Antipsychotiques Flashcards
Antipsychotiques: Petite histoire
- 1952: chlorpromazine –> 1er antipsychotique (par Poulinque)
- a longtemps été l’agent de compraison pour les différents neuroleptiques qui ont été commercialisés - Les différents neuroleptiques ont des propriétés pharmacologiques hétérogènes / différentes selon leur affinité plus ou moins importantes sur les différents récepteurs du cerveau
- Mais leur point commun est leur effet antagoniste D2 (qui est à l’origine de leur effet antipsychotique)
- Au milieu des années 1990: arrivée des atypiques 5HT2/ D2
- antipsychotique atypique est synonyme d’antipsychotique de nouvelle génération
- leur action diffère des antipsychotiques typiques par leur action antagoniste HT2 qui vient s’associer à l’action antagoniste D2 - Les antipsychotiques sont efficaces peu importe l’étiologie de la psychose: ce se sont pas des molécules antischizophréniques de façon spécifique, mais plutôt réellement ciblée sur la psychose –> ils auront donc un effet peu importe la cause de la psychose (maladie bipolaire, cause médicale, schizophrénie, usage de substances, etc.)
Antipsychotiques: Petite histoire
- quel a été le 1er antipsychotique?
-
1952: chlorpromazine –> 1er antipsychotique (par Poulinque)
- a longtemps été l’agent de compraison pour les différents neuroleptiques qui ont été commercialisés - Les différents neuroleptiques ont des propriétés pharmacologiques hétérogènes / différentes selon leur affinité plus ou moins importantes sur les différents récepteurs du cerveau
- Mais leur point commun est leur effet antagoniste D2 (qui est à l’origine de leur effet antipsychotique)
- Au milieu des années 1990: arrivée des atypiques 5HT2/ D2
- antipsychotique atypique est synonyme d’antipsychotique de nouvelle génération
- leur action diffère des antipsychotiques typiques par leur action antagoniste HT2 qui vient s’associer à l’action antagoniste D2 - Les antipsychotiques sont efficaces peu importe l’étiologie de la psychose: ce se sont pas des molécules antischizophréniques de façon spécifique, mais plutôt réellement ciblée sur la psychose –> ils auront donc un effet peu importe la cause de la psychose (maladie bipolaire, cause médicale, schizophrénie, usage de substances, etc.)
Antipsychotiques: Petite histoire
- quel antipsychotique a été utilisé longtemps comme comparatif?
-
1952: chlorpromazine –> 1er antipsychotique (par Poulinque)
- a longtemps été l’agent de comparaison pour les différents neuroleptiques qui ont été commercialisés - Les différents neuroleptiques ont des propriétés pharmacologiques hétérogènes / différentes selon leur affinité plus ou moins importantes sur les différents récepteurs du cerveau
- Mais leur point commun est leur effet antagoniste D2 (qui est à l’origine de leur effet antipsychotique)
- Au milieu des années 1990: arrivée des atypiques 5HT2/ D2
- antipsychotique atypique est synonyme d’antipsychotique de nouvelle génération
- leur action diffère des antipsychotiques typiques par leur action antagoniste HT2 qui vient s’associer à l’action antagoniste D2 - Les antipsychotiques sont efficaces peu importe l’étiologie de la psychose: ce se sont pas des molécules antischizophréniques de façon spécifique, mais plutôt réellement ciblée sur la psychose –> ils auront donc un effet peu importe la cause de la psychose (maladie bipolaire, cause médicale, schizophrénie, usage de substances, etc.)
Antipsychotiques: Petite histoire
- sur quels points les antipsychotiques diffèrent les uns des autres?
- 1952: chlorpromazine –> 1er antipsychotique (par Poulinque)
- a longtemps été l’agent de compraison pour les différents neuroleptiques qui ont été commercialisés -
Les différents neuroleptiques ont des propriétés pharmacologiques hétérogènes / différentes selon leur affinité plus ou moins importantes sur les différents récepteurs du cerveau
- Mais leur point commun est leur effet antagoniste D2 (qui est à l’origine de leur effet antipsychotique)
- Au milieu des années 1990: arrivée des atypiques 5HT2/ D2
- antipsychotique atypique est synonyme d’antipsychotique de nouvelle génération
- leur action diffère des antipsychotiques typiques par leur action antagoniste HT2 qui vient s’associer à l’action antagoniste D2 - Les antipsychotiques sont efficaces peu importe l’étiologie de la psychose: ce se sont pas des molécules antischizophréniques de façon spécifique, mais plutôt réellement ciblée sur la psychose –> ils auront donc un effet peu importe la cause de la psychose (maladie bipolaire, cause médicale, schizophrénie, usage de substances, etc.)
