BMCO / BSI Flashcards
Contrôle interne logistique, à la Bspp ces contrôles sont de deux niveaux :
Le niveau 1 qui relève de la responsabilité du dépositaire
Le niveau 2 qui relève du détecteur de biens délégué
Contrôle du 1er niveau, le contrôle journalier, les utilisateurs à la prise de garde contrôle :
L’armement des véhicules, engins et des équipements opérationnels mis à la disposition de leur piquet de garde
Contrôle du 1er niveau, contrôle périodique des équipements, chaque type d’équipement est contrôlé selon :
Une périodicité propre définie par le détenteur de biens.
Contrôle effectué sous la responsabilité un référent de la Cie et est de nature quantitative et qualitative.
Il est consigne dans un registre local de contrôle.
Les écarts font l’objet d’un CR d’incident logistique (CRILOG)
Le dispositif CRAMAT est utilisé jusqu’au déploiement de :
SYGAL dans les Cie d’incendie et la lise en application du dispositif CRILOG
Contrôle du 2e niveau, la surveillance administrative, le détenteur de biens exerce une surveillance administrative sur le :
CONTRÔLE de niveau 1
La surveillance administrative est permanente et s’appuie sur l’analyse :
Des CRILOG Du PV de la revue périodique Du PV de l’inventaire de prise de fonction De l’état des dus et excédents De la valorisation des échanges
PV de la revue périodique, pour le domaine MCO c’est :
Annuel (équipements op et servitudes lors de VOP ou passation CDU)
et
pour le domaine infrastructure c’est biannuel (équipements servitude lors VTI2)
Contrôles du deuxième niveau, audit de l’unité, selon l’appréciation faite par le biais de l’analyse des indicateurs obtenus par la surveillance administrative et les vérifications annuelles, une opération d’audit peut être décidée par :
Le détenteur délégué de biens en concertation avec le commandement du groupement de l’unité
Contrôle de 2e niveau, la revue annuelle de domaine, le détenteur de biens délégué pilote une revue annuelle des indicateurs en liaison avec :
L’officier logistique des groupements
Maintenance des biens, la disponibilité technique des biens dépend de l’implication de toute la chaîne hiérarchique dans l’entretien. On distingue 2 types de maintenance :
Préventive et corrective
La maintenance préventive, elle est définie selon les préconisations du :
Fabriquant.
Opérations planifiées permettant de prévenir les détériorations.
Les opérations de maintenance préventive sont déclenchés selon :
Des échéances calendaires
Ou
Selon des cycles de fonctionnement
La maintenance préventive se décompose en :
Préventive systématique établie selon un échéancier
Préventive conditionnelle selon un temps ou une unité de fonctionnement
La combinaison de la maintenance préventive systématique et conditionnelle permet l’élaboration d’un plan dont le premier terme atteint est :
Déclencheur de l’échéance
La maintenance corrective regroupe les opérations nécessaires à :
La remise en état d’un matériel qui subi une défaillance ou une détérioration
Les opérations de maintenance préventive sont :
Inspections et contrôle
Visites d’entretien périodique
Les opérations de maintenance corrective sont :
Dépannage
Réparation
Modification
On distingue combien de niveaux de maintenance :
Le standard 5 niveaux
Qui répondent à une logique de moyens
(Les allées distinguent 3 niveaux techniques d’interventions répondant à une logique opérationnelle de disponibilité et de durée des interventions techniques)
Le 1er niveau de maintenance c’est :
Effectué par l’utilisateur
Échange de consommable sans outillage ni compétence
Le 2e niveau de maintenance c’est :
Effectué par des techniciens
Échange standard de composants lors d’opération de dépannage ou de maintenance préventive
Le 3ème niveau de maintenance c’est :
L’identification et le diagnostique de pannes par des techniciens
Réparation ou échange des composants et suivi éventuellement d’échange de réparation ou de réglage étalonnage
Le 4ème niveau de maintenance c’est :
Travaux importants de maintenance corrective ou préventive effectué par des techniciens spécialisés
Le 5e niveau de maintenance c’est :
Travaux de réparation reconstruction ou réparation importante confie à un atelier central ou à une entreprise extérieure
La caractérisation des travaux avec cette nomenclature permet, lorsque nécessaire, un dialogue standardisé avec les prestataires extérieurs
Biens pouvant être soumis à travaux et maintenance, ces biens sont :
Rechange réparable
Équipement
Matériel
Site, ouvrage et bâtiment
Local
Rechange réparable, c’est la rechange nécessaire à la réparation qui une fois détérioré peut faire l’objet d’une remise à hauteur technique et remis en
Stock
Équipement, c’est tout bien mobilier destiné à la dotation, qui est soumis à un plan de maintenance préventive ou qui une fois détérioré peut faire l’objet d’une remise à hauteur technique avant d’être remis en
Service ou en stock
A chaque équipement ou famille d’équipement en service est associé un critère d’opportunité de réparation.
Ce critère est identifié «catégorie de soutien»
Ce critère est évalué annuellement par le bureau métier
Cela permet aux acteurs de la maintenance de connaître les modalités de soutien des équipements décidées par la tête de chaîne fonctionnelle
Matériel, c’est un équipement matricule pour répondre à la nécessité d’enregistrement nominatif des opérations de maintenance et de
Contrôle
Site, ouvrage et bâtiment, c’est un bien immobilier soumis à entretien et/ou
Travaux d’infrastructure
Local, c’est la partie d’un bâtiment ayant une fonction technique ou destinée à un usage particulier.
