annales Flashcards

1
Q

Selon des philosophes comme Platon ou Descartes : PLS
a) Raison et passion ne sont pas nettement différentes
b) La raison a un rôle essentiellement positif
c) La passion a un rôle essentiellement positif
d) La passion a un rôle essentiellement négatif

A

BD

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2
Q

L’expérience de Eimas et al. (1967) conduite avec des adultes anglophones consiste à manipuler expérimentalement l’information acoustique correspondant aux traits phonétiques (ici le délai de voisement ou voisement) de phonèmes (/p/ et /b/). La tâche demandée est une tâche d’identification. Cette étude montre que : PLS
a) Notre perception des phonèmes (et plus particulièrement des traits phonétiques qui les composent) est catégorielle
b) Nous percevons des catégories phonétiques discrètes (finies) et non la variation continue d’un paramètre acoustique (correspondant au délai de voisement)
c) La frontière d’identification du délai de voisement renvoie à la valeur de +35 millisecondes
d) La frontière d’identification du délai de voisement renvoie à la valeur de -35 millisecondes

A

ABC

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3
Q

Les représentations mentales : PLS
a) Les représentations sont les produits (résultats) de la mise en œuvre des processus
mnésiques sur les traces du passé
b) Les représentations sont des entités stables stockées dans notre cerveau
c) Les connaissances se construisent progressivement et de façon dynamique par intégration et élaboration des traces accumulées à partir de différents événements au cours de la vie
d) Les souvenirs renvoient uniquement à des événements vécus dans le monde extérieur

A

AC

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4
Q

Les théories des méta-représentations (Rosenthal, 2005) et de l’espace de travail global (Dehaene et al., 2011) : PLS
a) Spécifient si un individu est éveillé ou endormi
b) Spécifient si les états mentaux sont conscients ou non
c) Ont motivé l’utilisation des tests subjectifs
d) Ont motivé l’utilisation des tests objectifs

A

BC

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5
Q

Selon la théorie à deux facteurs de Schacter et Singer (1962) : PLS
a) Les émotions de base dépendent exclusivement de l’activation physiologique
contrairement aux émotions plus complexes
b) L’activation physiologique détermine l’intensité de l’émotion ressentie
c) Des cognitions concernant le déclencheur de l’activation physiologique déterminent quelle émotion est ressentie
d) Le traitement cognitif du stimulus déclencheur par le système nerveux central est la cause de la réaction physiologique et du ressenti subjectif

A

BC

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6
Q

On considère que la perception multimodale de la parole est un phénomène automatique et
inconscient parce qu’on en observe les effets : PLS
a) Avec des auditeurs adultes pratiquant des langues différentes (anglais, français, allemand, néerlandais, japonais etc…)
b) Avec des bébés âgés de 2 mois
c) Avec des chinchillas
d) Avec des enfants entre 3 et 5 ans

A

ABD

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7
Q

Pourquoi un souvenir plutôt qu’un autre ? PLS
a) Les marqueurs émotionnels (somatiques) associés à un événement sont des
caractéristiques essentielles des souvenirs qui seront produits à long terme
b) Dans son expérience, Schmidt (2002) montre que l’émotion engendre une amnésie des
stimuli qui précédent immédiatement le stimulus émotionnel
c) Dans son expérience, Schmidt (2002) montre que la distinctivité d’une trace mnésique
relève principalement de l’émotion qui lui a été associée au moment de l’encodage
d) Dans l’expérience de Brewin et al. (1999), les résultats montrent que la persistance
mnésique est une conséquence des vécus éprouvants

A

ABD

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8
Q

Les patients atteints de vision aveugle : PLS
a) Ne sont pas capables d’identifier une forme simple présentée dans leur champ visuel aveugle lorsqu’on leur demande de le faire
b) Ont des lésions dans les aires corticales visuelles d’un hémisphère et sont aveugles dans le champ visuel opposé
c) Sont capables d’identifier une forme simple présentée dans leur champ visuel aveugle bien
qu’ils pensent sincèrement répondre au hasard
d) Semblent voir dans leur champ visuel aveugle bien qu’ils n’aient pas l’expérience subjective correspondante

A

BCD

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9
Q

Dans l’étude de Siemer et al. (1974) des individus qui reçoivent un feed-back négatif et ne savent pas si ce feed-back est approprié : PLS
a) Ressentent tous de la culpabilité
b) Ressentent tous de la honte
c) Ressentent tous de la colère
d) Ne ressentent pas tous les mêmes émotions

A

D

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10
Q

Le phénomène de restauration phonémique : PLS
a) Renvoie à une illusion visuelle qui opère de façon inconsciente et automatique
b) Suggère une influence « bottom-up » des connaissances lexicales sur la perception de la
parole
c) Renvoie à l’expérience de Warren (1970) qui montre que la majorité des participants n’ont
pas conscience que le premier son /s/ du mot « legislatures » (par exemple) a été remplacé
par un signal acoustique qui correspond à de la toux
d) Renvoie à une illusion auditive qui opère de façon consciente et automatique