Antipsychotiques: Petite histoire
- ressemblance des antipsychotiques
- 1952: chlorpromazine –> 1er antipsychotique (par Poulinque)
- a longtemps été l’agent de compraison pour les différents neuroleptiques qui ont été commercialisés - Les différents neuroleptiques ont des propriétés pharmacologiques hétérogènes / différentes selon leur affinité plus ou moins importantes sur les différents récepteurs du cerveau
- Mais leur point commun est leur effet antagoniste D2 (qui est à l’origine de leur effet antipsychotique)
- Au milieu des années 1990: arrivée des atypiques 5HT2/ D2
- antipsychotique atypique est synonyme d’antipsychotique de nouvelle génération
- leur action diffère des antipsychotiques typiques par leur action antagoniste HT2 qui vient s’associer à l’action antagoniste D2 - Les antipsychotiques sont efficaces peu importe l’étiologie de la psychose: ce se sont pas des molécules antischizophréniques de façon spécifique, mais plutôt réellement ciblée sur la psychose –> ils auront donc un effet peu importe la cause de la psychose (maladie bipolaire, cause médicale, schizophrénie, usage de substances, etc.)
Antipsychotiques: Petite histoire
- quel antipsychotique a vu le jour plus tard?
- en quelle année?
- 1952: chlorpromazine –> 1er antipsychotique (par Poulinque)
- a longtemps été l’agent de compraison pour les différents neuroleptiques qui ont été commercialisés - Les différents neuroleptiques ont des propriétés pharmacologiques hétérogènes / différentes selon leur affinité plus ou moins importantes sur les différents récepteurs du cerveau
- Mais leur point commun est leur effet antagoniste D2 (qui est à l’origine de leur effet antipsychotique)
-
Au milieu des années 1990: arrivée des atypiques 5HT2/ D2
- antipsychotique atypique est synonyme d’antipsychotique de nouvelle génération
- leur action diffère des antipsychotiques typiques par leur action antagoniste HT2 qui vient s’associer à l’action antagoniste D2 - Les antipsychotiques sont efficaces peu importe l’étiologie de la psychose: ce se sont pas des molécules antischizophréniques de façon spécifique, mais plutôt réellement ciblée sur la psychose –> ils auront donc un effet peu importe la cause de la psychose (maladie bipolaire, cause médicale, schizophrénie, usage de substances, etc.)
Antipsychotiques: Petite histoire
- mécanisme d’action des AP ATYPIQUES
- 1952: chlorpromazine –> 1er antipsychotique (par Poulinque)
- a longtemps été l’agent de compraison pour les différents neuroleptiques qui ont été commercialisés - Les différents neuroleptiques ont des propriétés pharmacologiques hétérogènes / différentes selon leur affinité plus ou moins importantes sur les différents récepteurs du cerveau
- Mais leur point commun est leur effet antagoniste D2 (qui est à l’origine de leur effet antipsychotique)
- Au milieu des années 1990: arrivée des atypiques 5HT2/ D2
- antipsychotique atypique est synonyme d’antipsychotique de nouvelle génération
- leur action diffère des antipsychotiques typiques par leur action antagoniste HT2 qui vient s’associer à l’action antagoniste D2 - Les antipsychotiques sont efficaces peu importe l’étiologie de la psychose: ce se sont pas des molécules antischizophréniques de façon spécifique, mais plutôt réellement ciblée sur la psychose –> ils auront donc un effet peu importe la cause de la psychose (maladie bipolaire, cause médicale, schizophrénie, usage de substances, etc.)
