ou la valeur des conduites observées.

A

La pensée morale

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8
Q

Avec l’épanouissement moral s’acquiert :

A
un code social, 
des principes éthiques et 
des normes de conduite érigées sur des principes fondamentaux comme 
le droit à la vie, 
la liberté, 
l’égalité des êtres humains, 
la justice, 
l’honneur, 
la réussite et 
le respect.
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9
Q

Réflexions et critères utilisés par une personne pour juger du caractère juste ou injuste, bon ou mauvais des comportements.

A

PENSÉE MORALE

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10
Q

Compréhension du point de vue des autres, de leurs pensées, de leurs sentiments, de leurs intentions et de leurs attitudes.

A

COGNITION SOCIALE

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11
Q

Piaget distingue deux stades de développement :

A

le stade de la moralité hétéronome et celui de la moralité autonome.

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12
Q

Définit une moralité centrée sur la lettre des règles, incapable d’interprétation. C’est la correspondance avec la règle qui indique si une action est bonne ou non, rien d’autre. Pour lui, la justice est immanente, c’est-à-dire que les méchants sont punis par les événements malheureux qui leur arrivent du seul fait qu’ils ont commis de mauvaises actions(7ans et moins)

A

Stade de la moralité hétéronome

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13
Q

À ce stade, il peut considérer l’intention de l’auteur lorsqu’il porte un jugement sur ses actes. La règle n’est plus quelque chose d’immuable, mais une convention utile pouvant faire l’objet d’une interprétation. L’autorité n’est plus perçue exclusivement comme une source de prescriptions ; elle est aussi vue comme une alliée avec laquelle il est possible de coopérer. (7ans et +)

A

Stade de la moralité autonome

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14
Q

Quels sont les six stades du développement moral selon Kohlberg ?

A

1- L’obéissance simple

2- L’utilitarisme

3- La bonne concordance interpersonnelle

4- La loi et l’ordre social

5- Le contrat social

6- L’Éthique universelle

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15
Q

Quels sont les trois niveaux de jugement proposés par Kohlberg ?

A

1- Préconventionnel
2- Conventionnel
3- Postconventionnel

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16
Q

Quels stades correspond au niveau (1) préconventionnel ?

A

1-L’obéissance simple

2-L’utilitarisme

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17
Q

Quels stades correspond au niveau (2) conventionnel ?

A

3- La bonne concordance interpersonnelle

4- La loi et l’ordre social

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18
Q

Quels stades correspond au niveau (3) postconventionnel ?

A

5- Le contrat social

6- L’Éthique universelle

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19
Q

À quel stade correspond cette caractéristique :

Le bien correspond à ce qui est récompensé et le mal, à ce qui est puni. L’individu se soumet au pouvoir de l’autorité et juge les actes suivant leurs conséquences.

A

L’obéissance simple (1)

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20
Q

À quel stade correspond cette caractéristique :

L’action juste est celle qui peut satisfaire les besoins personnels et, à l’occasion, les besoins des autres si cela s’avère avantageux. La réciprocité prend la forme d’un donnant-donnant pragmatique.

A

L’utilitarisme (2)

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21
Q

À quel stade correspond cette caractéristique :

La bonne action correspond à ce qui est approuvé par l’entourage, à ce qui est conforme aux attentes du milieu. La personne est capable d’empathie et considère les intentions lorsqu’elle juge la conduite des autres.

A

La bonne concordance interpersonnelle (3)

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22
Q

À quel stade correspond cette caractéristique :

La bonne action correspond à ce qui est conforme aux lois et à ce qui protège l’ordre social, indépendamment des influences contextuelles.

A

La loi et l’ordre social (4)

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23
Q

À quel stade correspond cette caractéristique :

L’action juste correspond à ce qui est conforme aux principes sur lesquels s’appuient les lois; ces dernières sont utiles et doivent être respectées, mais elles peuvent être améliorées en conformité avec des règles morales plus fondamentales, garante d’une plus grande justice entre les êtres humains.