A

C

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11
Q

L’étude des faux souvenirs : PLS
a) L’effet de désinformation consiste à incorporer une information dans un souvenir de sorte qu’elle s’intègre durablement à celui-ci
b) Dans leur expérience, Braun et al. (2002) ont infusé aux participants le faux souvenir d’avoir vu Bugs Bunny à Disneyland, simplement à partir de questions suggestives et trompeuses
c) Les travaux sur les faux souvenirs comme l’expérience d’Offer et al. (2000) montrent que notre mémoire reconstruit nos souvenirs tout au long de la vie
d) L’étude des faux souvenirs montre qu’il est difficile de reconnaître et de dissocier un
souvenir mental (une pensée, une image mentale, etc.) du souvenir d’un événement
réellement vécu dans l’environnement externe

A

ACD

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12
Q

Kunst-Wilson et Zajonc (1980) ont mené une expérience sur l’effet de simple exposition dans
laquelle ils ont montré des octogones de façon subliminale dans un premier temps. Puis, lors de la phase test, des paires d’octogones composées d’un octogone présenté en phase d’étude et d’un nouvel octogone ont été présentées aux participants qui devaient indiquer quel octogone ils
préféraient et lequel avait été présenté précédemment. PLS
a) Dans cette expérience, les participants sont incapables de reconnaitre quels sont les
octogones qui ont été présentés en phase d’étude
b) Les octogones présentés en phase d’étude sont préférés aux nouveaux octogones dans
plus de la moitié des cas
c) Les octogones présentés en phase d’étude sont mieux reconnus que les octogones
nouveaux
d) Cette expérience montre que les participants peuvent développer des préférences pour des stimuli présentés de façon subliminale alors même qu’ils ne sont pas capables de les
reconnaitre

A

ABD

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13
Q

Dans les études de Bechara et Damasio sur l’IOWA gambling task, les sujets qui présentent
une lésion du cortex préfrontal ventromédian : PLS
a) font en moyenne 30% de bon choix
b) ont une réaction physiologique lorsqu’ils s’apprêtent à choisir une carte dans un des paquets perdants au bout de seulement 10 essais
c) choisissent autant de cartes dans les bons paquets que les sujets du groupe contrôle
d) ne développent jamais de réponse physiologique aux paquets perdants

A

AD

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14
Q

On utilise un test de lecture de pseudo-mots pour dépister la dyslexie chez les étudiants à
l’université, parce que : PLS
a) Ce test de lecture permet d’évaluer l’efficience du décodage (traduction des lettres en sons) et le décodage est déficitaire chez ces lecteurs
b) Le lecteur ne peut pas utiliser ses connaissances lexicales pour lire des pseudo-mots et se
trouve obligé d’identifier chacune des lettres des pseudo-mots puis de les traduire en sons leur correspondant afin de pouvoir prononcer ces pseudo-mots et l’on sait que la perception des sons de parole chez les adultes dyslexiques est déficitaire
c) Les lecteurs dyslexiques manifestent une perception des sons de parole atypique qui se
répercute sur l’apprentissage de la lecture et donc sur leurs capacités de décodage
d) Les lecteurs dyslexiques manifestent une perception des sons de parole atypique qui
parasite l’apprentissage des correspondances lettres-sons utilisées dans le décodage des
mots (traduction des lettres en sons)

A

ABCD

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15
Q

Mémoire et sommeil : PLS
a) Les études actuelles mettent en évidence que les mécanismes physiologiques du sommeil
participent à la consolidation de nos souvenirs et de nos apprentissages en mémoire
b) La période pendant laquelle nous rêvons correspond à la phase de sommeil paradoxal
c) La durée des phases de sommeil paradoxal augmente durant les périodes d’apprentissage intense
d) L’activité neurophysiologique mise en évidence durant la phase de sommeil lent (ou
sommeil d’ondes lentes) permet le transfert des souvenirs des étages corticaux vers
l’hippocampe

A

AC

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16
Q

Stottinger et Perner (2006) ont présenté deux figures qui donnaient l’illusion que la
diagonale de la première était plus petite que celle de la deuxième alors qu’en réalité elle était plus grande.PLS
a) Lorsqu’on demande aux participants de faire comme s’ils attrapaient l’une ou l’autre des
figures, ils ouvrent leur main de façon appropriée
a) Face à cette illusion, les participants se comportent comme des patients avec des lésions au niveau de la voie visuelle ventrale
b) Lorsqu’on demande aux participants d’indiquer avec leur main la taille de chaque figure
alors l’illusion apparait, ils ouvrent plus grand leur main pour la figure dont la diagonale est en fait plus petite
c) Les participants se comportent comme si certaines représentations visuelles qui guident leurs actions n’étaient pas accessibles consciemment

A

ABCD

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17
Q

Le regret : PLS
a) s’appuie sur le raisonnement contrefactuel
b) est ressenti même lorsqu’on n’est pas responsable de ses choix
c) peut être ressenti de façon anticipée
d) est une émotion incidente