Les travaux sont évalués selon :
Les critères de coûts et les conséquences de son indisponibilité
Les équipements en dotation dan sales unités sont soumis à un régime de soutien direct ou de soutien :
Différé
Le soutien direct s’applique :
À des matériels
Des sites
Des bâtiments
Ou des locaux qui sont identifies individuellement
Les véhicules et engins sont traités selon le mode de soutien direct
Les équipements matricule ou non faisant l’objet de soutien différé sont soumis à un régime :
D’échange
Ces équipements sont identifiés avec le critère «soumis à l’échange»
La maintenance à la BSPP s’organise autour de 3 échelons.
Les différentes opérations sont réparties dans les différents échelons après analyse combinant :
La complexité et la qualification des acteurs
Les temps d’intervention ou d’indispo des équipements
L’outillage nécessaire
Pour le domaine infrastructure, la lise en gestion initiale du bien constitue
L’état de référence du bien concerne
Quels sont les 3 échelons de maintenance à la Bspp :
Échelon élémentaire
Échelon de proximité
Échelon central
L’échelon élémentaire est de la responsabilité de :
La compagnie
Les opérations identifiées NTE regroupent verif des utilisateurs et entretien courant effectué par du personnel de la Cie
Échelon de proximité, les chaînes MCO et infra identifient un échelon de proximité dans l’organisation du soutien direct des biens.
Les ateliers MCO de cet échelon relève de la responsabilité fonctionnelle de :
la chaîne métier (dépannages et entretien programmé)
Les sections territoriales de la CSI relèvent de la responsabilité fonctionnelle de la chaîne métier
Les spécialistes sont en mesure de réaliser certaines tâches de niveau :
1 et 2 et certaines opérations nécessitant des moyens importants
Échelon de proximité.
Un plan de rattachement précise les unités et les biens soutenus par :
Chaque atelier de proximité
Échelon central.
Une cellule d’experts (gestionnaire parc pour le périmètre MCO et chef GTP de la SPCE pour le périmètre infra) est responsable de :
La décision du mise de soutien avant mise en service
La prod des docs de maintenance
La décision sur l’opportunité de certaine réparation (plan maintenance)
L’organisation entretien préventif (plan préventif)
L’évolution de la catégorie de soutien es biens en service
Cette cellule pilote une revue annuelle
L’échelon centrale relève de la responsabilité de la tête fonctionnelle de
La chaîne métier
Les opérations nécessitant des installations ou des compétences spe sont effectuées à l’échelon centrale.
Dans le cadre du soutien direct, ces opérations sont :
la réparation, la modification ou l’entretien programmé de matériels.
Soutiens ds engins opérationnels : dans le cadre du soutien différé ces opérations sont la réparation, la confection ou la modification au titre de réapprovisionnement par la remise à hauteur de biens en mauvais état
Échelon élémentaire, les utilisateurs, les vérifications sont effectuées à la prise de garde et sauf consignes locales ne font pas l’objet d’enregistrement.
Tout utilisateur est identifié comme :
Primo-intervenants
Le gardien d’entretien a :
Reçu une formation dans le domaine considéré pour effectuer des opérations de contrôle du niveau élémentaire
L’adjoint référent du domaine MCO :
Initie les demandes de travaux et en suit la réalisation
S’occupe particulièrement de la procédure d’échange Cie
Seconde le référent dans l’animation des grades d’entretien et contrôle les opérations effectuées par les grades d’entretien
L’adjoint référent du domaine infra :
Est responsable du casernement
Initie les demandes de travaux
S’occupe de la procédure de gestion et d’emploi du locatif de son CS
Seconde le référent dans l’animation des grades d’entretien et les contrôle les opérations effectuées
Technicien, c’est le personnel spécialiste du domaine, il exécute les travaux de réparation de dépannage et d’entretien programmés et ordonnés par :
Le chef d’atelier ou de section
Il rend compte du temps passé et des ressources utilisées au titre de l’intervention technique
La CSI dispose d’une cellule de maintenanciers :
Implantée à LVV
Places sous les ordres directs de l’officier travaux
Son action est supervisé par les conducteurs de travaux
La cellule maintenance doit être un interlocuteur privilégié des adjudants d’unités, référants infrastructure, et adjoint référents dans les CS pour les questions suivantes :
La réalisation des travaux de maintenance type «occupant»
Le suivi demande de travaux
La réalisation projet FI / FE
La réparation des visites organisées au niveau groupement
La VOP est une vérification d’ordre :
Technique et qualitatif
Périodicité annuelle peut changer en fonction du bien et des évolutions de la réglementation
La vérification technique obligatoire périodique est effectuée par un personnel agrémenté.
Elle se fait en atelier, chez le détenteur dépositaire ou en
Industrie privée
Par délégation du détenteur de biens, les contrôleurs portent en appréciation sur la qualité de la tenue des documents réglementaires et du suivi de l’entretien
Cette opération de contrôle ou de vérification fait l’objet d’un enregistrement obligatoire dans la fiche de vie du bien.
Par CONSÉQUENT tous les biens soumis à VOP sont matriculés
Le CRILOG est l’outil de compte-rendu permettant de caractériser un accident de circulation impliquant un véhicule en service à la brigade.
A l’instar du CRILOG, le CRITECH est la procédure permettant de rendre compte d’un incident
Technique impliquant un bien en service à la brigade
Dans ce cas les modalités de mise en œuvre sont précisées dans la directive de maintenance du bien