A

Le contrat social (5)

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24
Q

À quel stade correspond cette caractéristique :

Les principes universel qui gouvernent l’action résultent de choix individuels et transcendent les lois, mais la conscience personnelle est le juge le plus sévère de l’action.

A

L’éthique universelle (6)

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25
Q

Vrai ou Faux

Les âges à chacun des stades de Kohlberg sont bien définis et seulement un nombre restreint de stades peuvent être discernés dans une même population d’adolescents.

A

Faux

Les âges sont approximatifs et plusieurs stades peuvent être discerner dans une même population d’adolescents.

26
Q

Vrai ou Faux

Un bon nombre d’études montrent que dans leur réalité quotidienne, la moralité des gens est très « avancée ».

A

Faux

Stade 3 et 4 enjeux philosophiques impersonnels

Stade 2 et 3 en cause personnellement

27
Q

Vrai ou Faux

Selon Skoe, les dimensions plus cognitives de la moralité ne traduiraient pas de différence de genre, tandis que dans les dimensions plus émotionnelles (comme l’empathie), ou dans les dimensions prosociales (orientation vers les soins), les filles afficheraient une avance assez constante.

A

Vrai

28
Q

Vrai ou Faux

Plusieurs des études que nous avons recensées après l’an 2000 démontre une avance des garçons dans le domaine de la moralité.

A

Faux

Aucune étude ne démontre une avance aux garçons.

29
Q

Vrai ou Faux

Carol Gilligan fut l’une des critiques les plus actives, affirmant que le modèle de Kohlberg, basé sur des échantillons d’hommes, était insensible aux nuances de moralité selon le sexe.

A

Vrai

30
Q

Une orientation morale distincte pour chaque sexe est ainsi privilégiée par le processus de socialisation lui-même : Lesquelles ?

A

Caring ou prosociale chez les filles.

La Justice chez les garçons.

31
Q

La __________ se présente comme le ciment des rapports sociaux et elle entretient des frontières perméables avec la métacognition, l’intelligence sociale, l’autorégulation et les autres composantes de la socialité humaine.

A

La PSYCHOLOGIE MORALE INTÉGRÉE se présente comme le ciment des rapports sociaux et elle entretient des frontières perméables avec la métacognition, l’intelligence sociale, l’autorégulation et les autres composantes de la socialité humaine.

32
Q

La psychologie morale intégrée s’intéresse aussi aux _________ de moralité et à l’ensemble des facteurs qui les déterminent (G_______, traits de C_______, S_______ de genre, S______, V_____ familiales, contextes S_______, C_______, S_______, etc.).

A

La psychologie morale s’intéresse aussi aux DIFFÉRENCES de moralité et à l’ensemble des facteurs qui les déterminent (GÉNÉTIQUE, traits de CARACTÈRES, SOCIALISATION de genre, SENSIBILITÉ, VALEURS familiales, contextes SITUATIONNELS, CULTURE, SPIRITUALITÉ, etc.).

33
Q

Affect associé à un jugement moral en tant que résultat ou cause. Ces émotions peuvent se rapporter à la condamnation morale des autres (colère, mépris, dégoût, indignation), à la conscience de soi (fierté, culpabilité, honte), à l’appréciation positive des autres (gratitude, altruisme, admiration) ou à la souffrance des autres (compassion, empathie).

A

ÉMOTION MORALE

34
Q

Quel préjugé défavorable subsiste à l’endroit du comportement des adolescents ?

A
leur impulsivité, 
leur maladresse, 
leur déviance par rapport aux normes et 
leur manque de respect pour l’autorité 
dominent souvent dans l’image que l’on se fait d’eux
35
Q

Quel pourcentage des répondants adultes décrivaient les adolescents positivement ?

A

15 %

36
Q

Pour quelle raison il n’y ait pas de modèle universel et linéaire de ces progrès moraux à l’adolescence ?

A

En raison de la multitude de facteurs d’influence en jeu.

37
Q

Quels sont les facteurs d’influence en jeu et dont on doit tenir compte pour élaborer un modèle universel et linéaire de ces progrès moraux à l’adolescence ?