A

AC

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18
Q

L’effet McGurk (1976) suggère que : PLS
a) L’auditeur lorsqu’il perçoit de la parole n’utilise pas que des informations auditives
(acoustiques)
b) L’auditeur lorsqu’il perçoit de la parole utilise également des informations visuelles issues
de la lecture labiale de l’interlocuteur
c) La perception de la parole est multisensorielle
d) L’auditeur lorsqu’il perçoit de la parole utilise à la fois des informations auditives et
visuelles (lecture labiale)

A

ABCD

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19
Q

Les souvenirs traumatiques : PLS
a) Les troubles du stress post-traumatique ont permis de mettre en évidence l’existence de l’amnésie traumatique
b) L’idée de refoulement, proposée comme mécanisme défensif à la suite d’un traumatisme psychologique, n’a jamais été mise en évidence dans la littérature scientifique
c) Les troubles du stress post-traumatique engendrent une désorganisation de la mémoire et de l’image de soi chez les patients
d) Les processus mis en évidence dans le cadre des TSPT sont une exacerbation des processus mis en évidence dans le fonctionnement normal de la mémoire

A

BCD

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20
Q

Les expériences portant sur l’apprentissage implicite de grammaire artificielle (Reber, 1967) ont montré :PLS
a) Que les participants n’étaient pas capables de reconnaitre des suites de lettres qui
respectaient les règles de grammaire
b) Que les participants n’étaient pas capables de décrire précisément les règles de grammaire qui régissaient la construction des suites de lettres
c) Que les participants parvenaient à identifier les suites de lettres conformes aux règles de grammaire dans plus de 50% des cas
d) Qu’il est possible d’acquérir des connaissances inconscientes sur la structure de l’environnement

A

BCD

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21
Q

Dans les expériences de Raghunathan & Pham (1999) la tristesse :PLS
a) conduit à privilégier la sécurité de l’emploi
b) conduit à faire des paris financiers moins risqués
c) conduit à faire des choix plus risqués lorsqu’on choisit pour soi
d) conduit à faire des choix plus risqués lorsqu’on choisit pour autrui

A

C

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22
Q

L’étude de Cutler et al. (1989) conduite avec des individus bilingues français/anglais permet de conclure de la façon suivante :PLS
a) Seuls les individus bilingues avec le français comme langue dominante traitent les deux
langues comme deux monolingues en un
b) Ces individus sont capables d’adapter leurs procédures de segmentation de l’onde sonore
aux propriétés prosodiques de chacune des deux langues qu’ils parlent
c) Seuls les individus bilingues avec le français comme langue dominante sont capables
d’adapter leurs procédures de segmentation de l’onde sonore aux propriétés prosodiques
de chacune des deux langues qu’ils parlent
d) Seuls les individus bilingues avec l’anglais comme langue dominante ne sont pas capables
d’adapter leurs procédures de segmentation de l’onde sonore aux propriétés prosodiques
de chacune des deux langues qu’ils parlent

A

ACD

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23
Q

Thérapies des souvenirs retrouvés :PLS
a) L’hypnose permet de recouvrer des souvenirs enfouis et oubliés en mettant les personnes dans un état de conscience modifiée qui permet la levée des mécanismes psychologiques de contrôle conscient
b) A l’aide d’un travail thérapeutique, il est possible de récupérer des souvenirs concernant les périodes précoces de notre vie (avant 2 ans)
c) La technique dite de la « régression en âge » engendre la création de faux souvenirs
d) La théorie de la mémoire implicite (e.g., McFarland & Ross, 1987) montre que nos souvenirs
sont reconstruits et révisés de façon à préserver notre cohérence psychologique à travers le temps

A

CD

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24
Q

Au seuil subjectif de conscience, on considère qu’un individu a des connaissances dont il n’a
pas conscience lorsque :PLS
a) Ses performances sont au niveau du hasard mais ses connaissances influencent sa rapidité à répondre
b) Il a des performances supérieures au niveau du hasard dans les essais où il pense
sincèrement tirer au hasard
c) Ses performances sont supérieures au niveau du hasard lors des essais où il pense
sincèrement répondre sur la base de ses connaissances
d) Il a des performances supérieures au niveau du hasard lors d’une première tâche mais ses connaissances acquises lors de cette première tâche n’ont pas d’influence sur d’autres
tâches similaires

A

B

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25
Q

L’expérience de Kuhl et Meltzoff (1982) destinée à montrer que des bébés âgés d’environ 4
mois et demi manifestent une perception multimodale de la parole, rapporte que :
a) Les bébés préfèrent regarder un visage en train d’articuler la voyelle /i/ que le même
visage en train d’articuler la voyelle /a/.
b) Les bébés regardent moins longtemps un visage en train d’articuler la voyelle qu’ils sont
en train d’écouter que le même visage articulant une voyelle différente.
c) Les bébés préfèrent regarder un visage en train d’articuler la voyelle qu’ils sont en train
d’écouter par rapport au même visage articulant une voyelle différente.
d) Les bébés regardent autant un visage en train d’articuler la voyelle qu’ils sont en train
d’écouter que le même visage articulant une voyelle différente.