Antipsychotiques: Petite histoire
- synonyme d’AP ATYPIQUES
- 1952: chlorpromazine –> 1er antipsychotique (par Poulinque)
- a longtemps été l’agent de compraison pour les différents neuroleptiques qui ont été commercialisés - Les différents neuroleptiques ont des propriétés pharmacologiques hétérogènes / différentes selon leur affinité plus ou moins importantes sur les différents récepteurs du cerveau
- Mais leur point commun est leur effet antagoniste D2 (qui est à l’origine de leur effet antipsychotique)
- Au milieu des années 1990: arrivée des atypiques 5HT2/ D2
- antipsychotique atypique est synonyme d’antipsychotique de nouvelle génération
- leur action diffère des antipsychotiques typiques par leur action antagoniste HT2 qui vient s’associer à l’action antagoniste D2 - Les antipsychotiques sont efficaces peu importe l’étiologie de la psychose: ce se sont pas des molécules antischizophréniques de façon spécifique, mais plutôt réellement ciblée sur la psychose –> ils auront donc un effet peu importe la cause de la psychose (maladie bipolaire, cause médicale, schizophrénie, usage de substances, etc.)
Antipsychotiques: Petite histoire
- type de psychose où les AP font effet
- 1952: chlorpromazine –> 1er antipsychotique (par Poulinque)
- a longtemps été l’agent de compraison pour les différents neuroleptiques qui ont été commercialisés - Les différents neuroleptiques ont des propriétés pharmacologiques hétérogènes / différentes selon leur affinité plus ou moins importantes sur les différents récepteurs du cerveau
- Mais leur point commun est leur effet antagoniste D2 (qui est à l’origine de leur effet antipsychotique)
- Au milieu des années 1990: arrivée des atypiques 5HT2/ D2
- antipsychotique atypique est synonyme d’antipsychotique de nouvelle génération
- leur action diffère des antipsychotiques typiques par leur action antagoniste HT2 qui vient s’associer à l’action antagoniste D2 - Les antipsychotiques sont efficaces peu importe l’étiologie de la psychose: ce se sont pas des molécules antischizophréniques de façon spécifique, mais plutôt réellement ciblée sur la psychose –> ils auront donc un effet peu importe la cause de la psychose (maladie bipolaire, cause médicale, schizophrénie, usage de substances, etc.)
AP: Évolution dans le temps
- 1950-1970: Antipsychotiques typiques pos (holopéridol, chlorprozamine, fluphénazine)
- diminue les sx positifs
- pas ou peu d’effet sur les sx négatifs
- bcp de sx extrapyramidaux - 1970-1980: Antipsychotiques typiques dépôts (haldol LA, modécate)
- meilleure observance: possibilité de recevoir une dose aux 2-4 semaines
- mais autant de sx extrapyramidaux et persistance des sx négatifs
- diminue les sx positifs - 1991-1997: Antipsychotiques atypiques (clozapine, rispéridone, olanzapine, quétiapine)
- Rémission des sx positifs
- bcp moins de sx extrapyramidaux
- résolution de certains sx négatifs
- mais: E2 au niveau du poids, de l’appétit plus fréquent –> syndrome métabolique plus fréquent
- et donc comorbidité médicale pouvant complexifier le tableau - 2004: Atypiques injectables longue action (risperdal, Consta, Invega, Sustenna, Abilify, Maintena)
- meilleure observance
- 2008: Neuroleptiques metabolic friendly (zisprasidone, asénapine, lurasidone)
- dans le but de diminuer le syndrome métabolique tout en ayant un impact sur les sx positifs et négatifs
AP: Évolution dans le temps
- nommez les AP typiques PO
- 1950-1970: Antipsychotiques typiques pos (holopéridol, chlorprozamine, fluphénazine)
- diminue les sx positifs
- pas ou peu d’effet sur les sx négatifs
- bcp de sx extrapyramidaux - 1970-1980: Antipsychotiques typiques dépôts (haldol LA, modécate)
- meilleure observance: possibilité de recevoir une dose aux 2-4 semaines
- mais autant de sx extrapyramidaux et persistance des sx négatifs