A
Le tempérament, 
les caractéristiques physiques, le sexe, 
la personnalité, 
la famille, 
l’école, 
la communauté, 
la culture et 
les contextes d’observation

combinent tous leur influence pour donner lieu à des combinatoires de résultats qu’il est impossible de traduire avec une échelle normative unidimensionnelle.

38
Q

Quel est l’un des plus grands gains de l’adolescence en matière de psychologie morale?

A

La compréhension du caractère relatif de la moralité

39
Q

Les adolescents peuvent comprendre que la valeur donnée à une position, ou à une règle morale, variera selon :

A

Les critères employés et selon le contexte socioculturel.

40
Q

Cette faculté de s’identifier à quelqu’un dans une situation donnée, fait partie des émotion morales tout comme la fierté, la culpabilité ou la honte.

Considérée comme un construit multidimensionnel couvrant trois dispositions distinctes

Qui suis-je ?

A

L’empathie

41
Q

Quelles sont les trois dispositions distinctes de l’empathie ?

A

La considération du point de vue de l’autre (la capacité de se mettre à sa place),

La sympathie (le sentiment de bienveillance à l’égard de l’autre) et

La détresse personnelle ressentie face à ce que vit l’autre.

42
Q

Vrai ou Faux

Les études sur les émotions morales situent très tôt dans le développement l’émergence d’un soi moral.

A

Vrai

43
Q

Le soi moral reposerait sur des b______ b_____, transmises g______ et déjà ________ à la _______ .

A

Le soi moral reposerait sur des BASES BIOLOGIQUES, transmises GÉNÉTIQUEMENT et déjà PRÉSENTES à la NAISSANCE.

44
Q

Pour situer correctement le développement de l’empathie comme telle, une distinction de ses composantes est nécessaire. La première composante ; la capacité de M_____ la perspective de l’______ S’______ S_______ à l’adolescence, porté par l’accession à la P_____ A______.

A

Pour situer correctement le développement de l’empathie comme telle, une distinction de ses composantes est nécessaire. La première composante, la capacité de MENTALISER la perspective de l’AUTRE S’AMÉLIORE SIGNIFICATIVEMENT à l’adolescence, porté par l’accession à la PENSÉE ABSTRAITE.

45
Q

Les deux autres composantes, soit la sympathie et la détresse, seraient plutôt de nature ________ et mettraient en cause une activité neurologique différente de la première composante, plus ________.

A

Les deux autres composantes, soit la sympathie et la détresse, seraient plutôt de nature ÉMOTIONNELLE et mettraient en cause une activité neurologique différente de la première composante, plus COGNITIVE.

46
Q

Vrai ou Faux

Certaines études ont d’ailleurs observé que la composante
« détresse » afficherait une hausse vers la fin de l’adolescence.

A

Faux

Une baisse

47
Q

Pour trouver un sens à sa vie, pour comprendre sa raison d’être, l’adolescent doit nécessairement se dépasser, aller au-delà de soi (beyond the self). Cette transcendance implique :

A

La distinction des buts personnels immédiats, centrés sur sa propre satisfaction, de ceux qui peuvent amener une contribution à quelque chose de plus grand, et ainsi donner un sens à sa vie.

48
Q

Vrai ou Faux

Ce potentiel de dépassement implique que les besoins personnels sont niés et ils sont délaisser afin de se connecter plus haut, de contribuer au monde, de laisser une trace….

A

Faux

Ce potentiel de dépassement NE VEUT PAS DIRE QUE les besoins personnels sont niés, mais plutôt qu’ils sont INTÉGRÉS au désir de se connecter plus haut, de contribuer au monde, de laisser une trace….

49
Q

Vrai ou Faux

Les changements cérébraux qui surviennent à l’adolescence se traduisent par une plus grande efficience dans le traitement de l’influx nerveux.