A

C

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26
Q

Les patients atteints de vision aveugle qui ont une lésion dans les aires corticales visuelles et
sont aveugles dans le champ visuel opposé sont capables :
a) D’avoir l’expérience subjective consciente de voir dans leur champ visuel aveugle alors
qu’ils ne voient pas.
b) De traiter la scène visuelle de leur champ visuel aveugle alors même que leurs nerfs
optiques sont atteints.
c) De traiter la scène visuelle de leur champ visuel aveugle sans avoir l’expérience subjective
consciente correspondante.
d) De deviner des propriétés d’objets dans leur champ visuel aveugle lorsqu’on les pousse à
le faire en étant confiants dans leurs réponses.

A

c

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27
Q

Dans l’expérience de Yip et Côté (2013) :
a) L’intelligence émotionnelle diminue l’impact d’une émotion incidente sur la cognition.
b) L’intelligence émotionnelle diminue l’impact d’une émotion intégrale sur la cognition.
c) L’anxiété augmente la prise de risque.
d) La prise de risque augmente l’anxiété.

A

a

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28
Q

Les souvenirs traumatiques
a) Les troubles du stress post-traumatique ont permis de mettre en évidence l’existence
d’amnésie traumatique.
b) Toute personne ayant vécu un traumatisme développera un trouble du stress post-
traumatique.
c) Aucune démonstration du refoulement n’a été mise en évidence à travers la littérature
scientifique.
d) Les troubles du stress-post traumatique relèvent de la mise en œuvre de processus
pathologiques spécifiques et différents de ceux dont relève le fonctionnement non
pathologique de la mémoire.

A

c

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29
Q

Par perception catégorielle des sons de parole (et plus précisément la perception des traits
phonétiques qui les composent), on désigne le fait que :
a) Nous percevons des catégories phonétiques discrètes (finies) et non la variation continue
d’un paramètre acoustique (par exemple, le délai de voisement).
b) Nous ne traitons pas que des informations acoustiques issues du signal de parole mais
également des informations visuelles.
c) Le système cognitif extrait des informations acoustiques qui correspondent à des traits
phonétiques.
d) Nous ne percevons pas des catégories phonétiques discrètes (finies) mais percevons la
variation continue d’un paramètre acoustique (par exemple, le délai de voisement).

A

a

30
Q

Par rapport à une condition contrôle, induire un affect positif avant de jouer à un jeu de
roulette de casino (Isen & Geva, 1987) :
a) favorise la prise de risque lors du jeu.
b) incite les participants à miser de plus grosses sommes.
c) conduit les participants à accepter un risque plus faible pour les enjeux faibles.
d) conduit les participants à accepter un risque plus faible pour les enjeux moyens ou forts
mais pas pour les enjeux faibles.

A

d

31
Q

L’étude des faux souvenirs
a) L’étude des faux souvenirs montre qu’il est difficile de reconnaître et de dissocier un
souvenir mental (une pensée, une image mentale, etc.) du souvenir d’un événement
réellement vécu dans l’environnement externe.
b) L’effet de désinformation consiste à incorporer une information dans un souvenir de sorte
qu’elle soit oubliée.
c) Dans leur expérience, Braun et al. (2002) ont infusé aux participants le faux souvenir
d’avoir vu Bugs Bunny à Disneyland à partir de questions suggestives.
d) Les travaux sur les faux souvenirs comme l’expérience d’Offer et al. (2000) montrent que
notre mémoire conserve nos souvenirs intacts tout au long de la vie.

A

a

32
Q

Le critère de hasard (guessing criterion) et de zéro corrélation (zero correlation criterion)
permettent tous les deux de déterminer :
a) Si les individus ont des connaissances dont ils n’ont pas conscience.
b) Si, lorsque les performances objectives des individus à une tâche sont inférieures au
niveau du hasard, ces derniers ont des connaissances conscientes et inconscientes.
c) Si les individus ont des connaissances conscientes.
d) Si les individus ont des connaissances conscientes et inconscientes lorsqu’ils pensent
répondre au hasard.

A

a

33
Q

L’étude de Serniclaes et al. (2001) a fourni des données en faveur d’une perception des
sons de parole chez les dyslexiques dite allophonique. Ces données peuvent être résumées de la
façon suivante :
a) Par rapport à un groupe de normo-lecteurs contrôle appariés en âge chronologique, les
participants avec une dyslexie manifestent une moins bonne discrimination entre les
catégories phonétiques des sons qui leur sont présentés (ici, consonne bilabiale versus
consonne dentale) et une moins bonne discrimination intra-catégorielle.
b) Par rapport à un groupe de normo-lecteurs contrôle appariés en âge chronologique, les
participants avec une dyslexie manifestent une moins bonne discrimination entre les
catégories phonétiques des sons qui leur sont présentés (ici, consonne bilabiale versus
consonne dentale) et une meilleure discrimination intra-catégorielle.
c) Par rapport à un groupe de normo-lecteurs contrôle appariés en âge chronologique, les participants avec une dyslexie manifestent une meilleure identification des catégories
phonétiques des sons qui leur sont présentés (ici, consonne bilabiale versus consonne
dentale) et une meilleure identification intra-catégorielle.
d) Par rapport à un groupe de normo-lecteurs contrôle appariés en âge chronologique, les participants avec une dyslexie manifestent une meilleure discrimination entre les catégories phonétiques des sons qui leur sont présentés (ici, consonne bilabiale versus
consonne dentale) et une moins bonne discrimination intra-catégorielle.