- diminue les sx positifs - 1991-1997: Antipsychotiques atypiques (clozapine, rispéridone, olanzapine, quétiapine)
- Rémission des sx positifs
- bcp moins de sx extrapyramidaux
- résolution de certains sx négatifs
- mais: E2 au niveau du poids, de l’appétit plus fréquent –> syndrome métabolique plus fréquent
- et donc comorbidité médicale pouvant complexifier le tableau - 2004: Atypiques injectables longue action (risperdal, Consta, Invega, Sustenna, Abilify, Maintena)
- meilleure observance
- 2008: Neuroleptiques metabolic friendly (zisprasidone, asénapine, lurasidone)
- dans le but de diminuer le syndrome métabolique tout en ayant un impact sur les sx positifs et négatifs
AP: Évolution dans le temps
- ce qui se passe 1950-1970
-
1950-1970: Antipsychotiques typiques pos (holopéridol, chlorprozamine, fluphénazine)
- diminue les sx positifs
- pas ou peu d’effet sur les sx négatifs
- bcp de sx extrapyramidaux - 1970-1980: Antipsychotiques typiques dépôts (haldol LA, modécate)
- meilleure observance: possibilité de recevoir une dose aux 2-4 semaines
- mais autant de sx extrapyramidaux et persistance des sx négatifs
- diminue les sx positifs - 1991-1997: Antipsychotiques atypiques (clozapine, rispéridone, olanzapine, quétiapine)
- Rémission des sx positifs
- bcp moins de sx extrapyramidaux
- résolution de certains sx négatifs
- mais: E2 au niveau du poids, de l’appétit plus fréquent –> syndrome métabolique plus fréquent
- et donc comorbidité médicale pouvant complexifier le tableau - 2004: Atypiques injectables longue action (risperdal, Consta, Invega, Sustenna, Abilify, Maintena)
- meilleure observance
- 2008: Neuroleptiques metabolic friendly (zisprasidone, asénapine, lurasidone)
- dans le but de diminuer le syndrome métabolique tout en ayant un impact sur les sx positifs et négatifs
AP: Évolution dans le temps
AP TYPIQUES
- effet sur les sx
- E2
-
1950-1970: Antipsychotiques typiques pos (holopéridol, chlorprozamine, fluphénazine)
- diminue les sx positifs
- pas ou peu d’effet sur les sx négatifs
- bcp de sx extrapyramidaux - 1970-1980: Antipsychotiques typiques dépôts (haldol LA, modécate)
- meilleure observance: possibilité de recevoir une dose aux 2-4 semaines
- mais autant de sx extrapyramidaux et persistance des sx négatifs
- diminue les sx positifs - 1991-1997: Antipsychotiques atypiques (clozapine, rispéridone, olanzapine, quétiapine)
- Rémission des sx positifs
- bcp moins de sx extrapyramidaux
- résolution de certains sx négatifs
- mais: E2 au niveau du poids, de l’appétit plus fréquent –> syndrome métabolique plus fréquent
- et donc comorbidité médicale pouvant complexifier le tableau - 2004: Atypiques injectables longue action (risperdal, Consta, Invega, Sustenna, Abilify, Maintena)
- meilleure observance
- 2008: Neuroleptiques metabolic friendly (zisprasidone, asénapine, lurasidone)
- dans le but de diminuer le syndrome métabolique tout en ayant un impact sur les sx positifs et négatifs
AP: Évolution dans le temps
- ce qui se passe 1970-1980
- 1950-1970: Antipsychotiques typiques pos (holopéridol, chlorprozamine, fluphénazine)
- diminue les sx positifs
- pas ou peu d’effet sur les sx négatifs
- bcp de sx extrapyramidaux -
1970-1980: Antipsychotiques typiques dépôts (haldol LA, modécate)
- meilleure observance: possibilité de recevoir une dose aux 2-4 semaines
- mais autant de sx extrapyramidaux et persistance des sx négatifs
- diminue les sx positifs - 1991-1997: Antipsychotiques atypiques (clozapine, rispéridone, olanzapine, quétiapine)
- Rémission des sx positifs
- bcp moins de sx extrapyramidaux
- résolution de certains sx négatifs
- mais: E2 au niveau du poids, de l’appétit plus fréquent –> syndrome métabolique plus fréquent
- et donc comorbidité médicale pouvant complexifier le tableau - 2004: Atypiques injectables longue action (risperdal, Consta, Invega, Sustenna, Abilify, Maintena)
- meilleure observance