A

Vrai

50
Q

Vrai ou Faux

Cette tendance neurologique générale n’est pas directement liée aux gains cognitifs propres à cette période : vitesse, puissance et stratégie de traitement de l’information

A

Faux

Cette tendance neurologique générale EST DIRECTEMENT liée aux gains cognitifs propres à cette période : vitesse, puissance et stratégie de traitement de l’information

51
Q

Vrai ou Faux

Cet effet miroir « cerveau-cognition » s’observe aussi dans le rythme de la maturation : les décalages de rythme entre les régions du cerveau provoquent des décalages de maturité d’une zone comportementale à l’autre.

A

Vrai

52
Q

Vrai ou Faux

Le constat d’un contraste entre la force de la R_______ de S_______ et la faiblesse de l’A________ chez les adolescents : fortes pulsions É______ et faible A_______. Les taux élevés de comportements déviants, de sexualité non protégée, de troubles anxieux, de consommation excessive (de drogue ou d’alcool) ou de conduites à haut risque, trop souvent observés chez les jeunes, seraient tous plus ou moins alignés sur ce manque de S_______ dans le développement.

A

Vrai

Le constat d’un contraste entre la force de la RECHERCHE de SENSATIONS et la faiblesse de l’AUTOCONTRÔLE chez les adolescents : fortes pulsions ÉMOTIONNELLES et faible AUTOCONTRÔLE. Les taux élevés de comportements déviants, de sexualité non protégée, de troubles anxieux, de consommation excessive (de drogue ou d’alcool) ou de conduites à haut risque, trop souvent observés chez les jeunes, seraient tous plus ou moins alignés sur ce manque de SYNCHRONISME dans le développement.

53
Q

Terme qui définit la faculté de penser à la pensée ?

A

Métacognition

54
Q

Vrai ou Faux

La métacognition est moins sophistiquée à l’adolescence ?

A

Faux

Elle devient beaucoup plus sophistiquée.

55
Q

L’individu devient en mesure non seulement de dégager des règles à partir de ses observations, mais aussi de ______ sur les ______ ___-___, afin d’en _____ la ______ ou d’en _____ d’autres règles.

A

L’individu devient en mesure non seulement de dégager des règles à partir de ses observations, mais aussi de RÉFLÉCHIR sur les RÈGLES ELLES-MÊMES, afin d’en ÉVALUER la VALEUR ou d’en TIRER d’autres règles.

56
Q

L’adolescent développe une réflexion sur sa _____, une ______ et une _______ de sa propre _______ _______.

A

L’adolescent développe une réflexion sur sa PENSÉE, une CONSCIENCE et une CONNAISSANCE de sa propre ACTIVITÉ MENTALE.

57
Q

Les travaux récents sur le développement moral ont intégré l’étude du développement d’émotions morales, telles que l’_____, la ______, l’______, la ______ ou la ______.

A

Les travaux récents sur le développement moral ont intégré l’étude du développement d’émotions morales, telles que l’EMPATHIE, la SYMPATHIE, l’ALTRUISME, la HONTE ou la CULPABILITÉ.

58
Q

L’empathie, cette faculté de s’identifier à quelqu’un dans une situation donnée, couvre trois dispositions distinctes :

A

la considération de l’autre,

la sympathie, et

la détresse personnelle ressentie face à ce que vit l’autre.

59
Q

La première composante (empathie), de nature ______, s’améliore considérablement à l’adolescence.

A

La première composante (empathie), de nature COGNITIVE, s’améliore considérablement à l’adolescence.

60
Q

Les deux autres composantes, la sympathie et la détresse, sont davantage de nature _________ et mettraient en cause une activité neurologique ______. Leur progression pendant l’adolescence est moins claire; certaines études ont d’ailleurs observé que la composante
« détresse » afficherait une _____ vers la fin de l’adolescence.

A

Les deux autres composantes, la sympathie et la détresse, sont davantage de nature ÉMOTIONNELLE et mettraient en cause une activité neurologique DIFFÉRENTE. Leur progression pendant l’adolescence est moins claire; certaines études ont d’ailleurs observé que la composante
« détresse » afficherait une BAISSE vers la fin de l’adolescence.