A

b

34
Q

Mémoire et sommeil
a) La période pendant laquelle nous rêvons correspond à la phase de sommeil paradoxal.
b) La durée des phases de sommeil paradoxal diminue durant les périodes d’apprentissage
intense.
c) Le rêve relève du processus de conservation à l’identique de ce qui a été vécu dans la
journée.
d) Les études actuelles mettent en évidence que les mécanismes neurophysiologiques du
sommeil participent à la consolidation de nos souvenirs et de nos apprentissages.

A

d

35
Q

Le phénomène de cécité au choix montre que nous n’avons pas toujours conscience des
intentions qui guident nos choix parce que :
a) On peut facilement tromper les participants à une expérience sur leur choix sans qu’ils ne
s’en rendent compte.
b) L’étude de Johansson et al. (2005) a montré que les participants étaient capables de
fournir des explications détaillées sur une photo qu’ils n’avaient pas réellement choisie.
c) Les propositions a et b sont vraies.
d) Toutes ces propositions sont fausses.

A

c

36
Q

Selon Darwin :
a) Les espèces qui ressentent moins les émotions ont de meilleures chances de survie.
b) Les émotions sont innées et universelles.
c) L’expression des émotions est radicalement différente même dans des espèces
relativement proches.
d) Aucune de ces propositions.

A

b

37
Q

Distinctivité & Émotion
a) Dans son expérience, Schmidt (2002) montre que l’émotion engendre une amnésie des
premiers stimuli de la liste apprise.
b) Dans son expérience, Schmidt (2002) montre que la distinctivité d’une trace mnésique
relève de l’émotion qui lui a été associée au moment de l’encodage.
c) Dans l’expérience de Brewin et al. (1999), les résultats montrent que l’oubli est une
conséquence des vécus éprouvants.
d) Les marqueurs émotionnels sont des caractéristiques essentielles de la consolidation
mnésique.

A

d

38
Q

Induire un sourire franc (i.e., sourire de Duchenne) en demandant à des personnes de tenir
un stylo en bouche :
a) leur fait ressentir une émotion moins négative lorsqu’elles elles regardent un film négatif
que quand on n’induit pas ce type de sourire.
b) leur fait ressentir une émotion plus positive lorsqu’elles regardent un film positif que quand
on n’induit pas ce type de sourire.
c) les propositions a et b sont vraies.
d) toutes ces propositions sont fausses.

A

b

39
Q

Goodale et Milner (1992, 2013) ont proposé l’existence de deux voies dans le système
visuel, une voie ventrale qui supporterait l’identification et la reconnaissance et une voie dorsale
qui permettrait l’interaction rapide avec l’environnement. Cette théorie rend compte du fait que :
a) Des patients avec des lésions au niveau de la voie ventrale peuvent toujours agir de façon
efficace sur des formes qu’ils ne peuvent pourtant pas reconnaitre et décrire.
b) Les illusions visuelles disparaissent lorsqu’on demande aux personnes de donner la taille
de la figure en question.
c) Les patients avec des lésions au niveau de la voie dorsale ne sont pas sujets aux illusions
visuelles.
d) Les illusions visuelles seraient plus liées à l’utilisation de la voie dorsale que ventrale.

A

a

40
Q

L’effet McGurk qui permet d’envisager une perception multimodale de la parole a été
observé :
a) Avec des syllabes mais pas avec des mots ni des phrases.
b) Avec des syllabes et des phrases mais pas avec des mots.
c) Avec des syllabes et des mots mais pas avec des phrases.
d) Avec des syllabes, des mots et des phrases.

A

d

41
Q

Dans le modèle de la cohorte développé par Marslen-Wilson (1987 ; 1990), l’identification
d’un mot parlé est conçue comme le résultat :
a) De l’activation en mémoire d’une cohorte initiale de mots correspondant aux premiers
phonèmes identifiés suivie par une réduction progressive de cette cohorte jusqu’à
l’activation en mémoire d’un seul mot candidat qui correspond parfaitement à l’information
acoustique traitée.
b) De l’activation en mémoire d’une cohorte initiale de mots correspondant aux derniers
phonèmes identifiés suivie par une réduction progressive de cette cohorte jusqu’à
l’activation en mémoire d’un seul mot candidat qui correspond parfaitement à l’information
acoustique traitée.
c) De l’activation en mémoire d’une cohorte initiale de mots correspondant aux phonèmes
identifiés suivie par une réduction progressive de cette cohorte jusqu’à l’activation en
mémoire d’un seul mot candidat qui correspond parfaitement à l’information acoustique
traitée.
d) De l’activation en mémoire d’une cohorte initiale de mots correspondant aux syllabes
identifiées suivie par une réduction progressive de cette cohorte jusqu’à l’activation en
mémoire d’un seul mot candidat qui correspond parfaitement à l’information acoustique
traitée.