- 2008: Neuroleptiques metabolic friendly (zisprasidone, asénapine, lurasidone)
- dans le but de diminuer le syndrome métabolique tout en ayant un impact sur les sx positifs et négatifs
AP: Évolution dans le temps
AP TYPIQUES DÉPÔTS
- effets sur les sx
- E2
- 1950-1970: Antipsychotiques typiques pos (holopéridol, chlorprozamine, fluphénazine)
- diminue les sx positifs
- pas ou peu d’effet sur les sx négatifs
- bcp de sx extrapyramidaux -
1970-1980: Antipsychotiques typiques dépôts (haldol LA, modécate)
- meilleure observance: possibilité de recevoir une dose aux 2-4 semaines
- mais autant de sx extrapyramidaux et persistance des sx négatifs
- diminue les sx positifs - 1991-1997: Antipsychotiques atypiques (clozapine, rispéridone, olanzapine, quétiapine)
- Rémission des sx positifs
- bcp moins de sx extrapyramidaux
- résolution de certains sx négatifs
- mais: E2 au niveau du poids, de l’appétit plus fréquent –> syndrome métabolique plus fréquent
- et donc comorbidité médicale pouvant complexifier le tableau - 2004: Atypiques injectables longue action (risperdal, Consta, Invega, Sustenna, Abilify, Maintena)
- meilleure observance
- 2008: Neuroleptiques metabolic friendly (zisprasidone, asénapine, lurasidone)
- dans le but de diminuer le syndrome métabolique tout en ayant un impact sur les sx positifs et négatifs
AP: Évolution dans le temps
- nommez les AP typiques dépôts
- 1950-1970: Antipsychotiques typiques pos (holopéridol, chlorprozamine, fluphénazine)
- diminue les sx positifs
- pas ou peu d’effet sur les sx négatifs
- bcp de sx extrapyramidaux - 1970-1980: Antipsychotiques typiques dépôts (haldol LA, modécate)
- meilleure observance: possibilité de recevoir une dose aux 2-4 semaines
- mais autant de sx extrapyramidaux et persistance des sx négatifs
- diminue les sx positifs - 1991-1997: Antipsychotiques atypiques (clozapine, rispéridone, olanzapine, quétiapine)
- Rémission des sx positifs
- bcp moins de sx extrapyramidaux
- résolution de certains sx négatifs
- mais: E2 au niveau du poids, de l’appétit plus fréquent –> syndrome métabolique plus fréquent
- et donc comorbidité médicale pouvant complexifier le tableau - 2004: Atypiques injectables longue action (risperdal, Consta, Invega, Sustenna, Abilify, Maintena)
- meilleure observance
- 2008: Neuroleptiques metabolic friendly (zisprasidone, asénapine, lurasidone)
- dans le but de diminuer le syndrome métabolique tout en ayant un impact sur les sx positifs et négatifs
AP: Évolution dans le temps
- ce qui se passe 1991-1997
- 1950-1970: Antipsychotiques typiques pos (holopéridol, chlorprozamine, fluphénazine)
- diminue les sx positifs
- pas ou peu d’effet sur les sx négatifs
- bcp de sx extrapyramidaux - 1970-1980: Antipsychotiques typiques dépôts (haldol LA, modécate)
- meilleure observance: possibilité de recevoir une dose aux 2-4 semaines
- mais autant de sx extrapyramidaux et persistance des sx négatifs
- diminue les sx positifs -
1991-1997: Antipsychotiques atypiques (clozapine, rispéridone, olanzapine, quétiapine)
- Rémission des sx positifs
- bcp moins de sx extrapyramidaux
- résolution de certains sx négatifs
- mais: E2 au niveau du poids, de l’appétit plus fréquent –> syndrome métabolique plus fréquent
- et donc comorbidité médicale pouvant complexifier le tableau - 2004: Atypiques injectables longue action (risperdal, Consta, Invega, Sustenna, Abilify, Maintena)
- meilleure observance
- 2008: Neuroleptiques metabolic friendly (zisprasidone, asénapine, lurasidone)
- dans le but de diminuer le syndrome métabolique tout en ayant un impact sur les sx positifs et négatifs
AP: Évolution dans le temps
AP ATYPIQUES
- effets sur les sx
- E2
- 1950-1970: Antipsychotiques typiques pos (holopéridol, chlorprozamine, fluphénazine)
- diminue les sx positifs
- pas ou peu d’effet sur les sx négatifs