A

a

42
Q

Fonctionnements atypiques de la mémoire
a) Le célèbre mnémosite Veniamin décrit par le neuropsychologue Luria avait une mémoire
parfaite des visages.
b) Le syndrome du savant consiste en une mémoire parfaite pour les chiffres contrairement
aux lettres.
c) Le célèbre mnémoniste Tomoyori rappelait les 40000 décimales de pi mais n’avait pas de
performances supérieures à la norme lorsqu’il s’agissait de rappeler des listes de mots.
d) Les champions de la mémoire diffèrent du groupe contrôle dans tous les domaines de la
mémoire.

A

c

43
Q

Dans les études de Cutler et al. (1981 ;1983), les individus pratiquant deux langues (le
français et l’anglais) mais qui ne sont pas des bilingues « parfaits » manifestent des résultats
à la tâche de détection de cibles à l’initiale de mots (par exemple, détection des cibles /ba/ et /bal/
à l’initiale des mots ballon et balcon pour le matériel français et détection des cibles /ba/ et /bal/
dans les mots balance et balcony pour le matériel anglais) qui permettent de conclure de la façon
suivante :
a) Les individus sont capables d’adapter leurs procédures de segmentation de l’onde sonore
aux propriétés prosodiques de chacune des deux langues qu’ils parlent.
b) Les individus transfèrent les procédures de segmentation de leur langue maternelle à leur
langue seconde pour la traiter et ainsi identifier les mots parlés.
c) Seuls les individus avec l’anglais comme langue maternelle ne sont pas capables
d’adapter leurs procédures de segmentation de l’onde sonore aux propriétés prosodiques
de chacune des deux langues qu’ils parlent.
d) Seuls les individus avec le français comme langue maternelle sont capables d’adapter
leurs procédures de segmentation de l’onde sonore aux propriétés prosodiques de
chacune des deux langues qu’ils parlent.

A

b

44
Q

L’expérience d’Hamman et Squire (1997) dans laquelle les performances du patient E.P
atteint d’une amnésie profonde, de patients amnésiques et de sujets contrôles sont comparées
dans une tâche de mémoire et une tâche d’identification perceptuelle a montré que :
a) bien que la mémoire explicite du patient E.P soit relativement préservée, il n’est pas
sensible à l’amorçage perceptif.
b) nos souvenirs nous influencent seulement lorsqu’on peut les récupérer consciemment.
c) certains souvenirs peuvent nous influencer même si on ne parvient pas à les récupérer
consciemment.
d) la mémoire explicite du patient E.P. est déficitaire et qu’il identifie correctement autant de
mots étudiés que de mots nouveaux dans un test d’amorçage perceptif.

A

c

45
Q

En comparaison aux humeurs, les émotions :
a) sont plus intenses.
b) ont une durée plus longue.
c) ont un événement déclencheur moins bien identifiés.
d) toutes ces propositions sont vraies

A

a

46
Q

Souvenirs retrouvés en thérapie
a) En mettant les personnes dans un état de conscience modifiée, l’hypnose permet de lever
les défenses pour retrouver des souvenirs oubliés enfoui dans notre inconscient.
b) La théorie de la mémoire implicite (e.g., McFarland & Ross, 1987) montre que nos
souvenirs sont reconstruits et révisés de façon à préserver une cohérence psychologique
à travers le temps.
c) La technique dite de la « régression en âge » permet de récupérer nos souvenirs du passé
de la façon la plus fidèle possible.
d) De nombreuses études ont montré qu’avec la technique de régression en âge, la
production de faux souvenirs de l’enfance reste rare.

A

b

47
Q

Des recherches sur le jeu de l’ultimatum ont montré que :
a) Le dégoût amène à être moins sensible à l’injustice.
b) La tristesse amène à juger les offres inéquitables moins injustes.
c) Le dégoût amène à moins mépriser une personne qui propose une offre inéquitable.
d) Le dégoût amène refuser plus souvent les offres inéquitables.

A

d

48
Q

Il peut y avoir de l’apprentissage implicite dans une tâche d’apprentissage de séquences de positions. Qu’est ce qui le montre dans l’expérience de Destrebecqz et Cleeremans (2001) ?
a) Les participants entrainés avec un temps de 250 ms entre la cible et la réponse ont appris
la séquence et sont capables de la reproduire lorsqu’on leur demande de le faire et de ne
pas la reproduire lorsqu’on leur demande d’éviter de le faire.
b) Les participants entrainés avec un temps de 0 ms entre la cible et la réponse ont appris la
séquence mais ne parviennent pas à discriminer les fragments appartenant à la séquence
présentée de ceux qui sont nouveaux lors de la tâche de reconnaissance.
c) Les participants entrainés avec un temps de 0 ms entre la cible et la réponse ont appris la
séquence et parviennent à la reproduire lorsqu’on leur demande de le faire mais la
produisent également lorsqu’on leur demande d’éviter de le faire.
d) Les propositions b et c sont vraies.

A

c

49
Q

La figure ci-dessous illustre le phénomène suivant :
a) Que la perception de la parole est un phénomène continu.
b) Que le signal de parole que doit traiter l’auditeur ressemble au signal visuel de l’écrit.
c) Le signal de parole quedoittraiterl’auditeur est un signalcontinu
d) Dans le signal de parole, les mots sont facilement identifiables.

A

c

50
Q

Le phénomène de vision aveugle montre que :
a) On peut avoir l’expérience subjective consciente de percevoir sans percevoir réellement.
b) On peut avoir des états mentaux de premier niveau sans l’expérience subiective consciente
correspondante.
c) Les patients atteints de vision aveugle sont capables de percevoir consciemment une scène
visuelle complexe dans leur champ visuel aveugle.
d) Les patients atteints de vision aveugle sont capables de deviner des propriétés d’obiets dans leur champ visuel aveugle lorsqu’on les pousse à le faire en étant confiants dans leurs réponses.

A

b

51
Q

La courbe de l’oubli découverte par H. Ebbinghaus met en évidence :
a) Une décroissancelinéaire au cours du temps de ce que nous retenons du passé.
b) Un phénomène de laboratoire difficilement généralisable aux situations quotidiennes.
c) Une décroissance importante de nos souvenirs au-delà de quelques heures.
d) Un dysfonctionnement de notre mémoire.

A

c

52
Q

Selon les théories de l’évaluation cognitive, une émotion implique:
a) Une réponse physiologique.
b) Une tendance à l’action.
c) Une expérience subjective.
d) Toutes ces propositions sont vraies.

A

d

53
Q

Dans l’expérience de Neal et Chartrand (2011) :
a) Induire une paralysie des muscles expressifs rend plus difficile la reconnaissance des émotions d e s autres.
b) Induire une paralysie des muscles expressifs facilite la reconnaissance des émotions des autres.
c) Induire une paralysie des muscles expressifs aide à gérer les émotions d’autrui.
d) Toutes ces propositions sont fausses.

A

a

54
Q

Dans les expériences s’intéressant à la perception auditive prénatale, on utilise la modification du rythme cardiaque comme indicateur du traitement de la nouveauté par le fœtus. A un changement de l’ordre des syllabes, Lecanuet et al. (1987) ont observé que
a) les fœtus manifestent une décélération du rythme cardiaque.
b) Les fœtus manifestent une augmentation du rythme cardiaque.
c) Les fœtus manifestent des réactions motrices désordonnées.
d) Les fœtus ne manifestent pas de réaction dans le rythme cardiaque.

A

a

55
Q

Cheesman et Merikle (1986) ont utilisé un paradigme de masquage dans lequel ils présentaient quatre noms de couleurs avec des SOA (« stimulus-onset asynchrony ») plus ou moins longs et demandaient aux participants d’identifier les noms de couleur présentés. Qu’est ce qui montre dans cette expérience que les participants avaient des perceptions dont ils n’avaient pas conscience ?
a) Lors de SOA courts, les participants estimaient qu’ils avaient 25% de chance de donner une réponse correcte et donnaient la bonne réponse dans plus de 50% des cas.
b) Même lors de SOA très courts, les participants produisaient plus de 25% de réponses correctes.
c) Lors de SOA longs, les participants donnaient 100% de réponses correctes tout en jugeant qu’ils répondaient au hasard.
d) Lors de SOA courts, les participants donnaient 25% de réponses correctes tout en ayant une confiance élevée dans leur réponse.

A

a

56
Q

L’oubli induit par la récupération (« retrieval-induced forgetting ») est une démonstration expérimentale
a ) Du fait que l’on retient mieux une information si elle est répétée.
b) que la répétition d’une information affecte la mémoire des informations qui lui sont associées.
c) Qu’il est plus difficile d’oublier quelque chose que nous avons déjà rappelé.
d) Que les informations en mémoire sont stables au cours du temps.

A

b

57
Q

La « guerre des souvenirs » renvoie à un épisode de l’histoire de la psychologie de la mémoire qui a permis
a) De mettre en évidence les mécanismes de refoulement.
b) De confirmer la culpabilité de certains suspects accusés d’abus sexuels.
c) De mettre en évidence les bienfaits des thérapies de la mémoire retrouvée.
d) De mettre en évidence la facilité d’immiscer des faux souvenirs chez une personne.

A

d

58
Q

Selon la théorie des méta-représentations:
a) Un état mental est défini uniquement par son contenu indépendamment de la façond dont le contenu est appréhendé.
b) Un état mental de premier niveau est un état mental conscient.
c) Un état mental est inconscient lorsque la personne ne dispose pas de méta-représentation de cet état mental.
d) Tous les états mentaux sont conscients.

A

c

59
Q

L’idée que chaque émotion a des patterns autonomes spécifiques :
a) Est compatible avec la théorie centraliste.
b) Est compatible avec la théorie à deux facteurs.
c) Est compatible avecla théorie des émotions de base.
d) Toutesc e s propositions sont vraies.

A

c

60
Q

Les tests de conscience subiectifs permettent de déterminer à eux seuls :
a) Si les individus ont des connaissances dont ils n’ont pas conscience.
b) si les individus ont des connaissances conscientes ou inconscientes mais seulement s’ils
sont combinés à un test mesurant la performance objective à latâche.
c) Si les individus ont des connaissances conscientes.
d) Si les individus ont des connaissances conscientes et inconscientes lorsqu’ils pensent
répondre au hasard.