- bcp de sx extrapyramidaux - 1970-1980: Antipsychotiques typiques dépôts (haldol LA, modécate)
- meilleure observance: possibilité de recevoir une dose aux 2-4 semaines
- mais autant de sx extrapyramidaux et persistance des sx négatifs
- diminue les sx positifs -
1991-1997: Antipsychotiques atypiques (clozapine, rispéridone, olanzapine, quétiapine)
- Rémission des sx positifs
- bcp moins de sx extrapyramidaux
- résolution de certains sx négatifs
- mais: E2 au niveau du poids, de l’appétit plus fréquent –> syndrome métabolique plus fréquent
- et donc comorbidité médicale pouvant complexifier le tableau - 2004: Atypiques injectables longue action (risperdal, Consta, Invega, Sustenna, Abilify, Maintena)
- meilleure observance
- 2008: Neuroleptiques metabolic friendly (zisprasidone, asénapine, lurasidone)
- dans le but de diminuer le syndrome métabolique tout en ayant un impact sur les sx positifs et négatifs
AP: Évolution dans le temps
- nommez les AP atypiques
- 1950-1970: Antipsychotiques typiques pos (holopéridol, chlorprozamine, fluphénazine)
- diminue les sx positifs
- pas ou peu d’effet sur les sx négatifs
- bcp de sx extrapyramidaux - 1970-1980: Antipsychotiques typiques dépôts (haldol LA, modécate)
- meilleure observance: possibilité de recevoir une dose aux 2-4 semaines
- mais autant de sx extrapyramidaux et persistance des sx négatifs
- diminue les sx positifs - 1991-1997: Antipsychotiques atypiques (clozapine, rispéridone, olanzapine, quétiapine)
- Rémission des sx positifs
- bcp moins de sx extrapyramidaux
- résolution de certains sx négatifs
- mais: E2 au niveau du poids, de l’appétit plus fréquent –> syndrome métabolique plus fréquent
- et donc comorbidité médicale pouvant complexifier le tableau - 2004: Atypiques injectables longue action (risperdal, Consta, Invega, Sustenna, Abilify, Maintena)
- meilleure observance
- 2008: Neuroleptiques metabolic friendly (zisprasidone, asénapine, lurasidone)
- dans le but de diminuer le syndrome métabolique tout en ayant un impact sur les sx positifs et négatifs
AP: Évolution dans le temps
- ce qui se passe en 2004
- 1950-1970: Antipsychotiques typiques pos (holopéridol, chlorprozamine, fluphénazine)
- diminue les sx positifs
- pas ou peu d’effet sur les sx négatifs
- bcp de sx extrapyramidaux - 1970-1980: Antipsychotiques typiques dépôts (haldol LA, modécate)
- meilleure observance: possibilité de recevoir une dose aux 2-4 semaines
- mais autant de sx extrapyramidaux et persistance des sx négatifs
- diminue les sx positifs - 1991-1997: Antipsychotiques atypiques (clozapine, rispéridone, olanzapine, quétiapine)
- Rémission des sx positifs
- bcp moins de sx extrapyramidaux
- résolution de certains sx négatifs
- mais: E2 au niveau du poids, de l’appétit plus fréquent –> syndrome métabolique plus fréquent
- et donc comorbidité médicale pouvant complexifier le tableau -
2004: Atypiques injectables longue action (risperdal, Consta, Invega, Sustenna, Abilify, Maintena)
- meilleure observance
- 2008: Neuroleptiques metabolic friendly (zisprasidone, asénapine, lurasidone)
- dans le but de diminuer le syndrome métabolique tout en ayant un impact sur les sx positifs et négatifs
AP: Évolution dans le temps
AP ATYPIQUES LA
- effets sur les sx
- E2
- 1950-1970: Antipsychotiques typiques pos (holopéridol, chlorprozamine, fluphénazine)
- diminue les sx positifs
- pas ou peu d’effet sur les sx négatifs
- bcp de sx extrapyramidaux - 1970-1980: Antipsychotiques typiques dépôts (haldol LA, modécate)
- meilleure observance: possibilité de recevoir une dose aux 2-4 semaines
- mais autant de sx extrapyramidaux et persistance des sx négatifs
- diminue les sx positifs - 1991-1997: Antipsychotiques atypiques (clozapine, rispéridone, olanzapine, quétiapine)
- Rémission des sx positifs
- bcp moins de sx extrapyramidaux
- résolution de certains sx négatifs