A

b

61
Q

Dans l’expérience de Frauenfelder et al. (1990) qui consiste à demander une tâche de détection de phonèmes dans des mots et des pseudomots présentés auditivement, on constate :
a) que les informations lexicales interviennent relativement tôt dans le processus de la reconnaissance des mots parlés.
b) Que les informations lexicales interviennent avant le point d’unicité des mots dans le
processus de la reconnaissance des mots parlés.
c) Que les informations lexicales interviennent relativement tard dans le processus de la
reconnaissance des mots parlés.
d) Que les informations lexicales n’interviennent pas dans le processus de la reconnaissance
des mots parlés.

A

c ?

62
Q

Les expériences d’Eimas et al. (1971) montrent que la perception catégorielle des traits phonétiques des phonèmes est opérationnelle chez les bébés
a) Dès l’âge de 4mois.
b) des l’âge de 6 mois.
c) Dès l’âge de 8 mois.
d) Dès l’âge de 1mois.

A

vérifier

63
Q

Les études actuelles sur lesliens entre mémoire et sommeil montrent que :
a) Le sommeil participe à la consolidation de nos souvenirs et de nos apprentissages en mémoire.
b) La qualité du sommeil dépend de la nature des représentations durant l’activité onirique.
c) Nous rêvons uniquement durant les phases de sommeil paradoxal.
d) Le contenu du rêve relève uniquement de ce qui s’est passé durant la journée qui précède le
sommeil.

A

a

64
Q

Les marqueurs somatiques secondaires :
a) Aident à anticiper les conséquences des évènements à venir.
b) Sont des réactions émotionnelles à un événement qu’on est en train de vivre pour la première fois.
c) Sont amplifiés en cas de lésion du cortex préfrontal ventromédian.
d) Sont des émotions incidentes.

A

a

65
Q

Les résultats de l’expérience de Porcelli et Delgado (2009) suggèrent que le stress :
a) Favorise la prise de risque lorsque les options d’un choix sont présentées en termes de pertes.
b) Diminue la prise de risque lorsque les options d’un choix sont présentées en termes de gains.
c)Exacerbe des biais présentsmême en l’absence de stress.
d) Toutes ces propositions sont vraies.

A

d

66
Q

Hamman et Squire (1997) ont conduit une expérience dans laquelle les performances du
patient EP atteint d’une amnésie profonde, de patients amnésiques et de sujets contrôles étaient comparées dans des tâches de reconnaissance et une tâche d’identification perceptive. Qu’est ce qui montre que le patient EP parvenait à apprendre inconsciemment des informations de la phase d’étude ?
a) Le patient EP avait des performances au niveau du hasard dans les tâches de reconnaissance.
b) Bien que les performances du patient EP étaient au niveau du hasard dans les tâches de reconnaissance, son score d’amorçage à la tâche d’identification perceptive ne différait pas de celui des sujets contrôles.
c) Bien que le score d’amorçage du patient EP était inférieur à celui des sujets contrôle, li avait des performances au-dessus du hasard aux tâches de reconnaissance.
d) Le score d’amorçage du patient EP à la tâche d’identification perceptive ne différait pas de celui des sujets contrôles.

A

b

67
Q

L’étude des troubles du stress post-traumatique a permis de mettre en évidence:
a) L’existence de l’amnésie traumatique.
b) L’existence du mécanisme de refoulement.
c) Une désorganisation de la mémoire et de l’image de soi chez les patients.
d) Qu’il s’agit d’un phénomène universel à la suite d’un événement traumatisant.

A

c

68
Q

Quelle est, parmi lesidées sur le fonctionnement de la mémoire, celle qui s’est avérée vraie à la lumière des recherches effectuées au cours du 20e siècle :
a) La mémoire est un processus de reconstruction.
b) Notre mémoire fonctionne comme une caméra.
c) L’hypnose permet de récupérer des souvenirs enfouis.
d) Notre mémoire fonctionne comme un ordinateur.

A

a

69
Q

Selon une description acoustique, ce qui caractérise la voix d’un locuteur est :
a) L’intensité de sa voix.
b) L’amplitude de s a voix.
c) La durée de sa voix.
d) La fréquence fondamentale de sa voix.

A

d

70
Q

Lathéorie de l’espace de travail global :
a) Permet d’évaluer le niveau de vigilance des individus.
b) Propose que le traitement préconscient d’une information est associé à une diffusion de l’activation cérébrale vers les réseaux frontaux et pariétaux.
c) Permet de mesurerl a quantité d’information spécifique intégrée dans un système.
d) Propose que seules les informations conscientes peuvent être utilisées de façon flexible par différents processus.

A

d

71
Q

Les résultats de Yip et Côté (2013) suggèrent que l’intelligence émotionnelle :
a) Augmente les bénéfices des émotions incidentes sur la prise de décision.
b) Augmente les bénéfices des émotions intégrales sur la prise de décision.
c) Aide à identifier la source des émotions.
d) Toutes ces propositions sont vraies.

A

c