- mais: E2 au niveau du poids, de l’appétit plus fréquent –> syndrome métabolique plus fréquent
- et donc comorbidité médicale pouvant complexifier le tableau -
2004: Atypiques injectables longue action (risperdal, Consta, Invega, Sustenna, Abilify, Maintena)
- meilleure observance
- 2008: Neuroleptiques metabolic friendly (zisprasidone, asénapine, lurasidone)
- dans le but de diminuer le syndrome métabolique tout en ayant un impact sur les sx positifs et négatifs
AP: Évolution dans le temps
- nommez les AP ATYPIQUES LA
- 1950-1970: Antipsychotiques typiques pos (holopéridol, chlorprozamine, fluphénazine)
- diminue les sx positifs
- pas ou peu d’effet sur les sx négatifs
- bcp de sx extrapyramidaux - 1970-1980: Antipsychotiques typiques dépôts (haldol LA, modécate)
- meilleure observance: possibilité de recevoir une dose aux 2-4 semaines
- mais autant de sx extrapyramidaux et persistance des sx négatifs
- diminue les sx positifs - 1991-1997: Antipsychotiques atypiques (clozapine, rispéridone, olanzapine, quétiapine)
- Rémission des sx positifs
- bcp moins de sx extrapyramidaux
- résolution de certains sx négatifs
- mais: E2 au niveau du poids, de l’appétit plus fréquent –> syndrome métabolique plus fréquent
- et donc comorbidité médicale pouvant complexifier le tableau - 2004: Atypiques injectables longue action (risperdal, Consta, Invega, Sustenna, Abilify, Maintena)
- meilleure observance
- 2008: Neuroleptiques metabolic friendly (zisprasidone, asénapine, lurasidone)
- dans le but de diminuer le syndrome métabolique tout en ayant un impact sur les sx positifs et négatifs
AP: Évolution dans le temps
- ce qui se passe en 2008
- 1950-1970: Antipsychotiques typiques pos (holopéridol, chlorprozamine, fluphénazine)
- diminue les sx positifs
- pas ou peu d’effet sur les sx négatifs
- bcp de sx extrapyramidaux - 1970-1980: Antipsychotiques typiques dépôts (haldol LA, modécate)
- meilleure observance: possibilité de recevoir une dose aux 2-4 semaines
- mais autant de sx extrapyramidaux et persistance des sx négatifs
- diminue les sx positifs - 1991-1997: Antipsychotiques atypiques (clozapine, rispéridone, olanzapine, quétiapine)
- Rémission des sx positifs
- bcp moins de sx extrapyramidaux
- résolution de certains sx négatifs
- mais: E2 au niveau du poids, de l’appétit plus fréquent –> syndrome métabolique plus fréquent
- et donc comorbidité médicale pouvant complexifier le tableau - 2004: Atypiques injectables longue action (risperdal, Consta, Invega, Sustenna, Abilify, Maintena)
- meilleure observance
-
2008: Neuroleptiques metabolic friendly (zisprasidone, asénapine, lurasidone)
- dans le but de diminuer le syndrome métabolique tout en ayant un impact sur les sx positifs et négatifs
AP: Évolution dans le temps
Neuroleptiques metabolic friendly
- effets sur sx
- E2
- 1950-1970: Antipsychotiques typiques pos (holopéridol, chlorprozamine, fluphénazine)
- diminue les sx positifs
- pas ou peu d’effet sur les sx négatifs
- bcp de sx extrapyramidaux - 1970-1980: Antipsychotiques typiques dépôts (haldol LA, modécate)
- meilleure observance: possibilité de recevoir une dose aux 2-4 semaines
- mais autant de sx extrapyramidaux et persistance des sx négatifs
- diminue les sx positifs - 1991-1997: Antipsychotiques atypiques (clozapine, rispéridone, olanzapine, quétiapine)
- Rémission des sx positifs
- bcp moins de sx extrapyramidaux
- résolution de certains sx négatifs
- mais: E2 au niveau du poids, de l’appétit plus fréquent –> syndrome métabolique plus fréquent
- et donc comorbidité médicale pouvant complexifier le tableau - 2004: Atypiques injectables longue action (risperdal, Consta, Invega, Sustenna, Abilify, Maintena)
- meilleure observance
-
2008: Neuroleptiques metabolic friendly (zisprasidone, asénapine, lurasidone)
- dans le but de diminuer le syndrome métabolique tout en ayant un impact sur les sx positifs et négatifs